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Devant le café concert je retrouvais mon fils.
Heureux de saluer sa maman, mais restant avec ses amis, le simple fait de le voir m'avait fait prendre conscience de l'écart d'âge entre nous. Entre
le public de jeunes et mon amie et moi. Mais nous n'étions pas, et heureusement, les deux seules spectatrices de plus de 25 ans venus assister à ce concert de rock.
Pour la peine j'avais passé une jupe noire en cuir et je portais une veste de jean que je conservais précieusement depuis des années. Mon amie me
fit rire en me mimant des gestes que revendiquaient les patchs que j'avais cousue sur celle-ci.
Autour d'un verre, après avoir papoté comme des étudiantes, nous sommes rentrées dans la salle.
L'ambiance obscure, bruyante, éclairée par des zébrures de flashs où les riffs de guitare se mêlaient aux sons sourds des percussions nous firent
oublier nos âges. Nous n'avions plus 50 ans. Nous étions deux femmes en train de s'amuser.
Mon mari n'avait pas voulu venir, ce n'était pas son style de musique.
Alors je m'éclatais, heureusement, Véronique avait conservé son âme de rockeuse.
La foule se fit plus compacte avec le groupe principal qui arrivait sur scène.
En un instant je me mis à repenser à mes… aventures dans les rames de tramway.
L'envie monta d'un coup comme une bouffée de chaleur.
L'homme derrière moi devait avoir dans nos âges. Je lui fis un sourire.
Mes hanches s'agitaient alors un peu plus. Des roulements plus prononcés, regrettant presque que, d'une part l'absence de lumière et d'autre part la
longueur de ma jupe, ne lui permette pas de distinguer que j'avais mis des bas et un porte-jarretelles. Une envie sensuelle de midinette qui m'avait effleuré avant de partir.
L'envie de plaire… encore.
Alors je me dandinais certes un peu devant ce beau mâle aux yeux sombres, à la barbe de 3 jours, depuis que j'avais surpris sa présence au milieu de
la foule.
Les chansons s'enchainaient, je perdais un peu le fil de mes pensées. Nous nous amusions. Loin de la vie quotidienne.
Au milieu de tout ces gens réunis par l'envie de prendre du bon temps.
Et puis je cru défaillir lorsque j'ai senti la caresse sur ma hanche.
Nous étions beaucoup plus tassés les uns près des autres. Et la main, derrière moi, vint me palper une fesse.
Je me retournais doucement pour sourire à l'homme qui me regarda avant de me faire un sourire puis relever le visage vers la scène.
Sans opposer de résistance, ni faire de geste pour me soustraire à cette caresse, je cambrais au contraire un peu plus mon bassin à la recherche de
ce contact totalement illicite et invisible.
Il avait osé me peloter les fesses. Et j'adorais ça.
Ses doigts remontaient, passaient sous ma jupe, il frôlait mes attaches de bas, placées très haut. Sa main caressait mes deux fesses, doucement, de
l'une à l'autre. Son index passa alors sur ma vallée intime pour venir s'apposer sur mon entrejambes. Privé de culotte il devait vite avoir compris que là où iraient ses doigts, ils
rencontreraient ma peau nue. Je n'en avais pas mis, petite coquetterie de femme… petite excitation chez moi qui s'avérait devenir un appel à la lubricité sous le feu de cette rencontre
impromptue.
Tout en me trémoussant j'ouvris un peu les cuisses pour lui laisser un accès plus aisé à mon sexe qui était frémissant de se faire caresser par cet
inconnu au milieu de la foule.
Et il ne se priva pas.
Il massait, appuyait sur mes nymphes gonflées. Ma motte devenait liquide et mon cerveau ne faisait plus le point entre la musique au rythmes
brutaux, et ces caresses douces et immorales.
Mon amie me demanda si j'aimais le concert.
Je me penchais vers elle pour lui murmurer, de façon criée, que j'adorais !
Ce faisant j'avais encore plus offert mon sexe à la palpation du beau mâle ténébreux derrière moi.
Il m'enfonça un doigt et je cru défaillir.
Il me masturbait sans rapidité, prenant le temps de m'écarter chaque lèvre. Et lorsque, par les mouvements du public, nous étions un peu poussés, il
revenait pour reprendre ce qu'il avait entamé. J'étais en extase, le souffle court.
Le temps du dernier morceau et du rappel s'achevait. Mon clitoris avait été malmené car nous bougions en tout sens, ballotés par les vagues de
réaction.
Puis la main qui m'avait fait du bien s'échappa.
Happés par la sortie, mon corps fut privé de ces lubriques caresses. Le mâle avait disparu de ma vue.
L'air frais me fit un bien fou. Nous échangions sur les morceaux, les reprises et la pêche que le groupe avait. Je n'osais dire à ma complice de
concert ce qui m'était arrivée mais j'avais, sur certaines parties du concert, totalement perdue de vue et d'oreille, la musique et son message.
