Ce jour là Elisabeth était habillée de façon très sensuelle.rousse
Un chemisier en dentelle ouvragé, sans soutien-gorge, ce qui permettait à ses seins opulents de se balancer et à mon regard de distinguer les mamelons roses et larges qui embellissaient encore plus cette tenue féminine en diable.
Une jupe assez courte, noire, stricte, qui mettait en valeur ses fesses splendides et dévoilait les liserés de ses bas.
Ses cheveux roux en chignon serrés, ses lunettes d'écailles... son regard ! Ce regard qui m'avait conquit dès que je l'avais vu.
Ma "maitresse " était diaboliquement splendide.
Depuis quelques mois j'étais hébergé chez elle.
Irlandaise, parlant le français, j'avais fait des progrès énormes avec mon ainée... et pas uniquement dans le domaine de la langue anglo-saxonne.

Elle posa son regard sur moi et me dit :
"A parti d'aujourd'hui je ne veux plus que tu te caresses".
Elle lança cette phrase comme cela, sans avant propos.
Je me surpris à rougir en la regardant.
Elle me fit un sourire.
Elle était ma maitresse, j'ai baissé les yeux.

Je lui ai obéit.
Les premiers jours furent assez faciles à tenir.
Je lisais, je pensais à autre chose.
Mais le 7e jour, alors que je l'entendis gémir dans la chambre à côté, j'eu du mal à me retenir.
Son lit grinçait et ses petits soupirs m'évoquait combien son corps me manquait.
Elle se faisait plaisir et ne s'en cachait pas.
C'était une torture pour moi, mais je devais tenir mes mains et faire ce qu'elle m'avait ordonné de faire : m'abstenir.

Les jours passaient et elle prenait un malin plaisir à se vêtir très court, voir très peu.
Ses nuisettes transparentes, sa robe de chambre ouverte étaient autant de supplices qui me rendaient ivres de désir.
Elle vérifiait même jusqu'à l'état de mon drap, me gratifiant d'un "Goood baby..." alors qu'il restait immaculé, ses seins s'agitant voluptueusement à moins de 3à cm de moi.

Le 10e jour elle lança un film érotique, m'obligeant à la regarder à côté d'elle.
Je sentais mes bourses gonfler, ma verge était tendue à l'extrême.
Elle me regardait sans un sourire.
De ses yeux étonnamment clairs, brillants, splendides.
Ma volonté devait être plus forte.
Je résistais à l'envie de me lever, d'envoyer son ordre se faire voir et lui sauter dessus.
Mais sa prestance me faisait rester à ma place.
J'étais son "servant" et cela me plaisait, je ne voulais pas mécontenter Elisabeth, alors je résistais, bougeant dans le canapé pour tenter de trouver une place où ma verge me ferait moins mal.

Chaque jour elle me tentait.
Lorsqu'elle se caressa sur le canapé, pendant que je faisais à manger, j'eu des difficultés à me retenir.
J'ai cru que mon sexe allait exploser et que mon sperme allait jaillir sans que je n'y puisse y faire quoi que ce soit.
Je voyais ses doigts aller et venir dans sa toison courte, étroite, rousse et luisante.
Elle avait sorti un sein... majestueux, ample, elle en effleurait le bout du téton tout en le malaxant.
Ses gémissements étaient d'odieuses tentations.
Mes bourses me faisaient mal.
Mon sexe était un pic en fusion.
Je coulais malgré moi.
Elle poussa un lent ronronnement de jouissance et je du sérer les dents pour ne pas la suivre dans cette petite mort à mon tour.
Je ne parvenais plus à débander.

A ma troisième semaine d'abstinence, chaque pensée était tournée vers le sexe.
Je ne pouvais plus penser à autre chose.
Ceci parasitait ma vie quotidienne, m'empêchait d'avoir les idées claires.
Je me retournais sur chaque fessier, imaginais mes mains, ma bouche sur chaque morceaux de peau que je voyais passer.
Et ma Maitresse en profitait.
Elle me donna un tablier.
"Ce sera désormais l'unique vêtement que tu porteras chez moi".
Noué dans le cou et autour de la taille, il ne couvrait que mon ventre et mon sexe, de face, car de dos mes fesses et mon appareil génital était à l'air libre.

