Eve & Monsieur

[...] Femme-nue-dans-la-piscine.jpg

Notre fin de séminaire se clôtura de façon incroyable.

Le dernier jour avait été éprouvant.

Il n'y avait plus dans l'hôtel que quelques personnes, touristes inconnus de passage, nous devions partir le lendemain.

Monsieur m'invita à passer notre dernière soirée sur place.

Je n'avais pour tout vêtement qu'un peignoir, et mon collier.

La piscine n'était ouverte que pour nous.

Il y avait fait dresser et servir le dîner.

Il s'agissait d'une pièce immense aux décors antiques qui faisaient penser à Atlantis.

Les lumières douces oscillaient entre le bleu et le rouge.

Il n'y avait aucune fenêtre et nul ne pouvait nous voir.

Une table de bois précieux, quelques chaises longues en teck, des bougies parfumées au parfum envoûtant.

Nous étions seuls dans ce temple aquatique...

Lorsqu'il ferma la porte, je dénouais mon peignoir.

Le repas était délicieux et le champagne l'accompagnait avec classe.

Je me plongeais dans l'onde, il m'y rejoignait, sans aucun complexe.

Nous étions nus.

Il me faisait du pied, détaillait mes formes, mes tétons saillants, la courbe de mes hanches...

Je scrutais les rondeurs fermes de son fessier, l'arc épais de son sexe, la fine toison de son torse...

Il n'y avait pas de honte à nos actes, nos faits, nos gestes.

Je me caressais avec la coupe glacée, puis du bout des doigts avec le liquide alcoolisé et pétillant.

Mes seins se gonflèrent lorsque le cristal se posa sur ma fente.

Mes lèvres étaient enflées, mon clitoris sortait de son logement, gorgé.

Il vint boire cette boisson, versée dans mon calice intime et je poussais mon premier gémissement.

A partir de ce moment, mon excitation ne connu pas de décrue.

Il me posséda la première fois dans l'eau, contre la paroi de la piscine alors que nous nagions, jouions tels des adolescents.

Je me rassasiais de son large sexe et j'en voulais encore.

L'ambiance intimiste m'électrisait.

Embouché, je le suçais par la suite alors qu'il était assis sur le bord de l'eau à me regarder.

Lorsqu'il glissa dans l'eau, mes doigts s'agrippèrent à ses fesses

Privée de mes sens, immergée, je le pompais comme si son vit eut été un tuba.

Il ressortait de l'eau avant de m'y replonger.

J'étais un poisson pris à l'hameçon... ce fut la fellation la plus folle de ma vie, j'y mis tout mon coeur jusqu'à ce qu'il explose dans ma gorge.

J'avalais son sirop d'homme comme je ne le faisais pas à mon mari, avec délice.

A l'aide d'un glaçon il titilla mes seins jusqu'à l'orgasme, usant de ses doigts habiles, de sa langue agile.

Vorace, il me dévora... de plus en plus bas...

Ses mots étaient tendres, ses gestes doux et ses caresses patientes.

Il me fit jouir ainsi plus d'une fois, passant de mon orifice coulant à celui, plus étroit, que je lui offrais sans concession.

La seconde fois qu'il s'enfonça en moi, ce fut sur un vaste bain de soleil de teck.

Il me couvrit lentement, avec douceur.

Mon corps était un brasier.

Ses allers et venues en moi me transportèrent une nouvelle fois vers l'orgasme.

Je ne réprimais plus mes cris de bonheur.

C'est à ce moment là qu'il ôta mon collier.

Ce qu'il me murmura alors, sans cesser de me prendre, me fit l'effet du sable qui fuit sous les pieds.

Ma soumission prenait fin, mais notre relation perdurait, plus forte, complice, sans qu'il ne soit plus besoin d'artifice.

J'eus peur, puis le vertige de pouvoir continuer ou non, sans restriction.

Ce fut comme une lumière qui m'envahit alors que la vague de plaisir roulait dans mon ventre jusqu'à mon cerveau.

Je venais de réaliser mon imago.

Je lui offris ma croupe, lui ordonnant de me prendre en levrette.

