Trio ou plus...

[…]soumise

 

A genoux, je reçus son ordre de plein fouet.

 

"Assieds-toi sur la table et écarte les cuisses".

 

Ce ton vulgaire me donna chaud.

Avec l'aide de ses bras vigoureux, je me retrouvais sur la table de jeu, au milieu des billets et des cartes, les jambes grandes ouvertes.

Il me semblait avoir perdu la raison.

Au dessus de moi il s'éleva, me surplomba, sa stature me dominait, me dépassait en tout.

Entre mes cuisses blanches écartées, son sexe était dressé comme un mat de bateau, comme un bélier devant une porte de château.

J'eu soudain peur.

"S'il te plait... non... je suis trop serrée". Murmurais-je avec une voix cassée.

Il me sourit avant de diriger son gland massif sur ma fente humide.

Trempée... j'étais trempée, ruisselante...

Et son bout entra... écarta mes lèvres... s'enfonça.

Je poussais un cri.

Trop large, sa verge me donnait l'impression de m'ouvrir en deux.

Ses pectoraux et ses biceps m'entouraient.

Ses mains en appui autour de moi, j'étais prisonnière d'une cage humaine.

Et ma porte s'ouvrait... incapable de résister à ces assauts lents et de plus en plus profonds.

La douleur ne dura qu'une seconde pour être remplacée par un déferlement de sensations magiques.

Outragée, j'accueillais maintenant sans effort cette chose énorme tellement j'étais lubrifiée.

Je posais mes doigts sur ses muscles qui se contractaient à chacune de ses poussées en moi.

Sa puissance m'enivrait.

"Tu sais que tu es bonne..." me dit-il.

Je rougissais... son langage cru me faisait vibrer.

Il passa une main derrière mon genou et me releva une jambe.

Il entreprit alors de me bourrer avec plus de vitesse.

Mes seins ballotaient, mon corps subissait avec plaisir, moitié allongé, moitié de côté.

Lorsqu'il vint relever ma seconde jambe son pieu s'enfonça profondément.

Je poussais un râle !

"Ho oui... t'es bonne... Super bonne à baiser..."

J'ondulais, je dansais en acceptant le vit qui m'écartait comme jamais encore je n'avais été déflorée.

Il me "baisait"... et j'en voulais encore.

Mon corps gravissait un à un les étapes vers l'orgasme à une vitesse incroyable.

Moi qui ne voulais pas me donner à un autre que mon mari il y avait moins d'une heure, je désirais que ce moment ne s'arrête jamais, qu'il continue de me faire atteindre la jouissance de cette façon animale...

Les minutes s'enchainaient, ses coups de reins me défonçaient et je gémissais.

Lorsqu'il ralentit son rythme je me rendis compte que j'avais les yeux fermés et que mes ongles étaient enfoncés dans ses bras.

Il sortit son sexe de ma fente.

Je grimaçais... ressentant la douleur... de ce qu'il venait de me faire subir... et de ce sentiment d'absence en moi.

Je venais de couler, de jouir de façon incontrôlable.

Je le dévorais des yeux.

Exténuée par le déferlement de jouissance... mais encore chaude et inassouvie.

Au milieu d'une table de jeu, quelques billets collaient à la sueur de mon dos... on eut une de ses filles de joie dans un film noir américain... et je souriais.

Il me saisit sous les reins et me releva comme une poupée de chiffon, sans effort.

"Tourne-toi."

J'obéissais et, sans même y penser, je me retrouvais devant mon mari.

Un peu surprise, je redécouvris, toujours dans le fauteuil, face à moi, mon époux cuvait.

Je l'avais oublié... j'eu honte.

Et mes mains agrippèrent les accoudoirs qui, de chaque côté, empêchaient mon illustre mari, de s'affaler au sol.

Ma poitrine généreuse se balançait mollement.

Les mains larges vinrent la saisir et la malaxer, la pétrir....

