Trio ou plus...


[...]

Je porte une robe d'intérieur.trio4.jpg
Mi-cuisses, noire, légèrement décolleté mais sage, très sage. 3 jolis boutons sur le devant.
Lorsque la sonnette retentit je ne suis que moitié surprise.
J'ouvre pour découvrir le patron de Marc, mon maitre.
"Bonjour ma petite poupée" me dit-il en déposant un baiser sur ma joue.
Je lui souris.
"Tu as fait du thé ? Cela sent divinement bon."
Il accroche son manteau sur la paterre, dépose son attaché-case sur le bureau... comme s'il était chez lui, ce qui est un peu vrai.
"Il est tout chaud" dis-je en le regardant faire.
Il s'approche et pose ses mains sur mes hanches.
"Tu es très en beauté ce matin".
Mon cœur bat plus vite.
Sa bouche se pose sur la mienne.
Nos lèvres se frôlent, se soudent.
Il m'embrasse, il attend ce moment où je vais lui offrir le baiser qui me donne chaud.
Nos langues s'enroulent, se cherchent, il a cette façon de m'embrasser, tel un amant dévorant de désir, qui me fait chavirer.
Je ne peux m'empécher de penser que mon mari vient juste de partir.
Je rougis un peu.
A force de petits baisers sur les commissures de lèvres, il s'éloigne.
Je suis tétanisée.
Il s'éloigne vers la cuisine.
"J'ai envoyé ton mari dans un rendez-vous important, j'espère qu'il est parti."
"Oui, oui" bafouille-je un peu.
Il me tends ma tasse et s'en verse une.
Ses yeux bleus me transpercent.
"Ho, j'oubliais, j'ai un paquet pour toi. Tu veux bien aller chercher le sac à côté de ma mallette ?"
Je le fais et l'apporte, un peu intriguée.
"Ouvre".
Mes mains tremblent un peu.
Une paire de bas blancs...
"Mets-les".
Je suis confuse.
Je me dirige vers la chambre lorsqu'il me stoppe et m'impose de rester ici et de les passer... devant lui, dans la cuisine.
Rougissante, je me retourne pour les passer.
Je sens son regard reluquer mes genoux, mes cuisses.
Toujours gênée de m'habiller devant quelqu'un.
"Ils te vont très bien".
Je sens une peu de fierté lorsqu'il me complimente.
Il me tends alors une paire de chaussures à talons.
"Que va dire Marc s'il me voit ainsi ?"
"Il fera ce que je lui dirais" fait-il en sirotant son thé.
Je mets les deux chaussures, obligée de me pencher, de me cambrer pour enfin me relever, plus haute de quelques centimètres, les jambes galbées.
Il ne perd pas une miette de mon habillage.
Je plonge de nouveau ma main dans le sac pour en sortir une jupe, courte, noire, si courte...
Ecarlate.
Je sais qu'il savoure ce moment autant que son thé.
Il me caresse la joue pour m'encourager.
Je vais devoir me dévêtir devant lui.
Mes mains ne sont pas sures alors que je déboutonne ma robe.
Si impudique... je perds mes repères.
Elle tombe à mes pieds.
Son regard passe lentement sur moi, de mon cou à mes seins déjà tendus dans mon soutien-gorge, sur mon ventre, jusqu'à ma culotte de coton blanche.
"Regarde ce qu'il y a d'autre dans le sac".
J'hésite et j'en sors un chemisier noir décoré de dentelle blanche.
En lieu et place de boutons, un simple laçage.
Il retourne le sac...
"Je t'en prie, habille-toi avec les vêtements de ce sac"
... il est vide.
Je rougis alors que je viens de comprendre.
"Ho... non..."
"Allez ma petite Béatrice, retire ton soutien-gorge".
Je le fais, obéissante, un secret désir enfle en moi.
Il dévore ma poitrine aux tétons saillants et mon pubis... totalement lisse depuis qu'il m'y a obligé.
Je m'y suis habituée désormais.
Il est le symbole de ma soumission.
Ma jupe est courte, arrive en limite du liseré des bas.
Ma poitrine, libre, frotte contre le tissu et concourt encore plus à ériger mes tétons presque douloureux qui ne sont pas longs à réagir.
Je me sens si... osée dans cette tenue...
"Il reste du thé, parfait. Car j'ai invité un client à venir signer un contrat ici. Et il adore le thé".
Je voudrais dire "nonnnn !" mais je suis tétanisée par ce que je crois comprendre.
Il me serre dans ses bras, me réconforte de mots tendres.
Cet homme me fait chavirer...
Toute rouge, de honte et de désir, je tremble légèrement.
"Tu vas voir, cela va être un très bon moment" me murmure t-il.
Il passe sa main sur ma jupe, remonte sous un sein et caresse mon cou.
Je suis si bien contre lui.
"Mais et... Marc... il ne faut pas..."
Son doigt se pose sur ma bouche.
"Tu es à moi".
La sonnette...
Je panique.
"Tu vas être merveilleuse".
Je me dirige pour ouvrir la porte en cherchant à garder un peu de contrôle sur mes jambes flageolantes.

