Kim & Mr

[...]

 

Elle ouvre la porte, un peu surprise du toquement en lieu et place de la sonnerie du portier.

Son sourire discret dans l'entrebâillement me confirme dans son plaisir de me voir.

Cachée derrière le bois, elle m'invite à entrer.bocca.jpg

Je dépose un baiser sur le coin de sa bouche.

Son parfum, fragrances florales légères, m'emplit les narines.

Sa peau douce et fraîche laisse un goût d'encore sur mes lèvres.

D'un geste malhabile elle tire sur son débardeur pour cacher vainement le bas de son ventre.

Du revers des doigts je caresse son épaule.

Le tissu est renflé par l'érection de ses tétines.

Son boxer féminin, blanc, laisse transparaître l'ombre d'un filet de mouille.

Elle rit doucement, un peu nerveusement.

-Je ne te dérange pas ? Lui dis-je.

-Du tout. Jamais.

Elle s'avance de son pas souple et félin dans le décor végétal de son loft.

Je la suis comme un chasseur suit sa proie.

Mon regard posé sur son fessier engoncé dans le tissu immaculé qui marque avec sensualité sa vallée culière.

Une zone de chair pâle ondule entre sa culotte et le bas volant de son top étroit.

Elle tourne légèrement son visage, ravie que je l'observe dans cette tenue intime.

Quelques instants plus tard nous sommes installés sur son canapé.

Sur la table basse, au milieu des orchidées et des deux tasses de thé, l'écran de son ordinateur renvoie une lueur bleue électrique qui donne à son haut rose une teinte violette dans les ombres de sa poitrine.

-Je discutais avec un... ami. Me dit-elle en poussant la machine vers moi pour me permettre de voir la fenêtre de discussion.

Assise en tailleur sur son sofa elle me lance un sourire éloquent alors que sa main se pose sur son entre jambe.

-J'aime mes caresses... murmure t-elle en joignant à ces mots de doux gestes presque imperceptibles sur le coton masquant son sexe.

Je l'observe faire.

-Ne te prive pas. Bien au contraire. Fais-je en passant mes yeux sur son corps aux formes sensuelles avant de porter mon attention sur l'écran.

La discussion qu'elle mène avec son "ami" est d'un ton érotique et je comprends mieux son état actuel.

Le contenu de leurs échanges est intime... sexuel.

Une phrase s'inscrit.

« Oui, caresse-toi... tu m'excites ».

Elle se penche légèrement pour pouvoir lire.

Presque couchée sur le côté, elle continue de frôler sa fente en me souriant.

Je pose mes doigts sur le clavier et je prends sa place pour répondre.

« Je me masse devant toi… un œil coquin vers toi».

Je la regarde, elle sourit et ses doigts accentuent leurs cercles.

Sa jambe se relève et ses cuisses s'écartent doucement.

Nous nous laissons guider par cet échange virtuel qui se ramifie dans le réel avec une douce intensité.

La réponse est rapide.

"Tu me fais devenir dur. Ecarte un peu tes jambes."

Elle obéit à cet ordre sans attendre.

Je tape une nouvelle réponse en profitant de cette position indécente qu'elle prend.

"Je fais rouler le tissu. Tu vois ma motte se dévoiler peu à peu."

Ses doigts réagissent à mes écrits.

Elle roule le haut de son boxer vers le bas.

Peu à peu le haut de ses fesses, son pubis, m'apparaissent.

« J’ai stoppé sa descente à mes chevilles… »

La réaction est immédiate sous forme d’onomatopée.

Visiblement il apprécie cette entrave conservée.

Kim aussi, si je m’en réfère à ses joues qui rosissent alors qu’elle ne quitte pas totalement le tissu.

Puis c'est son sexe qui s'offre à ma vue, légèrement ceint d'une fine toison blonde, sa fente montre des lèvres renflées, luisantes, signe d'une excitation qui se prolonge.

C'est un délice pour mes yeux gourmands.

Je la regarde frôler son entre jambe.

