Trio ou plus...

...

Mon amant m'a invité chez lui à passer quelques jours.
Mon époux ne lui a pas refusé, comme d'habitude, il ne s'y oppose pas.
Et si je ressens une forme d'humiliation pour lui, ce sentiment de force qui émane de mon maitre me rend plus excitée à chaque fois qu'il agit de la sorte dans notre couple.
Je suis devenue incroyablement sensible à cette emprise.

Sa maison est agréable et j'en fais le tour, à son bras.
Un peu honteuse et tellement fière qu'il m'emmène chez lui.
Nous passons un bon moment dans le jardin d'hiver à deviser de tout, de rien, de moi, de lui...
Puis il prépare un repas et je flâne dans son bureau dont un pan entier de mur est couvert de livres.
Je feuillette, détendue.
Lorsque la sonnette retentie je sursaute.
Il ne m'avait pas prévenu et a invité un couple de nos amis (à moi et Marc) pour venir diner.
Je suis toute à la fois heureuse de les voir et tellement gênée par l'absence de mon mari que je cherche du regard mon hôte pour puiser du courage dans son regard.
"Marc n'est pas là ?" demande Olivier.
Je bafouille un "non" en rougissant telle une pivoine.
Cécile, sa femme, me sourit et complimente aussitôt mon... maitre... même si elle ne sait pas qu'il s'agit bien de cette réalité, pour son invitation et sa maison.
Le repas se déroule sans que nous n'abordions le sujet une nouvelle fois.
Un moment sympathique et détendu où j'en viens même à oublier Marc.

Au dessert la musique est un appel à la danse.
Monsieur invite mon amie à danser.
Je le vois poser ses mains sur elle, nettement plus généreuse que moi.
Il caresse son dos et le haut de son séant opulent.
Olivier m'invite à son tour.
Bien qu'un danseur agréable je ne parviens pas à entrer dans la danse, ne cesse de jeter un regard vers le couple formé par Cécile et Monsieur.
Une pointe de jalousie me gagne, et comme par magie, il me lance un baiser alors que nous nous faisons face.
Il rit doucement avec mon amie et elle glousse à son tour quand il lui chuchote quelques mots à l'oreille.
Elle me regarde d'un air qui me parait étrange.
Puis nous changeons de partenaire.
Enfin ses bras autour de moi.
Je souris sans même m'en rendre compte, et je me blottis contre lui.
Sa main se pose sur mes fesses.
Il me caresse.
C'est tellement agréable que je me laisse faire avant de me souvenir qu'il y a d'autres personnes.
Je cherche à esquiver son geste mais il me maintient et Cécile et Olivier voient cet autre homme que Marc me peloter à deux mains.
Comme si... j'étais à lui... s'ils n'étaient pas là.
Ses doigts flânent sur mes cuisses et il remonte, à chaque mouvement un peu plus, le bas de ma jupe.
Mon couple d'amis s'est arrêté de danser et ils se sont installés dans le canapé.
Ils nous regardent.
Cécile sourit en me voyait ainsi caressée.
Olivier pose un regard très concentré sur mon arrière train qui se dévoile lentement, inexorablement.
Ils n'en perdent pas une miette.
Sa main se glisse sous la jupe.
Il agrippe ma culotte et la tire vers le haut.
Je gémis, étouffe mon soupir dans le creux de son épaule.
Il l'agite, le tissu me comprime le sexe.
Il tire de nouveau vers le haut et ma culotte s'étire et se rétrécit jusqu'à ne plus former qu'un filet de tissu qui coulisse entre mes globes fessiers.
Ses gestes de montées et de descentes opèrent un massage insidieux sur ma vulve.
Je me sens mouiller et mes seins se tendent rapidement.
Installés tranquillement sur le canapé mes amis voient ma déchéance
Mon amant remonte sa main et dévoile ma culotte... tirée... rentrée dans mes fesses.
Ils voient le bas de mes rondeurs.
Tellement impudique.
Il relache le tissu qui me recouvre.
Je souffle enfin.
Mais sa main remonte dans mon dos et dégraffe mon soutien gorge d'un geste habile.
Ho... pas ça...
Le "clac" sonore semble assourdissant.
Mon harnais ne tient plus que mes bretelles.
Il me fait tourner, danser, un mélange d'excitation et de honte me tourmente et m'emporte au rythme de la musique.
De ses doigts il fait tomber mes bretelle.
Mes seins presque libres ballottent à chaque mouvement, les pointes me brulent de désirs pervers.
Lorsque la dernière note retenti il me prend par la taille pour me faire m'asseoir à côté de lui, à côté de mon couple d'amis.
