Trio ou plus...

[...]
 
Les cuisses largement écartées sur le lit, je mouille en abondance.
 
Je le sens se dresser au dessus de mon ventre sans le voir.
 
Ses mains viennent saisir les miennes et les plaquer au dessus de ma tête.
 
Je ne reconnais plus dans mon mari, cet homme qui me possède avec tant de force, silencieux.
 
Je regrette de m'être donné à un autre que lui... mais en même temps.... 
 
Je sens l'odeur de ma cyprine alors que je devine son sexe s'approcher de mon visage.
 
Invisible dans le noir quasi total de notre chambre, je l'imagine droit au dessus de moi.
 
... en même temps il était d'accord... m'en veut-il d'avoir joui sous les assauts d'un autre ? Mais lui... 
 
Son gland vient se poser sur ma bouche.
 
J'ouvre mes lèvres... instinctivement.
 
Sur ma langue il pose son gland... enfonce sa verge dans ma bouche... sans s'arrêter pour revenir en arrière...
 
La rondeur de son bout vient frotter sur mon palais.
 
Sa largeur me force à ouvrir mes mâchoires en grand.
 
Je serre mes lèvres pour le sentir coulisser.
 
Le visage coincé dans le creux des oreillers, je ne peux bouger.
 
... lui... je l'ai vu... tenir son sexe dans ses mains, bander à la vue me voir me faire prendre... et se masturber pour soulager sa raideur. Alors... 
 
Je subis la poussée de son vit qu'il enfile profondément jusqu'à buter à ma gorge.
 
Invisible au dessus de moi il s'arrête.
 
Je manque de respiration. Ma bouche ne peut s'ouvrir entièrement.
 
Au fond de ma gorge je sens ma salive abonder et je déglutis avec peine ce mélange humide au goût de mon sexe.
 
Il recule lentement.
 
Sous ma langue je sens la veine saillante.
 
J'enroule mon muscle autour de son pylône qui reflux entre mes lèvres.
 
La douceur de son membre velouté fait bientôt place au resserrement annonciateur de son gland.
 
Je caresse les petites aspérités qui entourent le casque fendu de son sexe.
 
Du bout de la langue je caresse la lisse rondeur jusqu'à titiller son méat et y goûter la perle de suc qui en sort.
 
Il s'enfonce à nouveau.
 
... je m'en veux... j'ai adoré... si seulement je n'avais rien suggéré... mais c'était tellement bon...
 
Il joint mes mains au-dessus de ma tête, d'une main il me tient les poignets et continue de forcer ma bouche, longuement, profondément.
 
Je devine ses coups de hanches dans l'obscurité.
 
J'imagine son pieu raide entrer et sortir de ma bouche.
 
Je pose ma main libre sur ma motte trempée.
 
Il use ainsi de ma bouche, orifice satisfaisant la fellation qu'il s'autorise, plongeant au plus profond de moi qui suis incapable de résister à ses assauts.
 
Je me caresse sous cette posture que je n'imaginais même pas.
 
... après tout il me désirait ainsi... en trainée... offerte à un autre... alors pourquoi cet air sombre ? 
 
Mes doigts sont souillés de ma cyprine qui coule abondamment.
 
Lorsqu'il ôte son membre, mes mâchoires sont douloureuses, à la commissure de mes lèvres ruisselle un petit filet de salive.
 
Je reprends ma respiration avec force de lourdes inspirations.
 
Il relâche ma main et vient glisser son sexe entre mes seins.
 
Il se frotte.
 
Je serre ma poitrine pour venir l'enserrer.
 
Il avance et recule entre mes seins que je maintiens pour lui rendre sa masturbation plus délicieuse.
 
Je sens la raideur et le pieu luisant de ma salive glisser sur ma poitrine.
 
Il recule encore, délaissant mon buste pour mon ventre, effleurant ma fente grande ouverte.
 
... nous avons flirté peut-être de trop près avec le libertinage...
 
