[...]
Il la détaille...
La douceur de son regard, de son visage, ses épaules pâles puis son cou gracile et ce grain de beauté délicat qui se duplique en haut de son sein
gauche, sur sa poitrine généreuse aux larges corolles aux centres desquelles pointent des mamelons roses, les ombres de ses seins sur son petit ventre où se dessine avec sensualité son nombril,
pour arriver sur ses hanches et la rondeur de ses fesses, son pubis totalement lisse comme il convient à son statut, fissure envoutante à l'entrecuisse de ses jambes douces.
Elle fait de même.
Les traits masculins qui rehaussent l'azur grisé de ses yeux, ses bras et ses mains qui savent être velours ou acier, son torse légèrement velu d'où
se dévoilent deux petits tétons bruns, son ventre sur lequel vient se dessiner une fine frange pileuse ainsi que le haut de sa verge dressée, le gland pourpre et turgescent couronné de petites
pointes de chairs sur son pourtour, le col resserré avant de laisser découvrir la largeur conséquente de la tige qui surplombe ses deux bourses lisses, son fessier rond et dur, campé sur deux
jambes fortes.
Leurs mains couvertes de savon, sous la pluie continue de la douche, ils se savonnent l'un l'autre, explorant avec délicatesse comme pour apprendre,
encore une fois, s'imprégner à tout jamais, du corps de son amant.
Il lui retire le collier de soumise qui orne son cou en chaque instant, faisant de ses doigts une caresse.
Elle frémit sous la bouche qui vient déposer un baiser à la place du cuir noir.
Une étreinte tendre et douce où les corps ruisselants s'épousent dans un tremblement de sensualité.
Souriant et sans un mot, ils s'essuient l'un l'autre.
Il embrasse chacune des paumes de la femme qui lui fait face et les pose, l'une après l'autre, sur ses épaules.
Sa bouche embrasse la commissure des lèvres. Elle sent une boule de chaleur monter dans son ventre.
Le son de sa voix, grave, se fait murmure, une fermeté mesurée qui contraste avec le message.
- Domine-moi... ose te révéler.
Elle en ferme les yeux. Elle sait qu'elle reste Sa Soumise... mais que par son ordre elle peut prendre à son tour les rênes.
- Veux-tu être... ma salope ? Lui répond-elle, enivrée par ce qu'il lui propose.
Sa main posée sur le torse de son mâle.
Ses doigts féminins, fébrilement, passent dans le lacis de sa courte toison.
Leurs yeux ne se quittent plus.
Etincelants et parsemés d'étoiles.
- Oui... je serais ta salope. Lui sourit-il.
Il se baisse doucement, accompagnée par les mains qui appuient faiblement pour le faire venir se tenir accroupi au sol.
Sa bouche vient se poser sur la fente aux nymphes légèrement entrouvertes.
Elle sent le contact des lèvres qui frôlent et caressent son pubis.
Elles embrassent puis se frottent avec une grande attention avant que la langue ne vienne se faire sentir et titiller sa fente tout du long,
entrouvrant les nymphes diaphanes..
Elle le repousse car elle sent qu'autrement elle ne pourra pas agir, que prise dans la spirale du plaisir qu'il va lui donner, elle ne pourra obéir
à leurs envies.
Sa bouche est sèche... son cœur bat la chamade.
Elle glisse ses mains dans les cheveux courts de son mâle pour le caresser.
- Tu lèches bien. Commente t-elle dans un soupir réprimé, les mots hésitants.
Elle s'éloigne et l'observe.
Il sent son regard sur lui.
Accroupis, les couilles pendantes, le sexe tendu... il lui offre un spectacle de totale offrande.
Leurs sourires se croisent et se répondent.
Elle sort de la salle de bain et lui fait signe de la suivre.
Il pose ses mains sur le sol et, à 4 pattes, comme si souvent elle le fait pour lui si souvent, il lui emboite le pas en la suivant. Il veut li
faire plaisir.
Elle referme la porte et le caresse.
- Bon... chien. Ose t-elle, guettant une réaction négative qui serait signe d'un arrêt du switch.
Au lieu de cela il vient frotter son visage contre sa jambe.
Elle l'enjambe et pose son bas ventre nu sur son cou.
