Trio ou plus...

[…]

Au bout de 2 sonneries la distance est abolie..

- Allo ?

Je reconnais la voix, c'est celle qui m'a tendu cette carte. A la fois féminine et posée, d'un calme déconcertant.

La mienne de voix, n'est pas assurée. J'hésite. Je cherche mes mots. Par où commencer ?

- Bonsoir. J'ai votre carte entre les mains. Vous me l'avez donné… dans… devant un miroir, ce soir au bar mexicain.

- Oui. Je me souviens.

Un instant de silence s'installe sans que je ne sache plus quoi dire.

Vais-je trop loin dans mon désir de faire la catin ?

chapeau1

Elle m'indique un lieu de rdv. "Pour parler".

Je suis la direction indiquée, me retrouve sur une place ou un général statufié et sabre au clair comme brandissant son sexe, semble indiquer la direction dans laquelle je me dirige.

Je la vois, elle fume au bord de la route, entre deux gros platanes dont le feuillage se perd dans la nuit.

Une fois garée à ses côtés elle se coule dans ma voiture. Elle n'a pas retiré ses lunettes. Cela plus ses cheveux bruns, son visage est presque entièrement masqué.

- Il est tard, ou tôt. Me dit-elle.

Légèrement anxieuse, j'attends qu'elle poursuive. Et ses révélations me suffoquent et me touchent.

- C'est pour mon mari. Depuis mon accident je ne peux plus lui donner ce qu'il veut et c'est notre façon de faire.

Je conserve le silence devant cette femme qui évoque son accident, le feu, les brulures sur tout son corps jusqu'à ses glandes lacrymales, qui n'a laissé intact que son nez et le bas de son visage.

L'esprit à la fois troublé et désolé, je lui emboite le pas et nous sommes deux ombres dans la nuit. Elle déverrouille sa lourde porte et nous pénétrons dans leur maison, façade entre deux autres façades.

Elle allume des éclairages indirects et doux que j'imaginent en lien avec ces lunettes et le drame.

Puis elle m'indique la chambre, à l'étage.

- Il dort mais… vous allez l'éveiller. Je vous précise que cela se fera dans le noir et que je serai assise dans le fond de la chambre. Déshabillez-vous.

J'obtempère et me dévêt devant elle. Elle me regarde distraitement et je ne peux même pas deviner ses tourments.

Nue je m'engage sur l'escalier.

- Attendez.

Je me fige, elle me fixe.

D'un geste coulé elle me tend une perruque dont je me coiffe. A l'image de sa chevelure actuelle. Je me sens clone, marionnette.

Nous montons lentement dans la pénombre et au détour d'un miroir mon visage m'apparait comme proche du sien, avec cette même frange qui recouvre mon front.

D'une porte entrouverte j'entends la respiration lente d'un homme endormi.

Sans bruit je me glisse à l'intérieur. Mes pieds nus sur le parquet de bois provoque un petit grincement et le bruit de respiration se transforme en bruissement de draps.

Je localise le lit grâce à ce bruit.

Un lit assez haut, des draps épais et doux dans lesquels je me faufile.

Dans le fond de la pièce j'aperçois la lueur rouge de la cigarette électronique de l'épouse de l'homme contre lequel je me rapproche.

Son corps est chaud. Je tends une main hésitante, encore toute bouleversée par ce qu'elle m'a raconté.

Du bout des doigts je découvre le corps de celui auquel je vais… m'offrir sans le connaitre.

A tâtons se dessine ses courbes.

Il est allongé sur le ventre, une jambe repliée de côté.

Un dos massif, une pilosité abondante des épaules aux creux des reins. Je suis surprise.

Mes doigts caressent ses fesses qui me semblent robustes.

Délicatement je viens passer ma main entre ses cuisses. Entrouvertes je flatte ses bourses.

Le paquet est velu lui aussi, et particulièrement présent. Je les fais rouler pour sentir sous mes doigts, se frotter l'une contre l'autre, les deux olives internes.

Il bouge, j'ôte prestement ma main avant de la reposer alors que son immobilisme revient.

Son torse est à l'unisson de son corps. Je suis en train de caresser une homme à la carrure impressionnante, un ours et mon esprit prend soudain une tournure presque animale dans ses pensées.

Moi qui aime les hommes plutôt peu poilus, je me sens soudainement attirée par ce mâle dont je caresse la verge chaude.

Elle est à l'image de ce corps, impressionnante. Plus je l'effleure, plus je la caresse et plus elle croît, enfle et devient conséquente entre mes doigts.

L'envie de la prendre en bouche devient irrésistible.

Je m'agenouille sous la couette et me penche vers cette tige masculine. Ma langue la trouve. Mes lèvres l'embrassent.

J'ouvre la bouche et je suis… surprise… de la taille du gland qu'il me faut mettre en bouche.

Je le tète doucement. C'est la plus grosse verge que j'ai sucé de la soirée… et surement de ma vie.

Lorsque je sens une main se poser sur ma croupe, j'ai la certitude qu'il est réveillé et je m'active alors avec moins de délicatesse pour aspirer et faire coulisser son pieu large.

Sa main est un battoir, elle me semble démesurée. Il caresse mes fesses, mon dos, ma cuisse.

De l'autre main, bientôt posée sur ma nuque, il guide la vitesse de succion.

J'obéis à cette instruction manuelle, son vit grossit encore jusqu'à atteindre son paroxysme. C'est un colosse de chair que je gourmande avec plaisir.