D'un geste sec et inattendu il me positionne à quatre pattes.
 
Ma nuisette glisse, m'échappe, me laissant nue... à la disposition de cet homme.
 
Sur les genoux, les coudes sur le lit je ne peux pas résister à la force avec laquelle il me maintient.
 
Etrangement je subis ses désirs qu'il ne m'avait pas révélés avec un plaisir inédit.
 
...Il me puni de l'avoir trompé sous ses yeux... et... j'aime cette nouvelle sensation... nos nouvelles sensations ? 
 
Lorsque je sens sa verge s'enfoncer d'un coup de hanches dans ma grotte brulante, je sais qu'il exprime ainsi sa façon de reprendre possession de sa femme... cette trainée qu'il a vu se faire saillir sur le capot de la voiture.
 
Je crie sous la poussée violente qui écarte ma fente et vient chahuter mon vagin.
 
Cramponnée par les creux de mes hanches il me prend sauvagement.
 
Son souffle est rauque, animal.
 
Sa large épée malmène mon fourreau gluant de mouille.
 
Le visage dans le coussin c'est tel un hussard qu'il me pratique avec obscénité.
 
Il me tient par les cheveux, me tire soudainement en arrière.
 
Je hurle comme son pieu me pousse vers l'avant.
 
Un cri de plaisir primaire.
 
Il accélère la cadence, concentré sur son plaisir uniquement.
 
Mon sexe s'offre à ses volontés, mes muqueuses sont agitées en tout sens par les cercles qu'il impose à mon vagin par ces coups de reins.
 
Je manque de souffle et sens monter la jouissance.
 
Il recule, sort de motte.
 
Je me cambre, suppliante dans le noir qu'il poursuive ses manigances.
 
Il replace son engin dans mon sexe.
 
La jouissance arrive au gré de ses entrées et sorties rapides.
 
A chaque fois mon sexe se désemplit pour se réemplir et m'arracher un gémissement de plaisir.
 
L'orgasme arrive, soudain, contractant les muscles de mon vagin.
 
Il le sens et me pilonne une dizaine de fois jusqu'au fond de mon sexe avant de sortir...
 
Je récupère...
 
Ainsi il semble y avoir pris du plaisir et me le redonne de cette façon... surprenante... extrêmement sensuelle dans sa brusquerie. 
 
Et je perçois alors qu'il se pose sur ma rosette.
 
Je lance une supplique négative.
 
Sa main vient claquer sur mes fesses.
 
Surprise par cette fessée, encore tremblante de ma jouissance, je geins, incapable de lui résister.
 
Le gland force mon anus étroit.
 
Trempé de mon jus de femme il y pénètre lentement.
 
Je remue mon postérieur pour empêcher une intrusion trop rapide de sa hampe trop large.
 
Au lieu de cela il me fait payer la sodomie que j'ai permis à cet inconnu en me forçant dans une longue poussée.
 
Mes doigts se crispent sur le tissu du lit.
 
Ma bouche s'ouvre comme mes yeux se ferment.
 
Un long cri muet.
 
J'ai l'impression que sa verge m'ouvre en deux.
 
Mon petit trou soumis à cette saillie contre nature je lance un hurlement.
 
La douleur est intense.
 
Il claque alors chacune de mes fesses et vient y poser ses mains.
 
Fermement il écarte mes globes pour reculer et venir me percer encore plus loin.
 
Je serre l'oreiller de mes mains et viens y poser ma bouche pour qu'il n'entende pas mes cris étouffés.
 
... mon trou d'amour que je lui avais préservé... qu'il m'a défloré... et fait apprécié... il me puni de l'avoir offert à un autre... 
 
Il poursuit ses va et vient, sans se préoccuper de mon corps qui se cambre et se tortille sous ses coups de butoirs.
 
Et puis le plaisir monte, incompréhensible, inexorable... au creux de mes plis sombres.
 
Son sexe me fait du bien et je pousse mon corps vers lui lorsqu'il ressort entièrement son gros vit raide de mon anus.
 
