[…]soumise

 

A genoux, je reçus son ordre de plein fouet.

 

"Assieds-toi sur la table et écarte les cuisses".

 

Ce ton vulgaire me donna chaud.

Avec l'aide de ses bras vigoureux, je me retrouvais sur la table de jeu, au milieu des billets et des cartes, les jambes grandes ouvertes.

Il me semblait avoir perdu la raison.

Au dessus de moi il s'éleva, me surplomba, sa stature me dominait, me dépassait en tout.

Entre mes cuisses blanches écartées, son sexe était dressé comme un mat de bateau, comme un bélier devant une porte de château.

J'eu soudain peur.

"S'il te plait... non... je suis trop serrée". Murmurais-je avec une voix cassée.

Il me sourit avant de diriger son gland massif sur ma fente humide.

Trempée... j'étais trempée, ruisselante...

Et son bout entra... écarta mes lèvres... s'enfonça.

Je poussais un cri.

Trop large, sa verge me donnait l'impression de m'ouvrir en deux.

Ses pectoraux et ses biceps m'entouraient.

Ses mains en appui autour de moi, j'étais prisonnière d'une cage humaine.

Et ma porte s'ouvrait... incapable de résister à ces assauts lents et de plus en plus profonds.

La douleur ne dura qu'une seconde pour être remplacée par un déferlement de sensations magiques.

Outragée, j'accueillais maintenant sans effort cette chose énorme tellement j'étais lubrifiée.

Je posais mes doigts sur ses muscles qui se contractaient à chacune de ses poussées en moi.

Sa puissance m'enivrait.

"Tu sais que tu es bonne..." me dit-il.

Je rougissais... son langage cru me faisait vibrer.

Il passa une main derrière mon genou et me releva une jambe.

Il entreprit alors de me bourrer avec plus de vitesse.

Mes seins ballotaient, mon corps subissait avec plaisir, moitié allongé, moitié de côté.

Lorsqu'il vint relever ma seconde jambe son pieu s'enfonça profondément.

Je poussais un râle !

"Ho oui... t'es bonne... Super bonne à baiser..."

J'ondulais, je dansais en acceptant le vit qui m'écartait comme jamais encore je n'avais été déflorée.

Il me "baisait"... et j'en voulais encore.

Mon corps gravissait un à un les étapes vers l'orgasme à une vitesse incroyable.

Moi qui ne voulais pas me donner à un autre que mon mari il y avait moins d'une heure, je désirais que ce moment ne s'arrête jamais, qu'il continue de me faire atteindre la jouissance de cette façon animale...

Les minutes s'enchainaient, ses coups de reins me défonçaient et je gémissais.

Lorsqu'il ralentit son rythme je me rendis compte que j'avais les yeux fermés et que mes ongles étaient enfoncés dans ses bras.

Il sortit son sexe de ma fente.

Je grimaçais... ressentant la douleur... de ce qu'il venait de me faire subir... et de ce sentiment d'absence en moi.

Je venais de couler, de jouir de façon incontrôlable.

Je le dévorais des yeux.

Exténuée par le déferlement de jouissance... mais encore chaude et inassouvie.

Au milieu d'une table de jeu, quelques billets collaient à la sueur de mon dos... on eut une de ses filles de joie dans un film noir américain... et je souriais.

Il me saisit sous les reins et me releva comme une poupée de chiffon, sans effort.

"Tourne-toi."

J'obéissais et, sans même y penser, je me retrouvais devant mon mari.

Un peu surprise, je redécouvris, toujours dans le fauteuil, face à moi, mon époux cuvait.

Je l'avais oublié... j'eu honte.

Et mes mains agrippèrent les accoudoirs qui, de chaque côté, empêchaient mon illustre mari, de s'affaler au sol.

Ma poitrine généreuse se balançait mollement.

Les mains larges vinrent la saisir et la malaxer, la pétrir....

Je couinais... bouche grande ouverte...

Je ronronnais... ondulant de la croupe...

Puis il relâcha un de mes seins et positionna son sexe contre mon vagin.

"Tu dois aimer être prise en levrette" me demanda t il.

Il n'attendit pas la réponse et m'embrocha.

Je poussais un profond gémissement.

D'une main il tirait mes tétons, les faisait rouler, jouait avec mes seins comme il le voulait.

De l'autre il me maintenait pour que je ne tombe pas sur mon mari alors qu'il me chevauchait tel un hussard, un barbare.

