Trio ou plus...

[…]lesb

 

 Le son caractéristique de sa braguette qui descend me fait esquisser un sourire.

Je me tourne vers lui comme attiré par un appeau.

Ma bouche entrouverte, la langue en avant, je cherche son membre dans le noir.

Il est là... raide, chaud.

Je lèche et l'embouche rapidement.

Je le suce de manière effrénée.

Mes mâchoires fatiguent mais je poursuis ma fellation.

Son pieu frotte au fond de ma gorge et m'arrache de petits grognements.

Il caresse mes cheveux avant de m'indiquer de cesser.

C'est à regret que j'obéis.

Sa femme me prend la main.

Je me retrouve très vite allongée sur elle, découvrant le plaisir impoli de caresser les seins d'une femme.

Sa poitrine est voluptueuse, ses mamelons larges et ses tétons dressés.

Elle n'a pas besoin de me forcer...

Je la tête sans qu'elle n'ait eu besoin de me le dire.

Je happe son gros sein pour le suçoter et en jouer avec ma langue.

Elle caresse mon dos.

Nos fentes se touchent, s'effleurent, se frottent, se caressent.

Ses lèvres souillées et sa courte toison glissent sur mon abricot lisse.

Je lance un gémissement... un autre...

Elle caresse ma joue.

"Oui. Tu es prête." Dit-elle.

Je ne sais pas à quoi... mais j'ai envie de tout.

Elle me murmure que ma bouche lui fait du bien.

J'ondule sur son corps, mes jambes écartées pour appuyer sur son pubis.

Mon plaisir grimpe en flèche.

"J'ai envie qu'il nous prenne toutes les deux... demande-lui" me susurre t- elle à l'oreille.

Je tends ma croupe.

Moi aussi j'ai envie d'un sexe d'homme en moi.

Les mots m'échappent.

"Baisez-nous... toutes les deux".

Mes paroles me semblent extérieures, dites par une autre.

Ses mains de mâle nous caressent.

Je la sens se cambrer sous une intrusion.

Son ventre tape contre mes fesses alors qu'il chevauche sa femme.

Dans un mouvement en avant son membre me pénètre.

"Haaaa ouii !" éclate-je sans pouvoir me retenir.

Il alterne entre nos deux cons.

Son sexe allant et venant entre nous.

Je suis en sueur, coincée entre leurs deux corps.

Il parcourt mon vagin sans effort malgré sa largeur conséquente, le manche recouvert de nos cyprines mêlées.

Elle pose sa bouche sur la mienne.

Sa langue me cherche.

Je m'abandonne à son baiser.

Nos langues s'enroulent.

Sa main posée dans ma nuque.

Langoureuse...

Elle fait glisser ses mains sur mes fesses et les pétris doucement.

"Tu en as envie ma petite pute ?"

Dans ma poitrine une boule de chaleur explose.

Elle écarte lentement ma raie.

"Ou... oui."

Oui, je suis prête... Ils ont raison... je suis prête à être possédée par tous les orifices, prête à me livrer à la luxure avec ce couple de libertins inconnus.

"Il n'attend que ta supplique".

Ses doigts ouvre mes fesses et mon petit trou palpite déjà.

Alors qu'il y a moins d'une semaine, tout ceci me dégoutait, aujourd'hui... je suis au septième ciel.

"Prenez-mes fesses."

Il continue de labourer sa femme.

"Il ne t'a pas entendu" me dit-elle faussement.

Je devine qu'ils ont envie que je les supplie, que je me dévoile, dans l'ombre... ma partie sombre... ma face cachée..

"Baisez-moi le cul."

Il se pose sur mes nymphes et s'enfonce de nouveau dans mon sexe.

Je grogne, me cambre.

Elle n'a pas besoin de dire quoi que ce soit, j'en ai envie et je réclame plus fort.

"Enculez-moi !"

Il ne se fait pas prier pour venir me percer aussitôt.

Je crie.

Son pal me déchire et me procure des sensations incroyablement intenses.

