Elle... Il... en duo

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Mon époux gare la voiture, ouvre la porte, j'entre à sa suite.
Il referme et me regarde.
Le bras de son patron autour de mes épaules. J'ai le visage niché sur son torse.
Dans le secret de notre maison je ne me cache plus pour être si souvent proche de celui qui est devenu mon Maitre.
Après la soirée de réception et l'état de ma robe, de mes cheveux... Marc sait que je ne suis plus à lui mais que j'appartiens désormais à l'homme qui dort chez nous, qui m'a révélé à des plaisirs insoupçonnés... à des désirs qui me rendent folles.
Je suis à lui et je le suis dans les chemins détournés de la morale qu'il me fait prendre.
Il caresse mes cheveux blonds... salis du jus de ses collaborateurs.
Mon entrejambe encore douloureux d'avoir été pris si longtemps par de nombreux sexes, j'avance, ma main dans celle de celui que je regarde en rougissant alors qu'il interpelle mon mari.
"Béatrice a été splendide. Elle a également bien récompensée les meilleurs collaborateurs".
Marc baisse la tête.
"Je ne voulais pas que tu vois ça."
Sa voix douce est pour moi un rappel suggestif et pour Marc une évocation qui doit lui faire étrange... de ce à quoi je me suis livrée, de cette orgie de débauche dans laquelle j'étais l'actrice principale et qu'il ne fait qu'imaginer.
"Mais tu as bien mérité toi aussi d'en profiter".
J'ai un frisson, je sursaute.
Mes yeux cherchent le regard de mon Maitre.
Va t-il me livrer à mon époux ?
Je me sens si sale, encore souillée dans mon intimité, la robe tachée.
"Agenouille toi sur le tapis" m'ordonne t-il.
J'obéis sans rechigner.
Il fait s'approcher Marc.
Je dois lui ouvrir le pantalon et lui caresser le sexe au travers du tissu de son slip.
Je le fais et mon mari s'excite.
Je me sens fille de joie.
Ce n'est plus mon époux... c'est un homme... simplement.
Son sexe durcit dans son dessous.
Mon Maitre se joue de nous.
Je lui lance un coup d'œil, il ne regarde que moi et cela me fait un effet dingue, un sentiment de réconfort et de fierté.
Lorsqu'il me demande de sortir sa queue je suis surprise de la taille si réduite de ce membre.
Je l'agite au gré des ordres puis le lèche comme il me le commande.
Comparée aux manches que je viens de déguster, celui-ci est modeste et ma bouche, bien que meurtrie d'avoir tellement sucée, n'a aucun mal à l'engloutir.
Je fais ce que je lui ai si souvent refusé.
Mais là... obéissante... pour celui qui me donne chaud... je gourmanderais n'importe quelle verge.
Les soupirs plus forts de mon homme me rappellent à lui. Dans mon désir de plaire à mon Maitre j'en ai oublié celui a qui je suis mariée.
La voix suave me murmure qu'il faut que je sois "une belle petite cochonne pour Marc".
Je m'applique.
Jamais je ne lui ai pratiqué une telle fellation.
Ma langue et mes doigts sont au service de ces plaisirs buccaux tellement osés que j'en rougis.
Je mets en œuvre tout ce que j'ai appris depuis que je suis soumise et obéissante. Je déguste et aspire le bout du gland avant de titiller le méat, envelopper le col et le bout rond de ce petit dard jusqu'à en faire sortir une goutte de plaisir.
Mon muscle presse la veine comme mes lèvres enveloppent le manche et viennent se coller à la base de sa verge pour mieux remonter lentement... et redescendre rapidement pour l'emmener au plus loin dans ma bouche.
Mon Maitre me félicite et je cesse mon action à sa requête.
Nous savons tous les deux que Marc est en rut...
Il ordonne, j'obéis.
Nous savons tous les trois que cela pourrait être n"importe quel sexe.
Pour mon Maitre, j'obéis.
Je m'allonge et je relève ma robe devant mon époux.
Je retire ensuite la culotte gluante qui recouvre mon sexe lisse.
J'ai honte... mais j'ai envie d'être obéissante, je le fais, et mon mari découvre mes lèvres, rouges, molles... entrouvertes... dégoulinantes de foutres de plusieurs hommes.
Le tissu est trempé des jus différents. Il colle. Il fait un bruit d'humidité lorsque je le pose sur le sol à côté de moi.