Il s'enfonça entièrement en moi et je poussais un cri muet.

Il me malmenait avec une habileté et une frénésie sexuelle extraordinaire.

Ma vulve envahit par son pieu monstrueux, le moindre de mes mouvements était source de plaisir.

Une simple respiration et je contractais mon bas ventre, je coulais de nouveau sans pouvoir m'interrompre.

Ses coups de reins étaient lents, profonds, rapides, nerveux...

Il me parcourait...

Je poussais des cris...

Je jouissais sans m'arrêter...

Et il continuait de me pilonner...

Il poursuivait son offense... Les orgasmes s'enchainaient... incontrôlés...

La force de ses pressions appuyait sur mon clitoris qui subissait les pénétrations de cette énorme queue.

Ses mains sur mes épaules, il me labourait sans s'arrêter.

J'étais à bout de force.

Il me positionna sur le fauteuil, les genoux contre ceux de mon mari, ma poitrine sur son visage.

Et la sarabande de son érection recommença.

Inconscient, mon époux entrouvrit la bouche et léchouilla les pointes de mes seins.

Je me cambrais, le désir revint à la charge.

"T'aime ça... Tu aimes la bite ! " me lança t-il dans un grondement.

"Oui ! Ouiii ! " Répondis-je, essoufflée, enivrée.

J'offrais ma croupe à son soc qui me ramonait en tout sens.

Mes nymphes étaient pressées, écartelées.

Devant mes yeux le ballet lancinant d'étoiles, de lueurs... je cru perdre la raison et m'évanouir lorsqu'un éclair me parcouru l'échine.

Il venait de me mettre un doigt dans l'anus.

J'ouvris grand les yeux.

Il jouait de son doigt dans les quelques millimètres de mon petit orifice.

Je tournais la tête vers lui.

"Non..." murmure-je, à peine audible, mon corps secoué de tremblements alors que chaque coups de reins propulsait son sexe en moi et me faisait buter sur le dossier du fauteuil.

Le gros doigt tournait délicatement, écartait mes muqueuses jusqu'alors virginales.

"Non... pas là..." dis-je, modérant ma supplique, je ne voulais pas que mon époux se réveille.

Il continuait sans se soucier de ce que je venais de dire et m'assouplissait avec force mouvements lents et délicats.

Jamais je n'avais voulu que quiconque passe "par là". Je trouvais cela répugnant, animal. Surement source de douleurs également, et surtout immoral.

Ses cuisses plus larges que les miennes, ses hanches derrière moi qui me dépassaient, ses bras musculeux et ses grandes mains qui me maintenaient, son torse qui me surplombait de toute sa hauteur...

Je ne pouvais lutter contre cet homme.

Le gland vint se poser sur mon étroitesse.

Et la queue volumineuse força ma rondelle assouplit.

J’étais une vestale couverte par le dieu bouc, une villageoise souillée par un barbare, une bourgeoise offerte à un soudard...

Je gémissais, me forçais à ne pas trop crier, refusant l'intromission.

"S'il te plait... non... pas par là... non..."

Ses mains caressaient mon dos, mes seins avec une délicatesse incroyable.

Il faisait rouler mes tétons tendus.

Son sexe fiché dans mon anus, il me semblait que j'étais écartelée.

Je ne pouvais plus bouger, je n'osais plus faire le moindre geste car un simple mouvement irradiait une douleur dans mon arrière train.

J'avais honte.

Ses doigts vinrent masser ma fente.

Je sentis perler une larme à mes yeux... Je me sentais vaincue, toute résistance était inutile.

Il allait... me prendre... contre nature.

Il agissait avec une retenue, une expertise démente...

J'avais déjà jouit, j'avais mal... et pourtant le plaisir afflua de nouveau.

La douleur fit place instantanément à une source de sensations fortes et indescriptibles.

Il me semblait que mon sexe et mon anus étaient des puits de plaisirs.

Malgré moi, j'ondulais, j'avançais mon ventre, je poussais mes fesses autour de ce pal qui m'envahissait littéralement.

"Je savais que tu allais aimer te faire enculer" lâcha t-il derrière moi.

Je poussais un cri que j'étouffais en mordant dans le dossier du canapé.

Ma joue à quelques centimètres de celle de mon mari.

Lui qui n'avait jamais pu même me mettre un doigt dans l'anus, il ne me voyait pas me faire prendre entièrement, sodomisée pour la première fois, devant lui, par un autre, par un homme monté comme un âne.