Elle se frotte lentement sur la nuque, admirant la croupe masculine qui lui fait face.
La sensation de chaleur du sexe de sa partenaire sur lui, aussitôt, le met en excitation charnelle. Il ondule du bassin, il sait qu'elle
l'observe.
La langue féminine vient se poser sur une fesse, puis bien vite glisse dans la raie jusqu'à venir titiller la petite rosette close.
Il réagit d'un soupir, lorsque la langue vient laper son intimité.
Elle lèche les petits plis, salive sur l'orifice jusqu'à ce qu'il s'assouplisse légèrement.
Le son, caractéristique, d'un crachat sur l'œil brun... et la poussée de la langue qui entre et déflore.
Il ne dit rien, souffle seulement et se cambre pour accueillir le muscle féminin, acceptation tacite du plus immoral des outrages.
- Je vais te bouffer le cul. Lui dit-elle en joignant les gestes à la parole.
La langue vient l'écarter, la bouche se plaquer, les mouvements buccaux lui élargissent la rosette.
Ses seins frottent sur le bas de son dos, son vagin dégouline de plaisir de le savoir offert à ses envies de femme, elle enfonce sa langue loin en
lui.
De longues minutes, elle se plait à lui déguster l'anus avant de se relever.
De sa main elle masse les bourses couvertes de salive qu'elle a répandue sur son œillet et qui a coulé jusque sur les sacs lourds.
- Tu aimes ça mon cochon... ça te fait bander.
Il murmure un "oui", la main gracile et fine, féminine, venant de prendre sa tige raide qui cogne contre son ventre.
Il soupire fortement, soulagé qu'elle lui masse enfin le manche en érection.
Elle le masturbe quelques instants jusqu'à le faire se tortiller.
Puis elle se recule, lui offre le spectacle de son abricot trempé.
Elle lui sourit et se masse le sexe devant son homme... à 4 pattes pour elle.
Il la désire, il la contemple...
Dans un mouvement sensuel, elle passe ses doigts gluants sur son dos, et se glisse dans la raie, entre les fesses masculines.
Sans un mot elle pousse un doigt et le pénètre.
Il dresse son bassin à la rencontre de l'intrus qui s'esquive déjà...
Une sensation froide se colle à son orifice palpitant.
Large... il ouvre de grands yeux lorsqu'il sent entrer en lui un plug qui lui écarte les muqueuses intimes.
Il geint, la douleur fugace, remplacée par des sensations de plaisirs, irradiants de son arrière train rempli.
Elle fait osciller l'objet, élargit et étire le petit trou de son mâle.
Court et large, elle le retire et le replace, lentement , puis plus vivement, jusqu'à arracher un gémissement de plaisir de celui qui ne résiste pas
au traitement sexuel qu'elle lui inflige.
Elle se relève et se dirige vers la porte.
- Je reviens, tu ne bouges pas petite salope. Lui dit-elle en le laissant, le cul défloré et possédé par un plug.
La porte se referme.
Il reprend sa respiration, tente de retrouver son calme, mais le moindre mouvement fait osciller l'objet et ressentir des vibrations jusqu'au creux
de son être.
Indécent, seul, il pose ses coudes sur le sol et entame de lents mouvements de reins.
Son anneau est une source de plaisirs, insolents...
Il sent son membre, qui reste dur et érigé comme un soc contre son ventre.
Il voudrait que la porte s'ouvre, qu'elle revienne, vite... alors il prend une pose, obscène, écartant un peu plus les genoux, cambrant ses reins
pour exhiber l'objet qui lui taraude le plus intime conduit..
Et elle se profile, l'admire, elle sourit de cette position qu'il a pris, pour elle, pour eux, dans l'embrasure de la porte.
Un mug de thé à la main dont la chaleur forme des volutes devant son visage et ses yeux gourmands.
Elle caresse ses fesses et tourne l'objet en lui.
- Un vrai petit bijou pour femme. Lui susurre t-elle d'un ton sensuel.
Elle le retire, il geint, elle laisse la béance sombre se révéler.
Doucement elle lui pose le jouet sur les lèvres qu'il garde closes, elle hésite... il reste son Alpha... elle lui caresse la bouche encore un petit
instant avant de le placer dans sa bouche à elle.