Même si des yeux je cherchais encore l'homme qui, derrière moi, avait bien joué avec mon sexe et m'avait rendu complètement excitée.
Il avait disparu.
Mon file me rejoignit pour me demander si "j'avais pris du plaisir". J'en rougis. Et lui avouais avec aplomb que c'était le cas en effet.
Puis ile me demanda si je pouvais reconduire chez lui un de ces amis car le conducteur qui les avait emmené était reparti… une histoire qui me
replongea dans la réalité, stricte et bassement matérielle.
Dans l'habitacle de mon auto, le ronronnement du moteur ne troublait pas mes pensées, volages, qui étaient revenues. A côté de moi l'ami de mon fils
somnolait doucement.
Je tirais sur ma jupe pour masquer l'humidité qui avait souillé mes bas, bien que, de nuit, on ne voyait rien.
Je venais de me faire caresser en plein concert… j'en ressentais une fierté. C'était un signe que j'attirais encore les hommes.
- C'est cool d'avoir une mère qui aime ce genre de musique.
La voix de Timothée, c'était le nom du jeune homme que je ramenais chez lui, me sortit de ma rêverie.
Je répondis machinalement que c'était en effet plaisant de partager cela avec son fils.
- J'aimerais bien que ma mère soit comme vous. Le look. La musique. Mais elle n'aime que le classique.
J'argumentais, tentant de lui montrer que la musique classique aussi avait ses bons côtés.
- Et puis les bas, c'est joli.
Mes mains se crispèrent sur le volant.
Mon regard se baissa pour voir si ma jupe ne s'était pas relevée alors que je n'y prêtais attention, mais non, elle était bien à sa
place.
- J'aime bien. Surtout quand ils sont accrochés très haut. Et… qu'ils sont portés sans culotte.
Je devins cramoisie de honte. Muette de stupeur, je bredouillais deux mots sans consistance. Comment savait-il cela ?
Je regardais fixement la route sans oser le regarder.
Sa main vient se poser sur mon genou.
Je manquais de faire un écart, surpris par cette familiarité soudaine.
- Vous avez eu l'air d'apprécier tout à l'heure.
Ma bouche s'ouvrit. "Timothée... je… comment ? Je ne comprends pas…". Je m'étranglais presque.
Il remonta sa main sous ma jupe jusqu'à venir toucher les attaches du porte-jarretelles, faisant se relever le cuir et dénuder mes
cuisses.
- Moi j'ai adoré vous voir vous tendre vers mes doigts.
Tout se bousculait. Ce n'était pas l'homme d'âge mur qui m'avait caressé, mais ce gamin de 25 ans… l'âge de mon fils.
Ses doigts touchèrent le haut de mes bas, ma peau et vinrent se poser rapidement sur le haut de mon sexe.
Le feu était rouge, nous étions à l'arrêt. Je devais lui dire de sortir.
Il appuya sur le haut de ma fente et, au lieu de lui dire de ficher le camp de ma voiture… j'écartais instantanément les cuisses en poussant
un petit gémissement.
C'était trop tard.
Il me masturbait lentement, de deux doigts et mes jambes s'ouvraient pour lui laisser faire son doux ouvrage.
Je reparti lentement. Le GPS me guidait jusqu'à chez lui.
Un immeuble au parking sous-terrain qu'il ouvrit à l'aide d'une télécommande.
Je me garais, dans le fond, sa main entre mes cuisses qui me palpait désormais de tous ses doigts.
Mes lèvres se faisaient masser et presser. Je sentais que je coulais sous ses gestes habiles. Les feux à led éclairaient le mur en face.
Je ne desserrais pas les dents ni les mains sur mon volant.
Il vint frotter mon clitoris et là… je poussais un petit cri de plaisir.
Mes genoux s'ouvrirent en grand et il me pénétra de deux doigts qu'il fit remonter pour titiller mon bourgeon d'amour avec plus de vitesse,
d'énergie.
Je balbutiais qu'il avait une amie, qu'il ne devait pas continuer.
- Et vous, vous avez un mari. Mais ce n'est que du sexe. Et personne ne le saura.
Il avait dit cela ave naturel et conviction.
N'y tenant plus, ma main vint chercher son entrejambe à lui. Il était… dur… gonflé.
Je me mordis la lèvre inférieure et, en me tournant vers lui, croisais son sourire carnassier.
25 ans… et il avait envie de moi.
Je me trémoussais pour venir sur lui, dans l'habitacle exiguë de ma petite voiture rouge.
Je déboutonnais rapidement sa braguette et sortis son membre vigoureux.
Il me prit par les cuisses pour m'aider à venir sur lui.
Maladroitement je me frottais à son gland rond.
