[...]


"Tu es si beau quand tu baises".
Je rougis, encore sous l'effet de cette partie à 3, une nouveauté pour moi.
"Merci mais.. ce n'est pas mon habitude".duonb
"Tu n'avais jamais eu plusieurs partenaires en même temps ?"
"Non. Je vous l'avoue, c'est une première".
Je n'ose lui demander pour elle de peur d'être surpris de sa réponse.
"Pour mon cadeau j'aimerais aussi avoir plusieurs hommes" rit-elle sans me quitter des yeux sur le palier du dernier étage.
Je suis troublé par cette idée de la voir avec d'autres hommes...
Troublé et agité d'une envie de la voir dans cette situation que j'ai imaginé tant de fois.
"Tu m'as follement excitée, je coule tellement que mes bas ne tiennent plus".
Ses seins arrogants dans son pull moulant se balancent à chaque marche que nous descendons.
Derrière elle, je sens la fragrance de son sexe qui m'enivre.
Je respire avec plaisir ce parfum si sensuel.
"Elle te plaisait" me sourit-elle.
"Non."
"On aurait dit pourtant".
"C'était car j'étais avec vous".
"Hooo mon adorable bébé" fait-elle en me caressant la joue.
Son fessier va de gauche à droite à chaque pas.
Nous arrivons dans le sous-sol, là où la voiture est garée.
Je la saisis par les épaules et la plaque soudain contre le mur de parpaings.
"Que fais-tu ?"
Je passe prestement ma main sous sa jupe.
'Hoooo".
Elle geint alors que je masse vigoureusement son sexe.
Mon doigt entre dans sa grotte ruisselante.
"Que faites-vous jeune homme ?" ronronne t-elle en s'agrippant à mes épaules.
Je plonge un second doigt et la fouille.
Son vagin est inondé de jus.
Je défais ma braguette, ma verge encore tendue de la saillie précédente.
"Je pourrais crier..."
Mon pal extraie, je le place entre ses nymphes ouvertes.
"Voyou... vous voulez abuser de moi dans un sous-sol..."
Ses hanches se tortillent pour se frotter contre moi.
Sa bouche exhale un souffle de plaisir lorsque je rentre en elle.
"Haa..."
Je recule et la force de nouveau.
Sa jupe remontée sur ses fesses, sur ses hanches.
Mon bassin entre ses cuisses écartées.
Je lui relève une jambe pour mieux la pénétrer.
"Au secours..." murmure t-elle.
Je recule lentement.
"On me viole..." sa voix est susurrée.
Je lui plante alors mon pieu au plus profond de sa matrice, durement, sauvagement.
Elle crie.
Sa voix, ses soupirs résonnent dans le sous-sol sombre et gris.
Je la plante contre le mur, à grands coups de reins, rudes.
L'ambiance glauque du lieu me fait devenir animal.
Elle pousse des petits "oui.. ho oui... oui... ouiiii" tout au long de la saillie, debout.
Mon pieu coulisse dans sa cheminée intime de façon aisée tant elle est lubrifiée.
Autour de ma verge je sens les contractions de son vagin en fusion.
Elle gémit.
Je la perce.
Un éclairage de voiture balaie notre coin dans l'ombre.
Je m'immobilise, planté en elle.
Nos deux corps soudés l'un à l'autre.
Sa respiration dans mon cou.
Une portière claque.
Mon sexe palpite dans sa fente.
Elle y répond par des mouvements internes qui m'aspirent et me font un bien exquis.
"Je pourrais appeler à l'aide..." me murmure t-elle.
"Vous pourriez oui" lui réponds-je en l'embrassant dans le cou.
"Un homme pourrait venir me sauver..."
Je ne réponds rien, j'ondule en elle, doucement, sans bruit.
"Tu serais obligé de me partager mon bébé..."
Je donne un coup de reins un peu plus prononcé.
"Hum... Il me violerait en même temps que toi..."
Je la retourne brusquement.
Ma main sous son pull je masse sa poitrine dont le soutif est baissé sans ménagement.
Echauffé par ses allégations sulfureuses, je bande comme rarement.
Le sous-sol redevient silencieux.