Je couinais... bouche grande ouverte...

Je ronronnais... ondulant de la croupe...

Puis il relâcha un de mes seins et positionna son sexe contre mon vagin.

"Tu dois aimer être prise en levrette" me demanda t il.

Il n'attendit pas la réponse et m'embrocha.

Je poussais un profond gémissement.

D'une main il tirait mes tétons, les faisait rouler, jouait avec mes seins comme il le voulait.

De l'autre il me maintenait pour que je ne tombe pas sur mon mari alors qu'il me chevauchait tel un hussard, un barbare.

Il s'enfonça entièrement en moi et je poussais un cri muet.

Il me malmenait avec une habileté et une frénésie sexuelle extraordinaire.

Ma vulve envahit par son pieu monstrueux, le moindre de mes mouvements était source de plaisir.

Une simple respiration et je contractais mon bas ventre, je coulais de nouveau sans pouvoir m'interrompre.

Ses coups de reins étaient lents, profonds, rapides, nerveux...

Il me parcourait...

Je poussais des cris...

Je jouissais sans m'arrêter...

Et il continuait de me pilonner...

Il poursuivait son offense... Les orgasmes s'enchainaient... incontrôlés...

La force de ses pressions appuyait sur mon clitoris qui subissait les pénétrations de cette énorme queue.

Ses mains sur mes épaules, il me labourait sans s'arrêter.

J'étais à bout de force.

Il me positionna sur le fauteuil, les genoux contre ceux de mon mari, ma poitrine sur son visage.

Et la sarabande de son érection recommença.

Inconscient, mon époux entrouvrit la bouche et léchouilla les pointes de mes seins.

Je me cambrais, le désir revint à la charge.

"T'aime ça... Tu aimes la bite ! " me lança t-il dans un grondement.

"Oui ! Ouiii ! " Répondis-je, essoufflée, enivrée.

J'offrais ma croupe à son soc qui me ramonait en tout sens.

Mes nymphes étaient pressées, écartelées.

Devant mes yeux le ballet lancinant d'étoiles, de lueurs... je cru perdre la raison et m'évanouir lorsqu'un éclair me parcouru l'échine.

Il venait de me mettre un doigt dans l'anus.

J'ouvris grand les yeux.

Il jouait de son doigt dans les quelques millimètres de mon petit orifice.

Je tournais la tête vers lui.

"Non..." murmure-je, à peine audible, mon corps secoué de tremblements alors que chaque coups de reins propulsait son sexe en moi et me faisait buter sur le dossier du fauteuil.

Le gros doigt tournait délicatement, écartait mes muqueuses jusqu'alors virginales.

"Non... pas là..." dis-je, modérant ma supplique, je ne voulais pas que mon époux se réveille.

Il continuait sans se soucier de ce que je venais de dire et m'assouplissait avec force mouvements lents et délicats.

Jamais je n'avais voulu que quiconque passe "par là". Je trouvais cela répugnant, animal. Surement source de douleurs également, et surtout immoral.

Ses cuisses plus larges que les miennes, ses hanches derrière moi qui me dépassaient, ses bras musculeux et ses grandes mains qui me maintenaient, son torse qui me surplombait de toute sa hauteur...

Je ne pouvais lutter contre cet homme.

Le gland vint se poser sur mon étroitesse.

Et la queue volumineuse força ma rondelle assouplit.

J’étais une vestale couverte par le dieu bouc, une villageoise souillée par un barbare, une bourgeoise offerte à un soudard...

Je gémissais, me forçais à ne pas trop crier, refusant l'intromission.

"S'il te plait... non... pas par là... non..."

Ses mains caressaient mon dos, mes seins avec une délicatesse incroyable.

Il faisait rouler mes tétons tendus.

Son sexe fiché dans mon anus, il me semblait que j'étais écartelée.