Il force l'intromission jusqu'à ce que ses bourses frappent contre l'entrée de ma vulve.

Je suis à bout...

Je jouis...

Elle s'empare de ma bouche que je lui offre.

Il continue de labourer mon anus.

Je dégouline longuement sur elle.

Lorsqu'il se retire, encore dur, je me retrouve à 4 genoux à même le sol, nimbée de lueur verte de l'issue de secours.

Je vois leurs deux corps en contre-jour.

Ils se tiennent par la main.

Je suis essoufflée, épuisée.

"A bientôt." Me dit-il.

Un faible "oui" m'échappe.

"Elle est bonne tu avais raison" poursuit-elle.

Ils me regardent, humiliée.

"Tu ne diras rien à ton homme." Ordonne t-il de sa voix grave.

"D'accord..."

Elle me jette mes dessous dans un petit sac et s'approche.

Une de mes culottes à la main.

Elle la passe entre ses jambes, essuyant nos sucs.

"Tiens. SI tu as besoin de sucer quelque chose avant de dormir, tu penseras à moi".

Je reçois cette phrase comme une véritable gifle.

Je saisis ma culotte, souillée.

Ils me laissent au milieu du silence.

"J'ai le cul en feu... Elle m'a excitée cette formidable petite pute. Rentrons vite" lui minaude t-elle en passant le seuil du bloc.

Des larmes coulent sur mes joues.

Je reste immobile quelques minutes avant de me résoudre à regagner notre tente...

 

En silence, ravalant mes sanglots, je me coule dans le duvet.

J'ai encore chaud des plaisirs que j'ai pris sans que Marc n'en soit au courant.

Mon ventre s'enflamme encore.

Je ne dois rien dire... je ne peux rien partager avec lui...

Je me rends compte que ce n'est pas ce que j'ai fait qui me torture l'esprit, c'est de ne rien pouvoir lui dire.

Ma main monte vers ma bouche.

Ma culotte...

Je sens l'odeur de mon dessous sali.

Je pointe ma langue et goute.

Je descelle mon odeur et la sienne.

A des lieux de la honte, je suce ce doudou de luxure pour me laisser aller dans les bras de Morphée.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Lorsque vers minuit, alors que nous sommes couchés, la fermeture de notre toile s'ouvre, je sursaute.

Lentement elle glisse et laisse entrer la fraicheur nocturne.

Je tourne mon visage vers Marc.

Il a les yeux ouverts.

Il ne dit rien. Un masque inexpressif.

Une forme massive entre et emplit l'espace.

"Bonsoir".

La même voix... encore...

Je suis prise entre l'envie rationnelle de hurler et celle, sensitive, de le laisser entrer dans notre intimité.

C'est incroyable.

Il revient.

Il pose ses mains sur mes épaules et me surplombe.

Je panique.

"N... non..." murmure-je.

Sa voix est grave, calme. Rassurante.

"Je vais te poser 4 questions".

Seules nos respirations se font entendre.

"Première question. As-tu pris du plaisir à nos deux premières rencontres ?"

Mon cœur s'accélère un peu plus.

Il est inutile de me voiler la face.

"Oui." Fais-je faiblement.

Il glisse une de ses jambes entre les miennes.

" Deuxième question. Est-ce que cela vous a excité avec ton homme par la suite ?".

Heureusement qu'il fait noir car je dois ressembler à une tomate tellement mes joues sont en feu.

Je regarde mon homme qui reste immobile.

"Oui". Ma réponse se fait sans le quitter des yeux.

Sa seconde jambe se positionne entre mes cuisses que je dois maintenant écarter compte tenu de la position qu'il occupe au-dessus de moi.

"Troisième question. Aimes-tu ton homme ?"

Je suis estomaquée.

"Ho Oui !" Je n'ai même pas réfléchis.

Je ne l'ai jamais autant aimé que depuis ces deux jours.

Ses genoux poussent sur mes cuisses qui se relèvent légèrement.

"Ma dernière question..."

J'ai peur.

Je ne vois pas où il veut en venir.