Je me rends compte que j'aime énormément sucer. Le plaisir que je prends à sentir la douceur et le dureté d'un sexe d'homme dans ma bouche, de savourer du bout de la langue les aspérités de la couronne de son dard, les veines saillantes de la tige. Et la puissance de ce que je lui procure quand je pratique une fellation.

Il me repousse doucement et m'allonge à ses côtés. Je le sens se dresser au dessus de moi.

Sa masse imposante se frotte à mon corps.

Son pal, sabre tendu, vient se poser sur ma fente.

Une appréhension quant à l'intrusion de son membre me fait frissonner.

Il me pénètre pourtant en douceur. Mes genoux s'ouvrent. Il sait que son sexe est large. Mes lèvres s'écartent et mon vagin est envahit par cet inconnu qui m'arrache un soupir intense.

Quelques vas et vient me font bouger sur le lit.

Je discerne les formes de son corps, musculeux.

Mes doigts se crispent sur son dos.

Il me possède lentement avant de ressortir entièrement.

Ma main vient chercher son sexe. J'en ai encore envie. Terriblement.

Je lui caresse le gland.

De mon pouce je lui frotte le méat. Il a ses mains posées sur mes hanches et il me caresse négligemment les cuisses.

Lentement, il ouvre largement mes jambes.

J'appuie le bout de son dard sur mon bonbon.

La sensation est électrisante. Je monte dans les tours.

Il pose sa main sur la mienne et masturbe mon sexe en faisant passer son sexe sur le mien.

J'ouvre mes lèvres en m'écartant et lentement il fait entrer sa verge imposante, de nouveau en moi.

Large, je sens ma vulve se faire progressivement à la taille de cet objet conséquent.

Il ondule lentement en moi et mes soupirs sont de plus en plus présents.

Les secousses de son corps sur mon bas ventre alternent entre vitesse et lenteur.

D'une main ferme il me fait me placer de coté sans cesser de limer en moi.

Sa tige me procure des sensations sur le pourtour, sur les parois de mon vagin. Je suis en feu, je perds de la tête l'endroit, l'inconnu, la réalité… et je geins… fort, de plaisir, qui monte en flèche.

Il se retire soudain et m'attire vers lui, m'aide à me relever.

Il me force à me courber et a venir poser ma bouche sur son barreau de chair couvert de mon miel.

Immédiatement je le lèche, je le suce avec envie, prise d'une folle envie de le sentir sur ma langue.

Mes deux mains sur ses boules velues et sur sa grosse verge, je goute mon nectar que j'ai répandu tout du long de ce pieu qui vient de me posséder.

Je salive et lève les yeux mais dans l'obscurité à la recherche de son visage. Je ne croise que l'éclat de ses prunelles, concentrées sur moi.

Il me repousse alors sur le lit et vient s'allonger de nouveau pour asséner une série de coups de reins qui propulsent son engin de plaisir dans ma matrice trempée.

J'ai chaud.

Je gémis sans cesse. C'est un pur délice.

Mes mains peinent à le repousser pour lui signaler qu'il doit ralentir.

Il comprend et d'un mouvement fluide pour un homme de sa carrure, tout en frôlant mon corps il s'allonge sur le dos.

A ma disposition… mon esprit s'emballe.

Je l'enjambe pour me retrouver à califourchon sur ce mâle dont je ne connais pas le visage.

De ma main droite je le guide pour pouvoir m'asseoir sur son éperon dressé.

La pénétration, maitrisée, me fait couiner tellement il m'envahit largement.

J'oscille des reins afin de le satisfaire et… je dois me l'avouer, me satisfaire également.

Cette chevauchée est terriblement délicieuse.

Il pose ses mains larges sur mes seins et les malaxe durement. Entre ses doigts mes tétines se font pincer et presser.

Je ronronne de plaisir et mon bassin s'accélère.

Je l'aide à pétrir mes seins plus fortement en posant mes mains, si petites, sur les siennes, avant de me coucher sur lui, poser ma poitrine sur son torse et sentir ses mains qui se sont posées sur mes fesses.

Je suis au bord de la jouissance.

Il me bascule pour m'asseoir sur le bord du lit.

Il bouge, dans l'obscurité et son corps vient se placer devant moi.

D'un geste il écarte mes cuisses pour y apposer sa main et me caresser le sexe.

Je suis dégoulinante… mon plaisir ne peut pas être feint. Il doit s'en rendre compte.

Sur ma nuque je sens sa pression se faire sentir et j'ouvre ma bouche, de nouveau, avant même de sentir son membre se glisser sur ma langue jusqu'à ma gorge.

Il dirige mon visage et ses doigts font rouler mes lèvres et mon clitoris en feu.

Mon souffle, en lisière de l'orgasme, est étouffé par cette fellation rude et obscène.

Lorsqu'il me redresse pour me mettre en position de levrette sur le bord du lit, je sens le parquet froid sous mes pieds. Un contraste saisissant avec la température qui habite mon corps en cet instant de luxure.

Toujours sans un mot il m'enfile sans ménagement, Fourrant sa grosse tige dans mon sexe écartelé par ses assauts.

Je crie.

Il me laboure consciencieusement.

Mes seins lourds frottent sur le drap, m'excitent encore plus.

Ses mains sont posées sur mes hanches et me me tient, fermement, pour me ramoner alors en faisant parfois de larges mouvements de gauche à droite qui m'outrage la vulve.