Je ne pouvais plus bouger, je n'osais plus faire le moindre geste car un simple mouvement irradiait une douleur dans mon arrière train.

J'avais honte.

Ses doigts vinrent masser ma fente.

Je sentis perler une larme à mes yeux... Je me sentais vaincue, toute résistance était inutile.

Il allait... me prendre... contre nature.

Il agissait avec une retenue, une expertise démente...

J'avais déjà jouit, j'avais mal... et pourtant le plaisir afflua de nouveau.

La douleur fit place instantanément à une source de sensations fortes et indescriptibles.

Il me semblait que mon sexe et mon anus étaient des puits de plaisirs.

Malgré moi, j'ondulais, j'avançais mon ventre, je poussais mes fesses autour de ce pal qui m'envahissait littéralement.

"Je savais que tu allais aimer te faire enculer" lâcha t-il derrière moi.

Je poussais un cri que j'étouffais en mordant dans le dossier du canapé.

Ma joue à quelques centimètres de celle de mon mari.

Lui qui n'avait jamais pu même me mettre un doigt dans l'anus, il ne me voyait pas me faire prendre entièrement, sodomisée pour la première fois, devant lui, par un autre, par un homme monté comme un âne.

"Tu es vierge ?" me lança t-il en donnant de légers coups de reins.

Je hochais la tête, affirmative, trop honteuse pour l'avouer à voix haute.

C'était un plaisir inédit, une révélation...

Je m'avouais intérieurement apprécier cette prise immorale.

Il accéléra...

"Tu aimes ça ?".

Je subissais avec délectation.

Il me violait l'anus... et je poussais mon premier "oui... ho... ouiii".

Je perdis le sens de la réalité...

Son sexe bandé dans mon petit interdit, il accompagna mes mouvements de bassins.

Ma virginité anale volait en éclat et avec elle mes barrières et les frontières de mes principes que je croyais éternelles.

Le mandrin se frayait un passage dans mes fesses.

Il enclencha une série de coups de pistons intenses.

J'eu l'impression que j'étais ouverte, fendue en deux, écartelée par l'énormité qu'il m'emmanchait dans les reins.

Ses doigts me masturbaient, son sexe me pilonnait.

Je gémissais, inarticulée.

J'ondulais, désarticulée.

Il me sodomisa jusqu'à ce que j'en jouisse dans un long et lent orgasme qui prit naissance dans les parties les plus cachées de mon être.

Arc-boutée, j'étais cambrée pour qu'il puisse me prendre le plus profondément que son appendice hors norme le permettait.

Le long de ma colonne vertébrale remontaient les flashs d'un plaisir mystérieux et incroyable.

J'étais domptée.

Il allait pouvoir me monter comme il l'entendait désormais.

...

Sa grosse queue força chacun de mes trous en alternance.

Il me fit le sucer encore et encore.

Parfois sur la table, d'autre fois au sol à 4 pattes, parfois encore je me retrouvais sur lui à le chevaucher.

Son sexe monstrueux s'enfonçait en moi, je l'accueillais en dansant sur lui comme une folle affamée de stupre.

Au milieu de cette pièce, à côté de mon mari ivre mort, je me livrais aux jeux du sexe et à des plaisir pervers.

Je masturbais sa grosse verge alors qu'il me léchait.

En 69, il aspirait mes sucs qui ne cessaient de couler pendant que je pompais et que j'aspirais avec envie.

Je me cambrais lorsqu'il me prenait avec cet air animal, bestial.

Mes orgasmes s'enchainaient, j'avalais même son foutre épais qu'il lâchait par grande giclées dans ma gorge, sur mon visage...

Parfois il se vidait sur mon dos, sur mes seins... dans mon anus.

Je ne me reconnaissais plus, je voulais du sexe... son sexe... son gros sexe. Encore et encore !

Il me fit même sucer mon mari sans qu'il ne s'en rende compte... et ça en même temps qu'il me prenait de nouveau par l'arrière de façon brutale.