Le client me sourit, ses dents blanches au milieu de son visage sombre.
Sa peau noire, sa main manucurée, entretenue, qu'il me tend et que je sers, intimidée.
"C'est bien ici ?"
"Oui, oui je pense".
Je le fais entrer, comme dans un état second.
Les présentations faites, j'apprends qu'il vient du Sénégal et qu'il n'est ici que pour signer le contrat avant de s'envoler de nouveau.
Ils s'installent au salon et discutent.
Je leur apporte du thé.
Je sens les yeux noirs plonger dans mon décolleté.
Devant lui, je suis gênée, lorsque mon maitre pose sa main derrière ma cuisse, me caresse la jambe jusqu'à faire disparaitre ses doigts sous la jupe, effleurant mes fesses nues.
La base de mon séant, effleuré, me rend instantanément humide... et honteuse.
Il lui tend le crayon pour signer...
Je surprends leurs sourires complices.
L'objet tombe sur le tapis entre ces deux hommes qui viennent de faire affaire.
S'il se penche il va me découvrir si impudique.
Je n'ose bouger.
Il ramasse l'objet et son visage se tourne. Ho non....
Je le vois mater longuement mes jambes. Son regard remonte si haut... il doit voir mon absence de culotte et la main de mon maitre sur moi.
Je ne suis pas à l'aise mais ce dernier me lance un regard rassurant qui contrebalance mon désarroi.
Lorsqu'il remonte s'asseoir et signer il lance un "Votre assistante est ravissante".
"Nous voilà partenaires".
Ils échangent une poignée de mains.
"Je peux ?" fais le grand noir en souriant.
"Bien sur... je vous en prie".
Il pose alors sa grande main sur mon genou.
Je sursaute et il remonte sur ma cuisse.
Sur le bas blanc sa main contraste outre mesure.
Je m'affole.
"Ce n'est pas mon assistante vous savez."
"Ha bon ? Peut-être une fille de joie ?"
Mon maitre rit de bon cœur.
Je m'empourpre d'être ainsi considérée.
"C'est ma soumise, et également la femme d'un de mes employés, celui qui avait les précontrats, le petit Marc".
Je ne sais plus où je suis, je danse d'un pied sur l'autre, incapable de garder une allure digne.
La main de Monsieur presse ma fesse, plus fermement, et je gémis sans pouvoir me retenir.
Ils trinquent devant moi, leurs mains sur moi, ma cuisse, mon fessier, caressés.
Son client ne dit rien, il détaille chacune de mes courbes.
Son regard... pervers sur ma poitrine qui se soulève trop fortement... les caresses de ma fente, effleuré par l'index de Monsieur... me font mouiller de plus en plus.
Leurs deux mains remontent encore.
L'une effleure l'aine... et se met à flatter mon pubis lisse.
Je ferme les yeux.
"Elle n'a pas de poils"
"Non, je la contrains à être ainsi, en signe de soumission".
Leurs rires me font l'effet d'une claque.
"Et son mari ?"
"Il ne dit rien, c'est un mou. D'ailleurs je loge ici et il dort au pied du lit"
"Je m'en souviendrais la prochaine fois que je le verrais".
Ils plaisantent en me caressant.
Une main flatte ma raie et mon petit œil brun pendant que l'autre masse mon abricot en fusion.
"Je l'ai dévergondée. Désormais elle est très ouverte. elle accepte tout".
"Vraiment tout ?"
"Ho oui... vraiment. Et elle n'a pas le choix et puis surtout... elle aime ça".
Son doigt se glisse entre mes lèvres molles.
"Humm elle est trempée".
Je mords mes lèvres pour ne pas crier, pour ne pas m'affoler à ce qu'ils disent de moi.
"Ca l'excite."
Mon maitre me force à écarter mes jambes tout en restant debout.
Et son client me fouille le vagin dans un bruit lacustre.
Les mains de Monsieur m'attirent alors vers lui.
Je me sens si fragile entre ces deux hommes.
Si sensible... chez moi... et pourtant... ailleurs.
Le doigt noir, retiré de mon corps, luit de ma cyprine.
Je me retrouve bien vite assise sur mon maitre.
Cuisses écartées, ma jupe est remontée haut, elle découvre le porte-jarretelle et offre à son vis à vis une parfaite vision de mon sexe ruisselant.
Ma poitrine se tend de façon indécente, ma poitrine forcée vers l'avant jusqu'à tendre le chemisier au maximum.
La main ferme de mon maitre appuie sur ma nuque... je me penche vers l'avant... offrant le balancement de ma poitrine libre, à la vue de l'homme noir qui suce son doigt... qui goutte mon sirop intime.
Je me sens devenir folle.
Il ouvre alors son pantalon et sort son sexe.
Je panique en voyant le gros boudin noir, déjà dur, qu'il exhibe.
Une si grosse chose... peut-être même encore plus grosse que celle de mon Maitre.
Il se décalotte.
Son gland est violacé, turgescent.
Je le trouve, lui aussi, trop gros pour moi. Je n'ai jamais vu de sexe noir... une crainte... et un désir subtil.
Je suis forcée de me pencher.
Mon visage touche le membre viril... son odeur me plait.
Mes cuisses ouvertes en grands, cambrée... ma jupe est relevée sur mes fesses.
Il prend mes cheveux et se frotte la verge contre mon visage.
Mes fesses à l'air subissent les caresses délicieuses de mon maitre pendant que mes joues ressentent la chaleur de la verge raide de cet inconnu.
Je me retrouve soulevée, mes genoux posés sur le canapé, mes mains sur les cuisses de l'homme en face de moi, tel un pont au dessus du vide.
Une petite fessée claque.
Je sais... j'obéis... j'ouvre la bouche.
Il rit.
"Elle est bien dressée".
A ces mots si crus, si forts, je mouille... à la limite de l'orgasme.
Le gros sexe entre dans ma bouche entrouverte.
Il me force à écarter mes mâchoires... douloureuses... tellement le membre est large.
Ma langue glisse et lèche la veine volumineuse.
Déjà loin... au fond de gorge... sans se soucier de moi, il baise ma bouche.
Sa main noire dans mes cheveux blonds, il m'oblige à l'accepter.
Son sexe va et vient.
"Vous pouvez y aller, elle adore sucer, sa bouche est une vraie pompe à bites".
Il s'enfonce si loin.
J'en ai des hauts le cœur.
A m'étrangler, je bave, comme il me maintient dans cette position où je ne reprends mon souffle qu'avec peine.
Puis il recule brusquement.
"Pompe mon gland" dit-il sèchement.
Je peux enfin respirer.
Je l'aspire, de moi même, sans qu'il n'ait plus besoin de me retenir... comme folle... comme prise d'une envie inouïe de stupre... depuis que mon Maitre m'a initiée à ces plaisirs lubriques.
Il glisse ses mains dans mon chemisier dont les boutons sautent les uns après les autres.
Et il malaxe mes seins, il les caresse et tire sur mes tétons... douloureux... apaisés par ces gestes osés.
"Branle-le avec tes seins" ordonne mon maitre derrière moi, alors que mes fesses sont tendues vers lui.
J'avance vers lui, il se glisse dans ma poitrine.
Je sens la ... queue... si large, si chaude... qu'il comprime entre mes poires opalines.
Elle bute contre mon menton, contre mes lèvres.
Je lape son méat.
Et puis... là... contre ma fente... un autre sexe... je le connais... je sais qu'il va me déchirer lui aussi.
Il me force.
Je crie.
La saillie est courte mais me rend dingue car les deux hommes se redressent.
Le noir me soulève comme une paille et me pose sur la table...
Mes seins écrasés sur le bois.
Je regarde mon ... maitre.
J'ai envie de lui, pas de cet inconnu, j'ai envie de lui faire plaisir de lui rendre ce qu'il me donne.
"Baisez-la" lui ordonne t-il cependant.
Je hurle lorsqu'il me prend d'un coup.
Son sexe trop épais me défonce la fente.
Il accélère, la table bouge, il me possède comme un animal.
Son pieu me parcourt sans discontinuer.
J'en ai les larmes aux yeux, devant mon maitre qui me sourit, ma bouche grande ouverte pour laisser échapper mes râles.
Je crie sous les assauts brutaux et terriblement sexuels.
Tel un soudard, il jouit, répandant sa semence blanche sur mon dos.
Je suis haletante.
J'entends vaguement son départ, mon maitre qui revient.
Je n'ai pas bougée.
Allongée à plat ventre sur la table.
Il caresse ma croupe, effleure ma fente outragée, gonflée.
Ses doigts sont divins sur mes lèvres en feu.
Il me masse doucement et son souffle vient apaiser mes muqueuses rougies.
Sa langue s'y pose, il me lèche... passionné... attentionné...
C'est trop fou... je gémis.
Je sursaute lorsqu'elle vient déborder et... laper ma petite rondelle.
Il me déguste, je n'ai plus la force ni la volonté de dire non.
Mes deux orifices sont lapés, léchés.
Il m'assouplit l'anneau brun qui palpite d'envie.
Il m'embrasse le sexe.
Je coule... ma motte me semble brulante, saillante.
Je soupire d'envies... de plaisir.
Il accentue la pression, mon intimité s'ouvre pour que sa langue s'enfonce.
Il me mange...
Je sais ces mots crus qu'il va me dire.... et j'en perds la raison.
Je frissonne lorsqu'il me dit aimer me bouffer la chatte, le cul...
Lorsque je l'entends commenter comment son client m'a défoncé.
Je dégouline de cyprine sans pouvoir m'arrêter.
J'ai envie... de tout...
Il se redresse.
Je me cambre pour m'offrir totalement.
Je le sens m'envahir... si raide et si gros.
Les pointes de mes seins frottent, légèrement soulevée, il me donne des coups de reins qui me font gémir sans discontinuer.
Le rythme change, il oscille en moi et je me tends comme une liane.
La poupée fragile devient... lascive... chienne...
Il bute au fond de mon intimité.
Je pousse des petits cris, entièrement, à lui, je lui appartiens.
Mon corps... mon cœur... mes envies les plus obscènes... sont à lui.
Je me sens chienne, je me cambre, lui offre mes reins pour qu'il me saute sur notre table.
Oui, j'aime ça.
Je lui présente ma croupe dans sa plus intime expression.
"Tu sais ce dont j'ai envie".
"Oui... humm oui je le sais"
"Alors écarte-toi".
Je pose mes mains sur mes fesses... et je les ouvre.
"Prenez-moi comme vous voulez... prenez mes reins".
Il présente son sexe devant mon petit œillet qui palpite.
Sa force se fait ressentir.
Sa raideur, sa dureté.
Je sais que je vais crier.
Je crie toujours un peu plus fort, par là.
"Sois plus crue ma douce poupée".
"Ho... je..."
Ce mot si... obscène...
"Na te fait pas prier" me murmure t-il en appuyant contre mon orifice serré.
"Ho oui... enculez-moi" ose-je dire.
Je crie.
Il pousse son gland trop large en moi.
Il prend ce que Marc n'a jamais eu.
Je suis ballottée.
Chaque coups de reins me propulse vers l'avant.
Je me surprends à me masturber en même temps.
Je n'ai jamais été aussi excitée.
Il étale le jus de l'autre homme sur mon dos et me présente ses doigts.
Je n'en crois pas ma raison... je suce les doigts sales.
J'en veux encore, je me tortille pour sentir sa grosse verge profondément dans mon cul.
Mes orgasmes s'enchainent.
Je coule sur la table, autour de mes doigts.
Une sensation brulante me fait chavirer de honte et de plaisir... il vient d'éjaculer dans mes fesses.
Son foutre épais me coule sur la fente, sur les cuisses, se mélange sur mes doigts à mon sirop de femme.
J'ai chaviré dans l'univers de mon Maitre...
Il me chevauche sur les rives du plaisir.
Et je le suis... je suis à lui...
Son baiser dans ma nuque m'enflamme.
Hooo non... je sens déjà l'envie enfler.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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voeux-sexy-2015.jpg[...]