Je m'entends… gémir, crier… accepter d'être utilisée par cet homme.

Je jouis soudainement sans pouvoir me retenir. Mon sexe se contracte, se relâche. Mon corps se tend et je m'effondre sur le lit.

Mon regard est attiré par un rougeoiement. Dans un coin de la chambre, sa femme  éclaire de façon fugace un reflet de lunettes. Elle nous observe.

Je suis alors le visage sur le lit pendant qu'il se sert de mon sexe pour se faire plaisir.

Elle nous regarde et la honte me submerge d'un coup, sans prévenir.

Je fais la pute… j'y joue. J'y prends plaisir et en plus je suis observé. C'est inoui. Nouveau pour moi et, subtilement, pas si désagréable que cela.

Il se retire lentement et se sont ses doigts sui prennent le relais, pour me masturber, ecartant largement ma vulve.

Il en glisse deux, puis trois qui entrent sans effort tellement sa verge m'a préparée.

Je souffle de plaisir car ses gestes sont précis, experts.

Mes reins sont soulevés. Je suis une nouvelle fois retournée.

Un oreiller se glisse sous mon dos et il vient me prendre, de face, enfonçant son pal viril jusqu'au fond de mon vagin. Sur mes  nymphes en feu, ses bourses s'écrasent tant il me pénètre profondément.

Je subis les assauts qui me ravagent la fente.

Le plaisir remonte en quelques secondes. Subitement, plus fort.

Sa bouche happe mon sein et me suçote la tétine, me faisant devenir folle de plasir.

Un nouvel orgasme arrive, je le sens venir, aussi incroyable que ela puisse paraitre. Si proche. Si incontrolable.

De ses mains, il pétris mes seins, couverts de sa salive, qui ne sont qu'une source de nouveaux gémissements.

Avec un peu de douceur, il me met à genoux sur le lit, sur mes coudes et me force sans plus aucune contrainte. Mon sexe a accepté son sexe.

Il me prend. Comme une femelle. Une simple catin.

Il va et vient en me cambrant pour que son manche me défonce.

Je ne suis qu'un hurlement tout du long de cette chevauchée jusqu'à ce qu'un tremblement me terrasse. La jouissance. Terrible. Totale. Elle me rend sourde. Elle me fait abolir le temps. Puis je reprends conscience de l'instant et du fait que cet homme n'a pas fini de m'utiliser..

Il me bombarde alors de son bélier. Des mouvements bestiaux qui ne me laissent aucun repis.

Je coule, libérée. Les cuisses totalement ouvertes, le sexe outragé et béant. Merveilleusement utilisée pour ce que je suis pour lui... une simple pute.

Mais je comprends vite que mon rôle n'est pas celui là, je ne suis pas la femme qui est là pour prendre du plaisir, mais pour en donner.

Il me couche sur sa cuisse, mon visage se fait caresser par son membre couvert de ma mouille.

Son gland se fraie un passage dans ma bouche.

Je suis bien là pour lui, pour lui faire plaisir.

Un nouveau rougeoiement de cigarette dans l'ombre me rappelle que sa femme m'a appelé pour que je sois sa putain d'un soir. Mon plasir, réel, ne compte pas pour eux. Mais pour moi, ce rôle, me fait atteindre des cimes dans l'épanouissement de mon plaisir.

Ses doigts m'ouvrent et me branlent le sexe devenu hypersensible.

Je le suce par réflèxe, presque par automatisme.

Mes mâchoires sont fatiguées mais je continue. Ne suis-je pas là pour cela ? Etre… utilisée. Le mot me plait.

L'idée m'enflamme de nouveau.

J'accélère la succion de son vit fièrement dressé. Je l'aspire, le tète avec envie.

Il a le gout de mon sexe et j'apprécie cette sensation nouvelle.

Ses deux doigts, gluants, viennent caresser ma raie.

Je frémis et me raidis d'un coup.

La panique me gagne… s'il me sodomise avec un tel engin je vais souffrir. Et cela fait si longtemps que je ne me suis pas fait prendre par derrière.

Il étale mon sirop sur mon petit œillet avec une délicatesse qui contraste avec la rudesse de ses prises, avec la physiologie de son corps robuste.

Lorsqu'il retire sa verge de ma bouche, il me fait grimper sur le lit, m'incline, me place à la manière dont il veut… jouer de moi.

Je suis à 4 pattes sur le lit et ses doigts préparent une saillie contre-nature à laquelle je ne peux ni ne veux me soustraire.

Mon œil sombre et caressé. De ses doigts il étale mon jus en opérant de petites pressions circulaires sur mon intimité.

J'ondule des reins sous ses insolences, sous cette perversité.

Son sexe s'appose sur mon œillet.

Je serre les dents. Mes doigts se contractent sur les draps du lit.

La pression qui me déchire à son intromission est si intense que ma bouche, ouverte, ne laisse échapper un seul cri.

Il recule, sorte de reflux qui m'arrache un cri rauque.

Il s'enfonce de nouveau et c'est tout mon anus qui ressent ce pal trop large qui vient me prendre les fesses.

Une série de petits mouvements me font passer de la douleur aigue à un plaisir que je reconnais bien… celui, double, de l'excitation physique que mon petit trou fait rayonner dans tout mon corps et de la totale absence de moralité qui me laisse complétement à la merci de l'homme qui me possède.