Dans le noir il ne peut admirer ma chute de reins et mon cercle intime que je sens former un rond ouvert et j'en suis presque déçue.
 
Alors il revient me posséder par l'arrière, me sodomisant avec une régularité de piston mécanique.
 
Nos gémissements se mêlent, ses ahanements et mes cris, ses grognements et mes râles...
 
Son bas ventre claque sur mes fesses.
 
Ses boules butent sur ma fente coulante de suc.
 
Je n'avais connu que sa verge dans mon petit cul... et... dans cette sodomie virile qu'il me pratique... j'oublie l'autre...  
 
Entré dans mon interdit, chaque élan fait avancer mon corps qu'il ramène en arrière avec la force de ses bras afin d'y enfourner encore et encore sa virilité infernale.
 
Je perds la notion du temps, profitant de cette brusquerie anale... et je jouis... mon démonté par le sexe puissant de mon homme.
 
Il caresse son sexe sur ma fente trempée,
 
Il se retire.
 
Mes jambes flageolent.
 
Je souffle sans pouvoir reprendre entièrement ma respiration.
 
Mon corps est couvert de sueur, de mouille...
 
Il saisi alors mon visage et l'emmène à lui.
 
Il me gifle de son bâton de chair avant de le poser sur mes lèvres.
 
J'ouvre la bouche et je l'avale d'un trait, ses mains maintenant mes tempes, son coup de reins l'enfonçant entre mes lèvres.
 
Il a le goût de la cyprine que je viens d'expulser... il a le goût de sa verge... de mon étroitesse...
 
Je ne peux résister à la fellation qu'il m'ordonne.
 
Je l'aspire, le pompe avec envie... soudainement désireuse qu'il me voit telle qu'il m'a vu avec un inconnu... une trainée.
 
Et son jus épais vient remplir ma bouche, ma gorge.
 
J'avale ce sirop de corps d'homme qui est un nectar âpre et visqueux.
 
Il se vide entièrement et, de ma langue, je presse sa veine pour en extraire les dernières gouttes que je savoure.
 
Alors qu'il se retire je reprends conscience de mon corps, fourbu et sale.
 
Je fais un geste pour sortir du lit mais il me retient.
 
Je m'endors alors dans cette souillure de stupre.
 
Au petit matin je crois avoir rêvé cette soirée incroyable mais les courbatures et mes muqueuses me rappellent à ce bon souvenir.
 
La douche est salvatrice.
 
Je repense à cette idée démente de sensualité, à cette folie sexuelle qui fut la notre.
 
Sur mon bol de café fumant, un simple message :
"Ce soir tu seras la trainée de notre maison... close".
Suivi d'un cœur en guise de signature.
Mon ventre s'embrase, ma poitrine se soulève et mon cœur palpite plus fort.
Il veut continuer à jouer... j'ai des achats à faire...
Mon sexe perle déjà.
La journée commence bien.
A suivre...
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Cette histoire suit "Le chauffeur et sa trainée".
 
[...]

 

Il gare la voiture.

 

Sans avoir dit un mot il ferme portes et volets.

 

Depuis qu'il m'a vu avec cet autre que lui il ne m'a pas décroché une seule parole.

 

" Je vais... me doucher". Lui lançais-je, pour tenter de renouer le dialogue.

 

Il ne répond rien, file dans une autre pièce.

 

Je suis troublé par son comportement.

 

Le corps encore troublé par la jouissance que je viens d'éprouver, mon esprit est dans le flou.

 

A t-il détesté ?

 

L'eau ruisselle sur mon corps.

 

Pourtant nous étions d'accord...

 

Et cela semblait même l'exciter de me voir jouer la trainée devant lui.

 

Je souris malgré moi.

 

C'était... bon, je dois l'avouer.

 

Mais mon sourire disparait. Ai-je mis mon couple en danger ?

 

Je me lave, toute envie disparue instantanément.

