[...]
Je suis droite devant lui.
Tout à côté.
Il m'a fait venir dans son bureau pour une raison fallacieuse, je le savais dès le début.
Mécontent il m'a obligé et me désavouer de mes compétences et ma fait languir de savoir comment il allait me réprimander.
Il savait qu'en agissant ainsi il allait m'exciter au plus haut point.
Alors, lorsqu'il me demanda de m'excuser je ne pu faire autrement qu'en rajouter, tellement mon ventre me brulait sous le feu du désir intime qui grondait en moi.
Je me suis salie de comparaisons avec des femmes de petite vertu et mon désir s'en est trouvé accru.
Lorsqu'il me fit m'installer dans la position inconfortable sous le bureau et qu'il me présenta sa queue à sucer, je n'ai même pas enlevé mes lunettes, m'imaginant dans le rôle de la petite salope qui se fait prendre comme ce qu'elle est.
J'avais l'impression d'être plutôt récompensée que punie quand j'ai avalé cette grosse bite à pleine bouche.
Il m'a baisé la bouche et j'ai pris un orgasme simplement en le pompant, c'était un moment divin qui s'acheva longuement pour mon plaisir quand le flot de son foutre se déversa dans ma bouche.
Le liquide chaud m'a envahit et je n'en revenais pas de prendre autant de satisfaction à l'avaler.
Je croyais en avoir fini mais il m'a vite fait comprendre qu'il n'en était rien et, dans le soir désormais tombé sur les bureaux, seuls dans l'immeuble, il me fit signe de poser mes mains sur le bureau en lui tournant le dos.
Je le sens reboutonner son pantalon.
Il pose ses mains sur mes épaules.
Ses mains descendent sur mon postérieur nu livré à ses caresses.
Il glisse sur mes hanches jusqu'à à caresser mes cuisses.
L'envie renait en moi comme un phénix, plus forte, plus vive.
Il est mon Maitre et dans cette position je commence à m'humidifier à nouveau.
Et si quelqu'un nous surprenait ? Non... de plus je suis habillée et je pourrais rapidement sauver les apparences.
Ses doigts frôlent mes genoux pour saisir ma jupe et la redresser quelque peu avant de la refaire tomber.
Sans transition il vient prendre mes seins à pleine main par dessus mon chemisier.
Mes mamelles montent au rythme de ma respiration accélérée, emprisonnées et dardées.
Sous ses gestes lents et experts je commence à m'abandonner aux plaisirs qu'il me provoque.
Imperceptiblement ses mains sont venues s'emparer de mes seins sous le chemisier pour les malaxer avec délicatesse mais suffisamment de fermeté pour m'exciter de plus en plus.
Je me laisse palper ainsi, tendant le cul vers lui pour sentir sa queue raide qui point entre ses jambes.
Elle est là, dure, appuyée sur mes fesses fragiles.
Je la veux au fond de moi. Partout.
L'envie me submerge, le désir qu'il me baise sur la table est si fort que je m'en mords les lèvres.
Des images me percutent… je me fais chienne.
Ses doigts pincent mes tétons et je grogne de contentement.
Comme il fait rouler les pointes dans ses mains je ne peux plus m'en empêcher... je murmure mes envies.
- Baisez-moi... ho oui.... baisez-moi....
Il me malaxe plus fort et mes souffles sont de plus en plus forts.
Le feu dans mon ventre est douloureux, il irradie dans tout mon corps qui veut être assouvit.
- Prenez-moi... humm... chevauchez-moi...
J'ai envie de crier de joie alors que l'une de ses mains vient soulever ma jupe jusqu'au dessus de mes hanches.
Il a dévoilé mon cul et je sens son regard lécher mes formes.
Je me cambre telle une assoiffée de sexe.
- Oui... défoncez-moi.
Il vient caresser ma fente trempée.
Ses doigts se fraient un passage dans mon intimité.
Je suis humide et il écarte sans effort mes grandes lèvres, ces renflements de mon sexe extrêmement sensibles, pour saisir entre son index et son médius, mon clitoris gorgé de sang.
Mes gémissements l'incitent à me branler de la sorte, penchée vers l'avant, jupe retroussée, mes seins extraient de leur logement.
Je me fais l’impression d’une vraie petite salope qui se fait prendre sur le bureau et j'aime ça.
Il me masturbe de plus en plus vite.
Les cercles qu'il me fait ressentir me transportent de bonheur.
Lorsqu'il enfonce deux de ses doigts dans ma grotte ruisselante, j'en grogne.
Enfin il me perce !
Rapidement un troisième doigt s'adjoint aux autres pour entamer de m'élargir la chatte.
Dans mon sexe il fait aller ses doigts, larges ou resserrés, ils me parcourent et s'enfoncent, jusqu'à me provoquer des spasmes légers, prémices de la jouissance.
Il se retire alors, sentant mon orgasme proche, pour faire redescendre la tension.
- Non... encore...
Son pouce vient caresser mon œillet.
- Ho...
La pression de son doigt s'accentue sur ma rondelle qui ne tarde pas à se contracter sous ces caresses osées.
- Hum... non... pas là...
Je le supplie de m'épargner par le recto. Mais j’en crève d’envie.
Soudain je pense à ma rentrée chez moi. S'il me prend par derrière je risque d'avoir de plus grandes difficultés à cacher et justifier mon retard.
