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Je ne voyais pas leurs visages, uniquement le repas, somptueux, cependant pour moi tout avait gout de foutre.
Je ne me souviens plus de quoi nous avons discuté... sauf à la fin... quand ils me questionnèrent.
Je leur avouais que j'aimais le sexe, que j'étais la soumise de Monsieur et qu'ils m'honoraient en me gratifiant de "salope".
C'était la première fois que je me faisais mettre par trois hommes et j'adorais ça.
L'un d'eux dit alors qu'il fallait arroser l'événement de mon dépucelage.
A la fin du repas... Je savais que j'allais être leur dessert, et je me réjouissais de ce qu'ils allaient me faire.
Ils s'installèrent dans le salon et là je fus invitée à onduler pour eux.
Je me surpris à me caresser devant eux sans aucune honte.
Mes mains soupesant mes seins lourds, excitant mes tétons et plongeant mes doigts entre mes cuisses pour leur offrir le spectacle de ma masturbation à leur attention.
Puis ils m’invitèrent à venir les sucer, au gré de leurs envies.
Je m’agenouillais entre eux trois.
Je sentais le sexe, je devais mouiller comme une fontaine.
Je passais d'un sexe à l'autre comme ils me le demandaient.
Ils m'observaient faire, ma bouche emprisonnant les sexes les uns après les autres, ma langue qui partait de la base de leurs couilles et qui remontait jusqu'à titiller le méat, puis mes lèvres qui s'ouvraient pour enfourner leurs vits.
Je pompais avec délicatesse, ne donnant pas plus à l'un qu'à l'autre mais toujours le meilleur à chacun d'eux.
Lorsque j'aspirais leurs bourses, je les faisais rouler à l'aide de ma langue, je les tétais, les gobais.
Je suçais sous leurs compliments et leurs encouragements.
Je me souviens que l'un d'eux, Arc de cercle, me prit la main et m'emmena dans la chambre.
Là, la porte tout de même ouverte, il me baisa avec douceur, seul.
J'en éprouvais un sentiment de bien-être.
Il m’allongea sur le lit. Je savais que j’étais visible des deux autres hommes qui sirotaient dans le salon, profitant du spectacle.
Sans un mot il m'écarta les cuisses pour s'installer dans le confort de ma fente.
Sa verge allait et venait, doucement, longuement.
Avec lenteur il m'emmena jusqu'au plaisir, sortant de mon ventre pour jouir sur mon ventre et mes seins comme je poussais un soupir orgasmique.
J'étais dans une sorte de bulle de calme par rapport à ce qui venait de m’arriver.
Il me ramena dans le salon où je n'eu pas le temps de m'asseoir... Tige-Saillante m'invita à la suivre à son tour.
Je me sentie humiliée. Mes joues devinrent cramoisies.
J'étais devenu la pute qu'ils se tapaient les uns les autres en l'embarquant dans la chambre.
Instantanément mon sexe se mit à mouiller. Je devenais folle. Folle de sexe.
Il me pressa contre le mur de la chambre.
Son pieu vint s'enfoncer brutalement en moi.
Au calme se succéda la tempête.
J’écartais les cuisses, je voulais qu’il me baise comme un porc… qu’il me prenne comme une chienne.
Sa bouche vorace mangeait mes tétons excités à m'en faire mal.
Son sexe s'enfonçait en moi en me tapant contre le mur.
Par la porte ouverte j’entendais les deux autres hommes commenter mes performances.
Plus leurs mots étaient verts, et plus je poussais mon bassin vers le mandrin de chair qui me labourait.
Il me fit jouir à son tour et il se répandit le long de ma cuisse alors que je le branlais vigoureusement.
A mon retour dans le salon j'étais exténuée et honteuse d'avoir autant aimé ces deux façons différentes de me faire prendre par deux amants inconnus.
Je reçu une caresse sur la hanche. Je savais qui en était l'auteur.
Monsieur.
Il faisait remonter le foutre étalé sur ma cuisse jusqu'à la base de mon sexe.
Je me souviens avoir rougie.
Il me branlait en plein milieu de la pièce, nue, sale.