J'étais un pantin.

Et lui le marionnettiste habile.

Assise sur lui je me dandinais pour forcer son pieu à me malmener.

Le sens commun m'avait abandonné, les heures se passaient entre ses mains, je me révélais gourmande, affamée, assoiffée, avide de sexe, ma sensualité exacerbée comme jamais auparavant, mes envies et mes désirs poussés à l'extrême.

Nous finîmes dans une chambre où je pu crier à loisir.

Il me posséda entièrement comme nul homme avant lui.

 

Je me donnais totalement.

Au petit matin je me hâtais de passer sous la douche et m'habiller pour retrouver mon mari qui émergeait difficilement.

Franck était déjà parti. C'était aussi bien, je n'étais pas sur de pouvoir accepter son regard sur moi.

J'avais du mal à marcher.

Mon sexe était un étui béant et mon cul était en feu.

Si mon cœur était en peine d'avoir trompé mon mari, mon corps était rempli de plaisirs qui me revenaient par vagues.

Je rougissais seule, à la simple idée de certaines scènes.

La maitresse de maison vint me réconforter d'un bras autour de mes épaules.

Je pleurais d'un coup.

Elle ne dit pas un mot, se contentant de me tenir contre elle.

Elle savait ce que j'éprouvais et il n'y avait pas besoin de parler.

"Tu reviendras le mois prochain" me murmura t elle.

Je séchais mes joues et lui souris.

J'acquiesçais... Evidemment, je faisais maintenant partie de leur « club ».

Avec l'envie chevillée au corps que ce mois se passe vite.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

[…]

 monture

"Alors ?" Gronda t-il à quelques centimètres de mon visage.

Son parfum d'after-shave mêlé à celui de sa masculinité m'enivrait.

On eu dit un prédateur moderne.

Je me sentais petite, fragile devant lui.

Au milieu des deux autres hommes aux sexes dressés, je n’avais aucune difficulté à mesurer que celui que je tenais en main était le plus imposant, et de loin…

Si les 2 autres verges étaient de calibres normaux, celui de Franck était un éperon monstrueux.

"Vous... c'est vous qui avez... la plus ..."

Les mots me fuyaient.

"C'est la votre, la plus grosse." parvins-je à articuler.

Je reste immobile, son sexe dans ma main.

Le temps semblait s'être arrêté.

J'oubliais l'environnement, les femmes, leurs maris, le mien... simplement attentif à cette grosse verge chaude et dure que je ne parvenais pas à saisir entièrement.

Dans ma poitrine ma respiration se faisait profonde et j'entendais mon cœur battre à tout rompre.

Dans mon ventre une bulle de chaleur enflait et se diffusait dans tout mon être.

Le sang battait mes tempes, je n'entendais plus rien, mes yeux étaient voilés.

Et un bruit me ramena à la réalité.

Je contemplais le torse musclé et velu de l'homme en face de moi.

Il avait enlevé ses vêtements.

Son sourire et ses yeux brillants m'étaient uniquement destinés.

Autour de moi les femmes avaient "emportées" leurs hommes, sauf la rousse qui chevauchait sur le canapé son mari dans le fond de la pièce... agissant plus pour elle que pour lui, vu l'état de coma dans lequel il semblait être.

Je rougis un instant de la voir faire.

Avant de devenir encore plus écarlate en me rendant compte de ma position.

Je n'avais pas lâchée le sexe de mon vis à vis.

Et j'avais même entrepris quelques mouvements de bas en haut, sans m'en rendre compte.

Son vit était gorgé de sang, dur, large comme je n'en n'avais jamais tenu de pareil.

Je sursautais, osant soudain un regard vers mon mari.

Il était toujours affalé sur un fauteuil, l'œil vitreux.

La honte s'empara de moi, et la colère.

Je relâchais mon étreinte de sa masculinité.