D'un seul geste il me soulève pour que je me redresse sur mes genoux avant de m'enfoncer profondément son sexe dans mon plus étroit orifice.

Un nouveau râle qui se poursuit par des cris que je pousse à chaque fois qu'il me ramone littéralement l'anneau, sans discontinuer ni sembler s'épuiser.

Sa voix, soudain se fait entendre, par le biais de grognements, d'un simple "oui"... qui témoigne de son plaisir croissant.

Mais c'est sa femme qui soudain, me fait reprendre pied, me frustre en une seule seconde.

- Viens dans ma bouche. Lui dit-elle.

Mon étui anal se fait soudain libérer.

L'absence alors que j'étais en plein montée de sensations indécentes, se fait cruel.

Je reste à haleter, les genoux écartés, sur le lit, la croupe relevée, alors que j'entends les bruits éloquents de la masturbation et de la succion.

Quelques instants me paraissent longs, si durs. Et les larmes me viennent aux yeux et je fais le choix de m'éclipser, refermant la porte derrière moi.

Seule, nue, dans le couloir, endolorie de tout mon être, mon anus encore en demande... je ne suis qu'une boule de frustration et d'excitation.

Les larmes coulent sur mes joues alors que j'entends ce mâle qui m'a saillit se libérer dans un râle intense.

Chaque marche que je descends me fait prendre conscience à quel point cet homme m'a défoncé le bas ventre.

Machinalement je m'habille.

Sa femme revient me rejoindre.

Sur son menton, une trace de foutre ou de salive rend sa peau luisante.

Elle lâche un très léger sourire.

Sans ses lunettes, je détourne les yeux devant son visage qui n'est plus qu'une sorte de lave de peau fondu et figé dans l'immobilité.

Elle les remet vite et me glisse une enveloppe.

- Pour vous. Et merci. Vous avez été parfaite.

J'ai du mal à retenir mes larmes.

C'est alors elle qui me prend dans ses bras pour me consoler.

Sans réfléchir, je griffonne mon numéro de téléphone sur un bout de papier pour lui tendre.

- Si… enfin…

- Je ne veux pas attirer votre pitié.

Sa voix est un fouet cinglant, me laisse presque sans voix.

Je parviens à articuler un " je sais, ce n'en est pas, c'est… pour vous donner du plaisir à tous les deux".

Elle me fixe en ouvrant la porte sur la nuit.

Sa main gantée vient se poser sur ma joue pour essuyer une larme.

- Et votre plaisir... vous evez vous en préoccuper également. Rentrez bien. Fait-elle avant de refermer et me laisser incroyablement honteuse dans la rue.

 

A mon retour mon mari dort profondément. Je m'effondre dans mon lit, sans prendre la peine de me laver. Je suis entièrement souillée et endolorie. Heureuse. J'aime… faire la pute. Et j'aime être observée.