Un regard, elle comprend et, délicieusement habile et sensuelle, elle frotte son sexe du bout des doigts.

Son regard... son sourire alors qu'elle flatte sa fente que je devine humide et moite.

Son visage devient vaporeux...

Détendue, souriante... puis la lèvre qui se mord... la bouche entrouverte... un gémissement s'en échappe.

Les reins se cambrent.

« Masturbe toi maintenant ».

Elle n'a pas attendu cette demande pour s'exécuter.

« Je me caresse... mes doigts glissent dans ma grotte humide ».

Un sourire vers moi, ses doigts se faufilent entre les nymphes luisantes.

« Hoo... oui... je me sens devenir plus dur en te voyant faire ».

Cet homme à l'autre bout du fil éprouve les mêmes sensations que moi mais sans en profiter en vrai.

« J'ai extraie mon bonbon... et je le caresse fort d'une main ».

Elle ondule... sirène hypnotique.

Ses doigts jouent avec son clitoris rond et gorgé de désir avant de plonger dans son sexe, recueillir sa cyprine et recommencer à titiller sa perle.

Ses lèvres s’entrouvrent lorsque son index et son majeur s’insèrent dans les nymphes brillantes.

« Et ton autre main ? » Questionne l’inconnu lointain.

Elle pose sa main sur sa cuisse, caresse sa peau soyeuse, attendant ma réplique.

« J’ai envie de caresser mes seins… »

Un instant de répit.

Nous nous regardons, joueurs, comparses, complices.

« Comment sont-ils ? Je veux les voir… »

De sa main libre elle ôte son débardeur dont une bretelle pendait sur son épaule.

Lentement elle dévoile sa poitrine ferme et libre.

Ses seins sont comme deux obus, ses mamelons pointent comme des mines de crayons.

« Ils sont… amples…aux auréoles sombres… avec un téton dur… Tu aimes les gros seins ? »

Elle passe sa main sur sa poitrine offerte.

Ses gestes sont délicats, son massage s’intensifie peu à peu.

Elle soupèse les rondeurs satinées.

Elle parvient sur ses pointes et les fait rouler sous sa paume de main.

« J’adore. Caresse tes grosses mamelles… pendant que je sors ma verge, tellement tu me fais devenir dur. »

Elle pousse un gloussement alors qu'elle masturbe plus fermement son clitoris gorgé de désir.

J'ai soudainement chaud.

Elle se penche doucement vers le clavier.

Ses yeux brillent.

Sa poitrine frotte contre ses cuisses.

Ses ongles glissent sur les touches.

« Je te regarde…hummm… joli morceau. J’ai tellement envie de te voir te caresser le sexe…palper tes bourses ».

Ses joues sont roses, un petit sourire lu barre le visage.

Je défais mon pantalon, laisse tomber mon boxer au sol, libérant ma verge.

Déjà dure, elle continue de monter vers le ciel alors qu’elle continue d’écrire à son ami invisible.

« J’aime ton gland.. bien gros. Hoo… elle est épaisse… hummm ».

Sa main entre ses cuisses s’agite plus vite.

Un de ses seins ballote entre ses jambes, son téton raide bien visible.

Je pose ma main sur mon manche et entame des mouvements de bas en haut.

Elle regarde, hypnotisée, comme fascinée par ma masturbation lente que je lui offre.

De mon autre main j’ôte ma chemise.

Elle passe son bout de langue sur ses lèvres, observatrice experte.

Ma main glisse sous mes boules glabres que je malaxe doucement.

Elle se caresse avec un gémissement sourd.

Face à face nous entamons une masturbation sensuelle, nous délectant chacun des gestes de l’autre.

Une nouvelle phrase s’inscrit.

« Tu me rend fou… j’ai envie de te lécher… ».

D’un regard complice je m’agenouille, elle écarte largement ses jambes.

Ses doigts ouvrent son sexe.

J’y pose ma langue et la lèche.

Elle ondule, pousse un profond soupir.

Son goût sirupeux m’enivre, je passe ma langue sur chaque parcelle de son sexe délicat.