Je n'ai pas la force ni l'envie de lui résister.
Mes petits seins tendent le chemisier, mon tissu est déformé, trahissant mon excitation autant que ma gène.
Cécile me sourit.
" Béa, ça fait mongtemps ? "
Je sursaute, perdue dans mes pensées.
Elle se penche vers moi sur le ton de la confidence " Marc le sait ? "
Mon amant lui répond : " Oui, Marc est au courant ".
Son mari lâche un " Je m'en doutais ".
Cécile rougit un peu avant de poursuivre : " Et il accepte ? "
Les yeux bleus de mon adorable tourmenteur me percent et eveillent des sensations si fortes.
Je baisse les yeux, un volcan d'émotions me submerge.
La voix sourde, masculine, impérative et si sensuelle m'oblige à lui répondre.
Ma gorge est si serrée.
Mes seins me font mal, excités au possible.
Je laisse échapper un petit " Oui... il accepte. Il est bien obligé ".
Je me sens fondre, presque libéré d'avoir dévoilé ma condition.
" Montre lui tes alliances " m'impose t'il de nouveau comme une violation de nos désirs intimes.
La main tremblante je lui présente ma main gauche où brillent deux anneaux.
Elle les regarde, sa main prend la mienne.
Je suis rouge de honte.
" Dis lui ce qui est écrit dessus ".
Ma gorge est serrée.
Aucun son n'arrive à sortir.
Elle épelle en faisant touner l'anneau.
" Sou... mi...se ".
Mon couple d'amis sourit à l'unisson.
Les larmes me montent aux yeux.
Il remonte sa main et le bas de ma robe, dévoilant le haut de mes cuisses.
Il dépose un baiser sur ma joue.
Il sait qu'ainsi je ressens un plaisir qui s'accroit avec ma honte.
" Oui, ma soumise ".
Olivier lui demande si c'est vraiment le cas, comme incrédule.
Moi, si sage, comment auraient-ils pu l'imaginer.
" Marc lui a même donné l'alliance, il est totalement... soumis lui aussi. Il sait que Béatrice est à moi ".
Ses mots me réchauffent.
Oui, je suis à lui, impudique mais... à lui.
" Son corps... ses yeux... ses rêves... ses fantasmes... son cul. Tout est à moi ".
J'ose à peine les regarder du coin de l'œil.
Ils me jugent et doivent me trouver tellement dépravée.
Une nouvelle bouffée de chaleur monte dans mon ventre, plus intense, horriblement douce.
Je sens sa main qui me force à écarter mes jambes.
Je pose mon dos sur le dossier du canapé.
Olivier a le regard fixé sur mes cuisses.
J'ouvre un peu plus sous la main qui se presse et ma robe remonte, il va bientôt voir ma dentelle, déplacée...
Il pose sa main sur son pantalon.
Je me sens folle de le regarder et d'être aussi ... exhibée.
Mon... maitre... pose ses deux mains sur mes jambes et il m'ouvre... il m'offre à leurs regards.
Il caresse l'interieur de mes jambes.
Il pose son index sur le tissu de ma culotte, il le fait remonter.
Je voudrais disparaitre... pas devant eux... c'est... si...
Je gémis sous ses caresses.
La dentelle si légère lorsqu'il fait monter et descendre son doigt.
Ma culotte souillée de mes premières humidité.
Il me masturbe devant mes amis.
Je manque de défaillir.
Le tissu étiré, enfoncé dans ma vulve, offre mes lèvres humides à leurs commentaires murmurés.
Ils ne regardent que moi, pourtant ils se sont rapprochés, Cécile caresse Olivier à son tour.
Cette situation si inconvenante m'échauffe les sens.
Mon soutien gorge comme une relique.
Mes petits s'exposent à leurs yeux.
" Depuis le temps que j'avais envie de les voir " lance Olivier à ma grande surprise.
"Tu veux les toucher ?"
Il a sorti son sexe, Cécile le masse en même temps que lui.
Il tend ses doigts sur mon sein gauche et effleure ma pointe.
Je pousse un cri lorsqu'il pince mon extrémité de téton et qu'il le tire vers lui.
Obligée de m'approcher, de me pencher vers lui, vers eux pour ne pas avoir trop mal...
Une main de femme vient palper mon autre sein.
"Faites vous plaisir" leur dit mon... amant.
Derrière moi, je le sens, maitre de ces ébats.
Il me positionne à 4 pattes.
Si impudique.
Je ne lui refuse rien.
Il caresse mon dos, ma croupe et remonte ma robe qui ne forme plus qu'un bouchon autour de mes hanches.
Je dégouline, mon sexe est un lac.
