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Le son caractéristique de sa braguette qui descend me fait esquisser un sourire.
Je me tourne vers lui comme attiré par un appeau.
Ma bouche entrouverte, la langue en avant, je cherche son membre dans le noir.
Il est là... raide, chaud.
Je lèche et l'embouche rapidement.
Je le suce de manière effrénée.
Mes mâchoires fatiguent mais je poursuis ma fellation.
Son pieu frotte au fond de ma gorge et m'arrache de petits grognements.
Il caresse mes cheveux avant de m'indiquer de cesser.
C'est à regret que j'obéis.
Sa femme me prend la main.
Je me retrouve très vite allongée sur elle, découvrant le plaisir impoli de caresser les seins d'une femme.
Sa poitrine est voluptueuse, ses mamelons larges et ses tétons dressés.
Elle n'a pas besoin de me forcer...
Je la tête sans qu'elle n'ait eu besoin de me le dire.
Je happe son gros sein pour le suçoter et en jouer avec ma langue.
Elle caresse mon dos.
Nos fentes se touchent, s'effleurent, se frottent, se caressent.
Ses lèvres souillées et sa courte toison glissent sur mon abricot lisse.
Je lance un gémissement... un autre...
Elle caresse ma joue.
"Oui. Tu es prête." Dit-elle.
Je ne sais pas à quoi... mais j'ai envie de tout.
Elle me murmure que ma bouche lui fait du bien.
J'ondule sur son corps, mes jambes écartées pour appuyer sur son pubis.
Mon plaisir grimpe en flèche.
"J'ai envie qu'il nous prenne toutes les deux... demande-lui" me susurre t- elle à l'oreille.
Je tends ma croupe.
Moi aussi j'ai envie d'un sexe d'homme en moi.
Les mots m'échappent.
"Baisez-nous... toutes les deux".
Mes paroles me semblent extérieures, dites par une autre.
Ses mains de mâle nous caressent.
Je la sens se cambrer sous une intrusion.
Son ventre tape contre mes fesses alors qu'il chevauche sa femme.
Dans un mouvement en avant son membre me pénètre.
"Haaaa ouii !" éclate-je sans pouvoir me retenir.
Il alterne entre nos deux cons.
Son sexe allant et venant entre nous.
Je suis en sueur, coincée entre leurs deux corps.
Il parcourt mon vagin sans effort malgré sa largeur conséquente, le manche recouvert de nos cyprines mêlées.
Elle pose sa bouche sur la mienne.
Sa langue me cherche.
Je m'abandonne à son baiser.
Nos langues s'enroulent.
Sa main posée dans ma nuque.
Langoureuse...
Elle fait glisser ses mains sur mes fesses et les pétris doucement.
"Tu en as envie ma petite pute ?"
Dans ma poitrine une boule de chaleur explose.
Elle écarte lentement ma raie.
"Ou... oui."
Oui, je suis prête... Ils ont raison... je suis prête à être possédée par tous les orifices, prête à me livrer à la luxure avec ce couple de libertins inconnus.
"Il n'attend que ta supplique".
Ses doigts ouvre mes fesses et mon petit trou palpite déjà.
Alors qu'il y a moins d'une semaine, tout ceci me dégoutait, aujourd'hui... je suis au septième ciel.
"Prenez-mes fesses."
Il continue de labourer sa femme.
"Il ne t'a pas entendu" me dit-elle faussement.
Je devine qu'ils ont envie que je les supplie, que je me dévoile, dans l'ombre... ma partie sombre... ma face cachée..
"Baisez-moi le cul."
Il se pose sur mes nymphes et s'enfonce de nouveau dans mon sexe.
Je grogne, me cambre.
Elle n'a pas besoin de dire quoi que ce soit, j'en ai envie et je réclame plus fort.
"Enculez-moi !"
Il ne se fait pas prier pour venir me percer aussitôt.
Je crie.
Son pal me déchire et me procure des sensations incroyablement intenses.
Il force l'intromission jusqu'à ce que ses bourses frappent contre l'entrée de ma vulve.
Je suis à bout...
Je jouis...
Elle s'empare de ma bouche que je lui offre.
Il continue de labourer mon anus.
Je dégouline longuement sur elle.
Lorsqu'il se retire, encore dur, je me retrouve à 4 genoux à même le sol, nimbée de lueur verte de l'issue de secours.
Je vois leurs deux corps en contre-jour.
Ils se tiennent par la main.
Je suis essoufflée, épuisée.
"A bientôt." Me dit-il.
Un faible "oui" m'échappe.
"Elle est bonne tu avais raison" poursuit-elle.
Ils me regardent, humiliée.
"Tu ne diras rien à ton homme." Ordonne t-il de sa voix grave.
"D'accord..."
Elle me jette mes dessous dans un petit sac et s'approche.
Une de mes culottes à la main.
Elle la passe entre ses jambes, essuyant nos sucs.
"Tiens. SI tu as besoin de sucer quelque chose avant de dormir, tu penseras à moi".
Je reçois cette phrase comme une véritable gifle.
Je saisis ma culotte, souillée.
Ils me laissent au milieu du silence.
"J'ai le cul en feu... Elle m'a excitée cette formidable petite pute. Rentrons vite" lui minaude t-elle en passant le seuil du bloc.
Des larmes coulent sur mes joues.
Je reste immobile quelques minutes avant de me résoudre à regagner notre tente...
En silence, ravalant mes sanglots, je me coule dans le duvet.
J'ai encore chaud des plaisirs que j'ai pris sans que Marc n'en soit au courant.
Mon ventre s'enflamme encore.
Je ne dois rien dire... je ne peux rien partager avec lui...
Je me rends compte que ce n'est pas ce que j'ai fait qui me torture l'esprit, c'est de ne rien pouvoir lui dire.
Ma main monte vers ma bouche.
Ma culotte...
Je sens l'odeur de mon dessous sali.
Je pointe ma langue et goute.
Je descelle mon odeur et la sienne.
A des lieux de la honte, je suce ce doudou de luxure pour me laisser aller dans les bras de Morphée.
A suivre...