"Hooo... au viol... on veut m'enculer..." fait-elle mine de dire en me lançant un regard enfiévré.
Mon gland force, entre, étroitement engoncé dans ce puits serré et résistant.
Un premier coup de butoir...
Je la sodomise sans douceur.
Elle pousse un cri plus fort et je vois son visage se crisper.
Ma longue tige s'enfonce et perce sa rondelle étroite.
Je recule.
Elle souffle... reprend conscience de son corps.
Un deuxième assaut, mon sexe comme un bélier pour défoncer la porte de son... cul.
Elle pousse un râle.
Mon pylône reflue et s'enfonce de nouveau.
Je lui ramone l'anus avec une rage folle, lui provoquant des cris entrecoupés de gémissements.
Le fait qu'elle m'ait utilisée, qu'elle me fasse autant fantasmer me rend ivre de désir et d'envies.
Mes coups de reins deviennent assauts de pilon.
Je la force contre nature avec une énergie chaque fois renouvelée par ses petits cris, entre douleur et bonheur.
Ses fesses enserrent mon piton en feu.
Je sens ses tétons durcir d'un coup.
Je les pince et elle pousse un soupir rauque.
Elle roule des hanches autant qu'elle peut, accompagnant la sodomie que je lui inflige.
A peine visible dans l'ombre, j'imagine son visage adorablement crispé dans le plaisir.
Je me vide en elle.
D'un seul coup le plaisir est venu.
Elle y répond avec un feulement que je connais... celui de son orgasme.
Nos jouissances simultanées sont fortes, violentes.
Je gicle en abondance dans son fondement, résultat de mon excitation durable.
Mon foutre lui dégouline sur les fesses, sur les cuisses, s'ajoute à la cyprine qu'elle expulse de son vagin inondé.
Ses cuisses maculées de jus.
Je me retire lentement.
Sa jupe se baisse sur son séant encore ouvert.
Elle reste en position, contre le mur, oscillant des hanches.
"Tu m'as violé comme une vulgaire femelle en chaleur mon bébé."
J'ai encore la verge tendue vers le ciel.
Sa croupe qui oscille devant moi m'empêche de débander tellement je l'ai imaginé dans mes rêves, tant je l'ai désiré et à quel point elle m'ensorcelle.
"J'en veux encore dans ma chatte."
Je prends ses hanches et le bascule vers moi.
Elle à les fesses vers moi, en arrière, elle se cambre.
Son visage si doux sur un bras replié contre le mur rugueux.
De sa main libre elle remonte sa jupe sur ses hanches.
Ses bas sont trempées de nos sucs.
Elle ouvre le compas de ses cuisses et tend ses fesses vers le ciel pour me révéler sa vulve lisse dans le clair obscur de ce sous-sol vide.
"Prends moi encore... comme une catin... comme ta putain".
Je m'introduis lentement.
Nos mouvements sont souples, coulés, à l'unisson.
Elle accompagne mes vas et vient en aspirant mon sexe de son vagin, en ondulant des hanches pour que je la prenne profondément.
Je lime en elle, calmement, je profite de son antre après l'avoir possédée comme un hussard.
"Vous êtes si bonne Sylvie".
Elle gémit.
"J'aime violer votre... fessier".
"Hooo... tu veux dire : mon cul ?"
"Oui..."
"Mon petit cul en feu"
"Oui... j'aime baiser votre petit cul en rut, ma... putain".
Je me surprends à lui parler ainsi mais je sais qu'elle aime ce langage car elle pousse vers moi pour se faire enfoncer plus loin.
Et le résultat ne se fait pas attendre.
Tout en continuant de la baiser, je lui caresse le clitoris.
Je rencontre ses doigts, la coquine s'amusait avec.
Elle a de petits soubresauts.
Ses doigts serrent les miens.
Nos mains se couvrent de mouille... tiède...
Elle jouit en silence.
Nos doigts souillés.
Je me retire doucement.
Elle se réajuste.
"Sylvie... vous..."
Son doigt gluant se pose sur ma bouche.
"Chut. Rentrons vite. Je suis toute sale".
Je lèche son doigt.
Il sent son sexe, il a le gout de son trésor.
"Et j'ai encore... très envie".

A suivre... 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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