"Baise-la. Tu l'as mérité, comme les autres".
Il me semble recevoir une claque, surement la même que celle que prend Marc.
Il s'allonge sur moi et... sans remettre en cause son statut de soumis lui aussi, enfonce son membre dans mon vagin.
Je suis visqueuse, poisseuse, de sirops.
Le sexe fin de mon mari touille dans mon puits inondé.
Il s'affaire en moi.
Une sensation de honte... de plaisir tellement fort...
Devant mon Maitre, notre Maitre, nous "baisons".
Il ne dit pas un mot, se contente de nous regarder.
Je gémis bien malgré moi, terriblement emportée par une rafale de luxure.
C'est mon époux qui me chevauche, après tous les autres... dans leurs semences encore tièdes... sur l'ordre de celui avec lequel des liens plus étroits qu'une cordelette de soie autour des mes poignets se sont tissés.
Le plaisir que j'éprouve est tout à la fois physique et mental. Mon esprit chavire dans un délice osé.
J'entends à peine les souffles de Marc.
Mes yeux cherchent mon autre homme.
Il m'observe.
Les jambes ouvertes, les genoux relevés, Marc me prend, comme d'habitude.
Mes cuisses nues n'attirent pas l'attention de mon admirateur. Il ne lâche pas mon visage, mon regard dans le sien.
Il me sourit et ma jouissance arrive comme une lame de fond, comme une autorisation, comme un agrément à mon plaisir. Je fonds. L'orgasme me traverse comme un arc électrique.
Il ordonne à Marc d'éjaculer sur mon ventre.
Le petit sexe sort de mon antre et son jus chaud vient éclabousser mon nombril. Son foutre se mélange à ceux qui me décoraient déjà la peau.
Mon plaisir continue, enfle malgré l'absence de membre en moi. Simplement en m'abandonnant à mon Maitre.
Lui... par qui j'ai découvert le plaisir de façon plus intense que je ne l'aurais imaginé.
Un cri m'échappe.
Je suis trempée, essoufflée... contente de lui appartenir.
Je suis sa petite putain... sa poupée... sa s...

Lorsque je rejoins notre chambre après un long bain où je me suis nettoyé de tous ces hommes, Marc n'y est pas. Il a été envoyé dormir dans la chambre de Céline, absente la semaine depuis qu'elle à son studio.
La lumière de le lampe de chevet est allumée.
Je suis nue, comme le désire celui qui me regarde en souriant et qui m'invite à le rejoindre dans le lit.
Toujours honteuse et pourtant si heureuse.
Je me love contre lui.
Son cœur bat si fort.
Sans un mot nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent, se trouvent, s'emmêlent.
Ses mains trouvent mon corps parfumé.
Mes doigts glissent sur son torse et sur ses bras.
Il éteint.
L'obscurité nous enveloppe.
Enlacés dans notre chambre...
Sait-il l'effet qu'il me fait ?
Je sombre dans des rêves voluptueux...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Le patron de Marc nous a invité.
Une nouvelle soirée de la société.
Un an après celle qui fut à l'origine de notre rencontre... de son imposition peu à peu dans notre couple.
Il ne nous a pas laissé le choix.
Un an déjà qu'il a changé ma vie, notre vie.
Je suis devenue, si femme, si sensuelle, me dit-il.
Soumise à ses désirs, à ses plaisirs les plus osés...
La peur de me sentir si offerte, de me laisser aller à mes pulsions sexuelles, s'est transformée en plaisir.
Ses folies, sont devenues miennes et il m'a ensorcelé.
Je me laisse aller, j'en veux encore.
Je culpabilise encore mais je sens si bien avec lui, dans ces liens étroits de notre relation particulière.
Il me semble qu'il lit en moi comme dans un livre ouvert dont il connait déjà les pages, l'histoire.
Sa façon de me faire exécuter le moindre de ses fantasmes... et de révéler les miens... me fait parfois penser qu'il est un rêve.
Il m'emporte si loin, au delà de la décence, au delà de la raison.
Notre duo... parfois trio ou... dépasse ce que je m'imaginais en capacité d'accepter et me fait explorer des facettes de plaisirs qui me ravissent les sens jusqu'à des degrés insoupçonnés.
Et... je suis avec joie ce chemin qui me fait découvrir milles sensations toutes aussi fortes les unes que les autres.

La voiture file.
Je suis à côté de lui, à l'arrière.