Ma perle est en feu et mes doigts viennent la cajoler jusqu'à ce que je m'endorme, à bout de force. Trempée.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Liée sur la table, sur le ventre, ma robe ouverte et relevée sur mon dos, je suis dans une posture des plus éloquentes.
Ma poitrine pend doucement en dehors de la table, mes aréoles rougies et mes tétons durs comme des mines de crayon.
Mon ventre repose sur un coussin ferme qui relève ma croupe nue, ma féminité entrouverte par la tension des liens qui écartent mes cuisses.
Mon sexe est un abricot lisse et ruisselant d'avoir été caressé par les doigts agiles de la secrétaire de mon Maitre.
Mon visage est carmin.
Le sang frappe mes tempes.
Mon ventre est en feu.
La voix de mon Maitre résonne alors,. Elle s'élève au dessus des murmures trop nombreux qui emplissent la pièce.
Je suis soulagée et si honteuse d'être ainsi exposée, pour son plaisir... pour mon plus obscène bonheur.
Il réclame un peu de silence et s'approche de moi.
Je reconnais sa voix, l'odeur de son parfum qui m'enivre... et je perçois mon entrecuisse se remplir instantanément de cyprine.
"Ma belle Béatrice, tu es si désirable... Et ainsi exposée... parfaite".
Il n'ey a que son murmure que je distingue dans l'ambiance feutrée.
"Un vrai diamant... un bijou de femme".
Sa main caresse mes cheveux, mon cou.
Je frissonne malgré moi.
"Tu vas me faire plaisir je le sais. Tu vas prendre du plaisir pour toi, pour moi, pour nous. Tu vas en donner... m'en donner et en recevoir".
Il dépose un baiser sur ma bouche.
Ses lèvres sont douces et je me laisse aller à sa langue qui trouve la mienne.
Je voudrais murmurer un "non... non..."
Il m'embrasse devant d'autres personnes... hooo... je me laisse aller à ce baiser insolent.
Il s'éloigne, et me laisse exhibée au milieu de ces hommes qui m'entourent et me scrutent.
Sans les voir, je sens leurs regards lubriques sur mon corps écarté.
"Messieurs, vous êtes mes plus précieux collaborateurs, sans vous notre société n'est rien... vous métirez le meilleur et ce meilleur, je le partage avec vous".
Ils doivent tous connaitre Marc.
"Sa bouche est une douceur extrème..."
Je me sens seule sur l'océan de ses mots crus.
"Sa chatte est un puits de délices".
Ballottée par les vents, j'ondule sur la table comme sur le pont d'un bateau.
"C'est une joie pour moi de vous l'offrir... baisez-la, je vous l'offre."
Je tire sur mes liens, entre le refus et la totale acceptation, je me cambre pour montrer mon sexe brulant d'envies toutes plus perverses les unes que les autres.
Les ombres se rapprochent, m'entourent, me font de l'ombre.
Une vague de honte tente de m'emporter mais une autre, de désir impoli me fait soupirer. Je ne me reconnais plus... je suis en chaleur...
Les bruits caractéristiques de ceintures qui se défont, de braguettes qui descendent, de boutons qui s'ouvrent...
Je m'affole, je m'excite.
Mon cœur bat trop fort.
Je m'humidifie, au bord de l'orgasme... une violente vague de plaisir m'inonde le bas ventre, je feule à ces orgasme improbable alors qu'aucun de ces individus ne m'a encore touché.
Et puis...
Une main dans mes cheveux, puis une seconde, une troisième... et encore deux autres... qui caressent mon corps.
J'entends de légers compliments admiratifs.
On pelote une de mes fesses, un sein.
"Son cul, comme elle, est à moi, vous n'y avez pas droit."
Mon maitre place ses limites, elles sont acceptées par tous.
Je voudrais lui sauter au cou pour le remercier.
Un nombre indiscernable de doigts me pelotent.
Ho non... c'est si intense que je sens ma fragrance de femme m'entourer.
Ce parfum subtil que ces mâles en rut ont du sentir eux aussi.
Une main moins tendre dans mes cheveux, m'attire vers un bas ventre.
Mon visage collé à un sexe dressé.
Les hommes félicitent mon Maitre, commentent ma pilosité inexistante, mes seins tendus et mon sexe trempé.
Des doigts frôlent, frottent mes lèvres intimes.
Un de mes téton est pincé... tiré...
Une verge force lentement la barrière de mes lèvres.
Il la profane, il va et vient lentement, sa main imprimant le rythme de la fellation.
Deux doigts percent mon sexe.
Je me tends.
Je devine une bouche qui happe un de mes seins... un homme a du s'allonger pour pouvoir m'aspirer la tétine si sensible qu'il me fait crier.
Il me tête avec gourmandise alors que je suis palpées, forcée.
Je sens la toison de poils sur mon menton de l'homme qui enfonce son sexe loin dans ma gorge.
Je manque de suffoquer...
Mes gémissements sont étouffés par le membre viril qui va et vient entre mes lèvres.
Une langue... hooo... deux langues... sont sur mon sexe... elles lapent et lèchent mon intérieur alors que des mains ouvrent et maintiennent mon vagin béant.
J'en ai des hauts le cœur.
Je suis à la dérive...
Une autre verge prend la place de la première.
Plus rapide dans ses vas et vients, plus fine, plus longe.
Puis une autre de nouveau... présentée sur mes lèvres.
Ma bouche ouverte, je bave d'avoir sucé.
Je tire ma langue pour lécher...
Je sens le regard de mon Maitre sur moi... il va être fier de moi.
Je lèche... chaque verge que l'on me présente... je suce... je pompe sans que l'on m'y force beaucoup.
J'en ai envie.
Marc ne doit pas être là... je ne pense pas qu'il ait eu le droit de participer à cette bacchanale dont je suis le plat principal.
Mais peut-être que je connais certains de ces hommes...
Hooo...
Les glands frottent mes joues, les déforment lorsqu'ils poussent dans l'intérieur de ma bouche.