Mon téléphone vibre.
"Ma Muse".
J'ai soudain très chaud.
Une photo.
Je souris.
J'affiche l'image.
Ses seins, voluptueux, pâles, nus, son corsage baissé pour qu'elle puisse prendre la photo.
"Bonne et sensuelle année mon bébé. Ils sont là pour toi".
Je tape une réponse enflammée, l'esprit embrumé par les auréoles au centre desquelles se dressent des tétines dures comme des pointes de crayon.
"Et bien, ta copine a une sacrée paire" me fait un ami en regardant par dessus mon épaule.
Je masque le téléphone, gêné.
"Oui, merci".
"Tu aurais du l'inviter, moi... elle m'aurait bien plu".
Un peu fatigué, il s'éloigne pour me laisser répondre.
"Douce et érotique année à vous Ma Muse... vous me faites fantasmer".
La réponse arrive, presque immédiate.
"Conserve tous tes fantasmes, mon mari part en déplacement pour 15 jours... j'espère que tu seras reposé...".
Je deviens fébrile.
"Je vous attends."
"Je suis en chaleur... à bientôt".
Je retourne vers le bruit de la fête, un souhait vient de se réaliser.
Lorsque je vois mes amis, danser, s'agiter avec de jeunes femmes, j'ai soudain une idée...