Il me semblait que mes couilles pesaient une tonne chacune.
Autour de mes cuisses irradiaient des douleurs de désirs.
Elle passait parfois sa main sur mes fesses, effleurant du bout de ses ongles manucurés la peau lisse de mes boules glabres.
Je me stoppais alors aussitôt, écartant mes jambes sans même pouvoir les garder serrer... et espérant qu'elle me masturbe jusqu'à me libérer de cet ordre démoniaque.

Peu à peu, à la fin du mois, une forme de plaisir naquit et enfla.
L'abstinence, la retenue alors qu'elle me soumettait à d'ignobles tentations, me procurait une sorte d'extase.
J'appréciais la douleur.
Ma verge pulsait au gré de mes pensées, toutes tournées vers les plaisirs et l'absence.
Mes bourses étaient lourdes et lorsque je les rasais, je ne pouvais m'empêcher de serrer les dents.
Elisabeth me regardait et avait un léger sourire.
Elle ne me parlait pas, jamais, de mon abstinence. Limitant ses allusions à des caresses sur ma croupe et mes bourses ainsi qu'à l'inspection de mon lit et de mes dessous.
Lorsqu'elle trouvait une tâche... elle se contentait de me dire : "un jour de plus".
Et les jours passaient.

Elle invita, pour fêter mon mois sans sexe, un ami à elle.
Je cru devenir fou.
Elle avait mis de longs gants noirs en soie qui lui remontaient jusqu'aux coudes, un bustier qui laissait entrevoir la vallée de ses seins et la transparence de ses auréoles au travers de la dentelle ajourée. Sa jupe, courte, fendue, ne masquait pas ses porte-jarretelles. Des bas coutures, noirs, disparaissaient dans des bottes de cuir qui lui remontaient jusqu'aux genoux.
Sensuelle.
Désirable.
J'étais dans tous mes états à la simple vue de ma Maitresse dans cette tenue.
Mon sexe était tendu, bandé à la limite du tolérable.
"Ce n'est pas pour toi". Me dit-elle en me renvoyant dans ma chambre alors que son amant sonnait.
La douleur qui enserrait mes bourses comme un étau était la plus forte que j'avais connu.
Le long de mes cuisses, autour de mon entrejambe, jusque dans mon dos, j'irradiais de sensibilité à la limite du supportable.
Je m'enfermais donc dans ma chambre.
Je les entendais rire, parler puis murmurer avant de soupirer.
Juste dans la pièce voisine.
A quelques mètres de moi.
Je l'imaginais, elle, ma Maitresse... en train de prendre son plaisir sous les assauts de cet homme.
Je visualisais son corps, les courbes de ses formes voluptueuses.
Tantale ne vivait pas pire que moi.
Un charognard sournois aux gémissements cristallins venait dépecer mes chairs intimes sans une once de remords.
Elle l'invitait, de sa voix qui me ravissait, à la prendre encore... et encore.
Je restait sur mon lit, les yeux rivés sur le plafond.
Le sexe tendu à l'extrême.
Il leur fallu une heure...
Une heure durant laquelle je cru exploser.
Une heure pour que leurs couinements s'estompent puis cessent.
Une trop longue heure où chaque seconde me semblait une minute.
Lorsqu'enfin le silence s'installa je n'en pouvais plus.
La porte, les murmures...
Le verrou de l'entrée.
Il partit.
Et Elisabeth entra dans ma chambre.
Elle était nue, totalement nue.
Son corps avança sensuellement vers mon lit, elle enjamba mon visage et vint plaquer son sexe à ma bouche.
Elle sentait le stupre.
J'étais à la limite de l'écœurement mais elle se frottait.
Son abricot encore souillé de son amant, ruisselant de ses humeurs de femme.
"Lèche-moi baby... suck... hooo oui... suck me !"
Ses gros seins lourds se balancaient au dessus de moi.
Ma langue titillait le bouton totalement sorti de son logement.
Je fourrais mon muscle dans son vagin dégoulinant.
Je la sentis se raidir.
"Hooo ouiii.... toi tu sais y faire !  N'avale rien... garde tout en bouche !"
Elle se cambra et pendant de longs instants son suc gicla dans ma bouche grande ouverte ou seule ma langue s'agitait.
Elle m'en faisait mal tellement je l'avais utilisé pour lécher et exciter son sexe.
Mon sexe lui... était aussi dur que de l'acier et mes bourses semblaient être de plomb.
Elle s'amollit doucement et resta quelques instants encore à onduler sur ma bouche avant de se redresser.
"Ouvre la bouche".
Son ton ne souffrait d'aucun retard.
J'obéissais.
Elle admirait son jus dans le calice de ma bouche.
"Tu peux avaler... mon jus... et celui de mon amant".
Je prenais conscience de son regard et de ce qu'elle me faisait faire... et j'adorais.
Je dégustais les deux sirops.
Elle flatta ma colonne de chair.
"Tu es bien mieux pourvu que lui. Patiente sweety".

