[...]
La voix provient de la zone d'ombre.
Seul le bout de l'escarpin qui se balance permet de situer celle qui vient de parler.
J'observe l'ouvreuse, encore à genoux sur le sol.
Ses cheveux blonds tombent sur son pull blanc qui moule ses petits seins.
Des hanches aux pieds elle ne porte plus qu'une paire de petites chaussettes blanches.
Elle a frémit en entendant la voix.
Le jeu qu'elle voulait pratiquer, celui d'être violée par le "méchant loup", vient de prendre une autre tournure.
Elle qui croyait que Miss Kathleen, ma Maitresse, n'allait qu'être une simple observatrice, voilà qu'elle entre sur la scène.
La jeune femme me regarde un peu inquiète.
De l'ombre sort une main.
Au bout de la main une cravate.
- Bande-lui les yeux.
Je me saisis de l'objet et je le passe autour du visage de la demoiselle.
- Ho... qu'allez-vous faire de moi... je vous en prie...
Elle respire plus vite, plus fort. Je sens l'excitation s'emparer d'elle à nouveau, plus intense encore..
Je fais un noeud que je sers pour la priver de la vue.
Elle lâche un petit gémissement.
Miss Kathleen se détache de l'obscurité.
Elle est vêtue d'un porte-jarretelles noir, de bas-résilles et d'escarpins. Sa poitrine opulente est maintenue dans un soutien-gorge noir également.
Nous nous sourions, complices.
Je suis heureux, si fier, qu'elle approuve ce que j'ai fait subir, bien volontairement, à notre pseudo victime.
Elle pose sa main sur le visage de la femme agenouillée.
Du bout des doigts elle étale mon sperme et le porte jusqu'aux lèvres de la jeune femme.
- Tu as quel âge ?
La voix de ma Maitresse résonne, douce et posée.
- 24 ans.
Elle force ses doigts à se glisser entre les lèvres de l'ouvreuse.
Cette dernière a un mouvement de recul pour éviter les doigts poisseux.
Miss Kathleen lui saisit le menton.
- Tu as un visage d'ange. Comment t'appelles-tu ?
- E... Elisabeth. S'il vous plait... arrêtez... je ferais ce que vous voulez mais... pas ça...
- Un prénom de reine. Une reine qui va être à notre service.
Maintenant le visage bien droit, la dominatrice s'avance.
Ses jambes écartées, elle se place à quelques centimètres de la dominée qui tourne le visage.
Je prends alors ses cheveux et la force à effleurer le sexe de Miss Kathleen.
- Non ! Pas ça ! Je n'ai jamais... ce n'est pas moral !
- Respire. Que sens-tu ?
Elle hésite avant de répondre.
- Le... sexe...
- Mon sexe. Déclare ma Maitresse. Mon sexe que tu vas déguster.
Je caresse ses épaules, je fais glisser le pull pour les dénuder.
- Tu vas me lécher à mon tour.
- Non !
Lentement, maintenue par nos mains, le bas ventre de Miss Kathleen s'approche inexorablement du visage de la jeune femme.
Elle garde la bouche fermée tout au long des lents frottements que les mouvements de bassin de ma Maitresse s'effectuent sur son visage déjà sali.
La motte humide se frotte sur le charmant minois.
Le faible crissement des bas se mélange à celui, plus intime, de la bande étroite de poils roux sur la peau pâle de l'ouvreuse.
Je me penche vers elle.
- Ouvre la bouche et lape-lui la chatte.
Elle pousse un petit cri et entrouvre ses lèvres.
Rougissante elle fait pointer sa langue.
Hésitante, elle effleure les lèvres roses et, alors qu'une pression sur sa nuque la force à se rapprocher du sexe de Miss Kathleeen, elle rencontre les poils roux et les lèvres larges et molles de la femme debout devant elle.
Elle fait danser sa langue, timidement, puis de plus en plus volontairement dans les replis intimes et luisant.
Nous n'avons bientôt plus besoin de la tenir.
Elle enfonce son muscle dans la fente qui lui est présentée.
Elle lèche et excite le clitoris long et large que miss Kathleen lui présente.
- Suce-moi... c'est bien...
Elle obéit, aspirant le petit sexe de femme pour en jouer.
- Tu es la reine des salopes. Lui dis-je.
Excité par cette situation ma verge se tend à nouveau. Je la caresse doucement.
Miss Kathleen laisse glisser sa main sur mon torse puis sur mon ventre avant de s'emparer de ma tige redevenu épaisse.
Avec une lenteur excessive, elle me masturbe pour me faire redevenir totalement opérationnel.
La jeune femme poursuit sa coupable activité, une main posée sur sa tête lui indique qu'elle ne doit pas s'arrêter.
- Continue oui… Hooo…
Pour la première fois je vois ma Maitresse entreprise par une femme et en tirer du plaisir.
Mon vit est une barre dure à cette nouvelle idée.
Je m’allonge sur un canapé et invite Miss Kathleen à venir s’empaler sur moi.
Elle n’est plus là, celle qui me domine, nous sommes deux partenaires de jeux qui avons trouvé notre rythme et notre (pseudo) proie.
Assise sur moi, mon sexe entre dans sa matrice lubrifiée.
Elle pousse un cri libérateur.
Je m’empare de ses hanches et la fais onduler lentement sur mon pal.
- Lèche-nous.
L’ordre que je donne est suivi d’un effet immédiat.
Miss Kathleen lui tient les cheveux avec douceur mais elle n’a pas besoin de l’attirer à nous, l’ouvreuse se penche et sa langue vient passer sur la base de ma hampe et les lèvres écartées de la femme que je perce.