Ce contraste de l'ordre et de la position m'enflamma encore plus.

Il acquiesça à ma demande, me chevauchant au rythme de mes exigences.

Lorsque j'ouvris mes fesses pour qu'il me sodomise, je coulais sans discontinuer.

Il s'enfonça dans ma rosette, me faisant sucer son doigt qui me masturbait et me fouillait.

Chacun d'entre nous pouvait prendre le pas sur l'autre, au gré de nos envies.

Je me redressais devant lui et lui imposait de me nettoyer.

A genoux, il léchait, lapait nos sirops mêlés qui marbraient mes cuisses, alors que j'écartais ma fente gluante.

Il vint à ma hauteur et nos baisers avaient ce goût intense de la jouissance.

Le dessert fut tout aussi sensuel...

Je finis allongée sur la table à me faire déguster, puis je pris son manche en bouche avec force chantilly.

Il ne me laissait aucun répit, je n'en voulais aucun.

Je glissais sur son pieu, m'empalant en gémissant.

Il me forçait à sa convenance.

Je le prenais en bouche pendant qu'il me mangeait l'abricot.

Dans cette ambiance hors du temps, seuls nos plaisirs comptaient.

Je ne sais le nombre de fois où son foutre jaillit, ni la fréquence de mes jouissances qui s’enchaînaient en cascade.

Le petit matin arriva trop vite.

Je jetais un dernier regard vers ce temple dédié à Poséidon qui était devenu, l'espace d'une nuit, celui d'Eros.

Sur l'eau flottait mon collier.

Avec lui, je laissais derrière moi un rôle de transition.

J'eu l'impression d'être au bord d'une falaise, devant un abyme vertigineux.

Monsieur me prit la main.

Il serait là, toujours.

A l'abysse sans fond se substitua une vallée vierge, luxuriante, riche de plaisirs épicés et de désirs à découvrir.

Je marchais à ses côtés.

Je savais ce que j'étais, ce que je voulais.

Je ne le suivais pas, j'étais à sa hauteur.

Il ne serait plus « Monsieur »… juste Adam.

L'avenir s'annonçait sensuel...

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]

J'avais beaucoup jouis et mon sexe coulait des orgasmes multiples que j'avais pris sous l'effet des gods introduits en moi durant toute la journée.

Monsieur m'avait expliqué que je serais punie si je ne maîtrisais pas ma jouissance.

La chose étant impossible, nous le savions tous les deux, ce n'était qu'un élément de plus pour augmenter mon excitation.

J'étais à ces pensées en montant l'ascenseur.

Les bruits ronronnant de l'hôtel accompagnent mes vertiges les plus fous comme j'approche de la chambre.

La porte est encore fermée.

Monsieur n'est donc pas arrivé, malgré le fait qu'il soit parti avant moi.

Sur le lit un simple mot : "Déshabille-toi".

Sans pouvoir y rien y faire je sens déjà mon ventre s'enflammer.

Il est venu, il se prépare.

Il me prépare.

Un sourire m'échappe.

Je laisse donc descendre ma jupe au sol, avant de libérer mes seins de mon chemisier et de mon soutien-gorge,et me retrouver nue, dans le silence de cette pièce somptueuse.

Dépourvue de culotte comme il l'exige je m'aperçois dans le miroir.

Mes seins lourds ont les pointes tendues.

Ils se balancent, arrogants, gros, fièrement dressés.

Incroyablement excités par la tension sexuelle qui m'anime.

Ma taille fine s'évase sur mes hanches et ma fente lisse est luisante.

Je sens mon entre jambe palpiter d'envie.

Je pose mes mains sur mes fesses.

Douces et rebondies l'idée affolante qu'il me donne la fessée fait monter le feu de mon ventre jusqu'à mes joues.

Passant d'un pied sur l'autre le plug anal résonne dans mon petit trou en appuyant sur l'oeuf calé dans mon vagin.

Chaque mouvement me fait vibrer et je ne parviens pas à atteindre le calme que je voudrais.

Il me fait languir.

Un mouvement de mon bassin fait se frôler les deux engins, je réprime un hoquet de plaisir.