A suivre...

[...]

Invitée par le patron de Marc à une soirée dans un château loué pour ce groupe d'amis et de connaissances plus ou moins proches, je ne quitte pas des yeux mon maitre, son patron.
Aux 12 coups de minuits nous nous offrons nos vœux et tout le monde s'embrasse.
Lorsque Monsieur me souhaite une douce et plaisante année, je frissonne en lui en souhaitant tout autant.
Puis arrive un curieux tirage au sort où les couples sont amenés à être... échangés.
Les "solitaires" sont réunis tout aussi aléatoirement dans les rires et les coups d'œil salaces des uns et des autres.
Je deviens rouge, de honte et de crainte.
Mon mari ne dit rien, il ne conteste plus aucune décision de celui qui dirige notre couple.
Lorsque j'entends "Béatrice" je sursaute.
Et mon sourire illumine aussitôt mon visage.
"Moi", dit mon maitre. Je suis soulagée.
Il me prend la main.
Marc a été invité par un couple à les accompagner.
"Je suis si contente d'être avec vous".
Il me sourit et mon cœur s'emballe.
"Pour un début d'année, j'ai triché, je ne voulais pas te partager". Me dit-il en caressant ma nuque.
"C'est... très gentil".
"Ne t'inquiète pas, j'aurais tout le temps de te prêter à d'autres durant cette nouvelle année..."
Je deviens écarlate à l'annonce de ce qui m'attend.
Il sait que, bien que l'épouse de Marc, je suis toute à lui.
Marc ne se rebelle pas, trop faible.
J'ai fermée les yeux.
Mes tétons se tendent instantanément.
"C'est fou... hoo..."
Pour cette première nuit de l'année mes gémissements se mêleront jusqu'au petit matin avec ceux des autres couples formés pour la nuit seulement.

A suivre...


[...]

Je portais Magalie jusque dans la chambre.
Elle ronflait, ayant un peu abusée de l'excellent vin qui accompagnait le dîner parfait que nous venions de faire pour fêter cette fin et ce début de nouvelle année.
Elle grommela lorsque je la bordais et tomba rapidement dans un profond sommeil.
Belle et sensuelle même dans cette attitude un peu moins glorieuse.
J'entendis la porte s'ouvrir derrière moi.
"Ma fille dort et elle n'a même pas souhaitée la bonne année à sa maman".
Ma belle-maman se tenait dans l'entrebâillement, une position lascive... simplement vêtue d'une nuisette qui mettait en avant sa poitrine opulente et dont je devinais déjà l'excitation.
"Et toi tu viens m'offrir tes vœux ?" me lance t-elle avec un sourire enjôleur.
Je lui souris à mon tour et m'approche d'elle.
"Je vous souhaite une merveilleuse année belle-maman. Pleine de joies et... de plaisirs". fais-je en posant ma main sur son sein droit.
"Ho... coquin... " fait-elle en me prenant la main pour que je lui presse un peu plus son sein si... lourd et attirant.
Je pétris et glisse bientôt mes doigts entre ses cuisses pour découvrir son sexe lisse sous le tissu soyeux.
Elle a déboutonné mon pantalon et enfoncée sa main dans mon boxer.
Elle s'est emparée de ma verge et me masturbe déjà, me faisant devenir de plus en plus dur.
"Vient par là mon gros cochon... baise-moi sous le gui".
Là... dans l'entrée... sous la branche de gui, alors que ma femme dort d'un sommeil de plomb, je saute ma belle-mère contre le mur en lui relevant une cuisse pour mieux la forcer profondément.
Ses mots crus me font un effet dingue.
Nous garderons le secret... un souhait partagé.
Même ses cris de jouissance n'auront pas éveillés sa fille que je rejoindrais une heure plus tard... pour la prendre à son tour, encore à demi endormie.


A suivre...


[...]