Il l'observe, hypnotisé par cette bouche délicate qui suçotte le plug anal.
Elle savoure, sans aucune gène, le gout de son homme en son plus intime orifice, devant lui.
Elle lui montre qu'elle apprécie tout de lui.
De nouveau derrière, elle avale une gorgée de thé, puis vient poser sa langue sur le rond palpitant.
Ses caresses sont chaudes.
Elle boit, lui lèche l'anneau.
Elle libère un peu de la boisson qui ruissèle.
Ses doigts agiles viennent enserrer la bite en feu pour la masturber au rythme des coups de langue brulantes.
Il pousse des petits soupirs de plaisir, sans interruption. Entièrement soumis à ses sensations qu'elle lui fait éprouver.
- Branle-toi dans ma main. Comme un chien.
Il obéit, heureux de pouvoir satisfaire son envie de savoir sa verge se faire astiquer plus rapidement, tant il est au bord de l'orgasme.
Savourant les dernières gouttes de son thé, elle assiste au spectacle pervers de cette prise de plaisir partagé.
Elle lui incline la verge, sentant la jouissance arriver, celle qui anime sa tige masculine de contractions caractéristiques, celle qui lui fait
pousser des râles plus rauques.
Il bouge son bassin, se branle dans la main immobile, au rythme anarchique de ses mouvements de reins.
- Demande-moi avant de jouir. Lui ordonne t-elle.
Il parvient à formuler cette demande... entre deux respirations éloquentes.
Elle enfonce alors d'un seul trait, le plug, de nouveau dans son cul.
L'entrée est électrisante.
Il pousse un cri muet, la bouche ouverte.
- Gicle dans la tasse.
Le cri se libère et il se vide, entre ses doigts.
Son manche à angle droit, dirigé sur le mug encore tiède, son foutre est recueilli.
Il tremble et lâche un râle orgasmique à chaque giclée qu'il éjacule.
Lentement la main vient presser la base de la verge jusqu'au gland pour éponger les dernières gouttes.
Elle ôte de nouveau le jouet d'entre ses fesses.
Leurs yeux se croisent.
Il ouvre légèrement la bouche et passe sa langue sur ses lèvres en posant son regard sur l'objet qu'elle tient dans ses mains.
Elle lutte pour ne pas rougir de joie... si désireuse de leur complicité.
Délicatement il l'accepte entre ses lèvres et, sans la lâcher du regard, suce l'objet aux introductions si osées, au parfum... immoral.
Son regard se trouble, de le savoir en osmose avec elle, de comprendre une nouvelle fois à quel point leurs plaisirs s'enchainent et se lient avec
autant de force.
Il acceptera tout d'elle, comme l'écho de son âtre pour lui.
Elle porte la tasse à ses lèvres et fait glisser dans sa gorge, le produit de son éjaculation.
D'un geste elle le fait se tourner vers elle.
Il se place, une nouvelle fois, à 4 pattes, dos à sa complice.
- Quelle jolie... petite pute. Lance-t'elle en observant sa réaction.
Il n'en prend pas ombrage, et même, perçoit l'excitation que ce switch ne cesse de lui inspirer. Avec elle... uniquement elle.
La sensation honteuse de son jus, qu'elle fait dégouliner sur son petit trou, qu'elle perce de deux doigts.
Lentement, avec force délicatesse, elle touille l'anus qu'elle souille de foutre.
Ses doigts sont couverts de la poisse masculine qu'elle fait pénétrer dans la rosette.
- Ouvre-toi plus que ça.
Il pose ses mains sur ses fesses et les écarte, obéissant, lui facilitant ainsi le passage de ses doigts et bien vite de sa langue
gourmande.
Elle lui lèche le fion, apprécie le mélange de gouts en y faisant s'écouler le miel de son orgasme.
Il ondule des hanches, apprécie le traitement pervers auquel elle le soumet.
- Viens m'embrasser. Soupire t-elle, agenouillée elle aussi.
Leurs bouches se soudent.
Les langues se veulent.
Ils partagent leurs fragrances, leurs désirs les plus obscènes.
Unis dans la jouissance.
En communion sensuelle.
A suivre...