J'ose creuser mon ventre... j'ai l'impression immédiate d'être prise par deux hommes en même temps.

Mes orifices sont affolés, constamment en état d'excitation.

Mon esprit se trouble et l'extase monte peu à peu sous ma danse du ventre improvisée.

Doucement je fait monter et descendre mes abdominaux pour mettre en mouvement mes verges factices.

Introduits au plus profond de mes intimités, je me surprends à les inciter à bouger et me faire du bien.

J'aperçois ma croupe se cambrer dans le miroir alors que mes hanches ondules, que mon sexe devient un peu plus ouvert et qu'une jouissance se dessine.

Indécente, je livre mon corps à mon regard, affolée par le plaisir que je prends à m'observer en plein acte.

Je sursaute soudain lorsque la porte s'ouvre.

Il apparaît, la chemise entre ouverte sur le haut de son torse.

La démarche assurée il vient vers moi.

Je me tiens droite, les mains dans le dos, réprimant avec difficulté mon orgasme interrompu brutalement.

Il m'observe et me sourit.

- Alors ? Dit-il en s'adossant au petit meuble à côté de moi.

Je sais qu'il souhaite me l'entendre dire.

Je n'ai qu'une envie lui cracher que je n'ai pas été obéissante, qu'il doit me traiter comme telle, mais je fais durer le plaisir en jouant avec lui le jeu que nous adorons.

- Je suis à votre disposition Monsieur, que voulez-vous savoir ?

Ma voix est douce mais cassée par le manque de souffle, il doit y percevoir l'excitation.

- As-tu résisté à la jouissance ?

Sa voix ferme et grave me fait fermer les yeux.

Je me revois encore onduler, solitaire, à la recherche d'un nouvel orgasme.

- Non Monsieur. Je n'ai pas pu résister.

Sa main vient se poser sur mon sexe, prenant possession de mon entrejambe soudainement.

Les doigts en coupe, il masse de bas en haut mon abricot.

Je ressens la pulpe de ses doigts qui frôle mes lèvres surexcitées.

Je pousse un gémissement.

- Je le distingue, oui. Tu as jouis, et pas uniquement une fois.

- Oui Monsieur... oui...

Il écarte mes lèvres de ses doigts et s'enfonce doucement à la recherche de l'oeuf impoli.

Mon sexe l'accueille sans effort tant il est lubrifié.

- Au milieu de tous ces gens...

- Oui Monsieur.

Je m'entends et ma voix devient plus lointaine.

Trois de ses doigts sont en moi.

Largement ouverte, debout je ne peux qu'écarter les cuisses sous l'étau de sa main qui m'offense.

Sans cesse excitée, son intrusion me propulse aux frontières de l'orgasme.

- Tu t'es laissée aller, et tu as coulé.

- Ho oui... Monsieur.

Le souffle coupé j'ondule alors que 4 de ses doigts sont fourrés en moi, cherchant l'oeuf dans mon vagin.

Je me cambre pour lui permettre de mieux me forcer.

- Et combien de fois as-tu pris ton plaisir de façon solitaire au milieu de la foule ?

- Hooo... 6 fois Monsieur... hum...

Ses doigts font bouger la source ovoïde de mon plaisir.

Je souffle, je geins, je coule.

- Tu sais ce que j'avais dit.

- Je vais... hummm... être punie... parce que je suis... hoo... vilaine... hannn...

Il a trouvé l'objet et le fait osciller dans mon bas ventre.

Mon sexe outragé, je ne peux résister et je suis obligé de me pencher.

Ma croupe relevée, mes jambes grandement écartées, ses doigts plongés dans mon antre féminine, j'ai l'impression de n'être qu'un sexe, qu'une multitude de sensations toutes plus osées les unes que les autres.

Il reflue au creux de moi, l'oeuf entre ses doigts.

Je crie. Mélange de douleur et de bonheur.

Incapable de résister à cette vague de plaisir, ma cyprine envahit mon sexe et inonde ses doigts.

- Je suis... désolée... Monsieur.

Un éclair vient de me parcourir.