Lorsque la fin de l'étrange tirage au sort a lieu je souris à celle qui a "écopée" de mon nom.
Je m'éloigne dans la vaste véranda, afin de reprendre mes esprits et finir ma coupe de champagne.
Je ne m'attendais pas à ce genre de pratique.
Un ami m'avait invité sans me prévenir.
"Tu verras c'est l'occasion de te changer les idées et faire des rencontres" m'avait-il dit.
Seul depuis ma rentrée d'Irlande, l'idée d'une "relation d'un soir" ne me gênait pas mais j'avais la tête ailleurs. Encore envouté par ma maitresse aux cheveux roux... cette ange qui m'avait fait découvrir cette autre facette de ma sexualité.
"Heum.. heu..."
Je me retourne pour me retrouver nez à nez avec ma "compagne désignée".
Une charmante femme d'une trentaine d'année comme moi, cheveux châtains coupés courts, une paire de lunettes qui ne masque pas ses yeux marrons perçants.
"Je vous dérange peut-être ?"
Sa voix est douce.
Ses courbes sont moulées dans une robe de soirée noire.
Assez discrète je ne me souviens même pas d'elle ni de l'avoir remarquée durant le repas.
"Non, je vous en prie".
Elle se rapproche.
"Je ne suis peut-être pas à votre gout".
Sa moue boudeuse qui finit sur un sourire fugace me fait un pincement au cœur.
Je ne voudrais pas l'avoir froissé.
"Ce n'est pas cela, vous êtes charmante".
"Mais... ?"
"Mais... je ne suis pas comme cela. Je ne sais pas faire le premier pas, surtout dans ces conditions".
Les effluves de son parfum me parviennent.
Une fragrance capiteuse... envoutante.
"Moi non plus je ne suis pas comme cela".
Elle s'approche.
Le souvenir de ma "maitresse" est encore vivace.
Elle pose sa main sur mon entrejambe et flatte la bosse qui croit.
Je suis surpris et n'ose dire un mot ni faire un simple geste.
"J'aime choisir d'habitude... et toi ?"
Le ton doux et suave de sa voix masque une volonté que son geste ne cache en rien.
"Je... suis plutôt... "
J'hésite.
Elle dépose un baiser sur ma joue.
"Tu es plutôt... suiveur. Je l'ai senti dès que je t'ai vu" me fait-elle en me souriant "et je n'ai plus de soumis depuis 6 mois. Tu me plais".
Je rougis, soudainement envahit par un désir de me sentir de nouveau entier, lié, entravé dans les sentiments complexes d'une relation de domination.
Je baisse les yeux en lui souriant.
"Comment devrais-je vous appeler ?" lui murmure-je alors qu'elle presse ma verge un peu plus fort pour affirmer son emprise sur moi.
"Cela nous le verrons si tu es doué...".
Elle m'entraine en me tenant par le sexe.
Je la suis... la brillance rousse s'estompe un peu dans mes souvenirs.
J'ai envie de me dépasser.

A suivre...


[...]