Marc conduit.
Il ressemble à un... laquais qui mène son maitre et sa femme à une soirée, c'est le seul mot qui convient.
J'en ai les joues qui rosissent.
Ma robe m'arrive à mi cuisses.
Bleue nuit légèrement pailletée.
Un décolleté qui montre, si je me penche, que mes seins sont libres.
Des bas noirs et des escarpins.
Je n'ai pas pu lui refuser cette tenue superbe mais très osée. Comme toujours lorsqu'il m'enjoint de flirter avec la sensualité.
Sa main se pose sur mon genou, il me caresse.
J'ai chaud...
Ces doigts me font un tel effet.
Marc voit la main dans le rétroviseur.
Mon maitre ne se cache pas, il aime lorsque mon mari me voit me faire caresser.
Et mon désir enfle, je rougis lorsqu'il me fait cela devant lui.

Nous arrivons bientôt.
Je me sens si impudique dans cette tenue.
Mais personne ne dit rien, après tout, j'arrive avec le patron.
Mon mari suit... le pauvre il me fait presque pitié.
Des sourires entendus me gènent.
On ne dit rien en face, on félicite mon maitre, mais j'entends quelques murmures osés que j'imagine à mon égard.
Il me semble entendre "la salope du patron".
Et quelques rires et regards salaces sur moi.
Il est vrai que par l'échancrure de ma robe on distingue le liseré de mes bas, et que ma poitrine se balance doucement dans le tissu bleu scintillant.
Caroline, la secrétaire, vient me chaperonner pendant que mon maitre s'en va saluer ses collaborateurs.
Elle me tend une coupe.
"Vous êtes en beauté Beatrice"
"Merci Caroline".
Ses yeux me déshabillent, elle lorgne dans mon décolleté.
Nos coupes s'entrechoquent et je bois du bout des lèvres.
Elle se penche alors et me glisse à l'oreille qu'elle doit me guider.
Mes pommettes s'empourprent et je la suis lorsqu'elle m'y invite.
Le couloir, les portes, je reconnais les lieux.
Elle me fait entrer dans le bureau principal.
Elle débarrasse une table basse.
"Fermez la porte Béatrice" me dit-elle sans un sourire.
J'obtempère.
Son regard est dur, vert, derrière ses lunettes.
Elle s'avance vers moi.
Je n'aime pas cette femme qui a profité de moi... sur l'ordre de mon Maitre... et m'a fait ressentir des plaisirs impolis, saphiques.
Je recule et mes fesses trouvent le bois du bureau.
Ses mains se posent de part et d'autre de mes hanches, sur le bureau.
"Très désirable pour notre patron..." sourit-elle en matant mes seins qui se tendent bien malgré moi alors que je ne suis pas bi du tout... elle le sait... et pourtant elle m'a déjà possédée sur les désirs de son patron, mon Maitre.
Ils pointent ostensiblement sans que je ne parvienne cependant à les en empêcher.
Je l'observe, sa poitrine lourde, son déhanché terriblement féminin.
Une petite montée d'adrénaline me fait déglutir et pousse ma main à caresser sa joue.
Elle s'agenouille devant moi avec ce regard qui m'évalue.
Ses bras, ses mains forment une prison autour de moi.
Elle baisse la tête et pose sa main sur ma cheville pour venir placer mon pied sur la table basse.
Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée mais mon bas ventre crie famine.
Ses doigts aux ongles rouges délassent mon escarpin.
J'ai les jambes écartées devant elle, qui se tient à la hauteur de mon bas ventre.
Elle le pose délicatement sur le bois vernis avant de faire remonter ses mains sur le nylon de mon bas.
Je frémis comme elle frotte à deux mains, mon mollet, mon genou et bientôt ma cuisse.
Ma jupe remonte si loin lorsque ses mains viennent s'avancer jusqu'à la lisière de mon bas fixé haut sur ma jambe.
Elle effleure mon intimité du bout des doigts.
Un petit couinement m'échappe.
Ses grands yeux verts remontent sur moi et ne me quittent pas du regard.
Mon bas se décolle doucement de ma peau, s'enroule sur lui même... vers mon pied.
Ses doigts font filer le nylon sur lui même tout du long de ma jambe.
Mon escarpin reprend sa place.
Ses gestes sont doux, précis, lents.
Elle se redresse.
Les bruits de la réception nous parviennent, étouffés.