Il avança sa grande main vers mon visage.

Je ne pouvais faire un geste, captivée...

Sous son apparence rude, il caressa ma joue avec une délicatesse inattendue.

"Tu es très belle" me dit-il da sa voix sourde.

Je n'osais rien dire.

Sa main glissa sur mon cou.

Ses doigts étaient des langues de feu sur ma peau.

Il frôla ma poitrine qui se tendit instantanément sous la caresse.

Du bout du doigt il s'attarda longuement sur mon téton, saillant sous le tissu.

Je me tortillais, mon ventre comme un brasier de désirs.

"Je... non... mon mari..." balbutiais-je.

Sa seconde main se posa dans le creux de mes reins et il m'attira à lui.

Je me retrouvais collé à son corps puissant.

Il palpait mes fesses à pleine main.

Et je me sentais impuissante à lui résister.

Il dégrafa mon chemisier d’un seul geste, comme on se débarrasse d’un insecte d’un coup de doigt.

Il tomba à terre, vite suivi de mon soutien-gorge qui libéra mes seins.

Ma poitrine, lourde, était palpée, malaxée par des mains inconnues.

Mes tétons, tendus, trahissaient mon émotion.

D'un geste ferme il me retourna face à la table de jeu.

Et je me retrouvais penchée en avant.

Mes seins ballottaient, pendant vers le tapis vert.

Incrédule, je n'arrivais pas à m'extraire de son attraction.

Ses mains firent remonter ma jupe sur mes hanches.

Ignorant mes suppliques, de faibles "non... pas ça"... il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses jusqu’au sol.

Elle était trempée et lorsqu'elle s'éloigna de mon intimité, il ne put que remarquer la mouille qui en maculait déjà le fond.

Il caressait mes fesses rondes et bombées.

Jamais aucun homme, depuis que j'étais mariée, ne m'avait plus touché, autre que mon époux.

J'en voulais plus même si je continuais de dire le contraire.

Le tissu retroussé en ceinture, je fis un mouvement pour m'écarter, ultime sursaut de raison.

Il m'attira alors à lui, de nouveau de face.

Son visage radieux, son allure de dominant, il était le mâle alpha...

Lorsqu'il pencha sa bouche vers moi, j'ouvris mes lèvres pour accueillir sa langue.

Magnétique, il m'hypnotisait.

Il m'embrassa. Délicieusement.

Et ma jupe disparut.

J'étais nue lorsqu'il éloigna son visage massif.

Il appuya sur mes épaules.

Je compris immédiatement son désir.

Lentement je m'agenouillais pour découvrir de nouveau l'énormité de son sexe.

Je n'osais pas l'effleurer du bout des lèvres.

J'hasardais alors ma main sur ce manche hors du commun.

Je la caressais, je la flattais, j'en appréhendais les moindres contours.

Du gland rond, lisse au méat fendu, jusqu'à la base épaisse et la broussaille sombre de sa toison.

Je passais mes doigts sur la veine tendue pour remonter aux bords de son bout et découvrir les aspérités de sa couronne.

J'osais l'enserrer de mes doigts.

Trop grosse je ne pus en faire le tour.

Avec lenteur j'entrepris de masturber de bas en haut ce soc impressionnant.

J'étais sous le choc de découvrir un aussi gros membre.

Sa main vint appuyer sur ma nuque.

La peur s'empara de moi.

Jamais je ne pourrais engloutir un tel engin ! Me disais-je.

Timidement je posais ma langue.

J'allais le lécher... peut-être cela suffirait-il à calmer ses envies.

Elle avait un gout particulièrement doux.

Elle était dure comme une poutrelle d'acier.

J'enroulais ma langue autour du pieu dressé, lapant de plus en plus largement.

Dans le fond de mon esprit reptilien, elle me faisait envie...

Mais sa taille me faisait peur.

Je m'attardais sur son gland.

