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A 4 pattes devant Miss Kathleen qui est assise sur le canapé bon marché, Elisabeth ondule lascivement.
Derrière elle je caresse ses petites fesses rondes et nues.
Son petit orifice légèrement élargit par l'introduction de mon index.
Elle respire lentement après nous avoir échauffé les sens par ses mots crus.
J'effleure du doigt le rond interdit et elle gémit aussitôt.
- Tu vas jouir... tu vas jouir en léchant et en te faisant enculer comme une vraie petite salope.
- Hoo... je ferais tout ce que vous voudrez...
Elle roule des hanches et sa bouche s'ouvre, son visage se rapproche de l'entrejambe de Miss Kathleen.
Les bruits qu'elle produit sont sans équivoque, elle lape ma Maitresse, assise sur le canapé, avec un plaisir non feint.
J'écarte les deux rondeurs et présente mon gland rond et gorgé de sang sur l'étroite rondelle brune.
Dans son appartement, le petit chaperon-rouge se laisse aller à se faire violer en toute confiance.
Derrière ses apparences de fille sage et sa volonté de paraitre prude, elle aime être malmenée et outragée.
Nous allons encore la gâter.
Il ne faut que quelques secondes pour que je sente son sphincter se relâcher après l'entrée de mon gland.
Elle reprend sa respiration, une longue expiration.
Dilattée elle se laisse faire.
Pourtant la résistance est réelle.
Je pousse mon manche en elle.
Autour de ma verge s'écartent les muqueuses.
- Haaa... non... elle est trop large... aie... haaaa...
Je décide alors de la prendre à son propre jeu.
D'un violent coup de reins j'enfonce ma tige turgescente dans son petit univers intime.
Elle crie sous la pression et la douleur.
Ma Maitresse appuie sur son visage et lui plaque la bouche contre son sexe.
Je plonge ma main entre ses cuisses et masturbe avec une délicatesse inversement proportionnelle, son clitoris gorgé de sang.
Mon pal reflue et s'élance à nouveau, la perçant toujours plus profondément.
J'entends ses cris étouffés.
Elle mouille en abondance, son sexe lisse grand ouvert par nos manoeuvres précédentes.
Je maintiens un rythme soutenu dans cette sodomie sauvage.
Elle râle.. de plaisir.
Je lime son fondement à un vitesse frénétique.
Miss Kathleen me regarde, surprise et étonnée.
D'une main je donne une fessée à Elisabeth qui ne gémit maintenant plus que quelques "oui", "ho oui".
Son petit cul tendu vers la ciel, les globes grands ouverts, mon pylone de chair entre et sort de son intimité la plus étroite.
Lorsque je ralentis, c'est sans surprise que je vois ma Maitresse onduler à son tour sous les coups de langue de notre proie.
Elle caresse d'une main sa poitrine généreuse, et de l'autre maintient le visage d'Elisabeth entre ses cuisses écartées.
Je m'extraie de l'anus qui reste largement ouvert.
J'y replonge.
Elle grogne.
Je me plante en elle jusqu'à la garde, mes couilles viennent frapper sur ses lèvres.
- Bouge sur ma queue.
Elle semble ne pas entendre.
Je ponctue une seconde fois mon ordre d'une fessée vive.
Elle s'agite en réponse, ondulant et poussant son bassin jusqu'à engloutir entièrement ma verge tendue à l'extrème.
- Continue... c'est bien... une vraie chienne...
- Bouffe-moi encore... Enfonce bien ta langue de salope...
- Elle aime en avoir plein le cul cette pute...
Nous commentons de concert les prouesses d'Elisabeth qui s'applique et coule entre mes doigts.
L'orgasme arrive, il me signale son imminence par un frissonnement interieur.
De longues giclées successives.
Toutes déversées dans sa rose.
Ma Maitresse me regarde jouir dans le cul de cette autre qu'elle.
Dans ses yeux j'y lis un mélange d'admiration et de plaisir.
Elle repousse délicatement le visage de l'ouvreuse pour venir me rejoindre.
Côte à côte, nous observons son petit anneau regurgiter mon foutre.
Mon sexe pend entre mes jambes.
Nos mains caressent les petites fesses en les maintenant écartées pour admirer le jus blanc qui s'en échappe.
Son abricot lisse s'en trouve inondé.
J'entre alors un doigt dans la grotte intime, aussitôt suivi par Miss Kathleen.
Nos doigts dansent une sarabande obcène dans l'anus défloré et gorgé de foutre de celle qui se trémousse de jouissance.
Ses deux orifices sont malmenés, forcés, ouverts, caressés et percés.
Et elle ne cesse de gémir de plaisir, toujours à 4 pattes, ses orgasmes s'enfilant comme des perles sur un chapelet.