Immobile je reste ainsi, jupe à demi pendante sur le devant, jambe gauche posée sur le meuble bas quelle a débarrassé de tout objet, cuisse nue.
Son sourire, l'unique depuis qu'elle m'a entrainée loin de la salle de réception, me réchauffe un peu le cœur.
Ses doigts passent sur mon épaule, sur mon cou et me décolle du bureau.
J'hésite à poser mon pied à terre mais un petit "tttt" m'en empêche.
Mon bas dans la main elle vient se placer derrière moi.
Je panique un peu... dans le bureau de mon Maitre, je me sens seule, aux prises avec cette femme, plus grande, plus belle que moi... qui suis si honteuse, fragile... et en... chaleur.
Elle caresse ma nuque, mon dos, flatte ma croupe, griffe délicatement ma cuisse nue.
Hooo... je me cambre avant même de m'en rendre compte, tendant mes fesses vers elle avec un pose suggestive qui ne me ressemble pas.
Elle remonte sur mon bras, sur mon épaule.
Le bas, mon bas, vient se poser sur mes yeux.
J'ai un mouvement de recul.
Le tissu masque le décor du bureau.
Je ne perçois plus que des... nuances... de gris, des variations entre obscurité et lumière.
Caroline passe ses mains sur mes seins, elle déboutonne le devant de ma robe.
Je murmure un faible "Non... si Monsieur venait...".
"Il va venir ne vous inquiétez pas" me susurre t-elle à l'oreille en écartant ma robe, laissant ma poitrine sortir à l'air libre.
Ses paumes douces soulèvent mes petits seins en poire... leur profondeur me semble démesurée, privée que je suis de la vue.
Elle les masse puis les étire l'un après l'autre avec une délicatesse féminine.
Je gémis, je me sens terriblement impudique.
Un courant d'air sur mon bas ventre, toujours écarté, me signifie que je suis en train de m'humidifier.
Ma poitrine subit quelques secondes les palpations indécentes de cette femme avant qu'elle ne les laisse de nouveau se balancer doucement, arrogant, devant moi.
Autour de mes poignet viennent se lier des cordelettes en tissu large et doux.
Une petite traction vers le bas et je me retrouve à obéir à ses mouvements.
La secrétaire de mon Maitre me place sur la table basse, en travers, mon ventre sur la surface plate.
Mes seins pendent dans le vide... ma croupe est relevée... je me sens si dépourvue de dignité.
J'ai les bras étirés de droite et de gauche, noués aux pieds de la table.
Lorsqu'elle me lie les chevilles, après avoir placé un coussin sous mon ventre, mon fessier se retrouve exhibé, ma féminité offerte, ruisselante.
Sa main vient me caresser l'entrejambe.
Ma robe est relevée sur mes hanches, rabattue sur mon dos, ouverte sur ma peau.
Elle n'est plus qu'un reliquat qui ne couvre en rien mon corps... j'ai perdue toute ma dignité au profit d'un bonheur délicieusement honteux.
Je n'ai qu'un seul bas... aucun dessous... je me sens perdue et sous ses doigts de femme qui me masturbent, je mouille et j'éprouve un plaisir inégalé.
Je gémis faiblement, ses doigts habiles écartent ma corolle féminine.
Avec une habileté démoniaque elle effleure mes dentelles souillées de jus.
Son index et son médius appuient et font rouler ma perle brulante de plaisir avant de s'enfoncer en moi dans un mouvement lent, long, délicieusement sans hésitation.
Elle joue avec les replis de mon intimité puis ses deux doigts miment un coït lent.
Je ne suis plus que souffles courts, soupirs et gémissements, tout au long de ces caresses saphiques qui me font rouler des hanches.
Lorsqu'elle ressort ses doigts, elle m'arrache un murmure plaintif pour que ceci ne s'arrête pas déjà.
Elle étale lentement ma souillure sur mon abricot grand ouvert.
Sur ma cuisse nue elle étale mon sirop.
Je ne peux faire un seul geste, liée, attachée... comme une soumise servile.
"Voilà... tu es prête" dit-elle en retirant sa main de ma peau.
Mon bassin se tend vers cette source de bonheur qui s'éloigne.
La tête me tourne.
Une ombre passe devant moi, je sais que c'est elle au son de ses talons.
Je ne dis rien, je la cherche de mon regard aveugle.
La porte s'ouvre... puis plus rien.
Le silence.
