[...]
Le jeune homme l'attire vers l'avant du véhicule, la plaque dos à l’auto, et s’avance entre ses cuisses.
Elle ouvre le compas de ses jambes, les yeux brillant de désir, provocatrice.
Les mains du jeune homme glissent sur ses jambes.
Ses doigts sur les genoux de ma femme remontent sur ses bas pour palper la peau lisse du haut des jambes qu'il écarte largement.
Il s'installe entre ses jambes.
Je me sens comme dans un mauvais rêve.
Son sexe raide frôle sa peau gainée de bas résille.
Ses mains saisissent ses seins, les malaxe sans ménagement, ses tétons réagissent aussitôt.
Elle geint doucement.
Je n'ose croire que devant moi elle s'ouvre pour permettre à un autre que moi de la pénétrer.
- tu as des jolis seins.
Sa voix de jeune mâle me fait mal.
Je ne peux m'empécher de regarder ses mains qui frôlent les tétons de mon épouse.
Il les effleure, les pince... saisi les bouts... et les tire vers le ciel.
Il roule des yeux d'envie devant ses majestueux obus aux auréoles roses.
Elle gémit plus fort.
-hooo tu as envie de ma queue ?
Sa cyprine coule entre ses cuisses, je distingue dans l'éclairage diffus la brillance de son émoi.
-oui .. mon joli.. viens ...
-mais pas comme ça... tourne toi.
-ohhh ... oui, vas-y prends moi par derrière comme une .... trainée
Il sourit... de son visage carnassier.
J'écrase ma cigarette de rage.
Je ne dois rien dire.
-comme la trainée que tu es. N'est ce pas ?
-oui comme la trainée que je suis, défonce moi la chatte. Regarde mon chauffeur va adorer.
Elle se tourne doucement en me regardant, effrontée.
-hooo... dis donc... tu deviens chaude ! J'avoue que... baiser une... prostituée... faisait parti de mes fantasmes...
Il pose ses mains sur ses épaules. Descend dans le creux de son dos.
-alors profite ... lui son fantasme est de me voir me faire baiser.
-il va pas être déçu... parce que avec ce que je vais te mettre... il va t'entendre en plus de te voir. Et ton chauffeur muet... il t'a déjà pris ?
Elle dandine et trémousse son petit cul.
-arrête de discuter et prends-moi... prends ta pute.
Ses mains écartent ses fesses flânent sur la raie.
Descendent sur l'intérieur de ses cuisses...
Ses fesses que je ne croyaient qu'à moi, il s'en empare et elle se laisse faire.
Il pousse ses cuisses à s'ouvrir.
Remonte un doigt... passe sur la rosette palpitante...
Elle sent sa verge dure, raide, elle sens son gland rond...
Je ferme les yeux, incapable d'en supporter plus.
-non pas là!! Juste le vagin
Elle me réserve cet endroit.
Je me gonfle de fierté.
Je les observe à nouveau.
De son autre main il masturbe doucement son sexe, son gland à l’entrée de son vagin.
Je bande à m'en faire mal.
Incapable de comprendre pourquoi voir ma femme se faire prendre; le ventre sur le capot de ma voiture me procure un tel sentiment.
-j'ai payé...
-ce n'est pas dans le contrat
Il plaque son vit entre tes fesses...
- je suis sûr que tu aimes...
-mon cul est réservé
Le gland large pousse les plis soyeux... mouillé de son jus. Il force doucement...
-tu vas voir... je vais élargir l'emplacement réservé...
Ses mains agrippent ses hanches et il s'enfourche.
Le gland pénètre... force les chairs serrées.
Je voudrais bouger mais mon corps reste totalement figé.
Elle crie de douleur.
J'ai envie de disparaitre, de le faire disparaitre.
C'est impossible !
Il vient d'enfoncer les premiers centimètres de son sexe dans l'anus de ma femme malgré son interdiction.
- noon... hooo noon.... haaaa.... Oui !!
Ses cris cristallins deviennent ceux du plaisir.