L’une monte et descend sur mon sexe dressé, dos à moi.
La seconde use de sa langue et de ses lèvres pour nous lécher l’un après l’autre.
Je sens la langue tourner autour de mes boules puis m’abandonner pour la découvrir sur le côté de mon manche en train de lécher le sexe féminin qui lui est offert.
Mes mains s’emparent de la forte poitrine de ma Maitresse.
Je la palpe, généreuse, ferme et souple tout à la fois, une paire de seins a se damner... tout en continuant de la laisser aller et venir autour de moi.
Je fais glisser le soutien-gorge et libère les mamelles aux larges auréoles.
- Haa… Continuez tous les deux… hooooo !
Elle remonte une main par-dessus sa tête et son corps se cambre.
Allongée sur mon corps, je malaxe ses deux seins lourds à pleines mains.
Les bourgeons se tendent, je les tire.
Ils roulent entre mes doigts.
Je glisse un mot à l’oreille de ma Maitresse.
- Elle pourrait venir téter.
- Ho oui !
Nous changeons de position.
Elisabeth reste à genoux sur le canapé, le visage et la bouche couvert de liquide luisant.
Miss Kathleen s’assoit et lui présente ses seins généreux.
- Je n’ai jamais eu de femme… c’est mal.
Dit la jeune femme, faussement honteuse, lèvres rougit et trempées de cyprine.
- Fais –moi ce qu’on voudrait que l’on te fasse, tu vas vite comprendre.
Les deux femmes se regardent un moment.
Elisabeth s’approche et du bout des doigts effleure les seins que ma Maitresse maintient devant elle.
Elle passe ses doigts sur le contour, cercle vers les mamelons pour les exciter du bout des ongles.
Je vois le corps de Miss Kathleen se tendre sous les gestes.
Elle se saisit des pointes et approche sa bouche entrouverte.
Les yeux plongés dans ceux de son ainée, elle s’empare du téton et le suçote.
Les mains de ma Maitresse sont posées calmement sur les cheveux de la femme qui lui fait du bien.
- Je crois qu’elle est prête à être outragée. Fait-elle après quelques minutes où je les regarde en me caressant lentement.
Elle relève son visage, interdite.
D’un mouvement elle se retrouve sur le canapé.
Je glisse ma main entre ses cuisses, Miss Kathleen fait de même.
Nous ouvrons ses jambes.
Elle pousse un petit cri.
- Enlève ton pull. Lui ordonne-je.
A gestes lents elle le fait passer par-dessus-sa tête. Il emporte avec lui le top qu’elle portait.
Un petit soutien-gorge crème maintient sa petite poitrine.
J’enfonce deux doigts dans son puits.
Ma Maitresse fait de même et nos doigts se mêlent dans la fente trempée.
Elle gémit de l’intrusion.
- Enlève le reste. Lui impose la voix douce de Miss Kathleen.
- Haaa vous me faites mal… vous m’ouvrez le sexe en deux…
- Obéit !
Elle fait glisser l’armature et nous révèle alors sa poitrine.
Deux petits seins ronds, fermes, aux petits tétons tendus.
J’enfonce mes doigts dans le vagin alors que ma maitresse lui écarte largement les grandes lèvres.
Nous la fouillons l’un après l’autre, ensemble, saisissant ses chairs luisantes pour révéler son sexe à nos regards affamés.
Elle gémit sans discontinuer, coulant à ne plus finir.
Nous avons chacun un sein à la main.
Les tétines roulent et sont malmenées.
Elle se tortille dans tous les sens sous nos doigts qui la triturent en tous sens.
Nos doigts se nimbent de la cyprine qui témoigne de son orgasme.
J’extraie mes doigts de son antre intime pour glisser sur son petit orifice.
- Non…
Fait-elle faiblement entre deux couinements.
J’étale son jus de femme sur la petite rondelle étroite.
Mes doigts glissés entre les petites fesses je sens le refus de son anus à se laisser aller.
- Pas mes fesses… non… Haaaa !
Miss Kathleen vient d’enfoncer trois doigts dans son vagin.
- Tu le sais que tu vas te faire sodomiser. Lui murmure t-elle à l’oreille.
La jeune femme ne répond rien, soufflant et gémissant à chaque fois que nos doigts la caressent.
Je glisse mon index dans l’orée de son étroitesse, elle se cambre.
- S’il vous plait, juste un doigt…
- Tu aimes te faire doigter ?
Mon index recouvert de mouille glisse dans son œillet.
- Ho… oui…
- Alors tu vas aimer prendre toute sa queue.
- Non ! Elle est trop large… et c’est mal…
Mon doigt coulisse lentement.
Les résistances de son arrière-train se font plus diffuses.
- Mets-toi à 4 pattes.
Ses yeux roulent et son sourire s’agrandit.
Jouer la victime lui plait.
- Ho non… je ne suis pas une vulgaire chienne…
Elle s’insulte et tout trois nous sentons une bouffée d’excitation nous parcourir.
- Je ne suis pas une salope…
Elle se place à 4 pattes, ses chaussettes descendues sur ses chevilles.
Miss Kathleen lui présente son sexe.
Je lui écarte les fesses après les avoir caressés.
Elle a un petit fessier rond, ferme, doux et musclé.
- Tu vas lécher ma chatte comme la petite chienne que tu es.
L’ouvreuse se dandine.
- Et je vais t’enculer comme la dernière des putes.
Elle me regarde par-dessus son épaule.
Sa croupe se cambre et s’offre.
- Pitié… Je ferais… tout ce que vous voudrez.
Sa voix est un petit ruisseau de sensualité.
A suivre…