Partager l'article ! Dîner Sensuel: [...] Devant la glace j'apprécie cette image de douce garce qui émane de mon corps. J'ai r ...
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Devant la glace j'apprécie cette image de douce garce qui émane de mon corps.
J'ai revêtue la robe fortement échancrée.
Ma peau est visible de mes omoplates jusqu'au creux de mes reins.
Le tissu est tendu par ma poitrine opulente que je ne peux cacher par un soutien-gorge quelconque.
Mes hanches sont moulées dans le fourreau noir et le port d'un dessous m'est également impossible.
Longue, la robe flotte jusqu'à mes chevilles en relevant le galbe de mes cuisses.
Le pan gauche, ouvert à mi-cuisse, laisse apparaitre par intermittence la jarretière de mes bas et la peau plus pâle juste au dessus.
J'ai assombrie mes paupières et rehaussé de rouge mes lèvres.
Mes doigts frôlent le collier... je suis soumise et j'aime ça.
Lorsqu'il me découvre, il me sourit.
- Cela te va à ravir. Tu es somptueuse.
- Merci, réponds-je, tu es également très séduisant.
Le pantalon anthracite, la ceinture à la boucle acier, sa chemise d'un pourpre profond donnent à ses yeux gris un magnétisme encore plus envoutant.
Il dépose un baiser sur ma bouche.
Je suis transportée par son parfum de mâle.
La sonnerie retentit et nos invités arrivent.
Je sers la main de cette femme, avant de faire de même avec son fils.
Elle est brune et assez jolie et elle se sent un petit peu mal à l'aise dans sa robe plus simple mais les paroles chaleureuses de Monsieur et la bise qu'il lui fait la rassure et lui rende son sourire.
Son fils rosi lorsqu'il me voit. Mon sourire s'élargit et je lui tends ma main qu'il sert avec délicatesse.
La soirée se passe agréablement et l'ambiance est détendue.
Du bout du pied je me hasarde à venir frotter la cheville de mon voisin.
Il se contracte d'un coup et me jette un regard que j'esquive.
Je reviens à l'assaut et, pris au piège, il ne peut que se laisser faire.
Je caresse doucement son mollet que je sens au travers du jean.
Alors que sa mère observe autre chose, je lui jette un petit clin d'œil qui le met mal à l'aise.
Je prends plaisir à malmener ce jeune homme et mon ventre commence à s'animer d'un désir sensuel.
Lors d'une petite pause durant laquelle nos invités s'éclipsent fumer sur le balcon, je sens la main de mon Maitre venir flatter mes hanches.
- Pour lui avoir fait du pied, tu seras punie.
Instantanément mes tétons se durcissent.
- Continue.
Et la soirée reprend son cours.
Je ne peux pas cacher mon émoi et mon voisin semble éprouver quelques difficultés à ne pas s'attarder sur les pointes visibles de mes seins.
Mon pied poursuit son manège bientôt rejoint dans cette petite danse par le sien.
Soudainement il s'agite puis s'excuse, il doit partir.
Sa mère prend un air pincé, visiblement contrariée par le départ, juste après le dessert, petite impolitesse qui me fait l'accompagner jusqu'à la porte.
Je le salue d'un léger baiser que je fais glisser sur sa joue.
Il devient écarlate.
- Tu n'es pas si rouge lorsque tu nous regardes sur le balcon, lui murmure-je comme il se trouve dans le couloir.
Il baisse le regard et je ferme la porte en douceur, ravie de mon attitude de salope.
Lorsque je reviens à la table, notre voisine sirote un petit alcool fort qui délie sa langue en quelques secondes.
Monsieur me regarde et sur ses lèvres je peux lire "je vais te punir" avant qu'il me sourit.
La fièvre du désir monte en moi.
Notre invitée s'excuse pour son fils.
- Il est accaparé par Internet.
- Une petite copine ? s'enquiert Monsieur.