- hummm tu es etroite...masturbe ton clitoris.
Il glisse une main sur son sexe...masse avec douceur sa fente ruisselante.
Elle caresse son capuchon, roule sa perle, son bouton d’amour, la joue plaquée contre le capot, la croupe en l’air, ses yeux vers moi, plus clairs, plus brillants.
De son autre main il maintient ses hanches... Son gland planté dans son anus. Presque immobile
Je m'adosse à un arbre... estomaqué. Je bande comme je ne me souviens plus avoir jamais bandé.
Il la masturbe.
Elle l'aide.
Un mélange de douceur et de fermeté.
-alors... tu l'aimes ?
-ahhhh ouiiiii bouge !! Encore. Défonce-moi. ahhhh
Il donne un léger coup de reins...son petit trou en veut plus, elle se cambre comme une féline.
Son vit s'enfonce...
Je vois la largeur dure de sa hampe de chair s'enfoncer entre les fesses si douces.
Il recule avant de s'enfoncer plus avant, lui arrachant un cri à chaque poussé.
-tu aimes la queue toi ... une vraie trainée... !! qui aime se faire enfiler. Ton petit cul... bien serré... tu es vraiment bonne et tu mouilles comme une fontaine en
plus...
Sa main vient lui donner une petite claque.
-oh oui, une vraie trainée, continue, baise moi fort, écartèle moi.
Un coup de rein propulse son sexe vigoureux plus profondément.
Elle pousse un râle qui se finit dans un gémissement de plaisir.
-Tu sens combien je te transperce là ? tu la sens bien grosse et dure dans ton petit trou ? allez prend là …hummm tu m’excites toi, tu es vraiment trop bonne.
Cette violence verbale leur fait perdre pied.
Je bande de plus en plus, je frotte mon sexe. Je suis très excité. Je serre ma queue, l'extraie de mon pantalon pour me libérer de la tension qui me fait mal.
Il avance... Recule..Accélère...La pénètre avec de plus en plus de fougue
Il ponctue chaque assaut d'une fessée.
Elle pose une main sur son petit cul maltraité et l'écarte pour lui permettre de la prendre plus loin encore.
Il caresse son dos avant de saisir ses cheveux... et tirer son visage vers l'arrière... avec douceur... contraste de ses intrusions sauvages
-regarde ton chauffeur... Il aime te voir te faire ... enculer de la sorte... Il bande. Et je suis sur qu’en bonne trainée... tu ne serais pas contre une deuxième
queue... la... maintenant.
Elle semble muette,ne laissant uniquement sortir de sa bouche des cris de plus en plus rauques.
Il la pilonne.
Sa verge pénétrant sa grotte, avant d'en sortir, et de s'enfoncer dans sa vulve en feu.
Il alterne, forçant chaque trou sans effort, lubrifiés, ouverts.
Je sais que son glaive trouve dans son sexe et dans son anus un étui doux et ruisselant.
Je suis jaloux.
Ma main caresse mon gland décaloté.
Je me branle devant eux, devant elle, devant ma femme en train de jouer la trainée, devant mon épouse qui, il faut le dire, aime se faire prendre comme une pute devant moi.
Les mains du jeune homme passent sur ses cuisses, sur ses épaules, sur ses deux seins aux tétons douloureux de plaisir, sur ses fesses, palpées, écartées
Il a pris possession de celle qui me regarde, les yeux plissés, la bouche ouverte sous les coups de butoirs incessants qui la force avec fougue.
Son pieu empale chaque orifice l'un après l'autre.
Elle hurle son plaisir, bave légèrement sur le capot, jouis intensément.
Elle perd toute notion, caresse ses cheveux, ses doigts fourmillent, un frisson la parcourt tout le long de son corps.
-c'est bon ... ouii... jouis... tu es boooone... hoooooo …
Sa mouille coule sur son sexe, marbre ses cuisses, salis ses bas.
Il se retire...son manche encore tendu, ruisselant du jus de ma femme.
-astique moi .