Cécile tient la verge de son mari droite pendant que lui vient de poser sa main dans mes cheveux.
Mon maitre appuie alors sur mon crane et mes lèvres sentent la chaleur de ce sexe inconnu
Je sens simultanément sa verge se poser sur ma cuisse et ma culotte se baisser d'un coup.
Je suis trempée.
Je ruiselle.
Je voudrais pouvoir crier "non, pas devant eux".
Mais ma bouche est prise par un sexe alors qu'un coup de reins m'enfonce la verge large de monsieur dans le vagin.
Cécile m'encourage "Vas y Béa... tu es belle".
Olivier gémit sous les pressions de ma bouche, il est aux anges, il n'en espérait pas tant.
J'ai du mal à croire qu'il y a moins de 10 minutes nous étions tous si sages et là... je suis le dessert... je suis la gâterie qu'ils consomment tous.
Mes lèvres glissent le long du manche inconnu jusqu'à rencontrer les doigts de mon amie.
La main de mon amant m'appuie encore plus.
"Pompe le. Comme tu sais si bien faire, ma salope".
Ses mots si crus me rendent folle.
Mes yeux ouverts sur la forêt de poils bruns d'Olivier, mon nez qui aspire l'air que je ne peux plus prendre à pleine bouche.
Je suffoque.
Et j'apprécie.
Je pompe goulument le sexe d'Olivier, devant sa femme, devant mon Maitre.
Derrière moi ce dernier me caresse le dos et flatte les flancs de mes seins.
J'ai envie... de lui...
Il m'enfile alors comme s'il avait entendu mes pensées.
Son gros sexe me fait grimacer et pousser un cri qui s'étouffe dans la succion que je pratique à l'autre homme.
Il recule et j'aspire.
Il me prend plus loin, plus profondément, plus large à sa base, sa verge me déflore le vagin.
Je suis poussé sur la verge et ma gorge sent la gland pointu du mari de mon amie.
Je le gobe et le tête alors que mon entrejambe se fait posséder à grand coups de dards.
Mes seins bougent au rythme de l'enfilade.
Il frotte mes pointent, accroissant encore mon plaisir.
Olivier prend alors ma bouche et va loin, comme pour me punir.
Il se déchaine entre mes lèvres.
Cécile me palpe les seins.
Si fragile entre ces 3 pervers...
Si heureuse d'être ainsi utulisée...
Mon maitre me prend les hanches et me laboure.
Le mari de mon amie me baise la bouche.
Et elle... me traie les seins de façon ferme.
Je voudrais hurler de plaisir mais mes couinements se perdent dans la fellation que je pratique avec joie.
C'est alors qu'il me tire par les cheveux pour me désemboucher.
Un long filet de bave entre ma bouche et le sexe dressé d'Olivier, couvert de ma salive.
Il ne me veut qu'à lui
Il me fait monter sur le canapé, les mains sur le dossier, agenouillée sur l'assise.
"Vous en avez bien profité. Mais là... je la veux pour moi seule".
Offerte à ses désirs lorsqu'il me demande de tendre mon cul, je lui obéis, comme en chaleur...
" Regardez come elle est bien docile "
Ses mains prennent mes seins à pleine paume.
Il m'enfile alors d'un trait.
Je ne fais que gémir.
Une séance de baise si forte, si intense que je dégouline.
Ses mains sur mes épaules, il m'attire à lui à chaque fois qu'il me perce de son gros manche.
Il m'epronne.
Sans ménagement... il m'empale.
Je coule autour de sa gosse queue.
Tremblante, essouflée, ruisselante, je subis avec plaisir les grands coups de butoir qu'il me donne.
Je ne suis qu'une succession de cris et de gémissements rauques.
Mon vagin est envahit.
Mes lèvres sont écartelées.
Ma vulve cognée par cet homme à qui je me donne en rejetant mon visage en arrière dans un feulement orgasmique.
Sans honte je jouis devant le couple d'amis.
Je reste dans la même position pour reprendre mes esprit et mes forces.
Le sang cogne à mes tempes et m'assourdit.
Je sens les mains d'Olivier se poser sur mes hanches.
Puis c'est son sexe qui me pénètre.
Je voudrais refuser mais le désir me gagne instantanément.
Il va et vient en moi, prolongeant le plaisir que je viens de prendre.
J'ondule, sous les va et vient de cette verge heureusement moins large mais qui me prend en levrette avec énergie.
Un nouvel orgasme n'est pas long à venir.
Je pousse un feulement qui trahit mon plaisir.
Et Olivier éjacule sur mon dos.
Son liquide chaud s'étale et me coule sur les fesses.