- Non... même pas. Si seulement il y avait une femme dans tout cela, mais non.
- Cela vous désespère ? osais-je avancer.
- Il a presque 19 ans et toujours pas de copine, sa vie se résume à l'ordinateur et ses cours par correspondance.
Elle poursuit, visiblement soulagée de pouvoir parler.
- Il vivait avec son père, cloitré, et il n'arrive pas à sortir de son univers.
Un silence s'installe alors que cette femme nous parle à cœur ouvert.
- J'ai même pensé faire appel à une call girl... si seulement cela pouvait lui faire voir autre chose...
Je sens sur moi le regard de mon Maitre.
Il prend la parole et je rougis car je sais déjà où il va vouloir m'emmener.
Et entre mes cuisses, je sens s'agiter le démon de l'envie.
- Les femmes semblent l'intéresser cependant. Dit-il.
- Oui.
Elle rit avant de poursuivre.
- La seule dont j'entends parler, excusez-moi mais, c'est vous. Me dit-elle en plantant son regard dans le mien.
- J'en suis flattée.
- Je peux le comprendre, je pense que bien des hommes doivent vous dévorer des yeux.
La voix grave s'impose alors dans le silence qui s'en suit.
- Et si vous lui disiez de revenir chercher son téléphone portable ?
Il tient dans sa main le téléphone qu'il a du subtiliser au jeune homme.
Les yeux de notre voisine se rétrécissent.
- Le destin a peut-être voulu forcer votre fils à devoir revenir...
Elle nous regarde tour à tour, avale son verre d'un trait et s'adosse dans sa chaise.
- Seriez-vous en train de me proposer les services de votre amie pour déniaiser mon fils ?
- Elle ne vous plait pas ?
- Si, elle est très jolie, ravissante même, mais... c'est votre amie.
- Vous étiez prête à louer les services d'une prostituée inconnue, imaginez que vous la connaissez.
Je ne peux empêcher le feu de venir à mes joues.
- Il est mignon, dis-je presque sans y réfléchir.
Son éclat de rire est contagieux et c'est en trinquant tous ensemble que nous scellons ainsi la perte de virginité de son fils.
- Et vous ? Demande t-elle à mon Maitre.
- Je ne serais pas là, mais j'observerais tout.
- Vilain vicieux, lance t-elle avant de déposer sur nos joues un baiser tendre. Merci. J'espère que le plaisir va le faire lever le regard.
Je pose ma main sur son épaule avec délicatesse.
- Il ne va pas lever que le regard, je peux vous l'assurer. Je me charge de lui faire aimer la vie et l'amour.
Ses yeux et son visage reprennent la tristesse qui peut -être celle d'une mère dont l'enfant ne se confie pas, mais dans son iris je vois l'éclat de l'espoir.
- Je vous l’envoi d'ici quelques minutes.
Lorsque la porte se referme, nous ne pouvons nous empêcher de sourire tels deux manipulateurs machiavéliques.
- Ca te plait ? Me demande t-il.
- Hum... oui... tu sais bien qu'il me fait de l'effet ce jeune mâle.
Il me prend par les hanches et m'attire à lui.
- Tu vas te donner et tu seras punie.
Je ronronne à cette idée.
- Et plus il aura de plaisir...
- Plus je serais vilaine...
- Plus tu seras corrigée.
Nos lèvres se joignent, nos langues se mêlent.
- Va te préparer, moi je vais disparaitre et laisser tourner quelques webcams... il est, parait-il, un fan d'informatique...
Emoustillée à l'idée de ce qui m'attend avec ce brun vigoureux, et surexcitée par la double pensée que mon Maitre veut me voir avec un autre et qu'ensuite il me punira, je passe la tenue achetée dans la journée.
Elle dissimule sans masquer mes formes et mes tétons, ma raie et ma fente.
Devant la glace, cette image de salope me rend humide.
A suivre.