Elle, dominatrice...

[...]

Il la détaille...cravache
La douceur de son regard, de son visage, ses épaules pâles puis son cou gracile et ce grain de beauté délicat qui se duplique en haut de son sein gauche, sur sa poitrine généreuse aux larges corolles aux centres desquelles pointent des mamelons roses, les ombres de ses seins sur son petit ventre où se dessine avec sensualité son nombril, pour arriver sur ses hanches et la rondeur de ses fesses, son pubis totalement lisse comme il convient à son statut, fissure envoutante à l'entrecuisse de ses jambes douces.
Elle fait de même.
Les traits masculins qui rehaussent l'azur grisé de ses yeux, ses bras et ses mains qui savent être velours ou acier, son torse légèrement velu d'où se dévoilent deux petits tétons bruns, son ventre sur lequel vient se dessiner une fine frange pileuse ainsi que le haut de sa verge dressée, le gland pourpre et turgescent couronné de petites pointes de chairs sur son pourtour, le col resserré avant de laisser découvrir la largeur conséquente de la tige qui surplombe ses deux bourses lisses, son fessier rond et dur, campé sur deux jambes fortes.
Leurs mains couvertes de savon, sous la pluie continue de la douche, ils se savonnent l'un l'autre, explorant avec délicatesse comme pour apprendre, encore une fois, s'imprégner à tout jamais, du corps de son amant.
Il lui retire le collier de soumise qui orne son cou en chaque instant, faisant de ses doigts une caresse.
Elle frémit sous la bouche qui vient déposer un baiser à la place du cuir noir.
Une étreinte tendre et douce où les corps ruisselants s'épousent dans un tremblement de sensualité.
Souriant et sans un mot, ils s'essuient l'un l'autre.
Il embrasse chacune des paumes de la femme qui lui fait face et les pose, l'une après l'autre, sur ses épaules.
Sa bouche embrasse la commissure des lèvres. Elle sent une boule de chaleur monter dans son ventre.
Le son de sa voix, grave, se fait murmure, une fermeté mesurée qui contraste avec le message.
- Domine-moi... ose te révéler.
Elle en ferme les yeux. Elle sait qu'elle reste Sa Soumise... mais que par son ordre elle peut prendre à son tour les rênes.
- Veux-tu être... ma salope ? Lui répond-elle, enivrée par ce qu'il lui propose.
Sa main posée sur le torse de son mâle.
Ses doigts féminins, fébrilement, passent dans le lacis de sa courte toison.
Leurs yeux ne se quittent plus.
Etincelants et parsemés d'étoiles.
- Oui... je serais ta salope. Lui sourit-il.
Il se baisse doucement, accompagnée par les mains qui appuient faiblement pour le faire venir se tenir accroupi au sol.
Sa bouche vient se poser sur la fente aux nymphes légèrement entrouvertes.
Elle sent le contact des lèvres qui frôlent et caressent son pubis.
Elles embrassent puis se frottent avec une grande attention avant que la langue ne vienne se faire sentir et titiller sa fente tout du long, entrouvrant les nymphes diaphanes..
Elle le repousse car elle sent qu'autrement elle ne pourra pas agir, que prise dans la spirale du plaisir qu'il va lui donner, elle ne pourra obéir à leurs envies.
Sa bouche est sèche... son cœur bat la chamade.
Elle glisse ses mains dans les cheveux courts de son mâle pour le caresser.
- Tu lèches bien. Commente t-elle dans un soupir réprimé, les mots hésitants.
Elle s'éloigne et l'observe.
Il sent son regard sur lui.
Accroupis, les couilles pendantes, le sexe tendu... il lui offre un spectacle de totale offrande.
Leurs sourires se croisent et se répondent.
Elle sort de la salle de bain et lui fait signe de la suivre.
Il pose ses mains sur le sol et, à 4 pattes, comme si souvent elle le fait pour lui si souvent, il lui emboite le pas en la suivant. Il veut li faire plaisir.
Elle referme la porte et le caresse.
- Bon... chien. Ose t-elle, guettant une réaction négative qui serait signe d'un arrêt du switch.
Au lieu de cela il vient frotter son visage contre sa jambe.