Marie-Jo avait été invitée par l'homme qui tenait la galerie d'art un peu... sulfureuse... pour passer le réveillon de fin d'année.
Au milieu des tableaux et œuvres exposés, un banquet avait été dressé.
Des invités triés sur le volet riaient et s'amusaient.
Elle était venue sans son petit-ami, désormais un ex, depuis quelques semaines.
La secrétaire du collectionneur, cette asiatique aux yeux perçants, lui déposa un baiser sur la joue pour lui souhaiter une douce année après que son patron lui eu, lui aussi, offert ses vœux.
Elle lui glissa dans la main un petit objet.
"Un présent de la part de notre hôte" lui murmura t-elle.
L'objet était chaud.
Une chaleur étrange qui irradia son bras, enflamma ses seins et fit se tendre ses tétons sans aucune autre raison que celle de lui rendre le souffle court.
Une boule de désir enfla dans son bas ventre.
Elle ouvrit la main pour regarder ce qui venait de la mettre dans tous ses états.
Une sorte de petite tige en métal doré aux extrémités desquelles deux boules de tailles presque identiques.
Un faiblement mouvement de son poignet lui sembla faire tinter le métal.
Interdite devant le petit artefact qui semblait palpiter dans sa main elle ne vit pas arriver l'hôte des lieux.
"Il s'agit d'un objet ayant appartenue à Iwasaki. Une geisha célèbre du 19e siècle".
La voix sourde entretint la poussée de désirs impolis qui lui traversa l'esprit en une fraction de secondes.
"Merci mais... que... qu'Est-ce ?"
Elle vit son sourire se fendre un peu plus.
Il effleura du bout du doigt l'extremité la plus petite de l'objet.
"Il s'agit d'un objet de plaisir féminin".
Les joues de Marie-Jo s'empourprèrent immédiatement.
"Je vous invite à la porter".
Peu de temps après elle retrouvait la salle, un rapide détour par les toilettes lui avait permis d'introduire ce plug étrange dans son intimité.
Chaque mouvement faisait danser de petites perles dans les boules et enflammait son sexe qui devint liquide presque instantanément.
Au bord de la jouissance, lorsqu'elle croisa le sourire de cet homme aux objets insolites, elle sut qu'elle tombait de nouveau sous l'emprise de cette source de plaisirs défendus.
L'année commençait de façon exquise.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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mere-noel-sexy.jpg"Tu m'accompagnes ? Je sors avec des amies à moi. On va au marché de Noël."
La proposition est à peine voilée.
Son regard brillant au milieu de son doux visage encadré par ses cheveux blonds délicatement relevés sur l'arrière de son crâne pour en dévoiler la nuque gracile.
Son cou s'élance au dessus d'une poitrine déjà voluptueuse pour ses 24 ans.
Marion, a 1 an de moins que moi, et un regard de braise.
"Non merci, j'ai du travail".
Je vous à sa moue, qu'elle est déçue.
En tournant les talons et en s'approchant de la porte, elle ondule du bassin pour mettre en avant le galbe de ses jambes.
"A plus !" lance t-elle dans un dernier appel.
Sa mère ferme la porte et me regarde.
Sa mère...
J'en ai instantanément chaud.
Elle m'a invité à passer quelques jours chez eux pour fêter Noël.
En vacances, c'était un bon moyen pour me vider la tête du travail, quitter mon studio, et ne pas me retrouver tout seul chez mes parents, partis au ski avec des amis à eux que je n'aime pas.
Alors j'ai accepté.
Parce que tout cela mais surtout...
Surtout... il y a Sylvie... la mère de la jeune femme qui vient de partir.
Le portrait de sa fille en mille fois plus sensuel.
Elle est la muse de mes fantasmes depuis si longtemps et... depuis quelques mois... mon amante secrète.
De sa main elle flatte ma joue.
"Je crois que tu viens de repousser les avances de ma fille".
Je ne réponds rien.
Elle vient s'asseoir sur mes genoux.
"Ce n'est pas très gentil. Elle ne te plait pas ma fille ?"
3si, elle est mignonne mais..."
"Alors comme cela tu as des choses à faire ?"
Sa poitrine opulente devant mon visage.
La chaleur de ses cuisses sur les miennes.
Je sens mon rythme cardiaque s'emballer, ma respiration se faire plus courte, et ma verge... être trop à l'étroit dans mon boxer.
Sa main descend sur mon torse.
"Ma fille partie..."
Elle flatte mon ventre et ma ceinture.
"Mon mari en déplacement..."
Sa paume se pose sur mon entrejambe.
"Hum... sommes nous seuls ?"
Je pose mes mains sur ses hanches.
Elle me donne une petite tape sur les doigts et se lève sensuellement.
"Dis donc, coquin !"
Ses bas résille disparaissent sous sa courte jupe droite rouge sombre.
"Pas maintenant... j'attends quelqu'un."
Je suis surpris.
Elle sourit, visiblement elle me cache quelque chose et cela lui plait.
"Tu vas apprécier mon bébé".
Mystérieuse, elle me fait signe de la suivre.
Ce que je fais sans hésiter jusque dans sa chambre.
Hooo sa chambre... cossue, feutrée, qui étouffe les sons déjà velours qui nous proviennent de l'extérieur.
Elle se retourne et lentement je m'approche d'elle.
Mes mains trouvent les siennes.
Ma bouche trouve la sienne.
Nos langues se mêlent.
La fraicheur de ses lèvres et l'aisance avec laquelle elle enroule sa langue dans ma bouche me font chavirer.
Notre étreinte s'éternise dans le calme feutré de la chambre de madame et de son mari.
De petits baisers sur le coin des lèvres.
Elle frotte sa cuisse contre mon entrejambe.
"Mon cochon... tu es déjà tout dur".
"C'est à cause de vous Sylvie..."
Elle ronronne.
"Quand tu me vouvoies avec mon prénom tu me donnes chaud mon bébé".
Je la caresse. Je sens son corps onduler sous mes caresses, la chaleur de son être éveille des désirs dans le creux de mes reins.
Son chemisier noir se gonfle sous sa poitrine si désirable que j'ai tellement longtemps imaginé, que j'imagine encore dans mes nuits solitaires... et que je peux flatter... enfin.
La sonnette tinte.
Elle sourit et il faut une seconde sonnerie pour que nous nous éloignions l'un de l'autre."
"Cache toi dans la pièce voisine" me dit-elle avec un clin d'œil avant de faire claquer ses escarpins fins, hauts, qui donnent au balancement de ses hanches un érotisme torride.
Je m'y place. La pièce est dans l'obscurité.
Je peux voir la chambre par l'entrebâillement de la porte.