A demi consciente nous l'allongeons sur la table basse.
Je lui présente ma verge.
Elle ouvre aussitôt la bouche et m'engloutit en penchant son visage adorable de côté.
Son ainée lui caresse les seins, le ventre, le sexe...
Son corps de liane se tortille de nouveau sous nos caresses.
Je ne suis pas long à reprendre de la vigueur et à bander de nouveau tellement la jeune femme me suce avec expertise.
Nous changeons de place et Miss Kathleen vient se faire à nouveau lapper le con.
Devant la motte lisse et trempée d'Elisabeth, mes envies se trouvent exacerbées.
Je plonge mon pieu de chair dans le bas-ventre avide et bouillant de celle qui se laisse faire.
Une cheville dans chaque main, je la fourre consciencieusement.
Ma verge s'enfonce sans effort dans son conduit lubrifié.
Elle grogne tout en mangeant la vulve qui lui est offerte.
Je poursuit ma séance de baise en admirant ces deux femmes suintantes de plaisirs.
Mu par une envie subite, je délaisse le sexe d'Elisabeth pour venir me placer derrière Miss Kathleen.
Mes mains sur ses hanches plus larges je la penche en avant.
Elle est surprise par mon impétuosité, son sourire est une autorisation à aller au bout de mon désir.
D'un mouvement de reins je pousse ma verge dans son sexe.
La langue d'Elisabeth, parfois, passe sur mes couilles avant que je ne les sente se faire gober.
Je pose un doigt sur l'étroitesse de ma Maitresse qui vient s'allonger sur le corps de l'ouvreuse en signe d'acceptation.
Lorsque mon sexe pénètre l'intimité la plus obscure, je l'entends à son tour gémir.
Elisabeth relève ses jambes et ses mains viennent se poser sur la nuque de ma Maitresse.
Elles se gourmandent l'une l'autre.
Et mon sexe sodomise la plus experte dont j'écarte les fesses pour me permettre de la posséder jusqu'au plus profond.
Après quelques minutes de luxure où les seuls sons que nous entendons sont ceux des langues, des sexes et des souffles sensuels, Miss Kathleen se cambre, au bord de la jouissance.
- Mets-toi à genoux et prépare toi à tout avaler. Lui ordonne t-elle.
Elisabeth s'agenouille et ouvre grand la bouche alors que ma Maitresse la regarde.
Penchée sur la table je continue de la ramoner en accélérant mes assauts.
- Salauds... Nous lance alors la belle jeune femme.
Il n'en faut pas plus pour nous déclencher l'un et l'autre.
Je jouis dans le cul de ma Maitresse sans me retenir.
Elle se place alors sur le visage de l'effrontée et expulse sa cyprine dans un long râle.
Mon sirop dégouline de l'anus de Miss Kathleen...
Son jus coule alors qu'elle garde écartées ses lèvres rougies.
Nos liqueurs se mélangent dans la bouche avide d'Elisabeth qui reçoit une douche orgasmique.
Son beau visage ovale entièrement souillé, sa bouche grande ouverte, salie de nos jus blancs.
- Avale. Lui dis-je alors qu'elle respire par le nez.
Elle déglutit, son regard dans le mien.
Sous elle, sur le sol, une tâche sans équivoque témoigne du plaisir qu'elle vient de prendre à son tour.
Nous nous écartons pour l'admirer.
Statue dédiée au plaisir du stupre.
Ses petits seins arrogants nous invite à les prendre pour les caresser.
Elle se laisse faire.
- Tu vois, dis Miss Kathleen, que tu as fait tout ce qu'on voulait.
- Oui.
- Et tu as aimé ça. Continue-je à mon tour.
Elle glousse un "hooo oui" dans un sourire sans équivoque.
Miss Kathleen s'éclipse dans l'ombre et je reste seul avec Elisabeth.
La porte claque, signe que ma Maitresse nous à laissé.
Je sais que j'ai peu de temps et qu'il me faut la rejoindre.
L'ouvreuse se love dans mes bras, spontanément.
- Merci.
Elle chuchote.
- C'était une nuit dont je me souviendrais toujours...
Je la serre un peu et effleure son visage marbré de sirops orgasmiques.
- Moi aussi. Tu es une adorable salope.
Ses lèvres se posent sur les miennes et nous échangeons un baiser d'amants complices.
Il est difficile de nous écarter l'un de l'autre.
Il le faut néanmoins et après un ultime baiser je rejoins ma Maitresse dans la voiture.
Elle m'accueille avec un large sourire.
- J'ai très envie de te sucer. Me fait-elle.
Elle me donne les clefs de la voiture...
Je vais prendre des chemins détournés.