"Tu es vierge ?" me lança t-il en donnant de légers coups de reins.

Je hochais la tête, affirmative, trop honteuse pour l'avouer à voix haute.

C'était un plaisir inédit, une révélation...

Je m'avouais intérieurement apprécier cette prise immorale.

Il accéléra...

"Tu aimes ça ?".

Je subissais avec délectation.

Il me violait l'anus... et je poussais mon premier "oui... ho... ouiii".

Je perdis le sens de la réalité...

Son sexe bandé dans mon petit interdit, il accompagna mes mouvements de bassins.

Ma virginité anale volait en éclat et avec elle mes barrières et les frontières de mes principes que je croyais éternelles.

Le mandrin se frayait un passage dans mes fesses.

Il enclencha une série de coups de pistons intenses.

J'eu l'impression que j'étais ouverte, fendue en deux, écartelée par l'énormité qu'il m'emmanchait dans les reins.

Ses doigts me masturbaient, son sexe me pilonnait.

Je gémissais, inarticulée.

J'ondulais, désarticulée.

Il me sodomisa jusqu'à ce que j'en jouisse dans un long et lent orgasme qui prit naissance dans les parties les plus cachées de mon être.

Arc-boutée, j'étais cambrée pour qu'il puisse me prendre le plus profondément que son appendice hors norme le permettait.

Le long de ma colonne vertébrale remontaient les flashs d'un plaisir mystérieux et incroyable.

J'étais domptée.

Il allait pouvoir me monter comme il l'entendait désormais.

...

Sa grosse queue força chacun de mes trous en alternance.

Il me fit le sucer encore et encore.

Parfois sur la table, d'autre fois au sol à 4 pattes, parfois encore je me retrouvais sur lui à le chevaucher.

Son sexe monstrueux s'enfonçait en moi, je l'accueillais en dansant sur lui comme une folle affamée de stupre.

Au milieu de cette pièce, à côté de mon mari ivre mort, je me livrais aux jeux du sexe et à des plaisir pervers.

Je masturbais sa grosse verge alors qu'il me léchait.

En 69, il aspirait mes sucs qui ne cessaient de couler pendant que je pompais et que j'aspirais avec envie.

Je me cambrais lorsqu'il me prenait avec cet air animal, bestial.

Mes orgasmes s'enchainaient, j'avalais même son foutre épais qu'il lâchait par grande giclées dans ma gorge, sur mon visage...

Parfois il se vidait sur mon dos, sur mes seins... dans mon anus.

Je ne me reconnaissais plus, je voulais du sexe... son sexe... son gros sexe. Encore et encore !

Il me fit même sucer mon mari sans qu'il ne s'en rende compte... et ça en même temps qu'il me prenait de nouveau par l'arrière de façon brutale.

J'étais un pantin.

Et lui le marionnettiste habile.

Assise sur lui je me dandinais pour forcer son pieu à me malmener.

Le sens commun m'avait abandonné, les heures se passaient entre ses mains, je me révélais gourmande, affamée, assoiffée, avide de sexe, ma sensualité exacerbée comme jamais auparavant, mes envies et mes désirs poussés à l'extrême.

Nous finîmes dans une chambre où je pu crier à loisir.

Il me posséda entièrement comme nul homme avant lui.

 

Je me donnais totalement.

Au petit matin je me hâtais de passer sous la douche et m'habiller pour retrouver mon mari qui émergeait difficilement.

Franck était déjà parti. C'était aussi bien, je n'étais pas sur de pouvoir accepter son regard sur moi.

J'avais du mal à marcher.

Mon sexe était un étui béant et mon cul était en feu.

Si mon cœur était en peine d'avoir trompé mon mari, mon corps était rempli de plaisirs qui me revenaient par vagues.

Je rougissais seule, à la simple idée de certaines scènes.

La maitresse de maison vint me réconforter d'un bras autour de mes épaules.

Je pleurais d'un coup.

Elle ne dit pas un mot, se contentant de me tenir contre elle.

Elle savait ce que j'éprouvais et il n'y avait pas besoin de parler.

"Tu reviendras le mois prochain" me murmura t elle.

Je séchais mes joues et lui souris.

J'acquiesçais... Evidemment, je faisais maintenant partie de leur « club ».

Avec l'envie chevillée au corps que ce mois se passe vite.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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