Le casque était aussi lisse et tendu que mes seins.

Du bout de la langue j'écartais sa petite fente.

Je n'avais que peu de fois fait cela... mais l'envie grandissait en moi.

"Allez... suce moi maintenant". Me lança t-il de sa voix impérieuse.

J'eu un mouvement de recul.

Elle ne rentrerait jamais !

Mais le désir fut plus intense que la raison.

Et j'ouvris la bouche...

Pour aspirer le gland.

J'eu l'impression que mes mâchoires allaient se déboiter.

Il caressait ma nuque.

Je fermais les yeux pour ne pas voir la taille de sa verge.

Lorsque son gland fut dans ma bouche, ma langue se faufila, s'enroula, chercha à apprécier l'ampleur de ma gourmandise.

L'envie vint d'un coup en moi.

J'avançais mon visage, faisant progresser le sexe dans ma bouche trop petite.

D'avant en arrière, je m'efforçais de prendre tout en bouche.

Je soufflais par le nez, incapable d'ouvrir plus ma bouche meurtrie

Ce n'était pas un sexe... c'était une queue, un membre de cheval, que je pompais avec de plus en plus d'avidité.

Une verge rare et incroyable.

Je grimaçais, je m’efforçais de la prendre entièrement entre mes petites lèvres desquelles le rouge à lèvre ne tarda pas à disparaitre.

Je bavais, tentant péniblement, mais avec voracité, de la faire entrer dans ma bouche.

Je ne me reconnaissais plus, lui pratiquant une fellation goulue.

Il tira mon visage vers l'arrière, agrippée par les cheveux.

Ma bouche était douloureuse.

Grande ouverte.

"Tu suces bien dis donc" me félicita t-il.

J'en reçus un sentiment de grande fierté.

Je me trainais à ses pieds comme la dernière des catins, et j'étais heureuse !

Incroyable.

"C'est ton mari qui doit être heureux".

Je rougis et hasardais un nouveau regard vers mon homme qui n'avait pas bougé et ronflait dans le fauteuil à moins de 2 mètres de nous.

Ivre mort, il me laissait entre les mains d'un rustre...

Alors j'ouvris la bouche et je gobais, une à une les boules velues qui pendaient sous le piton de chair.

Mon mari n'aurait pas ma bouche, je la donnais à un autre.

Mes doigts découvraient la puissance des muscles de ses cuisses, de ses fesses.

Je le caressais, défiant ainsi mon époux impuissant à m'en empêcher.

L'homme me fit signe de me relever.

Avare de paroles il n'y allait pas par quatre chemins.

"Assieds-toi sur la table et écarte les cuisses".

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

J'avais décidé d'accompagner mon mari, pour une fois, à sa soirée "poker".

D'ordinaire je n'apprécie pas ce genre de soirée masculines ou les hommes boivent plus qu'ils ne jouent.

Je savais que les femmes des autres joueurs allaient aussi être présentes alors j'accompagnais mon époux.

La femme qui nous hébergeait était une brune charismatique au physique avantageux, son mari avait installé un tapis vert de taille phénoménale.

Comme tous les premiers vendredi du mois, son salon servait de salle de jeux.

4 autres hommes étaient là, tous accompagnés de leur femme, sauf un.

Nous étions donc 4 couples et un célibataire.

Très vite, nous, les femmes, nous retrouvâmes à part, dans une sorte de bibliothèque pendant que les hommes entamaient leurs parties.

Les heures s'écoulaient.

Les femmes se connaissaient toutes et je participais à leurs conversations, jouant avec elle à quelques quizz.

Nous buvions quelques mojitos.

L'ambiance était détendue.

Dans la salle d'à côté, les hommes criaient, d'énervaient, parfois s'invectivaient. Ambiance masculine particulièrement fine et délicate...

Je découvrais l'univers mensuel de mon homme... son défouloir, sa liberté.

