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La cabine d'ascenseur qui nous monte jusque chez son amie est propice à un baiser lent et doux qui me ravit.
Ses lèvres contre les miennes sont si délicates et fraiches....
Sa poitrine généreuse, contre mon torse, dont je perçois les battements et qui me donne chaud...
Ses mains, sur ma nuque, sur mes fesses, qui me palpent à m'en faire devenir encore plus dur...
Et ses hanches que je caresse... ondulantes... me rendent fou.
Sylvie, ma "muse", me sourit alors que le couloir apparait.
Elle réajuste sa jupe moulante sur ses bas coutures.
Son amie nous ouvre, une petite brune aux yeux marrons, qui lui sourit immédiatement alors qu'elle la voit.
Elles se font la bise.
Elle me regarde, nous fait entrer et me salue de la même façon, visiblement heureuse de recevoir la visite de son amie.
"Sylvie je suis très contente de te voir" dit-elle en nous entrainant vers son salon.
Vêtue d'un jean, d'un chemisier ample, elle marche pieds nus devant nous.
Un odeur de café charme nos papilles.
"Je t'avais dit que je viendrais te rendre visite Martine, me voilà".
Nous sommes côte à côte dans le canapé.
Ma muse croise ses jambes, j'y jette un œil, incapable de m'en empêcher.
"Est-ce... le jeune homme dont tu m'as parlé ?" questionne la petite brune, ses joues rosissent un peu.
Je me fige soudain, la tasse à la main.
"Oui... c'est lui" rétorque mon amante en me lançant une œillade.
"Il est très... mignon. Je te comprends. Craquant".
Je ne sais plus où me mettre.
"Nous sortons à peine du restaurant... où il m'a fait du bien..." minaude ma complice.
Son amie rougit.
Je vois sa respiration s'accentuer et ses petits seins se dresser sous le tissu.
"Je n'en doute pas, si j'en crois ce que tu m'a raconté de lui".
Les deux femmes se jouent de moi et une étincelle de désir s'allume.
"Que lui avez-vous raconté ?", ma voix s'éraille un peu.
Mon amante pose se main sur mon entrejambe.
"Tu peux me croire" fait-elle en accompagnant ce geste osé d'une parole sans ambiguïté en direction de la femme que je découvre pour la première fois.
J'ai du mal à retenir la tension qui m'habite et mon pantalon ne masque bientôt plus mon érection.
La petite brune roule de grands yeux en nous regardant.
Sylvie me masse le sexe et je me retrouve bien vite les cuisses écartées à subir cette caresse déplacée devant une inconnue.
"Tu veux la voir ?" lui demande Sylvie sur le ton de la conversation.
Son amie sourit largement.
"C'est vrai ? Je peux ?"
Ma muse se penche vers moi.
Elle déboutonne un premier rempart de ma braguette.
Je me tortille, un peu mal à l'aise d'être utilisé par celle qui me fait fantasmer.
"S'il te plait..." me murmure t-elle à l'oreille en me mordillant le lobe.
Un second bouton se détache.
"Je ne peux rien vous refuser" lui glisse-je en relevant ma tête vers l'arrière, tendu comme rarement.
"Alors... enlève ton pantalon".
Sa langue vient me donner chaud en caressant mon oreille.
Je baisse mon pantalon devant les yeux de ces 2 femmes.
Simplement en boxer sur le canapé, ma chemise relevée par mon amante.
Je m'offre devant elles deux.
J'ai chaud, une sensation étrange d'être désiré et de les rendre, elles aussi, moites d'envies.
"Hooo... il en fait des tâches !" glousse la brune en me voyant.
J'ai honte car il est vrai que le tissu de mon dessous est maculé de gouttes de sperme, témoins de mon excitation.
"Oui, c'est un coquin tu sais... plein de sève... et de plaisirs en ébullition".
La femme caresse ma tige masquée par le tissu sombre.
Je réagis immédiatement en me cambrant.
Leur discours est si déplacé...
Au centre de leurs attentions, et de celle de la femme que je vénère, je me sens étrangement bien.
Elle prend mon boxer et me libère.
Mon sexe se dresse devant elles deux.
"Ho ! Bel engin. Il est... long... ".
La brune commente sans même nous regarder, l'attention entièrement fixée sur mon vit qui se balance et vient se poser au dessus de mon nombril.
"Oui. Et fine... elle rentre comme un charme bien profondément".
"Elle doit aller trop loin..."
"Non. Il faut l'apprivoiser, mais c'est si bon".
Elles parlent de moi comme d'un vulgaire jouet.
"Elle doit... aller jusqu'à buter..." roucoule la petite brune en caressant ma cuisse.
"Hum oui... quand elle vient cogner ça me rend folle".
Et un sentiment subtil d'humiliation et de plaisir vient me donner encore plus de fièvre, me faire palpiter la verge.
"Regarde... vas y je t'en prie... si tu la veux... . Hein bébé, tu lui prête ta queue ? Tu veux bien ?"
Je balbutie un "oui, oui".