 

N'a t-il pas comprit que je le faisais pour nous, pour lui… sous son regard ?

 

Il semblait pourtant apprécier si je m'en réfère au fait qu'il se soit masturbé en me regardant.

 

La serviette douce et chaude sèche mon corps.

 

Il faudra que l'on parle. Que je lui explique que le jeune homme dont je ne connais même pas le nom, n'était qu'un jeu, un jouet pour nous. Mais le comprendra t-il ?

 

Lorsque j'ai jouis, mon visage était tourné vers lui, comme mes pensées.

 

Je me glisse dans les draps froids.

 

Il ouvre la porte.

 

Son visage est fermé, grave, sévère.

 

Il éteint la lumière en entrant à son tour dans la salle de bain.

 

Les larmes me montent aux yeux.

 

Mes seins me semblent alors trop gros, mon corps trop... pas assez...

 

J'essuie mes yeux.

 

Le bruit de l'eau de la douche résonne dans la pénombre presque totale de notre chambre.

 

Mais est-ce encore "notre" chambre ?

 

Je me tourne du côté opposé au sien. Droite, sur le flanc, ne lui offrant que mon dos.

 

"Zut ! Il était d'accord. Je n'ai rien à me reprocher".

 

Il entre dans le lit toujours sans un mot.

 

Dans le noir complet j'attends une parole de lui.

 

Au lieu de cela il se colle à moi.

 

Sa main droite vient se glisser sous mon genou et relève ma jambe à l'équerre.

 

Surprise j'en reste muette.

 

Sur mon dos je sens la raideur de son sexe qu'il appuie contre ma peau.

 

Prise au dépourvu je laisse ma jambe remonter et sa main venir se poser sur mon sexe sans préliminaire.

 

Il me caresse.

 

Sous le geste imprévu je me cambre un peu.

 

Son autre main saisi ma nuque et il se serre à moi.

 

Ses doigts glissent sur ma fente. Son majeur entre mes lèvres alors que l'index et l'annulaire flirtent sur mes lèvres molles.

 

Les bouts de ses doigts atteignent mon clitoris pour repartir en arrière.

 

Une caresse ferme qui fait s'entrouvrir mes chairs... et... devenir instantanément humide.

 

Il se presse contre moi.

 

Sa verge est aussi dure que ses gestes sont sans équivoques.

 

Il presse ma perle à chaque remontée de ma fente.

 

Mon clitoris ne tarde pas à se gorger et chaque fois que sa main vient l'écraser un peu durement je m'arque sous le mélange d'indélicatesse et de plaisir qui monte.

 

Il remonte sa main sous ma nuisette pour atteindre mes seins.

 

Il les palpe l'un après l'autre avant de venir se saisir de mes tétons qui se dressent au centre de mes auréoles.

 

Avec une étonnante fermeté il me malaxe les seins et fait rouler mes tétines érigées.

 

Il tire mon sein.

 

Je gémis sous la douleur de ma lourde mamelle simplement tenue en l'air par mon bout.

 

Il me maintient ainsi, agitant mon sein d'une façon encore inconnue pour moi, jusqu'à m'arracher un soupir de plaisir.

 

Il me relâche. Je souffle.

 

Il n'a jamais été aussi dur avec moi.

 

Sans un mot il redescend son bras vers mon bas ventre.

 

Sa main plaquée à mon sexe, il me masse vigoureusement.

 

Je prends plaisir à ce jeu rude qu'il me pratique.

 

Son majeur entre alors sans prévenir dans mon antre brulante.

 

J'ouvre ma bouche pour laisser un soupir s'échapper sous l'intrusion profonde.

 

Il me fouille, s'enfonçant et reculant dans ma grotte, allant de droite à gauche explorer mes replis qui se nimbent de cyprine sous ses gestes sans hésitation.

 

Il ressort pour venir une nouvelle fois jouer avec mes tétons.

 

Mon sirop qu'il étale sur eux les rend plus glissant et il les malmène jusqu'à me faire pousser de petits couinements de plaisir.

