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J'ai passé le petit déshabillé que mon maitre m'a offert.
Très court, simplement fermé par un lien mince et soyeux, bleu pâle presque transparent, il m'arrive à mi fesses.
Jamais je n'aurais osé porter cela s'il ne m'avait pas... perverti avec une telle délicatesse que j'en prends désormais plaisir.
Comme tous les matins je me lève et je lance le café à couler.
La maison est silencieuse.
Un léger vent d'hiver souffle derrière les volets clos.
Il fait encore nuit.
Je remonte dans la chambre.
Tout est calme.
J'entends les respirations de Marc et de mon maitre.
Mon mari dort au pied du lit, quand à celui qui s'est imposé chez nous... je délasse ma tenue trop osée et me glisse à ses côtés dans notre lit.
Son corps chaud me fait frissonner.
Je me coule contre lui.
Par la lumière qui filtre au travers des volets je distingue son profil masculin.
Je sens sa main venir caresser ma nuque.
"Bonjour ma petite poupée" me murmure t-il.
Une bulle de chaleur envahit mon être.
Ses mains m'enveloppent, il me serre contre lui.
Sa bouche cherche la mienne, j'entrouvre mes lèvres, nos langues se frôlent, s'enroulent.
Nous nous embrassons, Marc est bien loin de mon esprit.
Ses mains puissantes me hissent sur lui.
Je me sens fragile, légère.
Sa peau est brulante... la mienne aussi mais je frémis.
Sur mon bas ventre je sens durcir son sexe.
Il me caresse... les épaules... les bras...
Je suis allongée sur mon amant.
Ses mains sont douces et expertes, il m'enveloppe et le creux de ses paumes, les bouts de ses doigts, m'emportent instantanément si loin hors des sentiers battus.
Je me surprends à me frotter contre sa verge.
Elle est si grosse, si dure.
Je la perçois s'élargir.
Il me pousse vers le bas, ses mains sur mes épaules.
J'embrasse son torse tout au long de cette descente que j'accepte sans rechigner.
J'ai envie d'avoir son sexe dans ma bouche, chose que je ne concevais pas il y a encore peu de temps.
Il me guide, je me laisse faire, docile, soumise comme il aime.
Son membre entre mes seins je ressers mes petites poires autour de lui.
Je le masturbe lentement.
Ma croupe se relève, je suis agenouillée, penchée sur son bas ventre.
Le drap me recouvre à demi.
Le bout de son gland vient frotter sur mon menton, j'entrouvre ma bouche pour sentir son casque lisse avec ma langue.
Humm ce délicieux méat d'où perle une goutte.
Je lape doucement le gros fruit pourpre.
Il me fait descendre encore.
Ma langue se pose sur son sexe.
Si large !
Je la passe sur le pieu conséquent en en faisant le tour.
Sa chaleur me donne envie...
J'ouvre ma bouche et je la fais entrer.
Son gland est si gros que j'ai l'impression d'avoir les lèvres écartelées lorsque je l'aspire.
Il m'incline le visage, je manque de m'étouffer, il déforme ma joue.
Je me fais plus gourmande car je connais son envie.
Je coulisse autour du sexe trop gros pour le prendre au plus loin.
Je salive... je bave sur ses testicules...
Il appuie encore, un cri étouffé m'échappe, son sexe au fond de ma gorge, je suis au bord de l'écœurement.
Mais je tète, j'aspire, je l'avale autant que je peux.
Il me relève le visage, sa main dans mes cheveux.
"Ma belle salope, qu'est-ce que tu suces bien" me sourit-il.
Je rougis à ses mots si crus.
"Continue".
Je m'active,
Ma bouche liquide autour de son manche raide.
Je le masturbe en même temps.
Ma seconde main vient lui caresser les boules.
Ses deux bourses si douces, toutes lisses.
Il pousse un gémissement, je ralentis la vitesse de ma fellation.
Il a tiré le drap et je suis nue sur le lit, penchée en avant.
Il a une vue trop impudique sur mon dos et ma croupe dressée.
Je ferme les yeux.
Je me concentre sur cette pipe que je lui pratique avec délice.
Son vit palpite, je l'agite de ma main, plus vite.
Je suis à bout de forces, mes petits doigts autour de ce trop gros manche que je peine à astiquer.
Il me repousse et je sens son jus venir éclabousser mon visage.
Il sait qu'il peut tout me faire... tout...
Je me laisse salir, je n'ose m'essuyer je sais que cela lui déplairait.
Son foutre gluant sur mon front, coule sur mon nez.
Une giclée me trempe la joue droite jusqu'au cou.
Une nouvelle rasade me salit la bouche et le menton.
J'en ai partout.
Je respire et je sens son liquide d'homme qui me ruisselle de partout.
J'ouvre la bouche, son sirop s'immisce entre mes lèvres.
Je le goute, honteuse.
Il me regarde, je le sais.
Ses mains me dirigent.
Je sens un lien sur mon poignet droit, la ceinture de mon déshabillé.
Il m'attache au pied du lit.
Pour le poignet gauche... avec une cravate.
Je baisse le visage... il cambre mes reins.
Son souffle me réchauffe la fente.
Ma matrice est en fusion.
Sa langue vient s'y poser.
Il me lape en alternant une langue large et étroite.
Elle s'enfonce entre mes lèvres après que sa bouche les ai sucée l'une après l'autre.
Si fragile, si docile à ses désirs...
Je gémis...
Il titiller mon clitoris et le prends entre ses lèvres, il le tire...
Hummm...
Il le soumet à des pressions indécentes, lui fait faire de petits cercles qui le font gonfler encore plus.
Il l'aspire et me tète.
Il est affamé, assoiffé de mon suc qui s'écoule.
Deux de ses doigts rentrent dans ma fente.
Je crie et j'ouvre les yeux.
Marc est allongé sur son matelas.
Je l'avais oublié... il dort au pied du lit.
Une goutte de sperme roule sur mon menton et lui tombe sur le ventre.
Je deviens écarlate.
Autant de honte que de plaisir alors que mon bonbon se fait sucer par la bouche experte de mon amant.
Mon mari... se caresse.
Il ne dit rien.
Il m'observe.
Mes bras en croix, mes seins aux tétons arrogants, douloureux, pointés vers le sol sous le joug de l'excitation qui ne se calme pas.
Je lâche un "haaa ouiiiii".
Bouche grande ouverte, je passe ma langue sur mes lèvres trempées du jus de mon maitre.
Il touille dans ma matrice, il m'explore de ses doigts.
"Tu mouilles ma poupée".
Aucun homme ne m'a jamais parlé ainsi avant lui.
Mon bas ventre réagit automatiquement.
Je ne résiste pas... offerte...
Et son sexe se pose sur mon sexe.
Enfin... j'en trémousse du bassin.
Il pousse... je hurle... son pieu est trop gros...
Je me cabre pour lui permettre de m'enfiler plus loin.
Les secousses qu'il me donne me font rouler des hanches, bouger la tête.
Marc voit sa femme prendre du plaisir de façon obscène... et je trouve cela encore plus excitant.
Alors je ne me cache pas...
"Han ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Hooo elle est bonne... si grosse !"
Je ne me cache plus.
Je subis avec une montée croissante de mon plaisir, la saillie de mon maitre.
Il s'affaire dans mon vagin liquide.
Je ne suis qu'ondulations animales sous les coups de butoirs de ce piton de chair.
"Ta moule... bien baveuse... ma salope..."
Ses mots si crus me font tourner la tête.
Il m'enfile sans effort... tant je suis lubrifiée.
La saillie est bestiale.
Ses mains passent de mes hanches à mes épaules pour m'attirer encore plus contre lui.
Puis il s'empare de mes seins et me les malaxe sans ménagement et avec tellement de sensualité que je commence à jouir à peine m'a t-il effleuré
"Tu jouis ma femelle ? Quelle chienne en chaleur..."
Je crie...
L'envie me submerge.
"Ecarte tes fesses ma jolie salope. Je vais te défoncer le cul".
Il me délie les poignets.
Je m'effondre, le visage au dessus de Marc.
Mes seins écrasés, frottent sur le drap blanc.
Je pose mes mains sur mes fesses.
Je me suis toujours refusé à Marc dans cette pratique et là, il me voit une fois de plus, écarter ma raie la plus intime pour accueillir la verge de mon amant.
"Tu aimes ça maintenant... tu t'ouvres toute seule..."
Oui j'aime.
Je ne me l'avoue que timidement mais j'aime être prise contre nature.
"Hooo ma petite pute, Tu la veux plus profond dans ton cul ?"
Je gémis plus fort... un râle.
"Prenez mes reins.. je suis à vous..." lance-je sans même y penser.
Je l'autorise, je le veux dans cet endroit qu'il a été le premier a déflorer.
Il m'a dit que personne d'autre n'irait par là... "à moins que"... ces paroles me reviennent, me hantent... un frisson... de crainte et de fantasme.
Puis il me possède entièrement.
Il me sodomise si loin.
Mon petit orifice souffre de son épaisse tige qui ramone mon conduit anal.
Il m'attire, se colle à moi.
Je suis emmanchée.
Je crie en tenant mes fesses écartées pour qu'il me tourmente encore plus fort.
Sa main droite se glisse sous mon ventre et il me masturbe.
Je ne suis que couinements et gémissements.
Ses bourses cognent à ma vulve.
Il me prend sauvagement.
Je suffoque.
"J'aime t'enculer... ma salope..." dit-il en me besognant sans tendresse.
Mon corps se tend, mon ventre s'enflamme.
Je me vide sur ses doigts, sous ses mots, autour de son sexe.
L'orgasme est un volcan dont l'éruption ne semble pas avoir de fin.
Je m'entends hurler de plaisir.
Il jouit une nouvelle fois.
Il me baise par derrière et son sirop sort de mes entrailles à chaque fois qu'il s'enfonce en moi.
Le jus tiède se répand sur mes cuisses, sur mes lèvres outragées et meurtries, se mêle au mien.
Je pousse pour m'empaler sur la queue raide qu'il me garde planté dans l'arrière train.
Un ultime soubresaut... je suis affalée sur le lit.
Il sort de mon œil intime qui ne parait pas vouloir se refermer.
J'ai mal... mais je me sens divinement bien.
Le souffle court, je regarde mon mari.
Marc a jouit dans son caleçon.
Je ne peux m'empêcher d'éprouver de la peine pour lui.
Puis je me retourne et sourit à mon Maitre qui m'invite à le rejoindre dans ses bras.
Souillée, je lui obéis.
Le jour s'est levé.
Le café sent bon... jusqu'ici.
Nous nous levons, tous les 3.
Marc derrière nous, à sa place.
Ma main dans celle de mon amant, l'homme de la maison.
Je suis folle... de lui.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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