Son bassin gigote de plus en plus alors que je passe ma langue de plus en plus profondément… avalant sa mouille qui coule de plus en plus abondamment.

Elle gémit, saisi mon visage entre ses mains et me plaque à son sexe brulant.

Je lape, avide, avant de sucer son bonbon et lui arracher un petit cri de plaisir.

Elle me repousse doucement.

Ses doigts effleurent les touches…

« Arrête, tu vas finir par me faire jouir… »

Je l’observe, son visage empourpré… sa bouche ouverte… ses yeux étincellent.

La réponse ne se fait pas attendre.

« Ma verge n’attend que toi… »

Je m’installe sur le canapé.

Elle vient se placer entre mes cuisses, sans hésitation, sa bouche gourmande a quelques centimètres de mon sexe tendu comme un palmier.

Elle souffle sur ma verge et je frémis, me cabre sous la fraicheur.

Son visage radieux vers moi elle tape quelques mots…

« Je vais te lécher… puis je vais te sucer… J’en ai très envie ».

A son absence de paroles elle joint le geste.

Sa langue se pose sur mon gland et excite le méat d’où perle une goutte de rosée humaine.

Lentement elle descend jusqu’à la base de mes bourses avant de remonter ainsi plusieurs fois, usant de mon appareil comme d’une glace.

Ses lèvres se font douces lorsqu’elles prennent mon membre dur et le masturbent.

Je lâche un soupir d’extase.

Elle m’embouche.

Mon sexe disparaît peu a peu dans sa bouche.

Ma chair raide apparaît avant de disparaître encore et encore alors que ses joues se creusent sous le fait de sa fellation.

Entièrement en elle, avec une lenteur extrême elle me tête et je sens de petits cris m’échapper.

Ils l’encouragent.

Il écrit.

« Ho oui. Ta bouche me dévore… tu pompes avec tellement de maestria. Je suis excité comme jamais ».

 Entre deux sourires de plaisir se glisse un rictus d’amusement.

S’il savait qu’elle était encore bien plus que cela !

Je suis aux anges devant cette diablesse qui se démène de plus en plus goulûment sur moi.

Elle force ma verge à se mettre à la perpendiculaire, provoquant une contrainte source de plaisir inattendu.

Lorsque dans un mouvement de tête elle lâche mon sexe, un bruit de succion accompagne mon gémissement et le retour du membre contre mon bas ventre.

Elle passe sa langue sur ses lèvres roses.

D’un regard vers l’écran elle s’applique sur sa dernière phrase avant de couper et de venir sur moi.

Alors que nous entamons une étreinte d’amants, je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui termina sa communication avec son ami inconnu.

« Je te laisse, je suis trempée et… mon sex-friend arrive ».

Nos corps dansent alors l’un dans l’autre au rythme du ventilateur… jusque tard dans la nuit.

 

A suivre…

 

 

 

 

 

-Tu aimes ? me demande t elle soudain.

Mon sourire lui suffit, elle accélère et grogne de plaisir, accentuant la courbe sensuelle de sa croupe.

Nous oublions l’écran, l’homme sans visage, et j’extraie ma verge devant ses yeux brillant.

-J’adore. Lui susurre-je à l’oreille en m’approchant.

Sa main passe de ses seins à mon sexe…

 

Par Maitre - Publié dans : Kim & Mr
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[...]

Je lui avais donné pour exigences de me consigner par écrit dès qu'elle le pouvait, les sensations et ce qu'elle avait fait à chaque fois que je lui donnais cet ordre simple : "entrave-toi".

 

Elle devait faire descendre sa culotte a mi-cuisses où qu'elle soit et la garder ainsi durant quelques minutes. De plus, il lui était formellement interdit de se satisfaire durant la semaine.

 

Son acceptation s'était vue agrémentée d'un soupir de plaisir à l'idée que ceci serve de test pour son début d'éducation à la soumission.

 

Voici le récit de ses messages.

 

Jour 1.

Monsieur.