Ses doigts étaient lubrifiés de spermes et de cyprine.
Mes cuisses s’ouvrirent à nouveau, je ne me reconnaissais plus.
Ses doigts s’immiscèrent entre mes lèvres scintillantes de mouilles.
J’avais la chatte ouverte devant ces trois paires d’yeux lubriques.
Il écartait les nymphes, mon clitoris sorti et gonflé dans ma moule baveuse.
Son autre main me caressait, exhibant l’entrée de ma vulve.
Je gémissais sans pouvoir m’en empêcher.
Je mouillais... debout… incapable de retenir mes soupirs de plaisir.
Je me souviens qu’il me fit me mettre en travers de ses jambes.
Sa main claqua sur ma fesse et je poussais un petit cri.
Il me fessa devant ses amis.
Je ne pouvais cacher mon bonheur et lorsqu'il passa son doigt sur mon sexe avant de me le faire sucer, je du reconnaitre que j'avais jouie sous la délicieuse punition.
Alors il me força à venir m'empaler sur sa grosse verge.
Ma fente brulante inondée de désir s'écarta sans aucun effort pour le faire monter et descendre dans le creux de mes reins.
J'ondulais mes hanches et très vite je leur offris le spectacle de mon corps noueux, accroupie sur lui, qui allait et venait autour de l'épaisse queue qui me labourait alors que mes seins voluptueux ballotaient d'avant en arrière.
Il me pencha sur lui.
Son souffle dans mon cou.
Ses paroles d'encouragement et de compréhension.
Ses mains qui écartèrent mes fesses et la douleur lorsqu'une autre bite se calla contre ma rosette.
Le gland poussa l'interdit.
La tige se ficha dans mon anus endolori.
Les deux membres glissaient de concert.
Je gémissais.
Je me souviens avoir été soulevée de terre et baisée par mes deux orifices, prise en sandwich.
Le reste est plus flou et j'ignore dans quel ordre ils m'enculèrent à nouveau tour à tour, je ne me rappelle que des sensations et du crescendo de mes cris qui les excitaient encore plus alors qu'ils m'encourageaient.
Mes orgasmes s'enchainaient sur le rythme infernal de leurs sexes qui se relayaient pour ne jamais me laisser un temps de pause.
Il y avait une constante dans mon esprit... qui revenait sans cesse... comme une comptine que je leur susurrais : "baisez-moi encore".
Qui de la soumise ou du maitre ordonnait à l'autre ?
Il me soumettait et j'étais son moyen.
Nous étions heureux.
Comme après la tempête, le calme vint et les 2 hommes partirent non sans m'avoir salué poliment et complimenté.
Quel contraste avec leurs paroles pendant les heures précédentes, et ma tenue... à plat ventre sur la table basse, salie et écartelée.
Lorsque le bandeau tomba je me souviens avoir rougis.
Rougis devant le sourire radieux de Monsieur qui m'embrassa sans se soucier de mes marbrures de spermes.
J’étais bien, assouvie, il caressait mes cheveux, ma peau, attentif à mon être et non à son apparence.
Nous avons passé quelques minutes ainsi collés l'un à l'autre.
Ses mains passaient sur mon corps et je collais.
Il me goba les seins pour me sucer avec tendresse et, lorsqu'il m'allongea sur le canapé et qu'il me fourra en douceur, je su que j'aimais être à lui, lui à moi, que les autres n'étaient que des jouets.
Nous fîmes l'amour de la plus douce des façons avant qu'il me laisse partir... seulement vêtue de ma jupe et mon pull.
Tous ces souvenirs font revenir en moi le gout du sexe et je viens sous mes caresses alors que l'eau ruisselle sur mon corps.
Entre mes doigts, mon sexe se trempe, se libère... seule je viens de me faire jouir dans un ultime cri irrépressible.
J'ouvre mes yeux.
Le décor habituel de mon environnement.
Je ne suis plus la reine de la soirée.
Mon rimmel a coulé.
Je pleure.
J'en veux encore...
Je souris.
Merci Monsieur...
Je ris.
"Baisez-moi !"
A suivre...