Marc me prend la main et me rassure de son regard aimant.

La voix de l'inconnu est un murmure, pourtant j'ai l'impression que tout le camping l'entend.

"Selon ta réponse je sortirais de la tente ou non..."

Il semble me laisser guider cette rencontre improbable.

"Veux-tu que je te baise ?"

Ces mots... ce langage cru dans cette voix de velours...

Pendant un court instant j'ai envie de le repousser.

Mais mon cerveau, lui, hurle de me faire prendre sans plus attendre.

"... oui..." je susurre la réponse aussi timidement qu'une jeune vierge effarouchée.

Le son caractéristique de sa fermeture éclair qui s'ouvre fait aussitôt s'accélérer les battements de mon cœur.

Mes jambes se relèvent et s'ouvrent.

Sur ma peau douce, je sens frotter ses muscles, son bassin.

En haut de ma fente il pose son gland.

Sans un mot, avec une attention digne d'un amant des plus respectueux, il masse mon capuchon avec le bout de sa verge.

Je deviens liquide et il m'arrache un gémissement alors que je ne quitte pas mon homme des yeux.

Une main à côté de mon cou, je respire ce parfum de mâle irrévérencieux qui s'impose dans notre couple.

Il me masturbe de son sexe dur et brulant.

Je ruisselle… je gémis.

Son membre vient se fondre en moi.

Il glisse entre mes lèvres humides qui s’ouvrent sans effort.

Sa seconde main saisit mon genou et le remonte sur ma poitrine.

Très ouverte il s'enfonce dans ma fente en me faisant grimacer.

Il est large, je suis étroite.

Il est si dur...

Je me cambre sous l'intrusion.

Je ferme les yeux, cherchant refuge dans l'obscurité pour me cacher... tenter d'oublier que je me donne à un autre... sous les yeux de Marc... Et que j'en tire un plaisir fou et inouï.

Ses va et vient s'accélèrent.

Je laisse échapper de petits cris qui ne trompent pas sur le bien qu'il me fait.

Un coup de reins plus fort me secoue et me repousse vers l'arrière.

Son pubis lisse vient frotter sur mon sexe glabre.

Je veux crier mais son ampleur en moi me tétanise et me rend muette.

Il s'est empalé en moi.

La bouche grande ouverte, j'ai le souffle coupé.

Il pose une de ses mains sur ma petite poitrine.

Immobile, planté dans mon bas ventre, il profite de ma tension pour titiller les bouts de mes tétons.

Je m'aperçois que je coule sur mes fesses.

Mes pointes sont tendues.

Il joue avec mes mamelons.

Je pousse un gémissement rauque, libérateur, puissant... à la limite du hurlement de jouissance.

Il reflue avant de revenir se ficher en moi.

Ses coups de butoirs s'enchainent.

Je me tortille, j'ondule, je me livre à ses assauts, criant mon plaisir comme une vulgaire fille de joie.

"Branle ton homme, il a l'air d'aimer ça ce salaud" me murmure t-il à l'oreille en enfonçant son sexe dans le mien, loin, profondément.

Je suis surprise par cet ordre que j'exécute avec une pointe d'excitation supplémentaire.

Ma main cherche le bas ventre de Marc.

Allongé à côté de moi je pose ma main sur son sexe.

Je ne suis pas étonnée de le trouver en pleine érection.

Je suis par contre honteuse de voir que ma position lui fait un tel effet.

Il a sa main à la base de son pieu et il se caresse.

Je n'en reviens pas : il se masturbe en me regardant me faire... baiser !

Un "salaud"... oui... mon salaud...

Je m'empare de son manche et je le caresse à ma façon.

Je subis les pénétrations de mon violeur.

Ma main agite la verge de Marc au rythme de mon assaillant.

Il hoquette de plaisir alors que je presse un peu plus son membre.

Au dessus de mon corps, l'inconnu vient poser sa bouche sur la mienne.

Ma langue cherche la sienne, s'enroule avant de me rendre compte que j'embrasse un autre homme que le mien.