Il me salit... sous le regard de sa femme qui pompe mon Maitre telle une affamée.
Tous les 3 m'observent.
Je la vois avaler le jus épais de mon amant qui vient venir dans sa bouche.
J'aurais tant aimé qu'il me donne son foutre...
Il me tourmente encore plus en lui faisant cette offrande, chose que je n'ai jamais accepté de Marc.
Ho... Marc... si loin en ce moment...
Comment allons-nous faire la prochaine fois que nous allons tous être réunis ?
Olivier remonte son pantalon et me caresse la joue.
" Merci Béatrice " me murmure t-il.
Je baisse le visage pour ne pas affronter leurs yeux.
Cécile replace ses gros seins dans son chemisier.
Elle m'embrasse sur le front.
" A bientôt... ma belle".
Mon Maitre les raccompagne.
Je n'ai pas bougé lorsqu'il revient.
Il frotte mon dos, étale le jus de l'autre homme sur ma croupe... que je tends... vers lui... écartant mes cuisses.
Je sais qu'il aime lorsque je suis à lui comme cela.
Offerte... comme une chienne.
Sa chienne.
Du coin de l'œil je vois son sabre de nouveau dressé.
Il effleure ma rosette...
Hooo...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]

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Lorsque je rentre chez moi je suis loin d'imaginer ce qui m'attend.
A peine ai-je déposé mon manteau que je vois le visage de Monsieur, qui me sourit.
"Bonjour ma belle Béatrice" me lance t-il.
Il est assit dans notre canapé, comme s'il était chez lui, ce qui est un peu le cas depuis qu'il s'est imposé dans notre couple.
Je le salue
"Bonjour..." 
Je me sens si peu à mon avantage devant lui dans ma tenue si sage, une jupe volante, un pull sans forme.
Je ne m'attendais à le voir et je n'ai pas spécialement fait d'effort pour être comme il apprécie que je sois... un peu plus sensuelle.
Je me rapproche, surprise de ne pas voir Marc alors que sa voiture est garée dans l'allée.
Ses yeux bleus sur moi me font fondre instantanément.
Une étrange sensation m'envahit dès que je le vois.
Un sentiment que je connais désormais, celui de l'envie, de l'appartenance, du plaisir.
L'envie de me coller à lui dans le canapé me gagne.
Je m'approche encore.
J'ai un instant d'arrêt lorsque je vois mon mari...
Il est là, il est rentré.
Il est à genoux devant le canapé.
Presque nu.
Je remarque en premier lieu qu'il porte une de mes culottes.
Puis je découvre son acte... il a la verge de mon Maitre en bouche.
Il lui fait une fellation.
Je lui en veux presque de prendre ma place.
Et cette situation est tellement humiliante pour mon époux... et pour moi... qu'immédiatement mon bas ventre s'humidifie malgré moi.
Mes yeux passent de sa bouche, grande ouverte autour du manche épais de celui qui est désormais au cœur de notre foyer, à ma dentelle qui lui recouvre bien impudiquement ses bourses.
"Venez vous asseoir ma douce Béatrice".
J'obtempère, sans parvenir à détourner le regard de mon homme qui va et vient sur ce sexe mâle d'une si conséquente taille.
Monsieur me dépose un baiser sur la bouche.
Je me laisse faire... sa bouche est si agréable à embrasser.
Il a une main sur le crâne de Marc à qui il impose le rythme de cet acte contre nature.
De sa main libre il prend mes doigts et les embrasse.
Marc me regarde, perdu... carmin de honte.
"Nous vous attendions. Alors j'apprenais à Marc à être bien docile".
Je rougis.
Honteuse d'être autant attiré par cet homme qui joue avec nous.
"Elle vous plait ma petite cochonne ?" fait-il en désignant mon mari.
Les mots me manquent.
"Caressez-le" m'ordonne t-il d'un ton doux mais que je sais désormais identifier comme un ordre impérieux.
Je pose ma main sur son dos.
Il a chaud.
"La dentelle de votre culotte...".
Comme un automate je fais glisser mes doigts sur le tissu.
Puis j'y appose ma main.
Le tissu est si fin
"caressez-lui les couilles".
Il ne le protège en rien, comme il ne me protège guère.
Je hasarde mes doigts sous les deux boules et je les palpe.
Il s'amuse de notre couple que tout le monde croit si sage, si sérieux.
Ma caresses sont automatiques, derrière mon mari qui subi l'intrusion dans sa bouche comme si c'était... notre normalité depuis quelques mois.
"Faites glisser la dentelle".
Je le fais lentement, dévoilant sa raie, ses fesses d'homme.
"Et toi écarte bien les cuisses".
