[...]
Lorsque je ferme la porte et que je me retourne, je croise son regard gris.
Magnifique.
Il représente l'homme comme je le désire, fort, imposant, implacable.
Je rougis.
Je suis seulement parée de ma culotte et de mon collier, et je sais qu'il va me punir.
Et ça m'excite.
Je m'approche de lui et il me dévisage.
Sa voix profonde me perturbe dès la première note.
- Il ne t'a pas laissé un billet ?
Je ne saisi pas de suite le sens de sa question qui me surprend.
- Pourtant c'est ce qu'on fait aux putes après les avoir baisé.
Il me fixe et mes joues finissent de s'empourprer.
Soudainement je me sens sale.
Sur ma joue la trace de sperme de notre voisin se rappelle à mon bon souvenir et au fond de ma culotte coule son jus encore tiède.
Il tourne autour de moi et me scrute.
C'est lui qui voulait que je me fasse ce jeune mâle et il va me punir de m'être exécutée... humm...
Déjà les pointes de mes seins se tendent alors que je sens enfler en moi la vague de l'excitation.
- Enlève cette culotte.
Je m'exécute, en plein milieu de la pièce et je me retrouve bientôt nue, penchée en avant.
Derrière moi je le sens me mater et le long de mon échine s'électrisent mes envies.
Serré entre mes doigts je lui tends le tissu moite.
Il regarde l'objet trempé de ma mouille autant que de sperme.
- Tu as bien jouie ?
- Oui Monsieur.
Les échos de ma voix claquent dans le silence et je me fais penser à une lycéenne prise en faute.
- Tu vas tout me raconter.
Je le suis alors qu'il s'éloigne et s'approche du canapé.
Je me place devant lui, droite, les mains dans le dos comme je sais qu'il veut que je sois.
Il m'indique de m'agenouiller et j'obéis.
Il observe mon entre cuisses.
- Essuie-toi, tu dégoulines de foutre.
A l'aide de mon lambeau de culotte je tente de m'essuyer.
Il ne perd pas un seul instant de ce spectacle où j'écarte mes lèvres pour tamponner mon sexe ruisselant.
Le jus fini par rendre mes doigts poisseux.
J'étale le jus plus que je ne l'essuie sur tout mon sexe, et j'appuie par moment sur mon clitoris pour lui montrer qu'il m'excite.
- Moi aussi j'ai atteint l'orgasme. Dit-il d'une voix calme.
Je le regarde, surprise de cette réaction.
Il tient à la main un verre où il a versé sa liqueur.
Je suis hypnotisée par les mouvements lents du liquide blanchâtre de mon Maitre.
Il me tend le cristal que je saisi.
Il n'a pas besoin de m'ordonner quelque action que ce soit, je sais quel est mon devoir en cet instant et mon excitation est visible.
Je porte la coupe à mes lèvres et le liquide presque froid coule lentement sur ma bouche.
Son odeur douce emplie mes narines.
Lorsque les premières gouttes atteignent ma langue je ne peux m'empêcher d'appréhender d'avaler ce liquide de plus en plus épais comme il perd sa chaleur que j'apprécie lorsqu'elle sort de son vit.
Lentement je le laisse couler dans ma bouche.
Il a son parfum et comme il se déverse dans ma gorge, je me sens m'enflammer.
Par petites gorgées je le fais disparaitre et je décide de passer ma langue sur les pourtours du verre.
Je le regarde avec dans les yeux cette attitude qu'il apprécie.
Je me sens devenir salope et je ne lui rends le verre que lorsqu'il est totalement vide.
- Tu le préfères chaud et sortant d'un sexe ?
- Ho oui...
- J'ai bien vu que tu aimais sucer.
Il tend sa jambe et la pose sur la table basse.
- Mets-toi sur ma jambe, tu mérites une fessée.
Je me redresse pour l'enjamber.
J'appuie mon entre jambes sur sa cuisse et je me penche en avant vers sa cheville.
Ainsi je lui offre une vue incomparable sur mon arrière-train.
Je me cambre pour venir presser ma motte sur son muscle et lui révéler mon cul.
Je me tends orgueilleusement lorsque sa main vient frapper mes fesses d'un coup sec qui m'arrache un petit cri de douleur et de surprise.
Il a tout loisir de me donner cette fessée et mon sexe s'agite.
Il fait de moi une folle de sexe.
- Tu as pris ton pied à le sucer ?