Je suis goulue, j'avale et je tête avec délice chaque manche que l'on me présente.
Mon Maitre va être content de moi...
Ces hommes ne sont que des pions pour nous, des jouets dans ma soumission à ses désirs.
Il doit admirer ces verges qui vont et viennent en moi, qui gonflent mes joues et meurtrissent mes lèvres.
Il y a peut-être 7 ou 8 hommes si j'en crois les sensations de ces appendices masculins qui me violent la bouche.
Je les cherche... ils me les donnent... je les gobe.
Lorsque je sens un dard se présenter sur mon entrecuisses, je me cambre.
Une envie irrésistible d'être prise, enfin... d'être possédée.
J'ondule des hanches autant que mes liens le permettent... pour mon Maitre.
Il me pénètre...
Je gémis...
Je pousse un râle alors qu'il avance et recule dans mon étui vaginal.
Je jouis dans l'incapacité de faire cesser ce supplice incomparable de plaisir.
Mon orgasme est lent... long...
Un nouveau membre y prend place lorsque le premier me quitte.
Ils se cramponnent à mes hanches, à mes épaules pour me saillir à loisir et j'achève mon coupable orgasme sous les coups de butoirs d'un troisième homme.
Mes cris sont étouffés par l'un ou l'autre sexe enfoncé jusqu'au fond de gorge.
Ma bouche est toujours occupée.
On m'incline le visage d'un côté sur l'autre pour me donner un nouveau manche à aspirer.
Bientôt ces pals masculins ont le gout de ma cyprine.
Mes tétons sont pincés, allongés... tirés et malmenés par des mains et des bouches avides.
Les sexes sont différents, longs, courts, larges, fortement arquées ou plus droits.
Aucune n'est identique et je m'abandonne à la tempête qui ravage mon corps et mon bas ventre.
Je jouis de nouveau rapidement, une 3e fois, sans que je n'ai le temps de reprendre mon souffle.
Ils m'utilisent les uns après les autres. Ils plongent dans mon puits inondé.
Ma bouche, mon sexe ne sont que trous dans lesquels ces hommes se font plaisir...
J'ai honte mais je prends également un plaisir certain à être ainsi offerte par mon Maitre.
Je suis une autre femme. Je ne suis plus Béatrice, l'épouse sage, je suis Béatrice, la petite soumise, la salope de mon Maitre, sa poupée de luxure comme il aime me nommer.
Je reçois une première giclée de sperme sur mon visage.
Comme un affront à ma dignité.
Le foutre chaud me dégouline sur la joue, le menton.
Très vite un second homme éjacule.
Il souille mon vagin, mes cuisses et son liquide ruisselle sur moi comme une rivière gluante.
Des mains m'appuient sur la tête, on tire mes cheveux pour que les tiges s'enfoncent profondément. Elles écrasent ma langue.
Presque sans un mot autre que des "oui...... humm..." je suis offerte à cette débauche d'hommes en rut.
Une séance de baise, un exercice obscène, odieux, délicieux.
Les éjaculations s'enchainent.
Mes cheveux, mes épaules, mon dos, mes fesses, mes joues, mon vagin...
J'ai l'impression d'être recouverte de foutre poisseux.
Pour lui, j'accepte d'être ainsi souillée.
Je ne suis que cris et ondulations lascives sous les assauts de ces mâles en chaleur qui m'utilisent comme des soudards.
Le dernier homme qui vient en moi, me laboure la fente, déjà remplie d'autres jus, il se vide entre mes lèvres écartelées.
Les caresses se font plus éparses et je suis en nage, couverte de transpiration... couverte de miel masculin.
J'ai perdu le compte de mes orgasmes.
Je râle pour reprendre mon souffle.
Je les entends. Les pantalons se remontent.
Devant mes yeux bandés de mon bas trempé de jus, les ombres grises s'éloignent. Les hommes s'en vont les uns après les autres.
J'avale difficilement ma salive au gout de sperme.
"Tu as été somptueuse ma poupée. Je suis si fier de toi. Tu me rejoins ?"
La voix calme mes doutes, mes remords...
Mon Maitre sort en dernier non sans avoir déposé un petit baiser sur mon front.
Je baisse la tête, seule.
Apaisée.
Le sentiment du devoir accompli... étrange... d'avoir abordé sur des rives tumultueuses et de m'être posée sur une île sensuelle, qui est mon foyer.
Le calme revient lentement.
Et avec lui les idées... les images imaginaires, tellement folles.
Lorsque la porte s'ouvre de nouveau je sursaute, toujours ligotée.
J'espère la visite de celui pour qui je me livre ainsi, celui qui m'a fait voir combien il était bon de prendre du plaisir et comment je me sentais si bien dans mon rôle de soumise.
Mon bandeau est retiré.
Caroline m'essuie le visage, me libère les poignets, les chevilles.
Je lui souris. Du sperme me dégouline sur le menton et sur les seins.
Elle m'aide à me relever, je titube, mon bas ventre est douloureux.
Ma bouche est ankylosée.
Elle réajuste ma robe... tachée.
Je suis sur un nuage, dans du coton.
Mes cuisses sont nappées de jus.
Elle m'enfile une culotte.
Je la laisse faire, incapable de bouger, encore sous le trouble de mon état de plaisir, comme droguée aux plaisirs du sexe.
Elle me soutient pour avancer et petit à petit je me détache d'elle. Je peine à marcher tant mon entrecuisse a été labouré.
Et c'est ainsi que je regagne la réception.
Tellement honteuse d'être dans cette tenue qui ne laisse aucun doute sur les activités de mon absence d'une bonne heure.
Les cheveux collés, la démarche mal assurée... ma robe... souillée.
Et tous ces yeux qui me dévisagent et dont certains m'ont vu œuvrer comme une vulgaire putain.
Mon Maitre me sourit, un regard brillant qui me réchauffe.
C'est un phare au milieu de ces éléments agités.
Je me coule dans ses bras.
Je le laisse me cajoler devant toute son équipe.
Et devant Marc... qui ne dit rien.
Je suis convoitée, admirée... mon Maitre est envié.