Il hocquette, Monsieur vient de lui poser la main sur la nuque et lui enfoncer son sexe plus loin.
Il obéit et ouvre ses jambes devant moi.
Je suis hypnotisée par mon mari et mon Maitre.
Lorsque ce dernier prend ma main et pose mes doigts sur la petite rondelle de Marc, je sursaute.
Ho non... pas ça...
Ses doigts autour des miens, il me force à le palper... contre mon gré.
Je n'entends pas ce qu'il lui dit mais je vois la main de Marc se lever et... se poser sur une fesse puis venir écarter un de ses globes.
Mon propre mari... s'ouvre.
Mon cœur bat trop fort.
Il s'ouvre devant moi.
La tête me tourne.
Je m'assois sur le divan, prête à m'effondrer.
Assise, les yeux fermés je tente de reprendre mon souffle et mon calme.
Il appuie alors sur mes doigts et je sens mon index s'enfoncer dans l'étroitesse de Marc.
Mon époux grogne... totalement sous contrôle.
Il me fait agiter mon doigt, le tourmenter.
Je suis bientôt seule à le ... doigter...
Monsieur ne me tient plus.
Jamais je n'aurais pensé que je ferais cette chose si obscène.
Et... je continue de l'agiter, de lui enfoncer mon index dans son anneau le plus intime.
C'est.... plaisant de le voir se tortiller, de le sentir si... dominé par notre maitre.
Marc se tend, se raidit.
Je mouille comme une folle.
J'ai tellement envie de lui... pas de mon mari... mais de mon maitre.
Sous mes percées il éjacule sur ma culotte en dentelles.
Mon... notre Maitre nous emmene tellement loin.
Marc s'effondre sur le tapis, terrassé par son orgasme et la honte. Il est recroquevillé.
"Tu vois mon petit Marc, ta femme n'avait même pas besoin que je lui tienne la main. Elle t'a doigtée par plaisir".
Ces mots résonnent dans ma tête... la terrible vérité.
"Enfin... je dis "ta" femme. Oui, car autour de ton doigt il y a l'alliance que tu lui a donné".
Je rougis à ce souvenir, le plus beau jour de ma vie... enfin... je crois.
Il se lève et vient m'embrasser.
Il est nu... son torse me donne chaud, ses hanches me rappellent de délicieux souvenirs trop impudiques.
Sa grosse verge dressée et couverte de salive.
La salive... de Marc.
Je n'ai plus la force de le repousser, ni l'envie.
Mon mari, allongé au sol, regarde... Il n'ose pas bouger.
Il soulève ma jupe et la remonte sur mes hanches.
Sa main de mâle dominant vient flatter ma croupe.
Je tends mes fesses, sans même m'en rendre compte.
"Quel joli petit cul".
J'en sursaute.
"Marc, vient enlever sa culotte".
Mon mari obéit sans tarder, ses mains sur moi me font un effet contrasté... tellement sensuel d'immoralité.
Je sens ses mains sur moi, les deux regards des deux hommes... de ma vie...
Mes joues son pivoines, ma respiration plus courte.
Il me dévoile, si proche que je sens son souffle, si près, plus près qu'il ne l'a jamais été.
Je sens alors le contact de son visage sur ma raie.
Monsieur vient d'appuyer son visage.
"Lèche".
La langue de Marc... qui n'a jamais été là... me lape.
Je sens sa respiration sur ma plus secrète intimité.
Il le recule en riant un peu "Ca suffit petite salope".
Mon époux obéit.
Il accepte d'être "une petite salope".
La tête me tourne.
Son doigt vient flatter mon étoile striée, brune...
Je me contracte.
Mon cœur bat trop fort alors qu'il étale la salive de Marc sur ma rosette.
Je vois mon mari regarder le gros sexe se coller à ma cuisse.
Il a si souvent désiré en secret cette pratique que je ne lui ai jamais autorisé.
La verge vient frotter ma fente, appuyer contre mes lèvres, presser mon clitoris encore caché.
Je gémis doucement, totalement trempée.
Ruisselante sous cette masturbation de son gland sur mon abricot.
Le gros bout pourpre remonte.
C'est si bon... si chaud... si doux.
"La voilà l'alliance que j'aime chez ta femme".
Il pousse.
Je crie.
Son pal coulisse, lubrifié par ma cyprine qui goutte et la bave de Marc.
A quelques centimètres, mon époux voit le large soc m'envahir et glisser dans mes fesses.
Il m'enfonce d'avant en arrière, je crie.
"Je la prends sa plus belle alliance".
Mes seins bougent dans mon soutien gorge, si tendus.