La peur s'insinue.
Je me tortille mais cette femme sait y faire, je suis très bien attachée à la table.
Je me sens tellement dépravée... à attendre mon Maitre.
Les scènes défilent alors dans mes pensées comme un film... X...
J'imagine l'arrivée du patron de Marc, lorsqu'il va me trouver ainsi positionnée.
Je sais déjà qu'il va me flatter, poser ses mains de braise sur mon corps.
Entre ses doigts, je ne suis qu'une petite poupée.
Il va surement vouloir que j'use de ma bouche et il va l'utiliser à sa guise.
Hooo... oui... je voudrais qu'il vienne.
Dans cette position il aura tout loisir de profiter... d'abuser de moi autant qu'il le veut.
Hummm... il pourra tout me faire... je sentirais son plaisir dans le mien, le mien dans le sien.
J'ondule sur la table, mes lèvres palpitent, trempées.
Je suis à la limite de la jouissance.
Le temps s'étire, se contracte, sans que je n'arrive à l'évaluer.
Mon sexe est en feu.
Cette attente, dans une position de soumission, me rend folle d'envies les plus crues.
Je suis à lui... liée par des cordes qui ne sont pas satin ou de chanvre  mais faites de sentiments, d'attachement, de désirs si forts qu'ils en deviennent palpables.
Puis des voix brisent le silence.
Je reprends conscience de mon attitude, un torrent de honte me submerge et mon abricot en feu, coule sur mes cuisses sur mon ventre.
Hooo non...
Pourvu qu'ils n'ouvrent pas la porte !
Je dégouline de cyprine a tel point que j'en perçois le parfum si particulier.
La poignée grince... on entre dans le bureau... on va me découvrir...
Je jouis brusquement sans parvenir à me retenir.
J'exhale un râle que je peine à murmurer tellement je suis fouettée par mon orgasme.
Les paroles s'atténuent lorsque les ombres viennent se rapprocher de moi.
Trois, quatre... cinq... je ferme les yeux pour ne pas compter.
Des "humm" aux accents différents m'indiquent qu'ils me contemplent.
J'ai tellement honte.
Mon vagin est inondé de mon jus.
J'ondule de la croupe... en attente... prête... lubrique.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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J'ai passé le petit déshabillé que mon maitre m'a offert.
Très court, simplement fermé par un lien mince et soyeux, bleu pâle presque transparent, il m'arrive à mi fesses.
Jamais je n'aurais osé porter cela s'il ne m'avait pas... perverti avec une telle délicatesse que j'en prends désormais plaisir.
Comme tous les matins je me lève et je lance le café à couler.
La maison est silencieuse.
Un léger vent d'hiver souffle derrière les volets clos.
Il fait encore nuit.
Je remonte dans la chambre.
Tout est calme.
J'entends les respirations de Marc et de mon maitre.
Mon mari dort au pied du lit, quand à celui qui s'est imposé chez nous... je délasse ma tenue trop osée et me glisse à ses côtés dans notre lit.
Son corps chaud me fait frissonner.
Je me coule contre lui.
Par la lumière qui filtre au travers des volets je distingue son profil masculin.
Je sens sa main venir caresser ma nuque.
"Bonjour ma petite poupée" me murmure t-il.
Une bulle de chaleur envahit mon être.
Ses mains m'enveloppent, il me serre contre lui.
Sa bouche cherche la mienne, j'entrouvre mes lèvres, nos langues se frôlent, s'enroulent.
Nous nous embrassons, Marc est bien loin de mon esprit.
Ses mains puissantes me hissent sur lui.
Je me sens fragile, légère.
Sa peau est brulante... la mienne aussi mais je frémis.
Sur mon bas ventre je sens durcir son sexe.
Il me caresse... les épaules... les bras...
Je suis allongée sur mon amant.
Ses mains sont douces et expertes, il m'enveloppe et le creux de ses paumes, les bouts de ses doigts, m'emportent instantanément si loin hors des sentiers battus.
Je me surprends à me frotter contre sa verge.
Elle est si grosse, si dure.
Je la perçois s'élargir.
Il me pousse vers le bas, ses mains sur mes épaules.
J'embrasse son torse tout au long de cette descente que j'accepte sans rechigner.
J'ai envie d'avoir son sexe dans ma bouche, chose que je ne concevais pas il y a encore peu de temps.
Il me guide, je me laisse faire, docile, soumise comme il aime.