La porte s'ouvrit soudain pour laisser apparaitre le seul célibataire du groupe masculin.

Dans "leur pièce", nous vîmes les bouteilles qui s'entassaient aux pieds des hommes et leurs voix qui laissaient transparaitre l'état d'hébriété avancé dans lequel ils étaient déjà.

L'homme s'avança, l'air furibond.

Instantanément nous nous arrêtâmes de parler pour le regarder.

Grand, massif, il devait faire 1m95 et au moins 100kg.

Il avait les cheveux bruns, courts, une coupe un peu militaire que son visage mal rasé venait contredire.

Son tee-shirt blanc, sans manche, mettait ses muscles volumineux en valeur.

Un jean élimé moulait ses muscles fessiers.

Il se saisit de mon cocktail après avoir observé chacune des femmes autour de la table.

Ses yeux noirs, brillants, brulants me firent un effet mmédiat.

Une sensation que je connaissais... mon ventre se contracta... cette montagne me faisait de l'effet.

Il avala le breuvage d'une gorgée avant de s'en retourner, deux bouteilles d'alcool dans chaque main, dans le salon devenu un tripot.

Je refoulais l'étincelle qui venait de me parcourir.

A peine eut-il fermé la porte que la blonde soupira, le regard perdu dans sa direction.

La brune, à mes côtés, la maitresse de maison, me resservit.

Une rousse, fine, se rajusta sur sa chaise, siffla entre ses dents avant de faire claquer sa langue et avaler une gorgée.

Elles semblaient toutes avoir un air bizarre...

"Alors ?" me dit notre hotesse.

Devant mon incompréhension elle me sourit et murmura.

"C'est la première fois que tu viens... tu as le droit de savoir".

"Je crois qu'elle peut oui" enchaina la rousse.

"D'autant plus qu'il n'a regardé qu'elle" continua la blonde avant de soupirer de nouveau.

"Mais de quoi parlez vous ?" demande-je sans trop savoir ce que tous ces mystères voulaient dire.

"Lui, c'est Fred, il n'a pas de femme"...

Derrière moi la blonde soupira profondément.

"Lorsque nos hommes jouent, ils boivent... beaucoup".

"Je sais, le lendemain lorsqu'il revient d'ici, il est très... amoindri" enchérissais-je.

"Oui.. exact... Je vois que cela t'agace".

Je répondis par l'affirmative.

"Nous aussi, nos hommes finissent dans le même état"

"Sauf Fred" lança la rousse.

Un instant la salle fut plongée dans le silence.

Un éclat de voix puis un rugissement de joie retentit à côté ! Il ne fallait pas être devin pour savoir qu'il émanait de l'homme qui venait de faire frémir toutes ces femmes... et moi-même.

"Ne me dites pas que vous venez là, une fois par semaine, parce que vous soupirez devant ce mec ?" lance-je en souriant.

Les visages étaient figés.

"Pas uniquement pour soupirer" me sourit la rousse.

Je commençais à percevoir le but de leur présence sans trop y croire.

"Je suis fidèle." Entama la brune. "Je n'ai jamais eu d'amant. Sauf... lui".

"C'est un peu comme lorsque nos maris s'abreuvent... nous leur laissons cette liberté. D'être grossier, ivres, livrés à eux-mêmes, une fois par mois" poursuivit la rousse.

"On ne peut pas nous reprocher de faire un pas de côté 2 à 3 fois l'an..." acheva la blonde qui revint dans la discussion.

J'étais atterrée.

"Mais... c'est... ignoble ! Vous attendez qu'ils aient finis pour... espérer être "choisit" par ce... tas de muscles !" répliquais-je, outrée.

Le silence revint une nouvelle fois, troublé par le bruit délicat des gorgées de cocktails que nous sirotions.

"Tu ne l'as jamais... vu... senti en toi". Me murmura doucement notre hôtesse.

Je devins rouge pivoine alors que l'image me traversait l'esprit.