Un claquement et l'agrafe cède sous ses avances.
Le tissu effleure mes pointent, accroissant mon excitation.
Il accélère et mon étroit anneau subit sa percée.
Mes cris deviennent gémissements.
Ma douleur... plaisirs impolis.
Il entre plus loin, plus profond.
J'ondule du bassin.
Les mouvements plus amples, son vit cercle, m'élargit et me sodomise à m'en faire couler sur mes cuisses.
"Tu vois comme elle m'appartient là ? Elle est... à moi... ma queue autour de son anneau".
Ses mains libèrent mes seins... mes petits seins qu'il masse.
Je ne suis que gémissements.
Ma fente suinte de plaisirs.
Ses bourses viennent claquer contre mes lèvres.
Emmanchée profondément par le bâton dur qui me ramone en profondeur.
Je pousse un râle lorsque le piton bandé me soulève.
Mes doigts serrés sur le tissu du canapé.
Il me bourre les fesses, l'anneau, mon... alliance intime.
"Alors, à qui elle est Béatrice ?"
Je l'entends, je suis incapable d'émettre autre chose que des gémissements orgasmiques.
Je voudrais pourtant lui dire "Non !" et "Oui !".
Et la voix de Marc... si faible..
"Elle est a vous Monsieur... Béatrice vous appartient".
Je jouis instantanément.
Mon esprit à l'unisson avec mon corps.
Je hurle de plaisir.
"Haaaa Ouiiiiii !"
Des veines de feu partent en tous sens, mon bas ventre est un creuset de plaisirs qui irradient vers mon cœur, mes cuisses, ma ventre... le long de ma colonne vertébrale...
Mes cuisses se tapissent de mon sirop qui me fuit.
Glissantes...
"Regarde comme elle aime ça cette chienne... en chaleur... elle me tend son cul ma belle salope".
Ses mots osés m'étourdissent.
Il continue de me prendre ainsi, en levrette, par l'arrière... comme une vulgaire chienne.
Et Marc nous regarde.
Il me voit, jouir et atteindre l'extase en me faisant sodomiser.
Je n'en peux plus mais Monsieur poursuit l'offense qu'il fait à mes fesses.
Ses doigts pétrissent mes tétons et m'arrachent un hoquet déplacé.
Il tire sur mes pointes rendues dures, si sensibles...
Je ferme les yeux et m'abandonne.
L'espadon masculin me pilonne les reins.
Des délices de sensations.
Il se contracte.
Je sens la chaleur de son jus d'homme m'inonder le fondement.
Il halète derrière moi, je l'accompagne en ondulant de la croupe de façon sensuelle et lascive.
Mon anus est totalement ouvert... uniquement source de bonheur.
Je m'effondre. Son foutre me dégouline sur les cuisses. Rassasiée.

"Marc, va chercher le paquet que j'ai préparé pour Béatrice".
Mon mari se lève et revient avec un petit paquet enveloppé d'un ruban doré.
Monsieur m'a pris dans ses bras.
Mes vêtements sont en vrac, mes cheveux emmélés.
Il tend la boite à notre maitre qui me l'offre.
J'ouvre.
Un anneau.
Doré.
"Qu'Est-ce Marc ?"
Mon époux hésite, baisse le regard avant d'oser parler.
"Une alliance".
"Et pour qui est-elle ?"
" Pour votre Béatrice, monsieur".
Je deviens écarlate.
Il me glisse au doigt, une nouvelle alliance.
Sur celle-ci sont gravées des lettres.
Je la fais tourner pour distinguer les fines ciselures... "SOUMISE".
Sans même m'en rendre compte j'embrasse le patron de mon mari, mon maitre, Monsieur, à pleine bouche... je suis aux anges.
Des larmes coulent sur mes joues.
Cette alliance contre nature éveille en moi une reconnaissance et des désirs de débauche.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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    [...]  

La cabine d'ascenseur qui nous monte jusque chez son amie est propice à un baiser lent et doux qui me ravit.chapeau1.jpg
Ses lèvres contre les miennes sont si délicates et fraiches....
Sa poitrine généreuse, contre mon torse, dont je perçois les battements et qui me donne chaud...
Ses mains, sur ma nuque, sur mes fesses, qui me palpent à m'en faire devenir encore plus dur...
Et ses hanches que je caresse... ondulantes... me rendent fou.
Sylvie, ma "muse", me sourit alors que le couloir apparait.
Elle réajuste sa jupe moulante sur ses bas coutures.

Son amie nous ouvre, une petite brune aux yeux marrons, qui lui sourit immédiatement alors qu'elle la voit.
Elles se font la bise.