Son membre entre mes seins je ressers mes petites poires autour de lui.
Je le masturbe lentement.
Ma croupe se relève, je suis agenouillée, penchée sur son bas ventre.
Le drap me recouvre à demi.
Le bout de son gland vient frotter sur mon menton, j'entrouvre ma bouche pour sentir son casque lisse avec ma langue.
Humm ce délicieux méat d'où perle une goutte.
Je lape doucement le gros fruit pourpre.
Il me fait descendre encore.
Ma langue se pose sur son sexe.
Si large !
Je la passe sur le pieu conséquent en en faisant le tour.
Sa chaleur me donne envie...
J'ouvre ma bouche et je la fais entrer.
Son gland est si gros que j'ai l'impression d'avoir les lèvres écartelées lorsque je l'aspire.
Il m'incline le visage, je manque de m'étouffer, il déforme ma joue.
Je me fais plus gourmande car je connais son envie.
Je coulisse autour du sexe trop gros pour le prendre au plus loin.
Je salive... je bave sur ses testicules...
Il appuie encore, un cri étouffé m'échappe, son sexe au fond de ma gorge, je suis au bord de l'écœurement.
Mais je tète, j'aspire, je l'avale autant que je peux.
Il me relève le visage, sa main dans mes cheveux.
"Ma belle salope, qu'est-ce que tu suces bien" me sourit-il.
Je rougis à ses mots si crus.
"Continue".
Je m'active,
Ma bouche liquide autour de son manche raide.
Je le masturbe en même temps.
Ma seconde main vient lui caresser les boules.
Ses deux bourses si douces, toutes lisses.
Il pousse un gémissement, je ralentis la vitesse de ma fellation.
Il a tiré le drap et je suis nue sur le lit, penchée en avant.
Il a une vue trop impudique sur mon dos et ma croupe dressée.
Je ferme les yeux.
Je me concentre sur cette pipe que je lui pratique avec délice.
Son vit palpite, je l'agite de ma main, plus vite.
Je suis à bout de forces, mes petits doigts autour de ce trop gros manche que je peine à astiquer.
Il me repousse et je sens son jus venir éclabousser mon visage.
Il sait qu'il peut tout me faire... tout...
Je me laisse salir, je n'ose m'essuyer je sais que cela lui déplairait.
Son foutre gluant sur mon front, coule sur mon nez.
Une giclée me trempe la joue droite jusqu'au cou.
Une nouvelle rasade me salit la bouche et le menton.
J'en ai partout.
Je respire et je sens son liquide d'homme qui me ruisselle de partout.
J'ouvre la bouche, son sirop s'immisce entre mes lèvres.
Je le goute, honteuse.
Il me regarde, je le sais.
Ses mains me dirigent.
Je sens un lien sur mon poignet droit, la ceinture de mon déshabillé.
Il m'attache au pied du lit.
Pour le poignet gauche... avec une cravate.
Je baisse le visage... il cambre mes reins.
Son souffle me réchauffe la fente.
Ma matrice est en fusion.
Sa langue vient s'y poser.
Il me lape en alternant une langue large et étroite.
Elle s'enfonce entre mes lèvres après que sa bouche les ai sucée l'une après l'autre.
Si fragile, si docile à ses désirs...
Je gémis...
Il titiller mon clitoris et le prends entre ses lèvres, il le tire...
Hummm...
Il le soumet à des pressions indécentes, lui fait faire de petits cercles qui le font gonfler encore plus.
Il l'aspire et me tète.
Il est affamé, assoiffé de mon suc qui s'écoule.
Deux de ses doigts rentrent dans ma fente.
Je crie et j'ouvre les yeux.
Marc est allongé sur son matelas.
Je l'avais oublié... il dort au pied du lit.
Une goutte de sperme roule sur mon menton et lui tombe sur le ventre.
Je deviens écarlate.
Autant de honte que de plaisir alors que mon bonbon se fait sucer par la bouche experte de mon amant.
Mon mari... se caresse.
Il ne dit rien.
Il m'observe.
Mes bras en croix, mes seins aux tétons arrogants, douloureux, pointés vers le sol sous le joug de l'excitation qui ne se calme pas.
Je lâche un "haaa ouiiiii".
Bouche grande ouverte, je passe ma langue sur mes lèvres trempées du jus de mon maitre.
Il touille dans ma matrice, il m'explore de ses doigts.
