[...]
"Monsieur,
C'est devant ma glace que je me suis retrouvée pour mon deuxième devoir.
Les pans de mon chemisier cachaient mes seins.
Je les ai révélés à mon regard pour les admirer comme vous me l'aviez demandé.
J'ai ensuite saisi la première pince que vous m'aviez donné.
J'étais anxieuse, j'avais peur de la douleur.
Mais pour vous je devais le faire.
J'ai pris mon sein gauche.
Il était lourd et je le malaxais lentement.
Mon téton était tendu.
La pince dorée et ouvragée scintillait de milles feux au gré des lumières de mon miroir.
Lorsque la pince est venu se refermer sur lui j'ai cru défaillir.
La douleur m'a transpercée.
Les yeux clos je ne pouvais qu'entendre ma respiration, telle un souffle de forge.
Je ne parvenais pas à lâcher mon sein qui me lançait.
Puis après quelques instants qui me parurent durer une éternité, la douleur devint constante et à ma surprise je parvins à ouvrir les yeux.
Sans attendre, tant qu'il me restait du courage, j'ai saisi la seconde pince.
Je me répétais "Pour mon Maitre"... indéfiniment.
Et j'ai pincé ma seconde mamelle.
J'ai crié. Dans ma main mon sein serré me faisait mal.
J'ai ouvert les yeux, de rage et de honte.
J'étais épinglée. Pour vous.
Devant moi, je découvrais quelqu'un d'autre, une autre moi.
J'ai alors bombé ma poitrine, orgueilleuse, plaçant les pans de mon chemisier loin derrière mon opulence.
Au coin de mon œil droit perlait une larme.
La souffrance m'excitait.
Incroyablement je sentais au creux de mon sexe poindre la source de ma jouissance.
Je suis ainsi resté quelques secondes à m'admirer.
Mes gros seins et mes tétons accrochés.
J'ai alors touché le bout de l'épingle.
L'irradiation de la douleur extatique me faisait gémir.
Je ne cessais de murmurer "Pour vous... mon Maitre..."
Je me suis assise, incapable de supporter cette lancinante pression qui s'était emparée de ma poitrine.
Cambrée je ne pouvais retenir quelques gémissements.
Implacable, le plaisir montait pour prendre la place du mal.
Je tirais doucement sur les pinces pour exciter mes tétons rougis.
Mon désir était alors de vous avoir entre les jambes pour venir me lécher.
Mon sexe était en feu.
J'ai alors su que j'allais exaucer votre option.
Entre mes doigts je fis rouler la dernière pince dorée.
D'une main j'écartais les lèvres de mon sexe humide.
Mon clitoris apparut très vite tant il était gorgé de sang et d'envie.
D'une main je le faisais rouler comme pour l'habituer à ce qui allait arriver.
De l'autre, après quelques minutes, j'approchais les mâchoires de mon point sensible.
Sans attendre je plaçais l'étau autour de ma perle.
En un éclair je sentis s'unir mes seins à mon sexe.
Le triangle irradiait.
J'ai hurlé.
J'ai basculé au sol.
J'ai jouis si brutalement que mes jambes ont lâché sous moi.
Je me suis retrouvée à quatre pattes sur le tapis, largement écartée.
Entre mes doigts la pince, ôtée, était trempée de mon suc.
La présence des dents sur mes seins était un réconfort comparé à ce cataclysme qui m'avait habité.
J'avais réussi à vous obéir en tout point et j'en avais jouis d'une manière nouvelle.
Presque à regret j'enlevais les pinces une à une.
Mes tétines palpitaient sous l'afflux du sang.
Mes envies se bousculaient dans mon esprit...
Mais j'avais encore d'autres enveloppes à ouvrir.
Pour vous, Mon Maitre.
Eve."
A suivre...