Lorsque nous quittons les lieux un homme me fait un clin d'œil, un autre me murmure un "vous êtes délicieuse".
Certains d'entre eux, c'est sur, ont eu droit à ma bouche et à ma motte.
J'ai sur ma peau les traces de leur sexe.
Le trajet de retour se réalise en silence.
Une fragrance de stupre emplit l'habitacle.
Assit à côté de moi mon Maitre se penche vers moi.
Un baiser dans mon cou souillé.
Un murmure qui fait remonter mon envie et mon plaisir.
Des mots doux  et crus qui me ravissent.
Suis-je allé si loin que je ne puisse plus revenir ?
Je n'ai pas envie de faire machine arrière.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]Sensuelle-et-glamour

Lorsque ma muse sonna à ma porte, je ne pu m'empêcher d'avoir un peu d'anxiété.
Allait-elle apprécier le cadeau que je lui faisais ?
Et si j'avais été trop loin ?
Elle fut d'abord surprise, puis son sourire s'éclaira.
"C'est pour votre anniversaire" lui murmure-je.
Elle posa ses mains sur mes joues, ses doigts fins et frais qui m'enveloppaient, puis plaqua sa bouche sur la mienne pour m'embrasser.
"Bonjour" fit-elle... à mes 3 amis en retirant son manteau, dévoilant ses courbes.
Une poitrine orgueilleuse moulée dans un chemisier qui laissait deviner un soutien gorge rouge vif, des hanches aux balancements insolents qu'une jupe courte rendait torride.
Visiblement radieuse, elle contemplait chacun des 3 hommes que j'avais convié à ce moment insolite et totalement inédit pour moi.
R., un brun aux accents ibériques, qui partageait le même service que moi et qui était réputé pour ne pas laisser insensible les infirmières.
G., le grand blond du quatuor, aux yeux bleus azurs et que j'avais rencontré lors d'une soirée... arrosée.
Et enfin S., celui qui avait surpris la photo que Sylvie m'avait envoyé lors du réveillon.
Assise au centre du canapé, elle était le centre de l'attention de ces 3 mâles qui ne cessaient de la reluquer.
J'avais un peu de mal à réfréner une jalousie que je savais inutile et aussi stérile que stupide, mais c'était ainsi... j'avais peut de me voir déposséder, qu'elle parte avec l'un d'eux au lieu de rester avec moi.
Irrationnels, mes doutes ne s'envolèrent que bien plus tard... au petit matin.
Elle croisa les jambes très haut.
S., en face d'elle, semblait hypnotisé.
"Oups... fit-elle... je crois que j'ai oublié de mettre une culotte".
Elle posa sa main droite sur la cuisse de R. et sa gauche sur celle de G..
Ce dernier s'enhardit à effleurer sa jambe, remontant le dos de sa main jusqu'à la lisière du bas autofixant qui donnait à sa peau une couleur ambrée.
R. ne semblait pas vouloir se laisser distancer et fit des petits cercles sur son genou féminin, délicat.
Elle me lança un regard pétillant dans lequel je reconnu très vite le désir et l'envie.
Les discussions, pleines de sous-entendus, ne laissaient pas un seul moment nos mains et nos yeux sans avoir un contact avec celle qui resplendissait.
Convoitée, admirée, caressée, elle était aux anges.
Après quelques verres et gourmandises, j'apportais un gâteau.
"Je peux avoir les bougies ?" me lança t-elle, d'un air coquin.
Je ne devais pas perdre "la main". Il me fallait oser, me dépasser, aller plus loin que je ne pensais jamais le faire.
Mais pour elle, devant elle, je me sentais invincible, irrésistible.
Lentement, avec un brin d'anxiété, je déboutonnais alors mon pantalon pour en sortir ma verge.
Je voyais ses yeux me dévorer.
Mon sexe fin et long se dressait comme un "i".
J'étais partagé entre la honte de dévoiler ainsi mon intimité devant 3 autres hommes et le plaisir de lui offrir ce moment.
Les 3 autres suivirent le mouvements.
Après tout, ne leur avais-je pas dit qu'ils venaient pour ça ?
Très vite elle fut entourée de 4 verges qui dodelinaient, différentes, fine ou épaisse, longue ou trapue, émergeant d'un taillis de poils bruns ou blonds.
"Une... queue pour chaque dizaine ?" minauda t-elle en me regardant.
"Oui Sylvie" j'avais la voix qui se fêlait d'excitation.
"Vous me faites un merveilleux présent". Une œillade complice à mon attention
Et ses mains... de femme... passèrent d'un sexe à l'autre.
Elle flattait, elle caressait, décalottait et titillait les méats les uns après les autres.
Ses ongles effleuraient en griffant nos glands et les cols, descendaient jusqu'à la base de nos membre érigés pour venir palper et soupeser nos bourses lourdes.
Elle s'agenouilla et sa bouche prit le relais de ses mains.
Mes amis ne disaient plus rien.
Seuls des gémissements et le bruit... aquatique... des succions de Sylvie sur nos verges troublaient le silence de mon studio.
Elle ne passait pas plus de 3 ou 4 secondes par sexe, passant de l'une à l'autre, masturbant celle qu'elle ne pouvait pas prendre en bouche.
De plus en plus goulue elle léchait puis pompait les glands avant d'engloutir, toujours plus loin dans sa gorge, chaque tige couverte de sa salive.
Elle leva les yeux sur moi en passant sa langue de l'embase vers le col.
Heureuse... le regard que je lui connaissais lorsqu'elle prenait du plaisir.
Elle me lança un sourire des plus éloquent.
Sa main nous branlait longuement, sa bouche aspirait nos sexes en feu.
Nous la fîmes alors se mettre à genoux sur le canapé.
S. était assit. Elle poursuivit une lente fellation sur son sexe qui disparaissait entièrement dans sa bouche pulpeuse.
Quant à G. il prit place derrière elle, il entreprit de lui dévorer la chatte.
Sa langue entrait profondément dans son sexe qu'il maintenait écarté à l'aide de ses mains.
R, lui, s'allongea sous Ma Muse pour lui téter les seins... ses augustes mamelles tombaient et aucuns d'eux ne se privaient de les palper, de les pétrir, de les malaxer jusqu'à en faire devenir les tétons, rouges d'excitation.