Ma muse parle, une autre femme lui répond.
Elles entrent toutes deux dans la chambre.
La femme a environ 25 ans, visiblement une vendeuse à domicile.
Elle ouvre sa valise qu'elle pose sur une commode.
Sylvie se tourne vers moi, son regard qui sait où me trouver, me transperce, pourtant je suis invisible mais il me semble apparaitre en pleine lumière.
Elle oriente un grand miroir... je peux voir l'intégralité de la pièce.
Puis elle retire son chemisier.
Un ensemble de lingerie, noire, très décolleté, moule ses seins et me fait immédiatement poser ma main sur mon entre cuisse douloureux.
Elle me lance un petit rictus puis se tourne et descend sa jupe.
Sa croupe devant moi... simplement recouverte d'un string dont la ficelle disparait dans ses fesses terriblement délicieuses.
La jeune femme sourit en admirant elle aussi la femme qui se dénude devant nous.
"Tu es terriblement ponctuelle Murielle."
"J'ai attendu que votre fille parte pour sonner."
"Tu as bien fait. " lui répond t-elle en lui flattant la joue de sa main si douce lorsque c'est sur moi qu'elle la pose.
"Je vous ai apporté des petites choses, spécialement sélectionnées pour vous".
"Hooo tu me combles".
Les deux femmes se connaissent donc.
Elle lui présente un ensemble de lingerie en dentelle et satin.
Je sens dans mon pantalon, un peu trop moulant, ma verge se dresser et être trop comprimée.
J'ai poussé la malice à ne pas mettre de dessous... ma verge libre frotte contre le tissu épais.
Et mon excitation ne cesse d'enfler, autant que mon manche.
Ma muse ôte son soutien gorge.
Des gestes lents, trop lents et si sensuels.
Elle enfile celui que lui présente la jeune femme.
Je suis hypnotisé par le harnais de dentelle noire, aux arabesques qui ne masquent en rien la profondeur de son sein et... qui révèle le mamelon, offert, non recouvert.
Je suis tellement sous le charme du galbe de sa poitrine qu'elle expose que je ne remarque pas tout de suite les caresses de la vendeuse sur les bonnets.
Plus que de l'ajustement, ses pouces aux ongles rouges frôlent, frottent, les tétines érigés de ma Muse.
Elles se sourient.
"Il vous va à merveille".
Je vois le corps de Sylvie onduler légèrement.
Elle se mord la lèvre inférieure avant que la caresseuse ne lui présente un autre soutien gorge.
Les essayages s'enchainent.
A chaque fois la vendeuse prend son temps pour effleurer et en profite pour flatter la poitrine attirante de mon amante.
Ma verge est si dure qu'elle en est douloureuse.
Je pose ma main sur mon entrejambe et ouvre les 3 boutons de mon pantalon.
Je manque lâcher un cri de soulagement lorsque je libère mon sexe en rut.
Je m'autorise une caresse.
Mes yeux se ferment un moment pour conserver en moi ces images excitantes.
Lorsque je les ouvre à nouveau...
L'ainée des 2 femmes ne porte plus rien.
Elle vient de faire glisser son dessous en se penchant vers le bas.
Elle reste les jambes tendues, montrant ostensiblement ses fesses et sa vulve à mes yeux et à ceux de sa cadette.
La jeune femme lui propose un slip transparent qu'elle enfile.
En un tour sur elle même, elle nous montre que le tissu ne cache rien.
Les mains fines de la vendeuse se posent sur l'avant du tissu et, sous prétexte de lui montrer la texture, je la vois caresser la fente aux lèvres ourlées d'humidité de ma muse qui est ravie de subir de si agréables caresses.
Les doigts fins flirtent avec l'abricot à peine voilé.
Sylvie avance légèrement son bassin sur la main qui la masse avec une extrême lenteur.
"J'ai quelque chose pour vous" lui dit-elle en s'agenouillant pour lui retirer la culotte qui, mouillée, semble vouloir rester accrochée à son entrecuisse.
Elle fouille dans sa valise et en sort un porte jarretelle.
Ma muse, nue, se laisse habiller par la jeune femme qui reste, accroupie devant elle.
"Voyez, une sorte de culotte fait partie du porte jarretelle..."
Les doigts, les ongles carmins passent et frôlent les hanches et les cuisses de celle qui me fait fantasmer.
"... mais elle est fendue".
Sa main passe entre les jambes qui s'ouvrent.
Elle la caresse sans préliminaire..
Et Sylvie... gémit.
"Hoo... j'aime bien ce dessous".
La brune continue de flatter l'abricot que je vois briller.
"Elle vous rend si accessible... à des doigts... ou à une bouche."
Ma muse pose sa main sur le crâne de la jeune femme et glisse dans ses cheveux pour l'attirer vers son sexe.
Sans résistance je vois s'approcher le visage de cette intruse, sa bouche s'ouvrir et sa langue laper le con trempé de celle que j'admire.
Elle la lèche consciencieusement.
Sa gourmandise fait gémir sa partenaire qui se tortille.
Je vois ses jambes flageoler.
Les bruits de succion sont des coups de fouets à mon sang qui me semble bouillir.
Je voudrais entrer dans la pièce et mettre un terme à cela mais je reste à la contempler, à admirer ces deux corps souples qui se font du bien.
La demoiselle se redresse.
Ma Muse déboutonne son chemisier.
Elle se laisse faire, caressant les hanches plus larges de sa vis à vis.
Elle rougit lorsque Sylvie lui palpe les seins.
Ses tétons pointent... trahison d'un désir innassouvi.
A force de lenteur elle dénude la poitrine orgueilleuse de la jeune femme.
"Tu sais que j'adore tes... mamelles"
"Je le sais... et j'aime lorsque vous les pétrissez".
Des pressions, des effleurements... la font soupirer.
Lorsque ma dame lui excite les mamelons, elle se dandine et lâche un râle.
"Tu n'as pas de petit copain en ce moment ?"
"Non... cela fait un moment..."
"Pas trop dur ?"
"Je me soulage toute seule" fait-elle en rougissant autant à ses aveux qu'aux plaisirs qu'elle retirent de ses bouts durcis qui sont pincés et étirés.
Ma muse qui donne du plaisir à cette jeune étudiante... me rend fou.
le contraste entre leurs deux corps... si sensuel... si intensément sexy, sexuel.
Face à face, elles se jaugent, se sourient.
Murielle caresse les seins de Sylvie alors que cette dernière déboutonne son pantalon qui tombe au sol.
Elle porte un tanga rouge.
Elle s'accroupit alors pour récupérer son soutif.
Ses fesses rondes forment un cœur que la transparence du voile rend suave et désirable.
La dentelle moule son abricot délicat, met en valeur ce postérieur gracieux où la raie semble une invitation à des plaisirs pervers et divins.
Ses hanches resserrées et sa cambrure exagérée m'échauffent les sens.
Je caresse mon sexe dressé.
Ma Muse vient se pencher derrière elle et elle lui baisse le dessous.
Murielle se relève un tout petit peu...
Et ma dame lape le sexe étroit aux lèvres serrées que la jeune femme lui présente en redressant sa croupe.
Toutes les 2 à 4 pattes par terre... l'une derrière l'autre...
Et ces bruits de langue...
Elle remonte et les mains fines viennent écarter les globes pâles de son séant oscillant.
La langue rose effleure la rosette brune de la jeune femme qui gémit lentement à chaque coup de langue sur son anneau palpitant.
Les figures s'enchainent.
Un ballet lascif et sensuel de corps et de caresses.
Ponctué de gémissements, de soupirs et d'invitations toutes plus osées les unes que les autres.
Elles frottent leurs sexes l'un contre l'autre.
Se tètent... mutuellement... leurs clitoris gonflés et étiré par de bouches expertes.
Elle se lapent, se doigtent.
Leurs vagins tours à tours ouverts, percés qui les fait couiner et râler.
Leurs étoiles étroites et si délicieusement intimes, s'entrouvrent sous les langues agiles et gourmandes.
Les nymphes de mon amante, écartellées à deux mains par cette délicieuses perverses qui la fouille et lui aspire le bouton tout à la fois.
Face à face, leurs poitrines gonflées qui se tendent et leurs bouches qui se cherchent, leurs langues qui s'enroulent, leurs lèvres qui se pressent les unes contre les autres...
Murielle vient sur Ma Muse pour se frotter et se faire caresser les seins.
Son séant ondule entre les cuisses de la maitresse de mes fantasmes.
"Hooo Murielle... tu me fais couler... petite chienne..."
"Sylvie... j'ai apporté un gode... pour nous faire plaisir".
L'ainée se redresse et lui sourit.
"J'ai mieux qu'un gode pour nous deux" lui dit-elle.
Je suis dans un tel état d'excitation que je ne suis même pas jaloux de ce qu'elles se font.
L'envie de ces deux bouches...
Je me caresse.
J'ai tant envie de les prendre l'une après l'autre
Envie de jouer moi aussi... de soumettre cette jeune chienne qui ose donner du plaisir à Ma Muse...
Les idées les plus osées, des désirs de stupre, de luxure... me traversent l'esprit.
Je mets un moment avant de remarquer que de son index, la plus âgée des deux femmes m'invite à approcher.