Et la main qui me flattait se referme et me masturbe doucement.
Un soupir de plaisir m'échappe, incontrôlé.
Elle se penche et bientôt je ne vois que sa chevelure...
La délicate sensation, incomparable, d'une bouche qui vient m'avaler le gland.
Je gémis.
Un œil vers Sylvie qui à l'air de se régaler.
"J'aime être excitée, et exciter... et là... te voir te faire sucer... ça me rend dingue." Me dit elle en m'embrasant et en posant ma main entre ses
jambes.
"Tu sens comme je suis mouillée ?
Je caresse son sexe à l'air libre, gluant...
"Et ce n'est pas seulement du foutre que tu m'as giclé dedans mon bébé... c'est aussi de te voir gémir avec mon amie".
Elle me sourit doucement, si belle.
Nos murmures, nos baisers alors qu'une autre femme me pratique une fellation, me rendent ivre de désir.
Je rentre deux doigts dans son antre.
Je touille en elle, si sexy, si désirable, si trempée.
Mon gland est aspiré, tété et pompé délicatement, puis la bouche de son amie coulisse le long de mon pal et ses mouvements sont plus rapides pour me déguster la
verge.
Je pose ma main dans les cheveux de cette gourmande, j'accompagne sa succion.
"Ho coquin... force la jusqu'au fond de sa gorge."
Elle a posé sa joue dans le creux de mon épaule et elle observe son amie arc-boutée sur mon sexe.
Je pousse sur l'arrière du crâne et un grognement accueille ma pression.
Elle résiste puis cède, elle a un haut le cœur lorsque mon bout dur vient se loger dans sa gorge.
Je la maintiens et la laisse se redresser.
Elle salive, souriante.
"Sa bite est longue !" fait-elle en essuyant sa bouche.
Sylvie a une jambe relevée, je la masturbe, sa jupe remontée haut sur ses cuisses.
"Oui... bien longue. C'est bon n'Est-ce pas ?"
"Humm ouii..."
Elle replonge sur mon entrejambe et m'avale de nouveau, allant et venant au rythme de ma main.
Nous observons, tels deux complices, cette femme qui me suce avec envie.
"Tu devrais la baiser mon bébé"
Son amie semble apprécier l'idée car elle grogne et redresse son visage, souriante, les lèvres rosies de la pipe qu'elle vient de me faire.
Elle dégrafe son pantalon et se place à 4 pattes sur le canapé.
"Dans cette position... j'aime".
Ma muse me caresse la nuque.
"Hoo... en levrette. C'est vrai que tu aimes ça Martine, je m'en souviens, tu me l'avais dit".
Elle se dandine devant nous.
"Oui. Ca fait longtemps que je n'ai pas reçu une longue bite comme ça. Je vais me régaler".
C'est ma Muse qui m'aide à me mettre en position.
Sa main délicate autour de mon sexe, elle me positionne contre l'abricot humide de cette autre femme.
La brune pousse son corps contre moi et mon glaive entre dans son fourreau sans rencontrer aucune résistance, sous l'encouragement sensuel d'un gémissement
féminin.
"Tu es si beau quand tu es comme ça bébé... vas-y... prends-la".
Ma muse m'encourage...
Je m'agite, je possède la brune sous le regard complice de la blonde.
"Oui. Laboure-là".
La femme gémit, elle ondule sous mes coups de reins qui se font plus forts comme Sylvie m'y invite.
Ses petits cris entrecoupés de soupirs sont accompagnés par le rythme régulier des claques que font mes cuisses qui butent contre ses fesses.
Son vagin se contracte.
J'accélère.
Plus loin... plus profond.
Elle crie quand je touche le fond de sa matrice.
"Aie ! Non !"
"Si... continue..."
Entre les deux suppliques, je suis celle de mon amante.
Ma tige vient cogner encore et encore, dans le sexe ruisselant de son amie qui se cabre telle une jument en poussant un cri de plaisir.
La petite femme emmanchée par ma longue tige qui semble disparaitre au fond de son ventre, se tortille.
Elle feule et me parait si frêle que je ralentis.
Son sirop inonde sa grotte, son vagin me comprime par saccade.
Je la lime en lenteur, accompagnant son orgasme qui s'achève dans une sonnerie de porte.
A peine ai-je le temps de m'extraire de son con trempé qu'elle se rhabille apeurée.
"Ho non... c'est Jean... il rentre plus vite que prévu !"
Elle replace ses cheveux trop vite, lisse son chemisier par dessus son pantalon remis en hâte.
"Son mari" me commente ma belle complice en se levant.
Je m'habille vivement.
"Je t'ouvre chéri" lui dit-elle par l'interphone.
Sylvie lui rend sa culotte.
"Tu as oublié ça".
Elle rougit et lui fait la bise.
"Filez vite..."
Elle dépose ses lèvres sur mes joues.
"Tu m'as fait du bien toi... " me gratifie t-elle avant de refermer derrière nous.
Nous prenons l'escalier, son mari monte par l'ascenseur.
A suivre...