- Oui... je la voulais.
Sa main caresse puis frappe mon cul blanc.
Hum... j'aime être dominée et prendre une fessée de cette façon me surexcite.
- Bouffeuse de queue.
- J'aurais voulu la votre en même temps.
Mes paroles m'échappent.
- Ca t’aurait plus d'avoir deux bites à pomper...
- Oui ! Deux grosses bites en main.
Sa main pétris puis me claque les fesses.
- Tu en voulais plus à sucer.
- Je voulais votre queue avec la sienne... dans ma bouche !
Il me flatte à chaque impact je rugis presque de plaisir en oubliant le pincement de ses mains sur la peau douce de mon séant.
Je me sens dans un état second, extatique, où je me livre à ses envies.
- Je suis votre salope... je veux de la queue... j'aime sucer... oui... humm...
Il m'écarte les fesses pour venir chatouiller mon petit trou.
D'une main je me surprends à prendre un de mes globes et m'écarter.
- Tu as refusé qu'il te prenne le cul. Pourquoi ?
- Parce que mon cul est à vous Monsieur.
- C'est bien. Tu es une bonne soumise.
- Je suis bonne et soumise...
Il l'effleure et lorsque son doigt entame une intrusion je ne peux réprimer un petit gémissement de plaisir.
- Monsieur, doigtez-moi...
J'ai envie d'être vulgaire et je ne me domine plus.
- Enfoncez-vous dans mon fion.
Son médius cercle autour de mon anneau, assouplissant ma rondelle dont les résistances tombent bien vite.
- Ho oui... enfilez-moi vos doigts dans le cul.
- Tu vas en avoir n'aie crainte, je vais te faire crier.
- Oui... je veux crier comme une grosse salope qui voulait vous avoir dans le cul pendant que je le suçais.
J'ai perdue pied et c'est une autre personne que j'ai l'impression d'entendre, un démon qui aurait toujours été là mais qui vient de se libérer. Un démon de luxure.
- Tu aimes ça avec deux hommes.
- Oui... j'aimerais... les sucer tous les deux... les branler et en prendre un dans la bouche pendant que l'autre me baise... humm
Il introduit deux doigts dans mon anus qui se dilate sous les gestes lents et insidieux qu'il me pratique.
Je pousse mon fessier vers lui pour qu'ils s'enfoncent plus loin dans mon orifice interdit.
Comme j'en ai envie !
Je voulais une queue dans mes fesses mais je voulais celle de mon Maitre...
Le troisième doigt m'arrache un cri de douleur très vite étouffé par le bruit de la fessée.
Je frémis. Je gémis.
Il insère son quatrième doigt et mon cul est ouvert, béant, je pousse des râles à chaque poussée qu'il m'inflige.
Je me presse sur sa cuisse pour exciter mon clitoris en même temps qu'il me sodomise avec ses doigts.
Son autre main vient m'écarter l'anus et ses quatre tiges s'enfournent au fond de moi d'un coup lent et perforant.
Je hurle, il me force jusqu'au pouce.
La largeur de sa main s'immobilise dans mon fondement meurtri.
J'entends mon souffle court et rapide et dans mes halètements je parviens à lui en demander encore plus comme le plaisir supplante la douleur.
- Oui... punissez-la votre petite salope... enculez-la, enculez-moi... oui... baisez-moi partout...
Et sa main entame les va et vient qui me déchirent.
Je crie de plaisir.
- Je veux du sexe !
Après quelques minutes qui me paraissent trop courtes tant mon plaisir est intense, lentement il retire ses doigts et laisse mon trou du cul large ouvert.
Il me positionne à genoux sur la table et je sens son membre venir appuyer sur mon sexe.
Je suis tellement lubrifiée qu'il me pénètre sans effort.
D'une main il a agrippé mes cheveux et de l'autre il me fesse doucement.
Il me chevauche de plus ne plus fort, de plus en plus rudement.
Ses couilles claquent sur l'orée de mon sexe et mes gémissements rejoignent ses respirations.
Il tire ma tête en arrière à chaque poussée qu'il m'impose.
Il ondule son bassin et son sexe large me défonce un peu plus à chaque coup de butoir qu'il me donne.
- Déchirez-moi ! Oui... je voulais ça...
- C'est ce que tu espérais avec l'autre ?
Mes hannanements m'empêchent de formuler des phrases longues.