La 40e jour ma pénitence pris fin.
La semaine qui précéda cette libération elle ne me fit aucun cadeau.
Ma Maitresse laissait son corps se dévoiler à mes yeux.
Chaque soir elle se caressait de façon à me rendre fou.
Lorsque nous mangions, elle passait ses mains sur mes bourses ou mes fesses avant de flatter ma verge et, sans un mot, me donner une petite fessée.
Et, malgré cela, je parvins à ne pas me caresser.
Ce soir là elle posa soudain sa tête sur ma cuisse.
Sa main glissa entre mes jambes qui s'ouvrirent instantanément.
"Tu as une belle queue". Me dit-elle.
Le bout de ses doigts frais effleuraient mes boules si dures et si chaudes que je cru que j'allais éjaculer avant même qu'elle n'achève sa phrase.
"Merci Maitresse".
Elle passa son pouce et son index autour de la base de ma verge.
Dans un mouvement lent, elle entama un masturbation douce.
Je me cambrais pour résister, imaginant là un supplice encore plus pervers.
Son autre main caressait mon torse.
Elle ouvrit la bouche pour tirer la langue et lécher le bout de mon sexe.
Mon gland était turgescent, pourpre, lisse et tendu comme s'il allait éclater.
Elle lapa la goutte de bonheur qui ne tarda pas à faire son apparition en sortant de mon méat.
Sans lâcher mon piston elle me fit me positionner sur le bord du canapé.
Son doigt se fit inquisiteur.
Elle me masturbait tout en me doigtant.
Je sentais mon œillet sombre s'ouvrir sans effort.
"Tu vas jouir ?"
Je fermais les yeux pour tenter de garder mon calme.
"Je... non Maitresse..."
Elle tourna son doigt dans mon anus avant d'y insérer son médius à côté de son index.
"Tu vas jouir en te faisant doigter le cul..."
je sentais ma sève monter.
Sa main se posa entièrement sur ma colonne.
Elle me branlait plus généreusement.
"Tu es à moi..." me dit-elle en plongeant ses doigts en mon intimité et en m'astiquant la tige.
"Ta bouche... ta queue... ton cul... tout est à moi".
Je poussais des gémissements.
"Haa oui hoo oui Maitresse... je vous appartiens".
Elle relâcha la pression dans mon fondement alors que ma verge pulsait dans sa main.
Elle avait préparé à l'avance son coup et, lorsque je poussais un râle, giclant pour la première fois depuis 40 jours, ma semence fut recueillit dans une sorte de large tube de verre.
Mon jus, presque jaune, crémeux, remplit en abondance le tube.
Mes couilles étaient en feu et il me semblait ne jamais pouvoir m'arrêter de jouir.
Je criais...
Et mon foutre lui dégoulinait maintenant sur les doigts.
Elle me branlait plus vite, plus fort.
J'avais rempli l'éprouvette et elle continuait pourtant à me donner du plaisir.
Un plaisir mélangé à la douleur d'une si longue attente.
Je m'affalais sur le canapé.
Elle lécha le tube avant de le refermer.
"Liqueur d'abstinence". Me dit-elle dans un sourire en bouchant le tube.
"On en fait des crèmes délicieuses selon les recettes de grands-mères".
J'étais las, totalement fourbu.
Je ne pouvais pas refermer mes cuisses.
Mes bourses me lançaient.
Mon sexe pendait sans pouvoir rétrécir.
"Va te laver. Maintenant que ta peine à prit fin, j'ai grande envie de ta belle bite d'âne".
Ses yeux étincellaient.
Elle passa sa langue sur ses lèvres.

La nuit fut longue... elle était insatiable... et j'étais totalement en rut.
Une si longue abstinence venait de décupler mes envies...
Et achever ma soumission à ma Maitresse.

 

Jusqu'à la fin de mon séjour dans ce pays vert, je l'ai servi sans aucune retenue.

 

Fin.

Par Maitre - Publié dans : Elle, dominatrice...
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