Elle me regarde, nous fait entrer et me salue de la même façon, visiblement heureuse de recevoir la visite de son amie.
"Sylvie je suis très contente de te voir" dit-elle en nous entrainant vers son salon.
Vêtue d'un jean, d'un chemisier ample, elle marche pieds nus devant nous.
Un odeur de café charme nos papilles.
"Je t'avais dit que je viendrais te rendre visite Martine, me voilà".
Nous sommes côte à côte dans le canapé.
Ma muse croise ses jambes, j'y jette un œil, incapable de m'en empêcher.
"Est-ce... le jeune homme dont tu m'as parlé ?" questionne la petite brune, ses joues rosissent un peu.
Je me fige soudain, la tasse à la main.
"Oui... c'est lui" rétorque mon amante en me lançant une œillade.
"Il est très... mignon. Je te comprends. Craquant".
Je ne sais plus où me mettre.
"Nous sortons à peine du restaurant... où il m'a fait du bien..." minaude ma complice.
Son amie rougit.
Je vois sa respiration s'accentuer et ses petits seins se dresser sous le tissu.
"Je n'en doute pas, si j'en crois ce que tu m'a raconté de lui".
Les deux femmes se jouent de moi et une étincelle de désir s'allume.
"Que lui avez-vous raconté ?", ma voix s'éraille un peu.
Mon amante pose se main sur mon entrejambe.
"Tu peux me croire" fait-elle en accompagnant ce geste osé d'une parole sans ambiguïté en direction de la femme que je découvre pour la première fois.
J'ai du mal à retenir la tension qui m'habite et mon pantalon ne masque bientôt plus mon érection.
La petite brune roule de grands yeux en nous regardant.
Sylvie me masse le sexe et je me retrouve bien vite les cuisses écartées à subir cette caresse déplacée devant une inconnue.
"Tu veux la voir ?" lui demande Sylvie sur le ton de la conversation.
Son amie sourit largement.
"C'est vrai ? Je peux ?"
Ma muse se penche vers moi.
Elle déboutonne un premier rempart de ma braguette.
Je me tortille, un peu mal à l'aise d'être utilisé par celle qui me fait fantasmer.
"S'il te plait..." me murmure t-elle à l'oreille en me mordillant le lobe.
Un second bouton se détache.
"Je ne peux rien vous refuser" lui glisse-je en relevant ma tête vers l'arrière, tendu comme rarement.
"Alors... enlève ton pantalon".
Sa langue vient me donner chaud en caressant mon oreille.
Je baisse mon pantalon devant les yeux de ces 2 femmes.
Simplement en boxer sur le canapé, ma chemise relevée par mon amante.
Je m'offre devant elles deux.
J'ai chaud, une sensation étrange d'être désiré et de les rendre, elles aussi, moites d'envies.
"Hooo... il en fait des tâches !" glousse la brune en me voyant.
J'ai honte car il est vrai que le tissu de mon dessous est maculé de gouttes de sperme, témoins de mon excitation.
"Oui, c'est un coquin tu sais... plein de sève... et de plaisirs en ébullition".
La femme caresse ma tige masquée par le tissu sombre.
Je réagis immédiatement en me cambrant.
Leur discours est si déplacé...
Au centre de leurs attentions, et de celle de la femme que je vénère, je me sens étrangement bien.
Elle prend mon boxer et me libère.
Mon sexe se dresse devant elles deux.
"Ho ! Bel engin. Il est... long... ".
La brune commente sans même nous regarder, l'attention entièrement fixée sur mon vit qui se balance et vient se poser au dessus de mon nombril.
"Oui. Et fine... elle rentre comme un charme bien profondément".
"Elle doit aller trop loin..."
"Non. Il faut l'apprivoiser, mais c'est si bon".
Elles parlent de moi comme d'un vulgaire jouet.
"Elle doit... aller jusqu'à buter..." roucoule la petite brune en caressant ma cuisse.
"Hum oui... quand elle vient cogner ça me rend folle".
Et un sentiment subtil d'humiliation et de plaisir vient me donner encore plus de fièvre, me faire palpiter la verge.
"Regarde... vas y je t'en prie... si tu la veux... . Hein bébé, tu lui prête ta queue ? Tu veux bien ?"
Je balbutie un "oui, oui".
Et la main qui me flattait se referme et me masturbe doucement.
Un soupir de plaisir m'échappe, incontrôlé.
Elle se penche et bientôt je ne vois que sa chevelure...
La délicate sensation, incomparable, d'une bouche qui vient m'avaler le gland.
Je gémis.
Un œil vers Sylvie qui à l'air de se régaler.