J'ai un mouvement de recul.

Son sexe se fraie un chemin au fond de ma grotte.

Je crie.

Il couvre mes gémissements de ses lèvres posées sur les miennes.

Je m'abandonne à son baiser au gout de miel.

Mon corps se cabre d'un coup.

Une explosion de sensations se répand de mes cuisses à ma nuque.

Je jouis.

Un orgasme violent, fulgurant.

"Tu es bonne..." Me fait-il en continuant de me labourer.

Son langage prolonge mon plaisir.

Moi qui suis si prude, qui n'ai jamais aimé ce genre de mots... je les accepte pour le bien qu'ils me font.

Il se tend comme un félin.

Son sexe loin dans ma fissure dégoulinante.

Il se libère en longs jets qui m'inondent.

Je déglutis avec peine.

Il s'extraie, me laissant comme "vide".

Il effleure ma peau, referme son pantalon.

Je reste ainsi, cuisses ouvertes, mon vagin outragé, emplit de poisse masculine.

Il sort et referme la porte dans un "A bientôt".

J'ai envie de pleurer.

Mon comportement me fait horreur.

Marc pose ses lèvres sur mon front.

"Ma chérie..."

Je perds pied.

La réalité est comme le sable qui fuit sous moi, je m'accroche à son sexe encore gros dans ma main.

Il est bouillant de désir.

Je suis en sueur.

Mon entrejambe est en feu.

J'ai envie de lui.

"Viens. Baise-moi". Lui dis-je en me rendant compte de mon attitude immorale.

Il plante son sexe dans le mien sans se faire prier.

"Ho oui ! Baise-moi mon salaud".

Il s'invite sans effort dans mon con totalement béant et me parcourt avec énergie.

Il tête mes petits seins, arc-bouté sur mon ventre, allant et venant comme un forcené.

Je ne suis que gémissements alors que je devine son gland en train de touiller dans le foutre d'un autre, son manche nimbé du sirop gluant.

Mes sens s'envolent pour la seconde fois en quelques minutes.

Nous unissons nos jouissances.

Il se déverse à son tour dans ma matrice avide.

Nos bouches se trouvent, se soudent.

 

Morphée nous emmène...

Le son des oiseaux nocturnes...

L'odeur de sexe...

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]

 

duonbJ'ai mal dormi et Marc est déjà levé.

Parti cherché le pain, lorsqu'il revient, il est taciturne.

Sans un mot, il se montre un peu distant, perdu dans ses pensées.

Tout le début de journée, je me montre tendre, particulièrement attentive, aimante.

Je n'ai pas à me forcer, je suis folle de mon homme.

Des petits baisers, des caresses, je tente de lui être la plus agréable possible.

Il se détend peu à peu au fur et à mesure de l'après-midi que nous passons en ville à flâner.

 

"Tu veux manger quelque chose ?" me dit-il.

Je rougis.

"Oui... j'ai envie d'une... glace.".

Il me regarde interdit avant d'éclater de rire.

Dans un clin d'œil il me demande si je la veux " Deux boules ?"

"Et avec du nappage" lui réponds-je ravie de le voir se détendre enfin.

Je suis soulagée qu’il ne m’en veuille pas pour mes frasques d’hier soir.

Il a beau me dire qu’il m’aime et me rassurer sur ma confession qui prouve ma fidélité.

Je trouve ce dernier mot un peu galvaudé car, il faut bien l’avouer, je l’ai trompé avec un autre homme… et j’en ai pris plaisir.

« Faute avouée, tu seras toujours totalement pardonnée » m’a-t-il dit.

Il n’empêche que je ne sais comment me faire excuser.

 

Nous entrons dans le premier magasin qui nous ouvre ses portes.

Ce n’est pas un magasin de glace mais une boutique de vêtement de plages.

Entre les paréos et les serviettes, nous nous frayons un passage au milieu des clients pour arriver jusqu’au fond du magasin.

« Ce n’est pas une douche. C’est grave ? » me lance t-il en me souriant, coquin.

