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La musique allait crescendo, son rythme m’enveloppait dans un tourbillon, une tornade de fantasmes me parcouraient, abattant mes barrières qui tombaient.
Entièrement nue, les yeux bandés par un foulard de soie noire, je me souviens reconnaitre chacun des trois hommes par leurs mains et la façon qu'ils avaient de me toucher, de saisir mes seins pour les malmener.
L'homme sous moi avait glissé ses mains sous mes fesses et m'imposait un rythme lent et continu.
Je sentais son souffle dans mon cou, ses gémissements de plaisir que je lui provoquais en jouant de ma vulve qui se contractait autour de son membre.
J'étais allongée sur ce premier homme, les mains au dessus de ses épaules, les bouts de mes seins parfois lécher par sa langue, je me cambrais encore plus, et je savais alors que mon cul leur apparaissait dans toute sa splendeur, bombé, ferme...
Les deux autres hommes, dont Monsieur, me regardaient m'empaler et sauter sur son large manche.
Je gémissais des "ho oui" alors que les mains larges de veine saillante faisaient monter et descendre mes hanches jusqu'à venir claquer mes lèvres sur la base de ses couilles.
Leurs paroles me parvenaient comme au travers d'un épais brouillard... des compliments osés, des remarques libertines, et toutes me rendaient encore plus folle de sexe.
Mes cheveux tirés en arrière j'étais obligé de relever mon visage.
Je cherchais de mon regard aveugle la personne que se tenait en face de moi.
Puis je sentis le parfum de musc avant que mes lèvres ne soient effleurées par une extrémité lisse et chaude.
J'écartais mes lèvres pour venir lécher le sexe qui se présentait à moi.
Ma langue s'enroulait autour du gland et j'avais envie de la prendre en bouche très profondément.
Je pompais le bout de son sexe et les bruits de succions se mêlaient aux accords de violons.
D'une main plus ferme sur ma tête, Arc de cercle m'enfonça sa bite loin dans la bouche.
Elle me déformait la bouche sous les assauts conjugués.
J'opérais une pipe que j'entendis qualifier de "royale".
Mes mouvements de bassin se coordonnèrent avec la fellation.
A chaque percée dans mon ventre, la sucette s'extrayait de ma bouche, et à chaque fois que le mandrin refluait je prenais le pieu au fond de la gorge.
Les gémissements rauques que je produisais se mélangeaient aux soupirs masculins des deux hommes qui me ramonaient.
Je me souviens...
Avoir senti des mains que je connaissais, se poser sur mes fesses pour accompagner mes ondulations.
Je savais que Monsieur allait passer par derrière.
Alors je me penchais encore plus pour lui offrir mon séant, inspirée par le plaisir, guidée par mon orgasme qui grandissait.
Je les entendais me féliciter.
"Elle présente son cul", "elle aime ça", "quelle belle salope".
Il posa son pouce sur mon œil intime.
J'aurais voulu redresser mon visage, tordre mon corps, mais les mains tenaient fermement mon visage, la bouche remplie d'une queue épaisse jusqu'à la gorge, et j'étais plaquée, plantée, sur un autre homme.
J'étais à la merci de Monsieur...
Honteuse et excitée je sentais mon anus s'ouvrir et se contracter malgré moi.
Il profitait de ce moment en caressant mon petit trou.
Je savais qu'il était large et je voulais le supplier de ne pas me faire mal, à la place je ne pus que baver sur la paire de couilles en prononçant d'inintelligibles sons.
Lorsqu'il enfonça son index dans mon anneau je me rappelle avoir poussé un soulagement.
J'en avais envie comme rarement.
Il me branla ainsi l'arrière train, au rythme des allers et venues des deux autres hommes, j'étais devenue... chienne... salope... mais surtout j'assouvissais mes passions de femme.
Le gland vint se poser sur ma rosette et je me souviens avoir sorti le sexe d'entre mes lèvres pour crier alors qu'il m'enculait.
Son gland s'immisça et sa tige s'enfonça dans mon conduit étroit.
Son gros sexe écartela mon anus.
Il resta ainsi quelques temps, ouvrant une brèche dans les parois de mon séant.
Je m'habituais à sentir en moi la présence de deux tiges dans mes entrailles.
La douleur fit rapidement place au plaisir.
Et je poussais mon bas ventre vers les deux queues.
Je voulais les sentir loin en moi.
Les mains de mon Maitre se firent alors plus pressantes sur mes hanches.
Il dirigeait la manœuvre, mes autres trous subissant sa direction.
Il revenait en arrière avant de me forcer un peu plus loin à chaque poussée.
Ils me demandaient si j'aimais...
Le sexe sortit de ma bouche.
J'avais mal aux mâchoires, je déglutissais avec difficulté, un gout de foutre dans ma bouche.
Je parvins à articuler et ma voix fut claire, limpide, "Oh... oui... Prenez-moi par tous les trous ! Baisez-mon cul ! Enculez-moi encore !! humm".
Ce ton sucré et fiévreux... j'avais une voix de pute me semblait-il.
Je fus réduite au silence après ces quelques mots par une poussée de queue au fond de ma gorge.
Il me la mettait profondément et je lui dévorais le manche comme affamée.
Pendant ce temps mon sexe était écartelé par une pine sur laquelle j'étais ouverte et qui frottait contre l'autre queue qui me bourrait l'anus.
Les deux verges frottaient l'une contre l'autre, séparée par une mince lamelle de chair dans l’intimité de mon ventre.
Ils me remplissaient et je ne touchais plus sol.
Tous mes trous étaient remplis.
Ils me besognaient comme des sauvages et je me donnais à eux, attentif à chacun, consciencieuse, dévouée.
J'atteins l'orgasme alors que les deux coulisses me pistonnaient à l'unisson.
Complètement ouverte je ne me souviens plus dans quel ordre ils me sodomisèrent par la suite.
Je me souviens qu'ils me prirent tous en levrette et que je suçais des queues qui avaient le gout de mon sexe, la saveur de mon cul.
Parfois j'avais deux verges dans la bouche alors qu'une autre défonçait ma fente.
D'autres fois je me faisais gifler le visage par une pine dure et trempée alors que mon cul subissait une perforation sauvage.
Mes orgasmes s'enfilaient en cascade, je criais et je gémissais comme une pucelle, enfilant mes orgasmes l'un après l'autre.
Quand l'un d'entre eux jouissait, il le faisait sur mon dos ou dans ma bouche.
Peu à peu ils devinrent moins actifs et leurs caresses qui étalaient leurs sucs sur moi plus douces.
Je n'en pouvais plus, je m'affalais sur le tapis.
Je n'avais jamais autant jouis de ma vie.
Je me rappelle qu'ils me contemplèrent, avançant à 4 pattes, menée par Monsieur jusqu'aux WC, les yeux toujours bandés.
Il me murmura un "Tu es splendide" qui me fit comprendre que la soirée n'était pas terminée.
J'étais fière, je revins dans la salle, le port altier malgré ma démarche douloureuse.
J'avais été outragée et malgré cela mes seins se tendaient vers l'avant, ne pouvant cacher mes aspirations à ces plaisirs indécents.
Puis nous mangeâmes ensemble et pour ce moment seulement j'eu le droit d'avoir le bas de mon bandeau relevé.
A suivre…