"Tu mouilles ma poupée".
Aucun homme ne m'a jamais parlé ainsi avant lui.
Mon bas ventre réagit automatiquement.
Je ne résiste pas... offerte...
Et son sexe se pose sur mon sexe.
Enfin... j'en trémousse du bassin.
Il pousse... je hurle... son pieu est trop gros...
Je me cabre pour lui permettre de m'enfiler plus loin.
Les secousses qu'il me donne me font rouler des hanches, bouger la tête.
Marc voit sa femme prendre du plaisir de façon obscène... et je trouve cela encore plus excitant.
Alors je ne me cache pas...
"Han ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Hooo elle est bonne... si grosse !"
Je ne me cache plus.
Je subis avec une montée croissante de mon plaisir, la saillie de mon maitre.
Il s'affaire dans mon vagin liquide.
Je ne suis qu'ondulations animales sous les coups de butoirs de ce piton de chair.
"Ta moule... bien baveuse... ma salope..."
Ses mots si crus me font tourner la tête.
Il m'enfile sans effort... tant je suis lubrifiée.
La saillie est bestiale.
Ses mains passent de mes hanches à mes épaules pour m'attirer encore plus contre lui.
Puis il s'empare de mes seins et me les malaxe sans ménagement et avec tellement de sensualité que je commence à jouir à peine m'a t-il effleuré
"Tu jouis ma femelle ? Quelle chienne en chaleur..."
Je crie...
L'envie me submerge.
"Ecarte tes fesses ma jolie salope. Je vais te défoncer le cul".
Il me délie les poignets.
Je m'effondre, le visage au dessus de Marc.
Mes seins écrasés, frottent sur le drap blanc.
Je pose mes mains sur mes fesses.
Je me suis toujours refusé à Marc dans cette pratique et là, il me voit une fois de plus, écarter ma raie la plus intime pour accueillir la verge de mon amant.
"Tu aimes ça maintenant... tu t'ouvres toute seule..."
Oui j'aime.
Je ne me l'avoue que timidement mais j'aime être prise contre nature.
"Hooo ma petite pute, Tu la veux plus profond dans ton cul ?"
Je gémis plus fort... un râle.
"Prenez mes reins.. je suis à vous..." lance-je sans même y penser.
Je l'autorise, je le veux dans cet endroit qu'il a été le premier a déflorer.
Il m'a dit que personne d'autre n'irait par là... "à moins que"... ces paroles me reviennent, me hantent... un frisson... de crainte et de fantasme.
Puis il me possède entièrement.
Il me sodomise si loin.
Mon petit orifice souffre de son épaisse tige qui ramone mon conduit anal.
Il m'attire, se colle à moi.
Je suis emmanchée.
Je crie en tenant mes fesses écartées pour qu'il me tourmente encore plus fort.
Sa main droite se glisse sous mon ventre et il me masturbe.
Je ne suis que couinements et gémissements.
Ses bourses cognent à ma vulve.
Il me prend sauvagement.
Je suffoque.
"J'aime t'enculer... ma salope..." dit-il en me besognant sans tendresse.
Mon corps se tend, mon ventre s'enflamme.
Je me vide sur ses doigts, sous ses mots, autour de son sexe.
L'orgasme est un volcan dont l'éruption ne semble pas avoir de fin.
Je m'entends hurler de plaisir.
Il jouit une nouvelle fois.
Il me baise par derrière et son sirop sort de mes entrailles à chaque fois qu'il s'enfonce en moi.
Le jus tiède se répand sur mes cuisses, sur mes lèvres outragées et meurtries, se mêle au mien.
Je pousse pour m'empaler sur la queue raide qu'il me garde planté dans l'arrière train.
Un ultime soubresaut... je suis affalée sur le lit.
Il sort de mon œil intime qui ne parait pas vouloir se refermer.
J'ai mal... mais je me sens divinement bien.
Le souffle court, je regarde mon mari.
Marc a jouit dans son caleçon.
Je ne peux m'empêcher d'éprouver de la peine pour lui.
Puis je me retourne et sourit à mon Maitre qui m'invite à le rejoindre dans ses bras.
Souillée, je lui obéis.
Le jour s'est levé.
Le café sent bon... jusqu'ici.
Nous nous levons, tous les 3.
Marc derrière nous, à sa place.
Ma main dans celle de mon amant, l'homme de la maison.
Je suis folle... de lui.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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