"Je.. Je..." les mots me fuyaient.

Elle me sourit avant d'ajouter qu'elle non plus ne se serait jamais cru capable d'avoir des envies aussi coupables... comme toutes les autres femmes ici présentes.

Son cri de joie résonne dans la maison, aussitôt suivi par de nombreuses envolées de voix.

Je les voyais se trémousser sur leurs chaises, souriantes... dans l'attente.

L'ambiance devint électrique.

Chacune dégageait son décolleté, s'apprêtait.

La blonde sortit son miroir de poche pour remettre du rouge sur ses lèvres.

Je ne pu m'empêcher de porter attention à ma tenue à mon tour...

Une étincelle s'était allumée en moi... celle de la compétition.

Et la porte s'ouvrit quelques minutes plus tard.

Le mari de notre hôtesse entra, titubant.

"Nous avons besoin d'un arbitre !" lança t-il à la cantonade.

Après un sursaut de l'ensemble des femmes, je descellais un certain rougissement chez certaines de mes nouvelles amies.

Un moment j'avoue avoir espéré qu'il serait entré, lui, pour jeter son dévolu sur l'une d'entre nous.

Je refoulais ce sentiment humiliant et pourtant excitant, sous le drap de ma morale.

La rousse se leva, aussitôt suivit par les autres femmes.

J'arrivais en dernier dans la pièce enfumée.

Un spectacle désolant...

En l'espace de quelques heures ils avaient répandus bouteilles, reliquats de nourriture, billets, cartes, dans l'ensemble de la pièce.

Sur un canapé dormait le mari de la rousse.

Affalé dans un fauteuil mon mari avait les yeux mi clos, la tête oscillant de droite à gauche.

Face à nous les 3 hommes avaient leurs pantalons baissés.

Le mari de notre hôtesse avait une verge de taille classique, celui du mari de la blonde également, mais elles étaient toutes les deux éclipsées par l'énorme mât de chair dressé qu'arborait Franck.

J'en restais interdite, suffoquée.

"Il faut savoir… qui c'est qui a la plus... la plus grosse !" parvint à énoncer le mari, aussi ivre que les autres.

Les femmes avisaient leurs hommes... et les regards revenaient inévitablement au mâle qui souriait de toutes ses dents.

Il n'y avait pas de doute... et pourtant, dans leur ivresse, la raison les avait fuit.

"Toi !" rugit alors Franck de sa grosse voix en me désignant.

J'étais incapable de faire un geste, de dire le moindre mot.

"Tu mesureras". Acheva t-il dans un ordre.

Hypnotisée, j'avançais au milieu des autres femmes.

Telle une vestale choisit par son dieu, il n'y avait pas de reproches dans leurs yeux, seulement de la joie à ce que cela m'arrive.

Je compris instantanément leurs façons de penser.

Je jetais un coup d'œil à mon mari... cherchant vainement une aide pour échapper à ce que je redoutais... à ce que je me refusais de désirer.

Il souriait, béat, le regard dans le vide, fixant l'horizon.

Sa grosse main s'empara de mon poignet.

Je sursautais.

Il me fit toucher une verge inconnue... celle du mari de la maitresse de maison.

Puis me fit prendre la mesure de celle de l'homme à ses côtés.

Ses deux sexes en main, je me refusais à croire que « j’évaluais" leur érection.

Enfin il mena mon poignet, et posa ma main sur sa verge.

Ma respiration s'arrêta.

Mes doigts entrèrent en contact avec le monstre de chair.

Il était chaud, dur.

J'enroulais mes doigts autour de la colonne... incapable d'en faire le tour...

Son diamètre dépassait ce que j'avais pu voir jusqu'à présent.

Elle me fit peur.

J'étais tétanisée...

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • Le blog de M.
  • : Le blog de M.
  • : Récits érotiques sur les rives du plaisir.

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés