Quelques alcôves séparées par des tissus épais... chacune donnant sur une pièce centrale par le biais d'une large baie vitrée sans teint.
Les occupants des niches peuvent observer l'intérieur sans être vus, sans voir les autres observateurs, et s'adonner à des caresses intimes en toute discrétion.
Des murmures et rires montrent que certains de ces salons privés sont occupés.
Je mène Eve jusqu'à l'ouverture basse qui lui permet d'entrer dans la petite pièce centrale.
Les murs sont cernés de vitres d'où ne lui parviennent aucun reflets, ni visibilité sur l'autre côté du miroir.
Une table étrange est fixée au sol. Sa surface est capitonnée, et deux sortes d'étriers aux ' angles lui donne un confère un côté arachnéen.
- Je suis prête Monsieur. Me dit-elle comme je l'interroge du regard.
Elle déboutonne son chemisier.
Je tourne autour d'elle, attentif, gourmand, excité.
Ses seins lourds apparaissent alors dans la lueur rougeoyante de la pièce.
Tendus au milieu de ses auréoles pourpres, ses tétons ressemblent à des petits doigts qui pointent le ciel.
Les murmures se sont tus dans les alcôves. Elle se sait observée.
Elle s'allonge sur la table.
Son ventre nu puis sa poitrine voluptueuse plaqué sur la surface lisse et fraîche.
- Applique tes pieds dans les étriers.
Elle obéit et se rend alors compte que le réglage de ceux-ci la force à se cambrer et révéler son séant.
Mes doigts saisissent le bas de sa jupe, je la remonte.
Elle pousse un profond soupir où se mêle la honte et le plaisir de se voir découverte et offerte aux regards d'inconnus invisibles.
Troussée, je laisse le tissu sur la courbure de ses hanches.
Ses cuisses ouvertes montrent sa vulve lisse aux lèvres humides d'excitation. Sa perle intime est sortie de son capuchon et apparaît gorgée de sang, d'envie, comme un bonbon de tentation.
Ses fesses remontées et rebondies luisent dans l'ambiance sensuelle de cette pièce hors du temps.
Du bout de mes doigts je passe sur sa nuque, sur son dos, suivant l'échine jusqu'à la raie de ses fesses que je descends pour remonter après avoir flirté sur la fente trempée.
Elle s'empare des poignées qu'elle n'avait pas encore utilisées, affermissant sa position comme je m'aventure encore dans son abricot sensible.
Lentement j'introduis un doigt.
- hoooo
Je la fouille avec tendresse.
- Tu aimes le sexe n'est-ce pas ?
- Ho ouii Monsieur.... soupire t-elle alors que je la caresse en profondeur.
- Et devant des inconnus.
- Hummm encore plus... Je suis très très vilaine... je mérite... hoooo
Deux de mes doigts l'explorent.
Je touche avec habileté les nymphes, les presse et les malmène.
Son bassin se cambre aux limites de son indécence. Ses mains accrochées aux poignées.
- Tu vas l'être punie. Ne t'inquiète pas.
Je la masturbe alors avec un rythme plus soutenu.
Sous mes doigts coulent sa cyprine.
Elle gémit et me supplie de poursuivre alors que mes doigts la quittent.
- Haaa Monsieur ! Encore...
Je la laisse dans cet état, allongée sur le ventre, fesses en l'air, sexe offert aux regards.
Elle ondule malgré l'absence dans son bas-ventre, ne pouvant empêcher son corps de répondre physiquement à son désir de chair.
Après quelques minutes je reviens devant elle.
Son bassin ne se trémousse plus mais elle a conservée la pose, sage, soumise.
- Monsieur... Elle me sourit, contente de me revoir.
Son visage se fige lorsqu'elle sent deux mains se poser sur ses hanches.
- Voilà ta punition.
Sans un mot, elle me regarde, les yeux grands ouverts, bouche muette.
Je la vois grimacer alors que l'homme derrière elle entre son sexe en elle.
Elle ferme ses yeux, son visage se tord.
Je la vois avancer lentement puis reculer comme les coups de reins qu'il lui donne se font plus rapides et profonds.
Elle pousse un gémissement et me supplie des yeux.
- Tu vas prendre... comme tu as jouis. Lui dis-je en caressant sa joue du dos de ma main.
L'homme derrière elle ne fait aucun bruit, se contentant de la forcer sur ma demande.
- Je l'ai choisi. J'espère que sa verge te plait.
Dans un souffle elle parvient à murmurer un "je vous préfère".
Un liquide chaud vient lui inonder le dos. Il vient de jouir sur elle.
Je la sens se détendre et me sourire avant de déchanter car une nouvelle verge l'empale.
Je la sais plus longue que la première.
Elle doit la deviner également.
Le nouvel inconnu la bourre avec plus de vigueur, profitant du passage créé par le précédent.
Elle grogne, tendant son bassin vers le ciel sous la pression des mains de l'homme.
- Ce n'est que le deuxième... de ta punition.
Elle me regarde, affolée, venant de comprendre que 4 suivants doivent patienter.
Les cuisses ouvertes elle subit les assauts violents de cet individu qui ne parle pas.
- Haaa ouiii ! Finit-elle par lâcher alors qu'il la baise avec force.
Ses yeux roulent dans ma direction, je dépose un baiser sur son front moite, relevant une mèche cuivrée.
Je vois dans son regard la complicité, le plaisir. Elle sait qu'ils ne sont pour moi, pour elle, que des objets. Ce ne sont pas des hommes auxquels elle va plaire, ils ne sont que des sources de plaisirs pour nous deux.
Le dernier coup de reins la projette en avant. Son sirop d'homme se joint aux premières giclées. Le liquide blanc coule sur ses flancs.
C'est en tendant sa croupe qu'elle accueille la troisième verge.
Ondulante autour du pieu, l'homme n'a qu'à poser ses mains sur ses fesses. Elle s'empale sur le manche dur de celui qu'elle ne voit ni n'entend. Attentive à son plaisir et à l'étincelle qui brille dans mes yeux, alors qu'elle se fait saillir à nouveau, je l'observe grimper les échelons de l'orgasme.
Elle feule avant de gémir.
Elle jouit, les nymphes écartelées par une verge inconnue, ainsi qu'elle pourrait le faire devant moi sous l'effet d'un godemiché.
Le mâle derrière elle poursuit sa besogne avant de s'extraire de son vagin coulant et projeter son foutre à son tour sur son dos.
Son regard se pose sur les vitres amorphes. Elle devine sans les voir les spectateurs de son orgie.
Son sourire se fige comme un 4eme individu au sexe plus large la prend alors dans cette levrette interminable.
- Non, il ne suffit pas que tu jouisses... Tu as eu 6 orgasmes...
Mes mots claquent. Elle devine le nombre de participants avec exactitude.
- Je suis allé les choisir dans els loges qui t'entourent... certaines de leurs femmes te regardent...
Elle crie alors qu'il la bourre sans ménagement.
Ses mains agrippent les poignées.
Fermement maintenue par des mains puissantes, la verge la ramone de façon régulière, profonde, et lui arrache des gémissements de plus en plus forts.
- Il... va... me... faire... jouir.... encore... haaaaa....
Il n'a cependant pas cette chance, son jus venant s'étaler sur la nuque douce d'une Eve en chaleur.
- Encore ! Allez ! ouiiiiii !
Une 5eme queue vient de la pénétrer.
Large, elle se cambre alors que le manche plonge en elle.
- Ouiii ouiiii !
Nos regards ne se détachent plus.
- Hooo ouiii Monsieur... c'est bon ! hummmm
Je vois l'homme s'activer, concentré sur son ouvrage.
Il besogne sa fente avec expertise.
- Hooo... salaud... vous me faites jouir à nouveau ! haaaannn
Ses yeux se troublent, elle pousse un râle de plaisir.
Ses cheveux collent à son front.
Je pose mes lèvres sur les siennes, étouffant son orgasme dans un baiser.
Sa langue me cherche, nos muscles s'enroulent.
La texture délicieuse de ses lèvres sur les miennes me fait un effet fou.
Sans un bruit, l'homme unit sa semence à celle de ses prédécesseurs.
Eve m'embrasse avec envie et désir.
Notre baiser ne cesse pas lorsque l'ultime homme-objet vient la percer à son tour.
Mes mains sur ses joues, je savoure ce moment hors du temps où nos bouches ne font qu'une, où notre passion se concrétise dans un baiser d'amants fous.
Ses phalanges se contractent.
Son corps n'est pas utilisé par d'autres, nous utilisons d'autres corps.
Elle ouvre grand la bouche sous la queue qui la défonce.
Son cri encourage son assaillant.
Il la baise longuement, tenant fermement ses hanches, propulsant son sexe épais dans son vagin ruisselant de cyprine.
Nous échangeons quelques mots tendres, qui n'appartiennent qu'à nos murmures.
Pourfendue par le glaive de chair qu'il enfourne entre ses cuisses, elle me susurre son plaisir et son envie de ma verge dans son abricot outragé.
Ses paroles se gravent en moi "Prenez-moi Monsieur, baisez moi comme jamais... Je suis à vous."
Lorsque la jute vient napper une nouvelle fois le dos ma belle Eve, elle se cambre pour m'offrir son sexe.
Je l'embrasse avant de caresse sa joue, sa bouche de mes doigts. Elle me sourit, le visage rouge du plaisir interrompu qu'elle vient de subir.
Je passe alors derrière elle.
Je l'entends... son "haaa ouiii... Monsieur..." qui témoigne de son envie.
Ma verge se pose sur sa fente.
Ouverte, ruisselante, outragée, je viens frotter son clitoris, la faisant réagir instantanément.
Aucun des six hommes qui viennent de lui passer dessus n'avait le droit à autre chose que la fourrer.
Je la masturbe de mon sexe. Elle se trémousse.
Mes mains glissent vers l'intérieur de ses cuisses marbrées de son jus.
J'enfourne ma verge dans ses chairs lubrifiées.
Mon gland disparaît, suivit de mon pieu qui ouvre ses muqueuses et la fait pousser un râle rauque.
Mes mains sur ses fesses, cramponnées à ses hanches, je m'enfonce en elle.
Elle pousse son corps en arrière pour m'accompagner.
Sans aucune retenue elle s'empale sur moi comme je la force au plus profond de son vagin, ses envies exacerbées par les regards lubriques qu'elle sait posés sur elle.
Combien de personnes l'observent en ce moment, le cul en l'air, baisée de plus en plus profondément, le dos couvert de foutres divers, ses épaules, son cou, les côtés de ses seins ruisselant de ces jus mélangés.
Je la baise comme elle le mérite, alternant lenteur et rythme plus rapide, oscillant en elle, parcourant son intimité.
Je la défonce, là où les autres l'ont préparées, punie, je la récompense de mon sexe, centré sur sa jouissance proche.
Son corps se cabre, se tord, se noue, son vagin se contracte, ma verge lui répond, elle couine de bonheur dans son orgasme lent, parcourue par ma vigueur.
J'explose en elle.
Elle crie.
Je me vide dans son intimité.
Elle coule autour de moi.
Mon regard se trouble.
Sa voix est faible.
Je reste un peu en elle.
Elle est immobile.
De derrière les vitres sans teint nous parviennent quelques applaudissements.
Je baisse sa jupe sur son cul nu.
Elle se lève, je la soutiens, incapable de marcher, le sexe outragé.
Nous sortons dans le couloir sombre puis l'Agora et enfin l'extérieur où la brise lui fait relever le visage vers moi.
- Monsieur... vous êtes... hummm... adorable... me glisse t-elle dans le taxi qui nous ramène à l'hotel avant de s'endormir sur mon épaule.
A suivre...