Le long de mes cuisses je perçois mon jus qui coule, mêlé au sperme qui me remplissait déjà.
Il se plait à me prendre dans la moiteur d'un autre et je sens monter l'orgasme.
- Encore... je veux votre grosse queue dans ma chatte... baisez-moi comme une salope déjà remplie...
Ce n'est pas moi qui parle mais la femme avide de sexe que je suis devenue.
Et j'aime ça.
Il passe alors d'un trou à l'autre en alternance.
Son gland force mon anus pour revenir dans mon con trempé.
A chaque entrée je grimpe un barreau de l'échelle qui mène à la jouissance.
Mes mots sont obscènes.
Ils l'excitent et ses poussées se font plus sauvages.
- Dans mon cul ! Ma chatte ! Oui ! Baise-moi !
Son pieu laboure mon anus.
Lorsque ses couilles claquent sur mon sexe, je crie sous la sodomie violente qu'il me fait le plaisir de me donner.
- Prend-moi par tous les trous !
Lorsque son vit ramone ma vulve sans discontinuer, je feule comme une chienne en chaleur.
La vague arrive alors qu'il est dans mon cul.
Surprenante, inattendue, je hurle, mon sexe se trempe, mes bras ne me retiennent plus, je m'effondre le cul en l'air sans qu'il ne cesse de m'enculer.
Il me retourne et je ne peux plus prononcer un mot, la bouche ouverte j'halète sous les assauts et le désir qui vient déferler sur moi.
Il écarte le compas de mes jambes et s'enfonce d'un coup dans mon sexe outragé.
Je m'aperçois que j'en veux encore et après quelques rudes assauts je l'invite à continuer, aux portes de l'extase.
- Viole-moi...
Sa verge dure me laboure.
Il ondule son bassin et son gland pousse sur les parois de ma chatte, ne ménageant aucun endroit, excitant chaque parcelle de mon bas-ventre en feu.
J'accompagne ses pénétrations et ma voix n'est qu'un murmure entrecoupé de gémissements.
Son sabre de chair ne semble pas vouloir débander avant de m'avoir fait rendre un dernier soupir de plaisir.
Ses mains saisissent mes poignets et il s'enfonce profondément.
Je crie.
Il place mes jambes sur ses épaules et me baise en appuyant de toutes ses forces.
Je hurle.
- Ouiii ! Oh oui !
Son souffle près de mon oreille qui devient plus rauque m'excite.
Mes mains glissent dans le bas de son dos.
Je le griffe.
Il lime dans mon con.
L'adorable salaud me fait prendre mon pied encore une fois.
Quand de ses mains il pousse sur mes cuisses pour me mettre dans une position de soumission douloureuse, je commence à jouir bruyamment à nouveau.
Sa queue en moi est le seul élément dont je me souvienne pendant quelques secondes.
Ma voix est sourde à mes oreilles.
Je ne sais pas ce que je dis... mes tempes battent, ma peau est couverte de sa peau, et je jouis.
Longuement. Incroyablement profondément.
Je reprends contact avec la réalité quelques instants plus tard.
Il s'extraie de mon sexe.
Je suis inerte.
Il me surplombe et son corps me fait envie.
Je passe la main sur son torse, sur son ventre.
Il est en nage de m'avoir baisé.
Son sexe est dressé.
Je me décale pour l'avoir à portée de bouche.
Il prend ma tête et son gland se pose sur mes lèvres.
J'ouvre grand pour l'accueillir, chaud, humide, soyeux.
- Suce.
Le ton est sans appel.
Fatiguée et ravie je ne refuse pas de l'aspirer.
En bonne salope je le suce, le regard droit dans ses yeux.
J'oscille autour de son pieu et son gland pousse mes joues qu'il déforme.
- Tu aimes ça.
Je le regarde et je cligne des yeux pour lui répondre par l'affirmative tout en le faisant aller et venir entre mes lèvres.
- Elle à tous les gouts que tu apprécies.
Je me rends alors compte des saveurs.
Celle de sa queue, celle de ma liqueur mêlée à celle de notre voisin qui m'a emplie de foutre, puis le gout particulier de mon cul.
Je pompe alors goulûment cette tige qui va et vient en moi.
Ma salive s'ajoute comme je l'emmène au fond de ma gorge.
J'aime... il a raison, et je ne peux plus m'en passer.
- Tu aimerais être prise par deux hommes.