Elle l'enjambe et pose son bas ventre nu sur son cou.
Elle se frotte lentement sur la nuque, admirant la croupe masculine qui lui fait face.
La sensation de chaleur du sexe de sa partenaire sur lui, aussitôt, le met en excitation charnelle. Il ondule du bassin, il sait qu'elle l'observe.
La langue féminine vient se poser sur une fesse, puis bien vite glisse dans la raie jusqu'à venir titiller la petite rosette close.
Il réagit d'un soupir, lorsque la langue vient laper son intimité.
Elle lèche les petits plis, salive sur l'orifice jusqu'à ce qu'il s'assouplisse légèrement.
Le son, caractéristique, d'un crachat sur l'œil brun... et la poussée de la langue qui entre et déflore.
Il ne dit rien, souffle seulement et se cambre pour accueillir le muscle féminin, acceptation tacite du plus immoral des outrages.
- Je vais te bouffer le cul. Lui dit-elle en joignant les gestes à la parole.
La langue vient l'écarter, la bouche se plaquer, les mouvements buccaux lui élargissent la rosette.
Ses seins frottent sur le bas de son dos, son vagin dégouline de plaisir de le savoir offert à ses envies de femme, elle enfonce sa langue loin en lui.
De longues minutes, elle se plait à lui déguster l'anus avant de se relever.
De sa main elle masse les bourses couvertes de salive qu'elle a répandue sur son œillet et qui a coulé jusque sur les sacs lourds.
- Tu aimes ça mon cochon... ça te fait bander.
Il murmure un "oui", la main gracile et fine, féminine, venant de prendre sa tige raide qui cogne contre son ventre.
Il soupire fortement, soulagé qu'elle lui masse enfin le manche en érection.
Elle le masturbe quelques instants jusqu'à le faire se tortiller.
Puis elle se recule, lui offre le spectacle de son abricot trempé.
Elle lui sourit et se masse le sexe devant son homme... à 4 pattes pour elle.
Il la désire, il la contemple...
Dans un mouvement sensuel, elle passe ses doigts gluants sur son dos, et se glisse dans la raie, entre les fesses masculines.
Sans un mot elle pousse un doigt et le pénètre.
Il dresse son bassin à la rencontre de l'intrus qui s'esquive déjà...
Une sensation froide se colle à son orifice palpitant.
Large... il ouvre de grands yeux lorsqu'il sent entrer en lui un plug qui lui écarte les muqueuses intimes.
Il geint, la douleur fugace, remplacée par des sensations de plaisirs, irradiants de son arrière train rempli.
Elle fait osciller l'objet, élargit et étire le petit trou de son mâle.
Court et large, elle le retire et le replace, lentement , puis plus vivement, jusqu'à arracher un gémissement de plaisir de celui qui ne résiste pas au traitement sexuel qu'elle lui inflige.
Elle se relève et se dirige vers la porte.
- Je reviens, tu ne bouges pas petite salope. Lui dit-elle en le laissant, le cul défloré et possédé par un plug.
La porte se referme.
Il reprend sa respiration, tente de retrouver son calme, mais le moindre mouvement fait osciller l'objet et ressentir des vibrations jusqu'au creux de son être.
Indécent, seul, il pose ses coudes sur le sol et entame de lents mouvements de reins.
Son anneau est une source de plaisirs, insolents...
Il sent son membre, qui reste dur et érigé comme un soc contre son ventre.
Il voudrait que la porte s'ouvre, qu'elle revienne, vite... alors il prend une pose, obscène, écartant un peu plus les genoux, cambrant ses reins pour exhiber l'objet qui lui taraude le plus intime conduit..
Et elle se profile, l'admire, elle sourit de cette position qu'il a pris, pour elle, pour eux, dans l'embrasure de la porte.
Un mug de thé à la main dont la chaleur forme des volutes devant son visage et ses yeux gourmands.
Elle caresse ses fesses et tourne l'objet en lui.
- Un vrai petit bijou pour femme. Lui susurre t-elle d'un ton sensuel.
Elle le retire, il geint, elle laisse la béance sombre se révéler.
Doucement elle lui pose le jouet sur les lèvres qu'il garde closes, elle hésite... il reste son Alpha... elle lui caresse la bouche encore un petit instant avant de le placer dans sa bouche à elle.
Il l'observe, hypnotisé par cette bouche délicate qui suçotte le plug anal.
Elle savoure, sans aucune gène, le gout de son homme en son plus intime orifice, devant lui.
Elle lui montre qu'elle apprécie tout de lui.
De nouveau derrière, elle avale une gorgée de thé, puis vient poser sa langue sur le rond palpitant.
Ses caresses sont chaudes.
Elle boit, lui lèche l'anneau.
Elle libère un peu de la boisson qui ruissèle.
Ses doigts agiles viennent enserrer la bite en feu pour la masturber au rythme des coups de langue brulantes.
Il pousse des petits soupirs de plaisir, sans interruption. Entièrement soumis à ses sensations qu'elle lui fait éprouver.
- Branle-toi dans ma main. Comme un chien.
Il obéit, heureux de pouvoir satisfaire son envie de savoir sa verge se faire astiquer plus rapidement, tant il est au bord de l'orgasme.
Savourant les dernières gouttes de son thé, elle assiste au spectacle pervers de cette prise de plaisir partagé.
Elle lui incline la verge, sentant la jouissance arriver, celle qui anime sa tige masculine de contractions caractéristiques, celle qui lui fait pousser des râles plus rauques.
Il bouge son bassin, se branle dans la main immobile, au rythme anarchique de ses mouvements de reins.
- Demande-moi avant de jouir. Lui ordonne t-elle.
Il parvient à formuler cette demande... entre deux respirations éloquentes.
Elle enfonce alors d'un seul trait, le plug, de nouveau dans son cul.
L'entrée est électrisante.
Il pousse un cri muet, la bouche ouverte.
- Gicle dans la tasse.
Le cri se libère et il se vide, entre ses doigts.
Son manche à angle droit, dirigé sur le mug encore tiède, son foutre est recueilli.
Il tremble et lâche un râle orgasmique à chaque giclée qu'il éjacule.
Lentement la main vient presser la base de la verge jusqu'au gland pour éponger les dernières gouttes.
Elle ôte de nouveau le jouet d'entre ses fesses.
Leurs yeux se croisent.
Il ouvre légèrement la bouche et passe sa langue sur ses lèvres en posant son regard sur l'objet qu'elle tient dans ses mains.
Elle lutte pour ne pas rougir de joie... si désireuse de leur complicité.
Délicatement il l'accepte entre ses lèvres et, sans la lâcher du regard, suce l'objet aux introductions si osées, au parfum... immoral.
Son regard se trouble, de le savoir en osmose avec elle, de comprendre une nouvelle fois à quel point leurs plaisirs s'enchainent et se lient avec autant de force.
Il acceptera tout d'elle, comme l'écho de son âtre pour lui.
Elle porte la tasse à ses lèvres et fait glisser dans sa gorge, le produit de son éjaculation.
D'un geste elle le fait se tourner vers elle.
Il se place, une nouvelle fois, à 4 pattes, dos à sa complice.
- Quelle jolie... petite pute. Lance-t'elle en observant sa réaction.
Il n'en prend pas ombrage, et même, perçoit l'excitation que ce switch ne cesse de lui inspirer. Avec elle... uniquement elle.
La sensation honteuse de son jus, qu'elle fait dégouliner sur son petit trou, qu'elle perce de deux doigts.
Lentement, avec force délicatesse, elle touille l'anus qu'elle souille de foutre.
Ses doigts sont couverts de la poisse masculine qu'elle fait pénétrer dans la rosette.
- Ouvre-toi plus que ça.
Il pose ses mains sur ses fesses et les écarte, obéissant, lui facilitant ainsi le passage de ses doigts et bien vite de sa langue gourmande.
Elle lui lèche le fion, apprécie le mélange de gouts en y faisant s'écouler le miel de son orgasme.
Il ondule des hanches, apprécie le traitement pervers auquel elle le soumet.
- Viens m'embrasser. Soupire t-elle, agenouillée elle aussi.
Leurs bouches se soudent.
Les langues se veulent.
Ils partagent leurs fragrances, leurs désirs les plus obscènes.
Unis dans la jouissance.
En communion sensuelle.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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[...]secret02

Cela faisait 28 jours que je n'avais pas eu de nouvelles de celle qui avait été ma compagne lors de ce réveillon de la St Sylvestre un peu particulier.
Aussi, lorsque j'ai vu son nom s'afficher, ai-je eu soudain une petite bouffée de chaleur.
Nous avions passé une nuit particulièrement agréable et je ne m'étais pas épargné pour la satisfaire.
Elle m'avait dit qu'elle me recontacterait si elle en avait envie.
Visiblement, c'était le cas car je devais la retrouver à son appartement.
Je frappe donc à sa porte, un peu excité de la retrouver et ravi qu'elle m'est contactée.
Son sourire au milieu de son visage doux est un régal.
"Entre je t'en prie" me dit-elle en me faisant entrer chez elle.
Un appartement classique, sans extravagance, comme elle... du moins... en apparence.
Elle remonte une mèche de cheveux chatains et effleure ses lunettes qui font ressortir ses yeux marrons au maquillage léger.
Elle porte une jupe noire à mi cuisses, sur un leggin noir, des petites bottines, un chemisier violet profond qui laisse apparaitre une petite chaine en argent.
Ses courbes sages sont joliment cachées par sa tenue.
Je la salue également.
A peine a t-elle fermée la porte qu'elle pose la main sur mon entrejambe.
"Alors petit cochon... je t'appelle et tu accours ?"
Je réprime un gémissement.
"Oui... je suis venu au plus vite".
Sa prise sur moi est si ferme toute en restant si douce que je ne peux m'empêcher d'entrer en érection.
Elle me caresse, me palpe, sans se priver.
Ce contraste entre ce qu'elle est dans l'intimité et ce qu'elle est en public est saisissant.
So ses gestes, ma verge croit, palpite, augmente de volume et devient douloureusement serrée dans mon pantalon.
Sa main remonte sur mon torse jusqu'à caresser ma joue.
"Tu es rapide et obéissant... j'aime cela."
Un large sourire vient rendre son visage lumineux.
Un véritable ange... une tentatrice pour mes sens.
Je la suis lorsqu'elle me conduit dans sa grande pièce à vivre, avec cuisine ouverte.
Elle nous a préparé un petit repas de toasts et de bouchées diverses.
Une décoration de femme, un bouquet de fleurs... l'ambiance est charmante.
Je surprends ses regards sur moi, et j'en joue un peu, la flatte pour lui être agréable au regard.
Nous discutons de tout et de rien jusqu'à ce que nous n'entendions plus que le bruit de l'extérieur et le tic-tac d'une horloge.
Elle joue dans son verre avec la cuillère à long manche dont elle s'est servi pour aller cueillir un glaçon.
"Tu as respecté ma consigne ?" dit-elle soudain en brisant le silence.
Je rougis. Je ne m'attendais pas à cette brusque question.
"Oui."
Elle me fait un sourire désarmant une nouvelle fois.
"Tu as déjà passé deux épreuves avec succès alors."
Faisant le tour de son bar central, elle me dévisage de bas en haut.
"Pour cette belle exécution d'un de mes ordres, tu as droit à une récompense. Enlève ta veste".
Je m'exécute.
Elle passe ses doigts sur ma chemise en une caresse lente où ses ongles crissent sur le tissu.
Je suis charmé par son attitude et ses yeux.
Il est évident que ceci est bien loin de la bienséance et d'une éducation morale... mais nous sommes tous les deux bien loin de cela.
"Tu vas répondre à mes demandes et alors je te prendrais pour soumis si tu es d'accord."
Sa voix, le son cristallin de ses mots, m'enchante.
Je hoche la tête en guise d'assentiment, espérant que nous allons nous entendre sur les termes de cet... accord.
Elle pose l'arrondi de la cuillère brillante sur ma joue.
"Tu acceptes d'être à moi et uniquement à moi ?"
Je déglutis, je sais qu'il s'agit là du moment où elle va exiger de moi ce qu'elle veut..
"Oui."
Evidemment que j'accepte d'être à elle, son regard me transperce.
"Bien... retire ta chemise".
Elle tombe au sol dans un bruit feutré.
Je suis en cravate, torse nu devant cette femme qui me tourne autour et m'évalue comme un animal.
Le métal vient me faire frissonner alors qu'il glisse sur un de mes téton durcit.
"Tu acceptes de m'obéir en tout point de ta sexualité".
Hoo...
"Oui".
Elle tapote la boucle de ma ceinture.
Elle va gérer mes désirs... et mes plaisirs... je sens ma verge gonfler plus que de raison dans mon pantalon.
Je comprends sa requête et ma ceinture rejoint veste et chemise.
"Tu n'auras pas d'autres partenaires que moi... ou choisis par mes soins".
Je frémis... cela me rappelle mon ancienne maitresse... un sentiment de nostalgie m'envahit, mêlé à une envie de ressentir de nouveau cette main mise sur moi.
"Oui".
Le bout de l'objet brillant glisse sur ma braguette.
Je l'ouvre et l'apprête à faire descendre mon pantalon lorsqu'elle m'arrête d'une tape sur les doigts.
"Tu seras mon sex toy... disponible selon mes envies... lorsque je le veux"
Sa voix se fait plus douce, plus ténue, susurrée.
"Oui".
Je sais alors qu'elle pourra tout se permettre avec moi, je lui octroie tous pouvoirs sur ma vie sexuelle, sur mes envies... qui seront aussi les siennes.
"Chaussettes... "mes dit-elle.
Je me penche pour les ôter.
Je reçois alors une petite tape au moyen de la cuillère, sur ma fesse droite.
"Tu seras puni si tu ne m'obéis pas, ou si tu me désobéis".
Son ton est sec.
Etrange attitude que peut avoir cette femme à l'apparence si sage lorsqu'elle endosse son rôle de dominatrice.
"Oui" dis je doucement.
Je me redresse, uniquement vêtu de mon boxer, ma cravate autour du cou.
Ses yeux marrons sont deux charbons ardents qui me scrutent, me détaillent, m'évaluent.
Elle palpe mes bourses avec l'engin froid.
Ma verge est dressée, déforme mon boxer, macule le tissu d'une tâche qui ne lui échappe pas.
Elle sait qu'elle a gagné.
"Tu m'appelleras Maitresse".
Je baisse les yeux.
"Oui Maitresse".
Je sens une envie fulgurante émerger, naitre, venir du fond de mes entrailles et me donner si chaud que j'en rougis.
"Je te prends pour soumis. Retire ton boxer".
Je me baisse pour le retirer lorsqu'elle m'interrompt.
"Tourne toi... et jambes tendues".
J'obéis.
Dos à elle, je fais descendre le dernier rempart de tissu.
De sa cuillère froide elle me fait écarter les jambes.
Mes bourses pendent...
Ma verge est droite, raide, elle tape contre mon nombril, décalottée, durcie d'envie.
Elle semble évaluer le poids de chacune de mes boules en les soupesant avec l'objet qui me fait frémir.
Lorsqu'elle remonte entre mes fesses, je me cambre sous l'effet du frottement.
"Danse pour moi... caresse toi... sois lascif".
Son premier ordre me surprend.
Je me retourne en tentant d'onduler, un peu honteux.
C'est alors que je m'apperçois qu'elle a enlevé son pantalon et qu'elle se caresse.
Son sexe est une fente aux lèvres larges, longues, un duvet brun court, et taillé en minuscule triangle lui ombre l'intérieur des cuisses.
Ses doigts fins frottent et font des cercles sur son sexe rouge.
Elle écarte ses lèvres en me dévisageant.
"Allez... bouge..."
Je me déhanche devant elle.
Mes mains passent sur mon torse, excitent mes tétons dressés.
Puis l'une d'elle glisse sur mon bas ventre.
Je flatte mes bourses et ma verge.
"Frotte toi contre le canapé".
J'obéis, j'ai un peu honte mais je la vois prendre du plaisir et le mien croit de façon exponentiel.
A cheval sur l'accoudoir je mime un coït imaginaire.
Elle accélère le mouvement de sa main sur son clitoris, alternant les caresses vives avec les plus lentes et très appuyées... et les intrusions de ses doigts dans son sexe luisant.
Une coupe de cristal à la main, elle la colle à son sexe pour en recueillir le jus qui s'écoule.
"Branle-toi... tu dois en avoir envie depuis le temps que je te l'interdit".
J'ai la sensation de retrouver ce que j'ai perdu... de revenir à cette période où je n'étais pas sans maitresse.
Enfin... je me sens complet.
Je prends mon sexe à pleine main et je m'astique devant elle.
Son regard est fixé sur moi, sur mon geste.
Elle se masturbe en admirant le spectacle que je lui offre.
Je masse mes bourses d'une main, presque accroupi, puis me relève, proche d'elle pour qu'elle me voit dans le plus simple appareil, obéissant à sa demande.
Son souffle se fait plus court.
Elle ferme les yeux.
La coupe se nimbe alors de petites giclées et dégoulinades de sa fente.
Elle jouit devant mes yeux.
Ses soupirs sont plaintifs... sensuels...
Je sens monter en moi l'orgasme.
Elle me tend la coupe.
"Vide toi dedans".
Je ne suis pas long à éjaculer à mon tour dans le cristal.
Mes jets imprécis salissent le sol et les pourtours du verre.
Je suffoque... comme abattu.
Elle se redresse et me caresse les épaules, le dos, les fesses.
Sa main vient flatter mon membre qui pend doucement entre mes cuisses.
Elle pose ses lèvres délicates sur le bord de ce calice souillé et du bout de la langue, goûte nos jus mélangés.
Mon sirop plus épais, plus sombre, mélangé à son lait intime.
Elle me tend alors le verre.
"Bois pour sceller notre pacte".
Je respire cette odeur... nos odeurs...
J'hésite.
Et je prends le verre, mes doigts ressentent la chaleur tiède de ce miel.
J'en aspire une parcelle et lui rends.
"Non... toi, tu bois tout".
Elle sourit... perverse.
Le liquide épais coule dans ma gorge, j'avale la dose importante de foutre et de cyprine.
J'ai la bouche pleine de cette poisse tiède.
Je repose la coupe.
Elle le tire par la cravate.
"Viens, maintenant que tu es prêt à être efficace, on va pouvoir s'amuser".
Je la suis.
Nous avançons vers sa chambre.
"Tu as apprécie ?"
Je passe ma langue sur mes lèvres.
"Oui Maitresse".
Pour elle, je sens que je peux faire plus que je n'ai encore jamais fait.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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Ce jour là Elisabeth était habillée de façon très sensuelle.rousse
Un chemisier en dentelle ouvragé, sans soutien-gorge, ce qui permettait à ses seins opulents de se balancer et à mon regard de distinguer les mamelons roses et larges qui embellissaient encore plus cette tenue féminine en diable.
Une jupe assez courte, noire, stricte, qui mettait en valeur ses fesses splendides et dévoilait les liserés de ses bas.
Ses cheveux roux en chignon serrés, ses lunettes d'écailles... son regard ! Ce regard qui m'avait conquit dès que je l'avais vu.
Ma "maitresse " était diaboliquement splendide.
Depuis quelques mois j'étais hébergé chez elle.
Irlandaise, parlant le français, j'avais fait des progrès énormes avec mon ainée... et pas uniquement dans le domaine de la langue anglo-saxonne.

Elle posa son regard sur moi et me dit :
"A parti d'aujourd'hui je ne veux plus que tu te caresses".
Elle lança cette phrase comme cela, sans avant propos.
Je me surpris à rougir en la regardant.
Elle me fit un sourire.
Elle était ma maitresse, j'ai baissé les yeux.

Je lui ai obéit.
Les premiers jours furent assez faciles à tenir.
Je lisais, je pensais à autre chose.
Mais le 7e jour, alors que je l'entendis gémir dans la chambre à côté, j'eu du mal à me retenir.
Son lit grinçait et ses petits soupirs m'évoquait combien son corps me manquait.
Elle se faisait plaisir et ne s'en cachait pas.
C'était une torture pour moi, mais je devais tenir mes mains et faire ce qu'elle m'avait ordonné de faire : m'abstenir.

Les jours passaient et elle prenait un malin plaisir à se vêtir très court, voir très peu.
Ses nuisettes transparentes, sa robe de chambre ouverte étaient autant de supplices qui me rendaient ivres de désir.
Elle vérifiait même jusqu'à l'état de mon drap, me gratifiant d'un "Goood baby..." alors qu'il restait immaculé, ses seins s'agitant voluptueusement à moins de 3à cm de moi.

Le 10e jour elle lança un film érotique, m'obligeant à la regarder à côté d'elle.
Je sentais mes bourses gonfler, ma verge était tendue à l'extrême.
Elle me regardait sans un sourire.
De ses yeux étonnamment clairs, brillants, splendides.
Ma volonté devait être plus forte.
Je résistais à l'envie de me lever, d'envoyer son ordre se faire voir et lui sauter dessus.
Mais sa prestance me faisait rester à ma place.
J'étais son "servant" et cela me plaisait, je ne voulais pas mécontenter Elisabeth, alors je résistais, bougeant dans le canapé pour tenter de trouver une place où ma verge me ferait moins mal.

Chaque jour elle me tentait.
Lorsqu'elle se caressa sur le canapé, pendant que je faisais à manger, j'eu des difficultés à me retenir.
J'ai cru que mon sexe allait exploser et que mon sperme allait jaillir sans que je n'y puisse y faire quoi que ce soit.
Je voyais ses doigts aller et venir dans sa toison courte, étroite, rousse et luisante.
Elle avait sorti un sein... majestueux, ample, elle en effleurait le bout du téton tout en le malaxant.
Ses gémissements étaient d'odieuses tentations.
Mes bourses me faisaient mal.
Mon sexe était un pic en fusion.
Je coulais malgré moi.
Elle poussa un lent ronronnement de jouissance et je du sérer les dents pour ne pas la suivre dans cette petite mort à mon tour.
Je ne parvenais plus à débander.

A ma troisième semaine d'abstinence, chaque pensée était tournée vers le sexe.
Je ne pouvais plus penser à autre chose.
Ceci parasitait ma vie quotidienne, m'empêchait d'avoir les idées claires.
Je me retournais sur chaque fessier, imaginais mes mains, ma bouche sur chaque morceaux de peau que je voyais passer.
Et ma Maitresse en profitait.
Elle me donna un tablier.
"Ce sera désormais l'unique vêtement que tu porteras chez moi".
Noué dans le cou et autour de la taille, il ne couvrait que mon ventre et mon sexe, de face, car de dos mes fesses et mon appareil génital était à l'air libre.

Il me semblait que mes couilles pesaient une tonne chacune.
Autour de mes cuisses irradiaient des douleurs de désirs.
Elle passait parfois sa main sur mes fesses, effleurant du bout de ses ongles manucurés la peau lisse de mes boules glabres.
Je me stoppais alors aussitôt, écartant mes jambes sans même pouvoir les garder serrer... et espérant qu'elle me masturbe jusqu'à me libérer de cet ordre démoniaque.

Peu à peu, à la fin du mois, une forme de plaisir naquit et enfla.
L'abstinence, la retenue alors qu'elle me soumettait à d'ignobles tentations, me procurait une sorte d'extase.
J'appréciais la douleur.
Ma verge pulsait au gré de mes pensées, toutes tournées vers les plaisirs et l'absence.
Mes bourses étaient lourdes et lorsque je les rasais, je ne pouvais m'empêcher de serrer les dents.
Elisabeth me regardait et avait un léger sourire.
Elle ne me parlait pas, jamais, de mon abstinence. Limitant ses allusions à des caresses sur ma croupe et mes bourses ainsi qu'à l'inspection de mon lit et de mes dessous.
Lorsqu'elle trouvait une tâche... elle se contentait de me dire : "un jour de plus".
Et les jours passaient.

Elle invita, pour fêter mon mois sans sexe, un ami à elle.
Je cru devenir fou.
Elle avait mis de longs gants noirs en soie qui lui remontaient jusqu'aux coudes, un bustier qui laissait entrevoir la vallée de ses seins et la transparence de ses auréoles au travers de la dentelle ajourée. Sa jupe, courte, fendue, ne masquait pas ses porte-jarretelles. Des bas coutures, noirs, disparaissaient dans des bottes de cuir qui lui remontaient jusqu'aux genoux.
Sensuelle.
Désirable.
J'étais dans tous mes états à la simple vue de ma Maitresse dans cette tenue.
Mon sexe était tendu, bandé à la limite du tolérable.
"Ce n'est pas pour toi". Me dit-elle en me renvoyant dans ma chambre alors que son amant sonnait.
La douleur qui enserrait mes bourses comme un étau était la plus forte que j'avais connu.
Le long de mes cuisses, autour de mon entrejambe, jusque dans mon dos, j'irradiais de sensibilité à la limite du supportable.
Je m'enfermais donc dans ma chambre.
Je les entendais rire, parler puis murmurer avant de soupirer.
Juste dans la pièce voisine.
A quelques mètres de moi.
Je l'imaginais, elle, ma Maitresse... en train de prendre son plaisir sous les assauts de cet homme.
Je visualisais son corps, les courbes de ses formes voluptueuses.
Tantale ne vivait pas pire que moi.
Un charognard sournois aux gémissements cristallins venait dépecer mes chairs intimes sans une once de remords.
Elle l'invitait, de sa voix qui me ravissait, à la prendre encore... et encore.
Je restait sur mon lit, les yeux rivés sur le plafond.
Le sexe tendu à l'extrême.
Il leur fallu une heure...
Une heure durant laquelle je cru exploser.
Une heure pour que leurs couinements s'estompent puis cessent.
Une trop longue heure où chaque seconde me semblait une minute.
Lorsqu'enfin le silence s'installa je n'en pouvais plus.
La porte, les murmures...
Le verrou de l'entrée.
Il partit.
Et Elisabeth entra dans ma chambre.
Elle était nue, totalement nue.
Son corps avança sensuellement vers mon lit, elle enjamba mon visage et vint plaquer son sexe à ma bouche.
Elle sentait le stupre.
J'étais à la limite de l'écœurement mais elle se frottait.
Son abricot encore souillé de son amant, ruisselant de ses humeurs de femme.
"Lèche-moi baby... suck... hooo oui... suck me !"
Ses gros seins lourds se balancaient au dessus de moi.
Ma langue titillait le bouton totalement sorti de son logement.
Je fourrais mon muscle dans son vagin dégoulinant.
Je la sentis se raidir.
"Hooo ouiii.... toi tu sais y faire !  N'avale rien... garde tout en bouche !"
Elle se cambra et pendant de longs instants son suc gicla dans ma bouche grande ouverte ou seule ma langue s'agitait.
Elle m'en faisait mal tellement je l'avais utilisé pour lécher et exciter son sexe.
Mon sexe lui... était aussi dur que de l'acier et mes bourses semblaient être de plomb.
Elle s'amollit doucement et resta quelques instants encore à onduler sur ma bouche avant de se redresser.
"Ouvre la bouche".
Son ton ne souffrait d'aucun retard.
J'obéissais.
Elle admirait son jus dans le calice de ma bouche.
"Tu peux avaler... mon jus... et celui de mon amant".
Je prenais conscience de son regard et de ce qu'elle me faisait faire... et j'adorais.
Je dégustais les deux sirops.
Elle flatta ma colonne de chair.
"Tu es bien mieux pourvu que lui. Patiente sweety".

La 40e jour ma pénitence pris fin.
La semaine qui précéda cette libération elle ne me fit aucun cadeau.
Ma Maitresse laissait son corps se dévoiler à mes yeux.
Chaque soir elle se caressait de façon à me rendre fou.
Lorsque nous mangions, elle passait ses mains sur mes bourses ou mes fesses avant de flatter ma verge et, sans un mot, me donner une petite fessée.
Et, malgré cela, je parvins à ne pas me caresser.
Ce soir là elle posa soudain sa tête sur ma cuisse.
Sa main glissa entre mes jambes qui s'ouvrirent instantanément.
"Tu as une belle queue". Me dit-elle.
Le bout de ses doigts frais effleuraient mes boules si dures et si chaudes que je cru que j'allais éjaculer avant même qu'elle n'achève sa phrase.
"Merci Maitresse".
Elle passa son pouce et son index autour de la base de ma verge.
Dans un mouvement lent, elle entama un masturbation douce.
Je me cambrais pour résister, imaginant là un supplice encore plus pervers.
Son autre main caressait mon torse.
Elle ouvrit la bouche pour tirer la langue et lécher le bout de mon sexe.
Mon gland était turgescent, pourpre, lisse et tendu comme s'il allait éclater.
Elle lapa la goutte de bonheur qui ne tarda pas à faire son apparition en sortant de mon méat.
Sans lâcher mon piston elle me fit me positionner sur le bord du canapé.
Son doigt se fit inquisiteur.
Elle me masturbait tout en me doigtant.
Je sentais mon œillet sombre s'ouvrir sans effort.
"Tu vas jouir ?"
Je fermais les yeux pour tenter de garder mon calme.
"Je... non Maitresse..."
Elle tourna son doigt dans mon anus avant d'y insérer son médius à côté de son index.
"Tu vas jouir en te faisant doigter le cul..."
je sentais ma sève monter.
Sa main se posa entièrement sur ma colonne.
Elle me branlait plus généreusement.
"Tu es à moi..." me dit-elle en plongeant ses doigts en mon intimité et en m'astiquant la tige.
"Ta bouche... ta queue... ton cul... tout est à moi".
Je poussais des gémissements.
"Haa oui hoo oui Maitresse... je vous appartiens".
Elle relâcha la pression dans mon fondement alors que ma verge pulsait dans sa main.
Elle avait préparé à l'avance son coup et, lorsque je poussais un râle, giclant pour la première fois depuis 40 jours, ma semence fut recueillit dans une sorte de large tube de verre.
Mon jus, presque jaune, crémeux, remplit en abondance le tube.
Mes couilles étaient en feu et il me semblait ne jamais pouvoir m'arrêter de jouir.
Je criais...
Et mon foutre lui dégoulinait maintenant sur les doigts.
Elle me branlait plus vite, plus fort.
J'avais rempli l'éprouvette et elle continuait pourtant à me donner du plaisir.
Un plaisir mélangé à la douleur d'une si longue attente.
Je m'affalais sur le canapé.
Elle lécha le tube avant de le refermer.
"Liqueur d'abstinence". Me dit-elle dans un sourire en bouchant le tube.
"On en fait des crèmes délicieuses selon les recettes de grands-mères".
J'étais las, totalement fourbu.
Je ne pouvais pas refermer mes cuisses.
Mes bourses me lançaient.
Mon sexe pendait sans pouvoir rétrécir.
"Va te laver. Maintenant que ta peine à prit fin, j'ai grande envie de ta belle bite d'âne".
Ses yeux étincellaient.
Elle passa sa langue sur ses lèvres.

La nuit fut longue... elle était insatiable... et j'étais totalement en rut.
Une si longue abstinence venait de décupler mes envies...
Et achever ma soumission à ma Maitresse.

 

Jusqu'à la fin de mon séjour dans ce pays vert, je l'ai servi sans aucune retenue.

 

Fin.

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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