Vous m'avez surpris alors que je venais juste de me lever et j'avais deja en tête cette épreuve. J'ai donc fait descendre ma culotte a mi cuisses. La réaction a été immédiate. J'ai senti une chaleur dans mon ventre et j'ai eu du mal à faire mon café, troublée.

 

Monsieur,

La sonnerie m'a fait sursauter. Je me suis dirigé rapidement vers un rayon plus calme, car je faisais mes courses dans un grand magasin, j'ai glissé mes mains sous ma jupe pour faire descendre mon dessous. J'avais peur d'être surprise mais très excitée en même temps. Je n'osais plus regarder les personnes que je croisais, je pensais qu'ils le savaient tous que j'avais la culotte a mi cuisses.

Mes pas étaient plus ardus car le tissu me gênait lorsque je poussais mon chariot.

A la caisse j'ai du conserver mes jambes écartées, de peur que ma culotte ne glisse. Je n'avais encore jamais ressenti cela. Ce n'est que dans ma voiture que j'ai pu me sentir assez en sécurité pour me réajuster. J'avais chaud partout.

 

Monsieur,

Je venais de finir l'entrave précédente.

J'étais encore sous le joug de l'émotion quand vous avez fait sonner à nouveau mon téléphone.

J'ai baissé ma culotte au feu auquel je me suis arrêtée. Ma jupe est trop courte, on a du la voir dans le magasin, comme on la voyait dans ma voiture. Heureusement je n'ai pas eu de conducteurs de camions ou de motards à ma hauteur. Même si l'idée qu'ils puissent me voir me troublaient encore plus. Les frottements des mes cuisses lors des passages de vitesses m'ont excité tout autant que le souffle qui s'engouffrait sous ma jupe et venait flirter avec mon sexe à l'air. J'avais toujours aussi chaud. C'était délicieux. Je me suis remise en ordre en arrivant.

 

Monsieur,

Ma culotte est basse sur mes cuisses.

Je suis chez une amie.

J'obéis. J'espère qu'elle ne va rien remarquer.

 

Suite,

Mon amie n'a rien remarquée. J'avais changé de jupe pour une plus longue et plus légère, j'ai donc pris le thé avec elle, les cuisses barrées et le sexe offert, sans qu'elle ne s'en rende compte. Mes fesses nues sur la jupe, sentaient le contact froid de son canapé.

J'avais du mal à me concentrer sur notre discussion. C'était délicieux.

 

Monsieur,

Il fait sombre et je suis chez moi. Je viens de faire glisser le tissu.

C'est un string qui m'entrave. Ma culotte d'aujourd'hui est souillée de vos exigences.

Je sens ses marques sur mes cuisses.

Mon esprit vagabonde mais je résiste à l'envie de glisser ma main sous ma nuisette à la recherche de ma fente libérée. Je ne peux m'empêcher de bouger les jambes et le tissu me gène autant qu'il m'excite. Le film ne parvient pas à capter mon attention. Je mouille.

 

Jour 2.

Monsieur,

Je faisais le ménage.

J'espérais la sonnerie toute la matinée, désespérant de l'entendre pour ressentir à nouveau cette excitation.

Elle m'a ravie. Mon coeur s'est emballé.

J'ai instantanément fait coulisser mon string sur mes cuisses.

Je forçais pour les écarter et les resserrer.

Cette sensation est incroyable de délice.

Je m'en suis mise à quatre pattes par terre pour frotter mes sols, la croupe levée, les jambes qui ne cessaient de s'ouvrir.

J'étais dans un état second, sous effet de l'énervement sensuel.

Qu'il est difficile de résister à l'envie de se caresser...

 

Monsieur,

Je viens de ressortir de chez le coiffeur.

J'ai demandé à aller aux toilettes lorsque vous m'avez bippé.

Le string à mi cuisses je me suis retrouvé sur son fauteuil à finir ma coupe, mal à l'aise. Il avait remonté le siège et m'avait basculé en arrière. J'avais beau faire comme si de rien n'était, il n'empêche que mon coiffeur a du voir mon émoi.