 

Sa main vient saisir la mienne et, toujours sans un mot, l'amène à son sexe.

 

Sa verge est raide. J'en saisi la base entre mon pouce et mon index, peinant à en faire le tour.

 

La paume de ma main vient se refermer sur le milieu de sa hampe et je le fais coulisser, remontant vers le haut dans cette position inconfortable où ma main est à l'envers.

 

Il se laisse faire et sa main file alors à nouveau vers mon entre jambe.

 

Délicatement il extraie mon bonbon et je lâche un couinement de plaisir.

 

Je le masturbe lentement, sentant dans ma main le gland rond, sommet de son pieu d'acier.

 

Il change de position, se met à genoux sur le lit, je le saisi alors plus aisément et j'accélère mes gestes.

 

Il m'ouvre les cuisses, défaisant le drap, me plaçant sur le dos, ouverte.

 

Je palpe ses bourses du bout des doigts... deux belles boules qui pendent et que je fais rouler lentement pour sentir les olives internes.

 

Sa peau est douce, chaude.

 

Je recommence mes gestes de masturbation.

 

Sa main gauche caresse mes seins l'un après l'autre.

 

La droite effleure mes lèvres avec délicatesse, s'attardant sur ma perle qu'il fait glisser doucement.

 

Après ce moment où il a été rude je le redécouvre prévenant et attentif.

 

Je gémis, retrouvant l'homme que je connais.

 

Lorsqu'il m'enfonce trois doigts dans le vagin sans préliminaire alors que simultanément il pince un de mes seins, je m'aperçois que je viens de me tromper.

 

Je pousse un petit cri.

 

Il reprend possession de sa femme après cet autre... il me montre son côté sombre.

 

Ses trois doigts avancent et reculent, écartelant mes lèvres, provoquant à chaque pénétration qui m'ouvre, un gémissement.

 

Lorsqu'il y adjoint son pouce, formant un cône large qui me force, je crie.

 

Il me malmène.

 

Ma fente s'élargit alors qu'il écarte ses doigts lorsqu'il s'immobilise à l'intérieur de mon sexe.

 

Puis il recommence à entrer et sortir, rapidement, sans cesse.

 

Je presse son membre et le fais aller et venir plus vite à mon tour, calquant mon rythme sur le sien.

 

Les doigts enfoncés dans mon vagin il les fait s'agiter en mon intimité.

 

Il les fait sortir de cette façon... écartés... ouvrant mes chairs ruisselantes à l'extrême.

 

Je pousse un long couinement que je n'entends que dans le flou sonore que provoque le sang qui bat mes tempes.

 

Dans le noir je ne distingue même pas son corps qui me surplombe.

 

Ses mains saisissent mes chevilles.

 

Il m'ouvre les cuisses et vient se poser sur moi.

 

Son sexe dur plaqué à ma grotte gluante de mouille.

 

Il me force, ouvrant encore un peu plus ma motte sous la largeur de sa verge.

 

Son vit s'enfonce de plus en plus profondément, rapidement.

 

Je le sens bientôt buter au fond de mon vagin.

 

Je gémis.

 

Il me prend avec frénésie.

 

Alors que je lâche une petite protestation, il pose ses doigts sur ma bouche pour m'intimer le silence et m'ordonner d'obéir.

 

La pulpe de ses doigts sent le sexe... mon sexe.

 

J'ouvre la bouche alors qu'un assaut plus fort me perce le ventre.

 

Il y place ses doigts que je suce alors d'un geste machinal et presque obscène.

 

Il fourrage entre mes cuisses et j'apprécie la force dont il fait preuve pour la première fois de notre vie commune.

 

Lorsqu'il s'extraie de mon sexe en fusion, je n'ai qu'une envie... qu'il recommence à me... baiser de la sorte.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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bocca[...]
Le jeune homme l'attire vers l'avant du véhicule, la plaque dos à l’auto, et s’avance entre ses cuisses.
Elle ouvre le compas de ses jambes, les yeux brillant de désir, provocatrice.
Les mains du jeune homme glissent sur ses jambes.
Ses doigts sur les genoux de ma femme remontent sur ses bas pour palper la peau lisse du haut des jambes qu'il écarte largement.
Il s'installe entre ses jambes.
Je me sens comme dans un mauvais rêve.
Son sexe raide frôle sa peau gainée de bas résille.
Ses mains saisissent ses seins, les malaxe sans ménagement, ses tétons réagissent aussitôt.
Elle geint doucement.
Je n'ose croire que devant moi elle s'ouvre pour permettre à un autre que moi de la pénétrer.
- tu as des jolis seins.
Sa voix de jeune mâle me fait mal.
Je ne peux m'empécher de regarder ses mains qui frôlent les tétons de mon épouse.
Il les effleure, les pince... saisi les bouts... et les tire vers le ciel.
Il roule des yeux d'envie devant ses majestueux obus aux auréoles roses.
Elle gémit plus fort.
-hooo tu as envie de ma queue ?
Sa cyprine coule entre ses cuisses, je distingue dans l'éclairage diffus la brillance de son émoi.
-oui .. mon joli.. viens ...
-mais pas comme ça... tourne toi.
-ohhh ... oui, vas-y prends moi par derrière comme une .... trainée
Il sourit... de son visage carnassier.
J'écrase ma cigarette de rage.
Je ne dois rien dire.
-comme la trainée que tu es. N'est ce pas ?
-oui comme la trainée que je suis, défonce moi la chatte. Regarde mon chauffeur va adorer.
 
Elle se tourne doucement en me regardant, effrontée.
-hooo... dis donc... tu deviens chaude ! J'avoue que... baiser une... prostituée... faisait parti de mes fantasmes...
Il pose ses mains sur ses épaules. Descend dans le creux de son dos.
-alors profite ... lui son fantasme est de me voir me faire baiser.
-il va pas être déçu... parce que avec ce que je vais te mettre... il va t'entendre en plus de te voir. Et ton chauffeur muet... il t'a déjà pris ?
Elle dandine et trémousse son petit cul.
-arrête de discuter et prends-moi... prends ta pute.
Ses mains écartent ses fesses flânent sur la raie.
Descendent sur l'intérieur de ses cuisses...
Ses fesses que je ne croyaient qu'à moi, il s'en empare et elle se laisse faire.
Il pousse ses cuisses à s'ouvrir.
Remonte un doigt... passe sur la rosette palpitante...
Elle sent sa verge dure, raide, elle sens son gland rond...
Je ferme les yeux, incapable d'en supporter plus.
-non pas là!! Juste le vagin
Elle me réserve cet endroit.
Je me gonfle de fierté.
Je les observe à nouveau.
De son autre main il masturbe doucement son sexe, son gland à l’entrée de son vagin.
Je bande à m'en faire mal.
Incapable de comprendre pourquoi voir ma femme se faire prendre; le ventre sur le capot de ma voiture me procure un tel sentiment.
-j'ai payé...
-ce n'est pas dans le contrat
Il plaque son vit entre tes fesses...
- je suis sûr que tu aimes...
-mon cul est réservé
Le gland large pousse les plis soyeux... mouillé de son jus. Il force doucement...
-tu vas voir... je vais élargir l'emplacement réservé...
Ses mains agrippent ses hanches et il s'enfourche.
Le gland pénètre... force les chairs serrées.
Je voudrais bouger mais mon corps reste totalement figé.
Elle crie de douleur.
J'ai envie de disparaitre, de le faire disparaitre.
C'est impossible !
Il vient d'enfoncer les premiers centimètres de son sexe dans l'anus de ma femme malgré son interdiction.
- noon... hooo noon.... haaaa.... Oui !!
Ses cris cristallins deviennent ceux du plaisir.
 
- hummm tu es etroite...masturbe ton clitoris.
Il glisse une main sur son sexe...masse avec douceur sa fente ruisselante.
Elle caresse son capuchon, roule sa perle, son bouton d’amour, la joue plaquée contre le capot, la croupe en l’air, ses yeux vers moi, plus clairs, plus brillants.
De son autre main il maintient ses hanches... Son gland planté dans son anus. Presque immobile
Je m'adosse à un arbre... estomaqué. Je bande comme je ne me souviens plus avoir jamais bandé.
Il la masturbe.
Elle l'aide.
Un mélange de douceur et de fermeté.
-alors... tu l'aimes ?
-ahhhh ouiiiii bouge !! Encore. Défonce-moi. ahhhh
Il donne un léger coup de reins...son petit trou en veut plus, elle se cambre comme une féline.
Son vit s'enfonce...
Je vois la largeur dure de sa hampe de chair s'enfoncer entre les fesses si douces.
Il recule avant de s'enfoncer plus avant, lui arrachant un cri à chaque poussé.
-tu aimes la queue toi ... une vraie trainée... !! qui aime se faire enfiler. Ton petit cul... bien serré... tu es vraiment bonne et tu mouilles comme une fontaine en plus...
Sa main vient lui donner une petite claque.
-oh oui, une vraie trainée, continue, baise moi fort, écartèle moi.
Un coup de rein propulse son sexe vigoureux plus profondément.
Elle pousse un râle qui se finit dans un gémissement de plaisir.
-Tu sens combien je te transperce là ? tu la sens bien grosse et dure dans ton petit trou ? allez prend là …hummm tu m’excites toi, tu es vraiment trop bonne.
Cette violence verbale leur fait perdre pied.
Je bande de plus en plus, je frotte mon sexe. Je suis très excité. Je serre ma queue, l'extraie de mon pantalon pour me libérer de la tension qui me fait mal.
Il avance... Recule..Accélère...La pénètre avec de plus en plus de fougue
Il ponctue chaque assaut d'une fessée.
Elle pose une main sur son petit cul maltraité et l'écarte pour lui permettre de la prendre plus loin encore.
Il caresse son dos avant de saisir ses cheveux... et tirer son visage vers l'arrière... avec douceur... contraste de ses intrusions sauvages
-regarde ton chauffeur... Il aime te voir te faire ... enculer de la sorte... Il bande. Et je suis sur qu’en bonne trainée... tu ne serais pas contre une deuxième queue... la... maintenant.
Elle semble muette,ne laissant uniquement sortir de sa bouche des cris de plus en plus rauques.
Il la pilonne.
Sa verge pénétrant sa grotte, avant d'en sortir, et de s'enfoncer dans sa vulve en feu.
Il alterne, forçant chaque trou sans effort, lubrifiés, ouverts.
Je sais que son glaive trouve dans son sexe et dans son anus un étui doux et ruisselant.
Je suis jaloux.
Ma main caresse mon gland décaloté.
Je me branle devant eux, devant elle, devant ma femme en train de jouer la trainée, devant mon épouse qui, il faut le dire, aime se faire prendre comme une pute devant moi.
Les mains du jeune homme passent sur ses cuisses, sur ses épaules, sur ses deux seins aux tétons douloureux de plaisir, sur ses fesses, palpées, écartées
Il a pris possession de celle qui me regarde, les yeux plissés, la bouche ouverte sous les coups de butoirs incessants qui la force avec fougue.
Son pieu empale chaque orifice l'un après l'autre.
Elle hurle son plaisir, bave légèrement sur le capot, jouis intensément.
Elle perd toute notion, caresse ses cheveux, ses doigts fourmillent, un frisson la parcourt tout le long de son corps.
-c'est bon ... ouii... jouis... tu es boooone... hoooooo …
Sa mouille coule sur son sexe, marbre ses cuisses, salis ses bas.
Il se retire...son manche encore tendu, ruisselant du jus de ma femme.
-astique moi .
Elle se retourne, flageolante, soumise, approche son visage de son sexe, le buste penchée.
Ses seins volptueux pendent, tétons pointés.
Elle goute le mélange de son jus et de son odeur.
-Hummm oh oui. A genoux. Met toi à genoux. .En position de suceuse. Allez avale là ma belle queue.
Elle hésite avant de s'agenouiller sur ce parking.
Le goudron lui râpe les genoux.
Docile et assouvie, elle serre son vit gluant, et le masturbe avec lenteur puis de plus en plus de vigueur, alternant avec des gestes lents.
Elle approche ses lèvres de son gland
-allez ! avale !! pompe moi la queue.
Il la gifle de son sexe, laissant une trace sale sur sa joue.
Elle saisi ses bourses d'une main.
Elle s’exécute.
Vidée, incapable de réagir.
Elle s’applique, ouvre grand sa bouche, l’enfourne et lui masse les boules en même temps.
Elle glisse le bout de son doigt à son œillet, le masse.
Je ne pense jamais l'avoir vu ainsi faire avec moi.
Dans mon esprit se telescopent le dégout et le désir extrème.
Je la découvre.
Je la veux.
-haaaaa ouiii.... une vraie bouffeuse de bites ! haaaaaa la bonne pute. Hain que tu en aimerais une deuxième là ?
Il tire son visage en arrière.
Elle roule ses yeux et hoche la tête, affirmative.
Il la force à revenir devant son sexe tendu en arc, ravi de sa réponse, excitée de savoir que ma femme aimerait se faire prendre par deux hommes à la fois.
J'en suis abasourdi et ma main sent ma verge palpiter.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre, cette idée me fait jouir.
Je les observe, dans un état second.
Sa langue chahute sa fente.
Son sexe se tend... palpite... Il va jouir.
Elle le sent venir, le garde en bouche tout en serrant son manche de sa main et son doigt aspiré par son anus.
Il crie son plaisir. Un râle male et long..
Elle retire sa queue de sa bouche.
Son jus explose et se répand sur son visage.
Elle extrait son doigt de son trou.
Quelques goutes perlent sur ses lèvres, elle entrouvre la bouche et goute à son sperme.
Le premier sperme autre que celui de son mari.
Un autre que le mien.
Elle sourit. Elle se régale. En vraie trainée.
Il reste ainsi quelques instants... les jets se succédant de plus en plus mollement. Elle le masturbe lentement.
Il ouvre les yeux et la regarde.
Il sourit. Un sourire d'homme repus et satisfait, plus doux, plus jeune.
Le bout de son gland effleure ses lèvres
-merci
Elle lèche sa fente, l'écarte et recueille tout son jus
Il caresse sa joue tendrement.
Elle reprend ses esprits.
Elle a aimé cette queue et elle semble effrayée.
Elle me jette un oeil.
Je me sens ridicule, mon sexe sorti de mon pantalon.
Sa voix se fait plus roide.
-pas de merci, c’était payé
-tu es vraiment... une sacrée bonne ... trainée. Meilleure que ce que j'ai pu connaitre... et tu m'as défloré, j'ai adoré.
Elle rougit du compliment, de son regard d’ange sur son corps.
Il est charmant, elle est charmée.
Il s’inquiète de savoir si son plaisir fut intense. Elle répond trop rapidement.
Elle me regarde atentive, légèrement honteuse tout autant qu'heureuse.
Ce paradoxe se lit sur son magnifique visage.
Je la lis à livre ouvert.
Elle se retient d’exprimer tout le plaisir et désir ressentie.
Elle est resplendissante lorsqu’elle est assouvie.
Sublime.
Voit-elle dans mes yeux ce même conflit, mélange de reproches et de plaisirs ?
Nous ramenons l'homme sans un mot vers le centre où il la salue d'un signe de la main.
Un silence pesant s'est installé dans l'habitacle.
Elle essuie sa joue.
Elle sent la jouissance.
Je serre les dents.
J'ai envie d'elle.
Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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