Quand il se déverse en moi j'ouvre grand la bouche et m'éloigne quelque peu.
Le visage penché en arrière le jus s'échappe de son sexe pour venir remplir ma bouche.
Il profite du spectacle en maintenant ma tête en position de réceptacle.
J'avale tout, lentement par longue gorgée.
Et ma langue vient le nettoyer.
De bas en haut je remonte le long de ce piston souillé pour lécher chaque parcelle de sa peau.
Il caresse mes cheveux.
Sa verge luit de ma salive et je me pose au creux de ses cuisses.
Je perçois les mouvements de ses bourses sous ma joue.
Elles roulent, agitées par l'orgasme qu'elles viennent de donner.
Etrangement je me sens bien.
Je suis assouvie et si mon bas ventre me fait mal d'avoir été outragé, le plaisir est intense et encore présent.
- Oui, j'aimerais Monsieur.
Lorsque je pose mes lèvres sur les siennes son sourire rejoint le mien.
Je lis dans son regard le miroir de mes fantasmes et c'est avec certitude et envie que je me donne à lui comme une trainée.
Je m'assoupie ici, sur ses cuisses, caressée par ses mains fortes.
A suivre...
[...]
Devant la glace j'apprécie cette image de douce garce qui émane de mon corps.
J'ai revêtue la robe fortement échancrée.
Ma peau est visible de mes omoplates jusqu'au creux de mes reins.
Le tissu est tendu par ma poitrine opulente que je ne peux cacher par un soutien-gorge quelconque.
Mes hanches sont moulées dans le fourreau noir et le port d'un dessous m'est également impossible.
Longue, la robe flotte jusqu'à mes chevilles en relevant le galbe de mes cuisses.
Le pan gauche, ouvert à mi-cuisse, laisse apparaitre par intermittence la jarretière de mes bas et la peau plus pâle juste au dessus.
J'ai assombrie mes paupières et rehaussé de rouge mes lèvres.
Mes doigts frôlent le collier... je suis soumise et j'aime ça.
Lorsqu'il me découvre, il me sourit.
- Cela te va à ravir. Tu es somptueuse.
- Merci, réponds-je, tu es également très séduisant.
Le pantalon anthracite, la ceinture à la boucle acier, sa chemise d'un pourpre profond donnent à ses yeux gris un magnétisme encore plus envoutant.
Il dépose un baiser sur ma bouche.
Je suis transportée par son parfum de mâle.
La sonnerie retentit et nos invités arrivent.
Je sers la main de cette femme, avant de faire de même avec son fils.
Elle est brune et assez jolie et elle se sent un petit peu mal à l'aise dans sa robe plus simple mais les paroles chaleureuses de Monsieur et la bise qu'il lui fait la rassure et lui rende son sourire.
Son fils rosi lorsqu'il me voit. Mon sourire s'élargit et je lui tends ma main qu'il sert avec délicatesse.
La soirée se passe agréablement et l'ambiance est détendue.
Du bout du pied je me hasarde à venir frotter la cheville de mon voisin.
Il se contracte d'un coup et me jette un regard que j'esquive.
Je reviens à l'assaut et, pris au piège, il ne peut que se laisser faire.
Je caresse doucement son mollet que je sens au travers du jean.
Alors que sa mère observe autre chose, je lui jette un petit clin d'œil qui le met mal à l'aise.
Je prends plaisir à malmener ce jeune homme et mon ventre commence à s'animer d'un désir sensuel.
Lors d'une petite pause durant laquelle nos invités s'éclipsent fumer sur le balcon, je sens la main de mon Maitre venir flatter mes hanches.
- Pour lui avoir fait du pied, tu seras punie.
Instantanément mes tétons se durcissent.
- Continue.
Et la soirée reprend son cours.
Je ne peux pas cacher mon émoi et mon voisin semble éprouver quelques difficultés à ne pas s'attarder sur les pointes visibles de mes seins.
Mon pied poursuit son manège bientôt rejoint dans cette petite danse par le sien.
Soudainement il s'agite puis s'excuse, il doit partir.
Sa mère prend un air pincé, visiblement contrariée par le départ, juste après le dessert, petite impolitesse qui me fait l'accompagner jusqu'à la porte.
Je le salue d'un léger baiser que je fais glisser sur sa joue.
Il devient écarlate.
- Tu n'es pas si rouge lorsque tu nous regardes sur le balcon, lui murmure-je comme il se trouve dans le couloir.