Il ne dit rien. Sa main me maintient penchée en avant, mon fessier tendu vers lui.

La fessée vient enfin, libératrice.

Sa main s'abat et à chaque claque ses caresses pour apaiser le pincement de ma peau me provoque un gloussement de bonheur.

Dans mon anus le plug oscille et résonne, accroissant de façon insolite un plaisir qui décuple mes sensations.

Je ne peux m'empêcher de pousser quelques cris qui expriment l'indécent bonheur qui est le mien.

Il prend son temps pour me donner ma punition de la plus belle façon qu'il soit.

Mes fesses ont chaud.

Sa main se fait plus curieuse et exploratrice.

Elle glisse entre mes cuisses et vient flirter avec mon bonbon en feu.

Du bout des doigts il me caresse.

Mon clitoris vibre.

Il remonte alors sa main vers la vallée de mes fesses.

Sous ses manoeuvres le plug anal oscille.

Il en joue, le forçant à aller de gauche et de droite, ouvrant mon orifice étroit de la plus belle manière qui soit.

Il s'en saisi et le force à s'extraire, lentement.

Je sens mon anus se tendre, la résistance souple qu'il oppose au jeu de l'objet m'arrache un gémissement intense.

Mon feulement se poursuit comme Monsieur accentue la pression.

Je relève ma croupe avec indécence.

Je n'ai qu'une envie... qu'il me baise... par tous les trous.

L'attente est insoutenable.

Je me consume de désir et je devine mon sexe couler tout ce temps qu'il m'excite à l'aide de la fausse verge plantée dans mes fesses.

Mon anus se détend sous l'extraction du plug.

Je lâche un cri guttural, suivi d'un feulement.

Mon corps se cambre.

Je viens d'atteindre un point d'orgasme.

Le souffle me manque.

Mes seins montent et descendent sous ma respiration.

Je sens ses mains sur mes hanches.

Il m'attire vers le bas.

Allongé au sol il me place a califourchon sur lui, mon visage orienté vers ses pieds.

- Pour chaque orgasme que tu as eu je vais te punir par le sexe. Celui-ci est le 7eme... commençons par la fin.

Mon sexe se pose sur le sien.

Je me frotte, lubrifiant son manche que je sens dur et raide entre mes lèvres lisses.

A quatre pattes, les cuisses largement écartées, je lui montre mon fessier.

Il le caresse avec douceur, pétrissant une à une mes fesses tendues vers lui.

Je pose mes mains sur mes globes blancs, mes seins lourds posés sur ses jambes, la joue collée à son mollet, lubrique comme une vestale, j'ouvre mes cuisses et ma raie sans cesser d'onduler sur sa verge.

Il profite de mon spectacle.

Je glisse ma main entre mes jambes.

D'où il est je sais qu'il peut m'observer en toute liberté.

Je me caresse, trempée, écartant mes lèvres pour lui permettre de voir mon doigt s'insinuer dans ma vulve.

De mon autre main je flatte mon petit trou du bout de l'index. Il a une vue intégrale de mon corps, je le sais.

Je me donne une petite tape sur mon sexe luisant.

Je l'entends apprécier ce que je lui offre.

Je recommence, mes 4 doigts viennent tapoter mon sexe.

Mon clitoris bouge, je m'excite, je le presse, je feule.

Dans mes doigts je sens son membre tendu et gorgé. Je le saisi dans ma main.

Large, je ne peux en faire le tour de mes doigts.

J'en ai envie. Je le veux en moi.

Il ne me faut qu'une seconde pour le présenter devant ma fente qui l'accueille sans effort.

Je l'imagine... derrière moi... il observe ma chatte qui, tel un abricot éventré, se fait remplir par la grosseur du manche.

Il m'écartèle, je pousse un grognement.

Malgré mon humidité, sa grosseur me tourmente.

D'un coup de reins je l'enfonce en moi.

Le cri que je pousse fait aussitôt place à un gémissement de plaisir partagé.

Ce sont mes mouvements de hanches qui font pénétrer sa verge dans mon ventre, au plus profond.

Je me cambre et me dresse jusqu'à sentir sa verge disparaître entre mes nymphes malmenées.