"J'aime être excitée, et exciter... et là... te voir te faire sucer... ça me rend dingue." Me dit elle en m'embrasant et en posant ma main entre ses jambes.
"Tu sens comme je suis mouillée ?
Je caresse son sexe à l'air libre, gluant...
"Et ce n'est pas seulement du foutre que tu m'as giclé dedans mon bébé... c'est aussi de te voir gémir avec mon amie".
Elle me sourit doucement, si belle.
Nos murmures, nos baisers alors qu'une autre femme me pratique une fellation, me rendent ivre de désir.
Je rentre deux doigts dans son antre.
Je touille en elle, si sexy, si désirable, si trempée.
Mon gland est aspiré, tété et pompé délicatement, puis la bouche de son amie coulisse le long de mon pal et ses mouvements sont plus rapides pour me déguster la verge.
Je pose ma main dans les cheveux de cette gourmande, j'accompagne sa succion.
"Ho coquin... force la jusqu'au fond de sa gorge."
Elle a posé sa  joue dans le creux de mon épaule et elle observe son amie arc-boutée sur mon sexe.
Je pousse sur l'arrière du crâne et un grognement accueille ma pression.
Elle résiste puis cède, elle a un haut le cœur lorsque mon bout dur vient se loger dans sa gorge.
Je la maintiens et la laisse se redresser.
Elle salive, souriante.
"Sa bite est longue !" fait-elle en essuyant sa bouche.
Sylvie a une jambe relevée, je la masturbe, sa jupe remontée haut sur ses cuisses.
"Oui... bien longue. C'est bon n'Est-ce pas ?"
"Humm ouii..."
Elle replonge sur mon entrejambe et m'avale de nouveau, allant et venant au rythme de ma main.
Nous observons, tels deux complices, cette femme qui me suce avec envie.
"Tu devrais la baiser mon bébé"
Son amie semble apprécier l'idée car elle grogne et redresse son visage, souriante, les lèvres rosies de la pipe qu'elle vient de me faire.
Elle dégrafe son pantalon et se place à 4 pattes sur le canapé.
"Dans cette position... j'aime".
Ma muse me caresse la nuque.
"Hoo... en levrette. C'est vrai que tu aimes ça Martine, je m'en souviens, tu me l'avais dit".
Elle se dandine devant nous.
"Oui. Ca fait longtemps que je n'ai pas reçu une longue bite comme ça. Je vais me régaler".
C'est ma Muse qui m'aide à me mettre en position.
Sa main délicate autour de mon sexe, elle me positionne contre l'abricot humide de cette autre femme.
La brune pousse son corps contre moi et mon glaive entre dans son fourreau sans rencontrer aucune  résistance, sous l'encouragement sensuel d'un gémissement féminin.
"Tu es si beau quand tu es comme ça bébé... vas-y... prends-la".
Ma muse m'encourage...
Je m'agite, je possède la brune sous le regard complice de la blonde.
"Oui. Laboure-là".
La femme gémit, elle ondule sous mes coups de reins qui se font plus forts comme Sylvie m'y invite.
Ses petits cris entrecoupés de soupirs sont accompagnés par le rythme régulier des claques que font mes cuisses qui butent contre ses fesses.
Son vagin se contracte.
J'accélère.
Plus loin... plus profond.
Elle crie quand je touche le fond de sa matrice.
"Aie ! Non !"
"Si... continue..."
Entre les deux suppliques, je suis celle de mon amante.
Ma tige vient cogner encore et encore, dans le sexe ruisselant de son amie qui se cabre telle une jument en poussant un cri de plaisir.
La petite femme emmanchée par ma longue tige qui semble disparaitre au fond de son ventre, se tortille.
Elle feule et me parait si frêle que je ralentis.
Son sirop inonde sa grotte, son vagin me comprime par saccade.
Je la lime en lenteur, accompagnant son orgasme qui s'achève dans une sonnerie de porte.
A peine ai-je le temps de m'extraire de son con trempé qu'elle se rhabille apeurée.
"Ho non... c'est Jean... il rentre plus vite que prévu !"
Elle replace ses cheveux trop vite, lisse son chemisier par dessus son pantalon remis en hâte.
"Son mari" me commente ma belle complice en se levant.
Je m'habille vivement.
"Je t'ouvre chéri" lui dit-elle par l'interphone.
Sylvie lui rend sa culotte.
"Tu as oublié ça".
Elle rougit et lui fait la bise.
"Filez vite..."
Elle dépose ses lèvres sur mes joues.
"Tu m'as fait du bien toi... " me gratifie t-elle avant de refermer derrière nous.

Nous prenons l'escalier, son mari monte par l'ascenseur.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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