Lorsque je serrais les jambes, ma culotte glissais doucement vers mes genoux, et lorsque j'ouvrais les cuisses pour la maintenir, il ne se privait pas pour jeter un oeil. Je n'ai du mon salut qu'à la légerté de la robe qui retombait entre mes jambes.

Je suis ressortie épuisée mais humide. Incroyable.

 

Monsieur,

J'avais en face de moi trois dames à qui j'apprenais à peindre chez moi.

Qu'il a été délicieusement troublant de passer auprès d'elles, de leur donner des conseils, de tenir le pinceau pour leur montrer un geste, en ayant les cuisses enserrées par ma culotte baissée, roulée sur mes cuisses comme un collier de tissu trop étroit.

Je me sentais comme une jeune friponne, secrètement humide et excitée.

Elles n'ont fait d'autres remarques que celle de m'avoir trouvé très joyeuse et frivole.

Si elles avaient su...

Je me suis dit que peut-être l'une d'entre elles était de même.

J'ai du prendre une douche. Je sentais le sexe tellement cela m'avait excité.

 

Monsieur,

Ce soir lorsque j'ai reçu votre message j'avais le sexe en feu.

J'étais devant mon ordinateur.

J'ai fait rouler le tissu pour m'entraver avec lenteur.

Le fond de mon string était déjà trempé.

J'avais tellement chaud que j'ai retiré ma nuisette. Mes seins me faisaient mal tellement ils étaient tendus et gonflés, mes pointes dressées comme rarement.

J'ai discuté dans cette tenue, résistant non sans mal à me faire du bien.

Mes cuisses n'arrivaient pas à s'ouvrir comme je l'aurais voulu sous le joug du désir impossible.

Je suis exténuée mais ravie de cette excitation continue.

 

Jour 3.

Monsieur,

J'ai pris les transports publics en espérant votre message.

Je sais, j'ai honte de ma conduite mais j'en avais envie.

Il m'a été difficile de faire glisser mon string pour venir barrer mes cuisses alors que l'espace était réduit.

Un homme a du s'en rendre compte car il m'a caressé les fesses au travers du tissu et est redescendu pour bien montrer de ses doigts qu'il avait connaissance de la présence basse de mes dessous.

Je n'ai pas osé le regarder. Je dois vous avouer que j'ai mouillée. Je n'avais jamais fait cela.

J'ai ensuite fait deux magasins dans la même tenue, le rouge aux joues, incapable de pouvoir me réajuster de peur d'être poursuivi par l'individu.

Vous me faites faire des choses folles.

 

Monsieur.

Je suis dans un parc public avec mon sandwich.

J'obéis et je m'entrave.

Mes seins et mon sexe ne m'obéissent plus.

 

Monsieur.

Assise sur mon banc j'ai les cuisses ouvertes, le string me fait mal mais je suis sous les effets du plaisir.

En face de moi un homme me mate.

Je lui laisse apercevoir ce qu'il peut voir... mes cuisses, mon sexe libre, mon string baissé.

De sous mes lunettes de soleil je vois qu'il bande.

Ma jupe est mouillée car, assise, je coule.

Je suis gênée pour repartir, vu mon état.

J'espère que je ne vais pas croiser de personne que je connais, ma jupe est... inacceptable.

 

Monsieur,

Je suis sur mon balcon a prendre un thé.

Ma culotte est en travers de mes jambes comme vous l'exigez.

Mon esprit vagabonde vers vous, obéissante.

J'aimerais vous avoir entre mes cuisses.

J'aspire à me donner à vos désirs.

Comment puis je obtenir de vous l'autorisation de me faire du bien ? Je n'en peux plus...

 

Monsieur,

J'ai bien reçu votre message et je vais donc dormir dans cette tenue cette nuit.

J'espère trouver le sommeil.

C'est avec une joie rare que je vais savourer votre arrivée demain.

Votre Kim, souillée, entravée, humide.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Kim & Mr
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