Il fallait que je demande à Monsieur de m'acheter un SUV ! Cette pensée me fit prendre conscience de la situation. J'hésitais. Son sexe entre mes
doigts.
Il avait déboutonné ma veste et palpait mes seins.
- On sera mieux sur le capot. Me dit-il de sa voix douce.
Je rougis sans pouvoir dire quoi que ce fut. Il ouvrit la porte et je me retrouvais, le ventre sur le métal chaud, les jambes écartées.
Il me pénétra d'un seul trait, d'un coup de reins vigoureux. Je poussais un feulement sous l'intrusion franche.
Son beau membre jeune et tendu, glissa entre mes lèvres trempées.
Sans un commentaire, il me prenait, m'offensait à coup de sabre de chair.
Pourvu de cette énergie que donne la jeunesse, il venait claquer mes fesses de son corps, sans cesser de me labourer le vagin.
J'avais une main sur ses hanches et l'autre… cramponnée à ma voiture pour ne pas faillir sous les assauts de mon jeune empaleur.
Une lumière clignotante annonça l'entrée d'un véhicule.
"Arrête" lui dis-je. Mais, au lieu de cela, il se coucha sur moi, glissa une main sous mon ventre et devint presque immobile, son membre viril dans
mon vagin, ses doigts sur moi, son souffle sur ma nuque.
Ma jupe relevée sur mes hanches… j'étais morte de honte.
Et fièvreuse de désirs.
- Ce ne peut pas être ma copine, elle ne sortait pas. Me murmura t-il à l'oreille.
Ses doigts vinrent cajoler mon clitoris pendant que son sexe ne faisait que palpiter dans mon étui devenu liquide. J'avais peur d'être
surprise. Mais extrêmement excitée par cette même frayeur.
Un puis deux claquement de portières. Enfin le son d'une porte d'ascenseur et la luminosité revint à celle, verdâtre, des issues de secours comme
seul éclairage.
Il me masturbait sans avoir cessé un seul moment, j'étais au bord de l'orgasme.
Il se redressa et bombarda mon sexe de grands coups de reins. Cette tension qu'il avait accumulé se libérait soudainement.
Je poussais alors un long gémissement… difficile à réprimer. Je jouissais sur mon capot, dans un parking, saillie par un étalon de la moitié de mon
âge dont je ne connaissais qu'à peine le prénom.
Je le sentis près, lui aussi, à prendre son pied.
J'eu alors une envie. Subite. Insolite.
Je le repoussais. il me regarda, hébété, à la frontière du plaisir absolu.
Et je m'agenouillais devant son pieu brillant de mon miel.
Ma bouche s'ouvrit pour l'engloutir d'un seul trait.
J'avais déjà sucé, mais plus pour faire plaisir que pour mon propre plaisir. Là j'en avais envie. Je le pompais vigoureusement, je l'aspirais, lui
tétais le gland et ma langue et mes lèvres servaient d'étau de soie. Je comprenais pourquoi des hommes aimaient lécher des chattes féminines. J'avais envie, je prenais plaisir à sucer une verge,
à en sentir la texture, la force, dans ma bouche.
Il éjacula sans prévenir, inondant ma bouche de son liquide abondant et poisseux. J'ouvris la bouche pour baver cette substance sur sa tige et sur
le sol. Je ne voulais pas avaler… et pourtant… je me demandais si … je n'en avais pas très envie, de cette offense que je n'avais encore jamais accepté. Alors je déglutis pour faire entrer dans
ma gorge un peu de son nectar. Un gout… nouveau. Je devenais une autre femme.
Je désembouchais son manche viril et le regardais en me relevant.
Il avait les yeux fermés, encore dans la petite mort.
Ma main lui caressait les boules vidées, et lentement je lui reboutonnais son pantalon.
Je me réajustais tant bien que mal.
- Merci m'dame, c'était cool de vous avoir rencontré.
Il me salua et s'éloigna.
- Peut-être à un prochain concert ! N'ayez crainte, je gare le secret. Et le portail s'ouvrira automatiquement ! me fit-il avec un geste de la
main.
Il s'engouffra dans l'ascenseur et disparu.
Je mis quelques minutes avant de redémarrer, me placer devant la porte qui s'ouvrit devant mon véhicule comme moi je m'étais ouverte devant des
doigts et une verge totalement inconnus.
La route fut courte, machinale.
J'étais souillée. J'allais placer mes vêtements dans le lave-linge, me coucher et mon mari n'en saurait rien.
Cette soirée avait été un pur délice.
Et je me découvrais des envies… nouvelles et charnelles. Plus indécentes et gonflées d'obscénité également.
Au son d'un solo de guitare d'un titre qui avait accompagné mes désirs indécents, je me mis à chanter. C'était bon. C'était rock'n roll.
A suivre….