Je rougis en jetant quelques coups d’œil à la tenancière.

Je me saisis d’une robe et j’entre dans la cabine, Marc à ma suite.

La cabine d'essayage est étroite mais je parviens à me mettre à genoux.

Il extraie son sexe et je le prends en bouche sans préambule.

Son vit est un arc qui durcit rapidement entre mes lèvres.

Je l’aspire et le gobe, forçant pour le faire entrer le plus profondément possible.

Je suis excitée de la situation et, pour la seconde fois de ma vie, j'ai envie de cette fellation.

Je maintiens la base de son manche avec mes doigts et je le masturbe tout en pompant goulument son gland avant de faire entrer presque totalement son sexe dans ma bouche.

Mes lèvres se plissent, ma bouche s’arrondit pour l’accueillir.

Lorsqu’il reflue, mes joues se creusent.

Il me caresse le front, le cou.

Je sens mes seins se tendre et mes tétons pointer dans ma petite robe.

Dans l’obscurité de mes cuisses, mon sexe suinte du plaisir défendu que je prends à lui faire une fellation dans un lieu public.

Je ne m’en serais jamais cru capable.

Alertée par les gémissements de mon homme, la vendeuse n'est pas longue à nous mettre dehors.

Nous courrons pour fuir ses insultes, riant comme des étudiants insouciants.

Le retour au camping se fait bras dessus- bras dessous.

Ma tête sur son épaule.

Réconciliés même s’il m’affirme ne pas m’en vouloir pour mon écart.

Je suis plus sereine, mais inquiète de ces pulsions qui me tourmentent.

 

 

"Je vais au bloc sanitaire" me lance t-il alors que nous sommes revenus à notre tente.

"Il parait qu'un ne peut pas y fumer mais que la pipe y est bonne".

Je deviens écarlate.

Un rapide coup d'œil apeuré autour de nous.

Seul notre voisin lit son journal en silence.

Pourvu qu'il n'ait rien entendu.

Il s'éloigne.

Je suis en sueur.

Mon top me colle à la peau.

Mon soutien gorge de maillot de bain a du mal à contenir les pointes de mes seins qui sont tendues à l'extrême.

Et mon entrecuisses... hoooo... il est trempé.

Au bout de 2 minutes je me lève et file le rejoindre dans la douche.

Il a laissé la porte ouverte.

De dos, ses fesses musclées et ses épaules me rendent folle de désir.

Il se retourne, nullement surpris de me voir arriver.

Son sexe est tendu vers le ciel et surplombe la broussailleuse toison noire de ses poils d'où émergent ses gros testicules.

Je m'agenouille.

Avec gourmandise je suce et le lèche.

Je m'amuse de le voir soupirer de plaisir.

Je coule, son plaisir est le mien.

Il se tend.

Je le désembouche.

"Je vais avaler la fumée" dis-je en souriant.

Il ne se retient plus et ondule du bassin pour accompagner ma bouche.

Son sirop d'orgeat s'écoule dans ma gorge.

Je le savoure alors qu'il y a à peine 2 jours jamais je n'aurais pu faire une telle obscénité, ni y prendre un plaisir aussi intense.

Avec une dernière œillade je referme la porte de la douche et regagne notre toile de tente sous le regard pervers du voisin.

Il me tarde qu'il revienne.

Seule dans la toile de tente, je me caresse en l'attendant, incapable de me retenir.

Mon sexe est en feu, douloureux… mes gestes apaisent ma douleur.

Marc me sourit lorsqu’il me voit, une main entre les cuisses, l’autre sur mes petits mamelons.

Il referme presque entièrement avant de se déshabiller.

Il sent le savon, le soleil.

Je lâche un cri lorsqu'il enfonce ses doigts en moi.

Loin… il me force et me tourmente…

Deux puis trois doigts dans mon sexe qui semble être écartelé.

Il ne lui faut que quelques minutes pour me faire jouir et ruisseler sous ses caresses.

 

Nous passons le reste de la soirée à flâner sans plus aborder le sujet de cet inconnu.

Comblés.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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