Mon sexe monte et descend sur le sien.

Tel un pieu qui me pilonne, je l'accepte, je le fais se dresser et ramoner mon intimité brûlante.

Il me force à me redresser.

Sa verge m'abandonne momentanément.

J'ouvre grand les cuisses pour être à sa disposition.

Mes mains agrippent le canapé.

Je me sens bien, je me livre à lui.

Il enfonce sa verge à nouveau en moi.

Ma bouche grande ouverte expulse des gémissements sans cohérence.

Il me baise enfin. Comme une chienne. Et je jouis.

En levrette, son gourdin me taraude sans relâche.

Une de ses mains vient s'emparer d'une de mes mamelles.

Il en tire le téton tout en continuant de me prendre avec force.

Il me punit par une saillie animale et mon sexe expulse sa cyprine sur son manche qui me pistonne sans cesse.

Ses mains resserrent mes jambes.

Sa grosseur devient intolérable dans mon vagin souillé.

Il n'en a cure et poursuit ses intromissions.

Je bafouille un "oui" alors qu'il s'extraie enfin de ma grotte défoncée.

Il y replonge et mes chairs brûlantes s'écartent difficilement pour céder et me faire hurler de plaisir.

Je viens de déguster mon deuxième orgasme simultané.

Je m'effondre sur le canapé, incapable de résister à ses coups de butoirs qu'il m'assène.

Il sort de mon sexe.

Debout derrière moi, je lui offre ce qu'il veut. Tout.

Sa main me caresse le dos, la croupe.

Il flatte ma nuque.

J'obéis, docile, gourmande, en embouchant sa queue ruisselante de mon jus.

Ma bouche s'ouvre pour le faire entrer.

Sous ma langue il est chaud.

Je le suce profondément, le faisant entrer jusqu'au fond de ma gorge, mes yeux dans les siens.

Il sait que j'aime bouffer son sexe, il me sourit avant de fermer les yeux et exploser dans ma bouche.

Ses jets épais nappent ma langue, mes joues se remplissent.

Je n'avale rien, continuant de le faire aller et venir entre mes lèvres.

Sans force je poursuis avec l'aide de ses mains qui me font aller et venir.

Lorsqu'il relâche mon visage, je me penche en arrière.

Bouche grande ouverte je lui offre à contempler sa semence dans ma gorge.

Il caresse mon front moite.

Je fais entrer son sirop d'homme par petites déglutitions.

Lentement j'avale, profitant de cette offrande au goût si particulier.

Je déglutis avec délice, toujours aussi surprise d'aimer avaler son foutre.

Je sais cependant que ma punition n'est pas finie.