Elle se retourne, flageolante, soumise, approche son visage de son sexe, le buste penchée.
Ses seins volptueux pendent, tétons pointés.
Elle goute le mélange de son jus et de son odeur.
-Hummm oh oui. A genoux. Met toi à genoux. .En position de suceuse. Allez avale là ma belle queue.
Elle hésite avant de s'agenouiller sur ce parking.
Le goudron lui râpe les genoux.
Docile et assouvie, elle serre son vit gluant, et le masturbe avec lenteur puis de plus en plus de vigueur, alternant avec des gestes lents.
Elle approche ses lèvres de son gland
-allez ! avale !! pompe moi la queue.
Il la gifle de son sexe, laissant une trace sale sur sa joue.
Elle saisi ses bourses d'une main.
Elle s’exécute.
Vidée, incapable de réagir.
Elle s’applique, ouvre grand sa bouche, l’enfourne et lui masse les boules en même temps.
Elle glisse le bout de son doigt à son œillet, le masse.
Je ne pense jamais l'avoir vu ainsi faire avec moi.
Dans mon esprit se telescopent le dégout et le désir extrème.
Je la découvre.
Je la veux.
-haaaaa ouiii.... une vraie bouffeuse de bites ! haaaaaa la bonne pute. Hain que tu en aimerais une deuxième là ?
Il tire son visage en arrière.
Elle roule ses yeux et hoche la tête, affirmative.
Il la force à revenir devant son sexe tendu en arc, ravi de sa réponse, excitée de savoir que ma femme aimerait se faire prendre par deux hommes à la fois.
J'en suis abasourdi et ma main sent ma verge palpiter.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre, cette idée me fait jouir.
Je les observe, dans un état second.
Sa langue chahute sa fente.
Son sexe se tend... palpite... Il va jouir.
Elle le sent venir, le garde en bouche tout en serrant son manche de sa main et son doigt aspiré par son anus.
Il crie son plaisir. Un râle male et long..
Elle retire sa queue de sa bouche.
Son jus explose et se répand sur son visage.
Elle extrait son doigt de son trou.
Quelques goutes perlent sur ses lèvres, elle entrouvre la bouche et goute à son sperme.
Le premier sperme autre que celui de son mari.
Un autre que le mien.
Elle sourit. Elle se régale. En vraie trainée.
Il reste ainsi quelques instants... les jets se succédant de plus en plus mollement. Elle le masturbe lentement.
Il ouvre les yeux et la regarde.
Il sourit. Un sourire d'homme repus et satisfait, plus doux, plus jeune.
Le bout de son gland effleure ses lèvres
-merci
Elle lèche sa fente, l'écarte et recueille tout son jus
Il caresse sa joue tendrement.
Elle reprend ses esprits.
Elle a aimé cette queue et elle semble effrayée.
Elle me jette un oeil.
Je me sens ridicule, mon sexe sorti de mon pantalon.
Sa voix se fait plus roide.
-pas de merci, c’était payé
-tu es vraiment... une sacrée bonne ... trainée. Meilleure que ce que j'ai pu connaitre... et tu m'as défloré, j'ai adoré.
Elle rougit du compliment, de son regard d’ange sur son corps.
Il est charmant, elle est charmée.
Il s’inquiète de savoir si son plaisir fut intense. Elle répond trop rapidement.
Elle me regarde atentive, légèrement honteuse tout autant qu'heureuse.
Ce paradoxe se lit sur son magnifique visage.
Je la lis à livre ouvert.
Elle se retient d’exprimer tout le plaisir et désir ressentie.
Elle est resplendissante lorsqu’elle est assouvie.
Sublime.
Voit-elle dans mes yeux ce même conflit, mélange de reproches et de plaisirs ?
Nous ramenons l'homme sans un mot vers le centre où il la salue d'un signe de la main.
Un silence pesant s'est installé dans l'habitacle.
Elle essuie sa joue.
Elle sent la jouissance.
Je serre les dents.
J'ai envie d'elle.