Il baisse le regard et je ferme la porte en douceur, ravie de mon attitude de salope.
Lorsque je reviens à la table, notre voisine sirote un petit alcool fort qui délie sa langue en quelques secondes.
Monsieur me regarde et sur ses lèvres je peux lire "je vais te punir" avant qu'il me sourit.
La fièvre du désir monte en moi.
Notre invitée s'excuse pour son fils.
- Il est accaparé par Internet.
- Une petite copine ? s'enquiert Monsieur.
- Non... même pas. Si seulement il y avait une femme dans tout cela, mais non.
- Cela vous désespère ? osais-je avancer.
- Il a presque 19 ans et toujours pas de copine, sa vie se résume à l'ordinateur et ses cours par correspondance.
Elle poursuit, visiblement soulagée de pouvoir parler.
- Il vivait avec son père, cloitré, et il n'arrive pas à sortir de son univers.
Un silence s'installe alors que cette femme nous parle à cœur ouvert.
- J'ai même pensé faire appel à une call girl... si seulement cela pouvait lui faire voir autre chose...
Je sens sur moi le regard de mon Maitre.
Il prend la parole et je rougis car je sais déjà où il va vouloir m'emmener.
Et entre mes cuisses, je sens s'agiter le démon de l'envie.
- Les femmes semblent l'intéresser cependant. Dit-il.
- Oui.
Elle rit avant de poursuivre.
- La seule dont j'entends parler, excusez-moi mais, c'est vous. Me dit-elle en plantant son regard dans le mien.
- J'en suis flattée.
- Je peux le comprendre, je pense que bien des hommes doivent vous dévorer des yeux.
La voix grave s'impose alors dans le silence qui s'en suit.
- Et si vous lui disiez de revenir chercher son téléphone portable ?
Il tient dans sa main le téléphone qu'il a du subtiliser au jeune homme.
Les yeux de notre voisine se rétrécissent.
- Le destin a peut-être voulu forcer votre fils à devoir revenir...
Elle nous regarde tour à tour, avale son verre d'un trait et s'adosse dans sa chaise.
- Seriez-vous en train de me proposer les services de votre amie pour déniaiser mon fils ?
- Elle ne vous plait pas ?
- Si, elle est très jolie, ravissante même, mais... c'est votre amie.
- Vous étiez prête à louer les services d'une prostituée inconnue, imaginez que vous la connaissez.
Je ne peux empêcher le feu de venir à mes joues.
- Il est mignon, dis-je presque sans y réfléchir.
Son éclat de rire est contagieux et c'est en trinquant tous ensemble que nous scellons ainsi la perte de virginité de son fils.
- Et vous ? Demande t-elle à mon Maitre.
- Je ne serais pas là, mais j'observerais tout.
- Vilain vicieux, lance t-elle avant de déposer sur nos joues un baiser tendre. Merci. J'espère que le plaisir va le faire lever le regard.
Je pose ma main sur son épaule avec délicatesse.
- Il ne va pas lever que le regard, je peux vous l'assurer. Je me charge de lui faire aimer la vie et l'amour.
Ses yeux et son visage reprennent la tristesse qui peut -être celle d'une mère dont l'enfant ne se confie pas, mais dans son iris je vois l'éclat de l'espoir.
- Je vous l’envoi d'ici quelques minutes.
Lorsque la porte se referme, nous ne pouvons nous empêcher de sourire tels deux manipulateurs machiavéliques.
- Ca te plait ? Me demande t-il.
- Hum... oui... tu sais bien qu'il me fait de l'effet ce jeune mâle.
Il me prend par les hanches et m'attire à lui.
- Tu vas te donner et tu seras punie.
Je ronronne à cette idée.
- Et plus il aura de plaisir...
- Plus je serais vilaine...
- Plus tu seras corrigée.
Nos lèvres se joignent, nos langues se mêlent.
- Va te préparer, moi je vais disparaitre et laisser tourner quelques webcams... il est, parait-il, un fan d'informatique...
Emoustillée à l'idée de ce qui m'attend avec ce brun vigoureux, et surexcitée par la double pensée que mon Maitre veut me voir avec un autre et qu'ensuite il me punira, je passe la tenue achetée dans la journée.
Elle dissimule sans masquer mes formes et mes tétons, ma raie et ma fente.
Devant la glace, cette image de salope me rend humide.
A suivre.