Pourvu qu'elle soit encore aussi douce...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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[...]
Je me levais et déjà je sentais au fond de moi l'oeuf venir froler le plug anal au travers de la fine membrane qui séparait mes deux orifices.
D'un geste lent je remis ma jupe en place.
Monsieur me regardait.
J'avais chaud.
Au creux de moi les deux objets plantés dans mon bas ventre me faisaient l'impression de m'ouvrir littéralement.
Au premier pas le god oscilla dans mon vagin, il fit tinter sourdement la boule insérée dans mon anus.
Le plug était pourvu d'un balancier interne, j'eu du mal à me retenir de gémir.
Chaque pas était source de sensations internes.
Le sourire de l'homme en face de moi me rendait fière.
Sa voix douce me parvint pour échauffer mes joues un peu plus.
- Tu seras punie si tu jouis.
Il savait qu'il me serait impossible de ne pas atteindre l'orgasme.
- Oui Monsieur.
Je m'excitais toute seule à cette seule réponse.
Le couloir me paraissait long jusqu'à l'ascenseur.
J'avais remis mes cheveux en place, refait un peu de maquillage distraitement.
Alors que certains avaient pris une pause relaxante, je m'étais faite fessée et introduire par tous les trous.
Alors que d'autres étaient concentrés sur l'idée de ne pas s'assoupir durant la conférence, j'avais le devoir de rester discrète sur les sensations qui m'habitaient.
Monsieur ralluma l'oeuf dans l'ascenseur.
Sa vibration m'envahit comme une vague.
Irresistible.
Une onde de chaleur et d'excitations de sens qui remontaient jusqu'à ma nuque, jusque dans le bout de mes pieds, de mes mains.
Je du m'accrocher à son épaule et à la barre de laiton pour ne pas m'effondrer.
Ses yeux gris dans les miens, sa main qui me retenait, il était là et cela décuplait de manière intellectuelle le plaisir charnel que je venais de prendre.
Mon sexe et mon intimité stimulés en profondeur, je sentais déjà que je mouillais.
La porte s'ouvrit et je savais que je devais retourner dans l'arène.
J'aurais pu m'enfuir comme il partait de son côté, ou enlever les objets pour ne pas avoir à risquer de subir une situation des plus génante au milieu de tous ces gens.
Bien au contraire j'entrais enivrée par le suplice secrêt qui nous liait.
Je décidais de croiser les jambes assez haut pour qu'il puisse, assis en face de moi de l'autre côté de l'arc de cercle, pouvoir à loisir poser ses yeux sur mes cuisses... et savoir que d'autres que lui pouvaient en faire autant.
M'asseoir fit bouger le plug et par la même décaler le god... plaisir délicat qui me ravi.
Je décroisais puis recroisais, insistant sur mon assise, sous le regard complice de mon maître.
La première série de vibrations me pris par surprise alors que j'écrivais. La feuille perça.
Avec peine je résistais, fermant les yeux.
Le souffle court, à peine remis de mes émotions, la seconde série me donna l'impression de m'ouvrir l'entre cuisses.
Peu à peu je perdais pied.
Les temps où les vibrations cessaient ne me permettaient pas de récupérer mon aplomb.
Je ne parvenais pas à me concentrer sur la conférencière.
Lorsque je n'avais pas les yeux clos, je sentais le sourire complaisant de Monsieur qui me redonnait la force de ne pas sortir en courant.
Mon voisin me demanda si j'allais bien.
Je repondis qu'une légère indisposition ne m'empéchait en rien de suivre de manière attentive.
Menteuse, mon cerveau reptilien avait gagné, je ne mesurais que mes sensations et mon excitation qui allait croissant.
Mon anus ne m'obéissait plus, il se dilatait sous l'effet du plaisir.
Ma fente coulait sous les trépidations exercées à ma vulve.
Je sentais mon clitoris et mes seins douloureux.
Je n'avais qu'une envie, écarter mes cuisses et me cambrer, tendre mon cul et mon sexe et crier.
Au lieu de cela je faisais des efforts herculéens pour endiguer la jouissance qui me parcourait.
Les orgasmes se succédèrent de façon perlée.
Incapable de résister, je subissais les vagues de plaisir issues des secousses internes qui irradiaient de mon bas ventre.
Le feu de mes joues n'était rien comparé au feu qui m'incendiait l'intimité.
Bouche close, du fond de ma gorge sourdaient des soupirs que je tentais d'étouffer avec peine.
La voix forte de la femme cachait au public ces gémissements impolis que je ne savais plus empécher.
Ils résonnaient en moi, à l'unisson des mouvements cahotiques et obcènes des objets rivés en moi.
Ce plaisir était source de honte.
Cette honte était source de plaisir.
Le séisme qui m'animait avait des répercussions sur tout mon être.
Une salve d'applaudissements nourris éclata.
Je poussais un petit cri libérateur qui se perdit dans l'environnement.
Les joues rouges, les doigts blancs d'avoir serré la tablette et le fauteuil, je restais assise alors que les auditeurs désertaient la salle.
Monsieur me lança un sourire m'indiquant qu'il arrêtait les vibrations.
Il me fallu quelques minutes pour me retrouver.
Mes cuisses et ma jupe étaient souillées de mes jouissances.
Je venais de prendre mon pied au milieu d'une centaine de personnes, de façon secrête, pendant plus d'une heure et demi.
Il me restait à affronter la punition de mon Maitre... instantanément je recommençait à mouiller.
A suivre...
Par Maitre - Publié dans : Eve & Monsieur
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