Elle ondulait sous leurs caresses.
Ils changèrent de place les uns après les autres.
Chacun voulait gouter... à sa poitrine généreuse, à son sexe liquide...
Et elle se cambrait pour leur permettre de se repaitre de son corps.
Elle offrait ses seins, les maintenant haut, assise sur des genoux sur le canapé, pour qu'ils puissent être deux à la téter en même temps.
Elle tendait ses fesses pour que les langues s'enfoncent loin en elle, la lapent longuement jusqu'à la faire gémir de plaisir.
Son menton était couvert de salive tant elle enchainait les fellations.
R. entreprit de lui mettre son sexe entre les seins.
Elle se retrouva donc allongée sur lui, ses mains pressant chaque côté de sa lourde poitrine, pour le masturber.
J'eu envie d'elle, instantanément.
Je me plaçais derrière elle.
Mes amis savaient que je ne leur permettrais de la prendre qu'une fois que je l'aurais moi même saillie.
Elle le saurait après... et en rougirait de cet honneur.
Mon sexe s'enfonça sans peine dans sa fente ruisselante.
Je labourais le sillon de sa fente à l'aide de mon soc.
Chacun de mes coups de reins s'accompagnait, de la part de Sylvie, d'un petit cri qu'elle étouffait dans le coussin.
Le rythme que je lui imposais activait la masturbation qu'elle donnait dans ses seins.
Je me retirais alors.
G. vint à son tour l'enfiler.
Je pris un peu de recul pour admirer la scène... les scènes qui s'enchainaient.
Comment avais-je pu avoir une telle idée ?
J'au soudain honte et un terrible sentiment de jalousie vint remonter en moi pour s'estomper lorsque Ma Muse m'envoya un baiser et un "merci" du bout des lèvres.
Je savais qu'elle avait déjà eut de nombreux amants... mais là... de la voir... chez moi... livrée en pâture à ceux que j'avais invité !
N'étais-je pas allé trop loin ?
Une main lui tirait les cheveux pour la forcer à se cambrer, permettant à l'homme qui l'empoignait, de la saillir profondément.
Elle gémissait, poussait parfois des cris qui s'étouffaient dans un pubis, ses joues déformées par une verge toujours différente.
L'un après l'autre ils prirent place en elle.
Elle ondulait de plus en plus.
Il me semblait devenir étranger à la scène de luxure qui se déroulait dans mon studio.
C'était un film... le film de mes fantasmes qui se développait devant mes yeux.
Ils migrèrent vers ma chambre.
Là, Sylvie fut chevauchée par mes amis, qui passèrent l'un après l'autre entre ses cuisses ouvertes.
Elle se retrouva à 4 pattes, à subir avec plaisir les assauts de ses 3 amants d'un soir.
Et moi... j'ordonnais.
Je leur donnais les positions à prendre.
Sur le dos, sur le côté, à prendre sa bouche, son abricot... ses fesses...
Ma Muse fut surprise et ravie.
Je n'avais rarement été aussi excité.
Elle s'offrait, elle se donnait, elle savourait ce moment de sexualité intense.
Mes encouragements se mêlaient aux bruits et aux cris qui emplissaient l'atmosphère d'une ambiance aussi sirupeuse que les odeurs qui vinrent bien vite embaumer et salir les draps.
R. fut le premier à répandre sa semence sur le ventre de la femme qui me tourmentait adorablement.
Ce fut ensuite à G... sur son visage.
Sa bouche grande ouverte, les joues maculées du liquide épais qui lui dégoulinait sur le menton... qu'elle était belle.
S. se vida sur son dos, masturbant son sexe entre les fesses rondes qu'elle tendait, son petit orifice palpitant encore des saillies qu'elle venait de subir avec joie.
Elle me souriait... comme si les autres n'existaient pas... son attention se portait uniquement sur moi.
Elle se leva pour venir me caresser.
Sale, souillée, j'éprouvais un mélange d'attirance et de répulsion.
Elle avait une odeur de foutre, de cyprine...
Le liquide mâle lui coulait sur la peau.
J'avais envie de cette... salope.
Ses doigts experts me firent très vite un bien fou et je me laissais aller à cette masturbation qu'elle m'imposait devant mes compagnons.
"Tu me combles mon bébé" me murmura t-elle avant de s'agenouiller et me prendre en bouche.
Elle me suça comme elle n'avait aspiré aucun des autres hommes qui se rendaient compte de ma chance.
Je posais mes mains sur chacune de ses joues et je me laissais aller à mon envie d'elle... de la punir d'avoir été avec eux... d'être aussi belle et insolente... d'avoir donné et pris du plaisir... et avec l'envie de lui donner mon plaisir.
Je baisais alors sa bouche avec furie.
Elle plissait les yeux lorsque ma longue tige lui butait dans le fond de la gorge.
Un râle lent et aussi puissant que mes coups de reins vint accompagner mes giclées.
Elle avala tout sans en laisser une seule goutte tomber au sol.
Sa langue s'enroulait autour de mon pieu et ses mouvements de succion aspiraient chaque perle de foutre que je vidais en elle.
Elle savourait mon miel, je savais qu'elle adorait.
Ils entonnèrent alors un chant d'anniversaire.
Sylvie se mit à rire, à genoux sur le tapis, alors que nous l'entourions, nus, nos verges qui ballottaient de l'avoir honorée.

Ses amants partir l'un après l'autre en la remerciant et en lui souhaitant tous un bon anniversaire et en me complimentant.
Puis Sylvie vint me retrouver, elle avait pris une douche et sentait mon savon.
Elle se lova dans mes bras.
J'avais terriblement envie d'elle.
"Tu m'as fait le plus beau cadeau que je n'ai jamais eu. Mais c'est toi que je veux comme cadeau." me dit-elle en frottant doucement son corps contre le mien.

La suite fut plus intime et douce.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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