Sous le regard de ces 2 paires d'yeux brillants d'excitation, je sors de l'ombre, verge à la main, dressée vers le ciel comme un sabre.
Murielle me dévore du regard.
Elle se mord la lèvre inférieure en me voyant avancer vers elles deux.
"Voici notre cadeau de Noël" murmure mon amante.
Un murmure pour elles, pour moi, pour nous...
Leurs deux mains flattent ma verge.
Elles malaxent mes bourses lourdes.
Puis Sylvie se penche sur moi et embouche mon sexe devant la jeune femme qui, à son tour, la rejoint.
Ma verge passe d'une bouche à l'autre.
Elles utilisent mon glaive de chair pour se satisfaire de leurs envies.
Leurs langues se mêlent autour de ma queue et je les vois sourire comme deux affamées de sexe.
Mes doigts se glissent dans leurs cheveux.
J'accompagne les mouvements amples de leurs fellations alternatives.
La plus jeune apprend de Ma Muse et sous son regard semble devenir de plus en plus douée dans l'art délicat de la pipe.
Sylvie place elle même sa complice à 4 pattes.
Je déguste avec plaisir son abricot trempé.
Je n'ai qu'à tourner le visage pour déguster le second fruit défendu.
Côté à côté elles m'offrent leurs intimités... et ma bouche les dévore avec force et attirance.
L'un... délicatement ciselé, encore étroit... où ma langue s'insinue en forçant la dentelle fine.
L'autre... aux lèvres molles... béant... que je fouille de ma langue, mon visage plaqué à l'entrecuisse ruisselant.
Ma main droite titille le sexe frémissant de Murielle alors que la gauche doigte profondément celui de Ma Muse.
Leurs soupirs forment un chœurs d'anges qui, en cette période de Noël, me font croire à tous les cadeaux possibles.
J'enfile alors la première de ces deux femelles en chaleur.
Pour passer à la seconde sans même le temps de les prévenir de mes vas et vient dans leurs antres brulantes.
Syvlie vient s'allonger.
Murielle lui offre son sexe à lécher, accroupie sur le visage de son ainée.
Moi... je baise Ma Muse, allant et venant entre ses cuisses... ma bouche posée sur le velours du sein de la jeune femme qui me caresse le cou pendant que je la tête.
Lorsque nous changeons de position j'apprécie la lourdeur du pis de Sylvie et son téton tendu que ma langue agite pendant que Murielle m'aspire la verge en contractant son vagin envahit.
Nos corps se mêlent, s'entremêlent dans une sarabande de gémissements et de cris érotiques.
Un trio de déhanchements et de saillies.
Nos peaux sont moites.
Nos mains sollicitées par des courbes affolantes.
Nos bouches assoiffées et gourmandes.
Les orgasmes s'enchainent, se multiplient comme une réaction en chaine.
Une ode au plaisir...

A peine Murielle a t-elle passée la porte et fait vrombir le moteur de sa petite auto, que Sylvie dépose un baiser sur ma joue.
"Tu as aimé mon bébé ?"
"J'ai adoré".
"Je suis contente que tu ne sois pas exclusif... et que tu ais apprécié cette petite cochonne. C'est Noël... aimons-nous les uns les autres".
Me fait-elle dans un clin d'œil complice avant d'aller préparer le repas de ce jour exceptionnel.
Lors du diner ma cheville droite subissait les frottements du bout du pied de ma Muse... mon genou gauche, les caresses furtives de sa fille.
A minuit... je jouais le Père Noël en pénétrant dans la chambre de Marion, l'odeur de Sylvie encore sur ma peau.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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