Il n'en a cure et sa salive vient s'ajouter à son pouce.
Mon petit orifice s'entre-ouvre déjà.
Et dire que je n'aimais pas cela...
- Humm... oui... Monsieur... doigtez-moi le cul... oui...
Je ne me reconnais à peine.
L'envie de me faire sodomiser me gonfle soudain de plaisirs que je sais indécents.
Il place sa tige entre mes fesses et se frotte, ersatz de masturbation qui irrite mon entrée sombre.
Contre mon petit trou il vient poser son gland.
Il va me prendre par derrière... je frémis, entre l'envie et le refus.
Chaud il se presse contre moi.
Les mots me manquent, je soupire, je susurre.
- Enculez-moi...
Entre mes fesses je sens la large tige qui monte et descend en alternance avec ses pressions affolantes.
Je m'agrippe au bord du bureau.
- Oui... mettez-la moi dans le cul... dans mon gros cul… de… haaaa….
Je ne peux finir m’a phrase.
Il ne dit rien, je l'entends presque sourire de plaisir à ses mots qui m'échappent.
Quand son gland vient m'ouvrir le fondement je crie sans retenue.
Large, il s'introduit dans mon conduit rectal, écartant mes parois et s'installant sans bouger dans mon interdit.
La douleur est là.
Bientôt remplacée par le plaisir.
Immobile, il me maintient ainsi, plantée.
Je sais sa large hampe dépasser de mon corps simplement outragé par son gland lisse et turgescent.
Mon bas ventre force à aller à sa rencontre mais il m'en empêche.
Il savoure ce moment où je suis à sa merci.
- S'il vous plait Monsieur... percez-moi.... je n'en peux plus...
Ses mains glissent au creux de mes hanches et viennent me saisir fortement.
D'un coup lent il m'empale.
Son gland disparait dans mon anus et je sens son large manche m'embrocher.
Un nouveau râle sort de ma gorge. Un lent et profond gémissement animal m'échappe.
Lorsqu'il se recule pour mieux me forcer, le cercle de mon œillet s'extirpe vers l'extérieur et me provoque des sensations puissantes.
Je perds pied, ses assauts se font plus proches, plus loin en moi.
Mon arrière-train ne m'obéit plus, je m'agite pour lui permettre de se faire déflorer.
Je suis assaillie par les émotions, entre la douleur et le plaisir, entre la honte et le bonheur.
Sa main s'abat sur ma fesse droite pour me fesser à chaque élan.
- Ha ouiii ! Fessez-moi ! Comme une salope...
Je me laisse aller à mes désirs.
Primitive, sexuelle, je quitte mon rôle sage pour donner libre cours à mes envies et mes fantasmes.
Sous les coups de butoirs de mon Maitre, il me semble que je flotte, transportée, soumise à ses envies libératrices de mes plaisirs.
- Je suis à vous... prenez-moi... humm... ho c'est bon !
Il relève une de mes cuisses pour s'enfoncer un peu plus en moi.
Son sexe ramone mes parois intimes.
Lorsqu'il s'empare de ma deuxième cuisse, je me retrouve dans une position particulièrement osée.
A plat ventre sur le bureau, le cul en l'air, la jupe retroussée et les jambes maintenues écartées, mes yeux roulent sous le feu du désir, la pression sanguine vient faire battre mes tempes.
Humiliée, ravie.
- Haan Oui !!
Il extraie son sexe pour se réinstaller dans ma fente.
Je sens monter l'orgasme en moi.
Il s'empare de mes deux trous, l'un après l'autre, sans discontinuer, défonçant mes orifices tout en claquant mes rondeurs.
Ses mains viennent faire glisser mon chemisier par dessus ma tête.
Le bas de mon dos nu s'offre à son regard, le visage caché... je me sens utilisée telle une poupée, un jouet, son jouet.
Mes seins frottent sur le bois alors que ses coups de reins sont forts et sauvages.
Mon sexe coule, mon anus est offert, je m'agite comme une chienne en rut autour du pal qui me déchire.
Je crie doucement à chaque enculade, grognant ensuite lorsqu'il s'enfonce dans ma motte.
- Baisez-moi par tous les trous... je suis votre salope...
Je prends un plaisir croissant.
- Carrez-moi votre grosse queue dans le cul.
Il ne semble pas prêter attention à mes mots qui augmentent ma tension.
- Baisez-moi la chatte ! Comme une chienne !
Ses mains viennent écarter mes fesses et son vit s'enfonce sans effort dans mon fion largement ouvert.
- Haaa ! Ouiiii ! Enculez-moi comme une trainée ! Je veux encore ! Etre une salope ! Votre garce… votre pute !
Je crie. Incapable de me retenir.
Il affermit sa prise de mes reins et je reçois une volée de coups de queue dans un rythme inouïe, j’ai le cul en feu, il me défonce à grands coups de bite.
Ses coups de reins me décalent sur le bureau, quelques objets chutent sous la violence de ses assauts.
Je me fais bourrer sans ménagement.
Je feule de jouissance. Mots inarticulés.
J'adore ça.
Ma cyprine s'écoule dans un long orgasme alors qu'une voix inconnue se fait entendre.
- Mais... que faites-vous là ?
A suivre...