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Mes tétons sont durs.
Je les caresse. Le fait qu'il voit ma main s'agiter sur mon sein me comble de plaisir.
Sa bouche s'entre ouvre. Ses yeux brûlent d'un feu que je devine ardent.
J'accentue mes gestes, faisant saillir mes tétons sous le tissu, pour l'exciter, le faire saliver et me désirer autant que je le désire également.
Je soupèse mes seins généreux, leur poids dans mes mains, je les ballotte doucement,, exhibition cachée sous ma tenue d'été.
Si je sais qu'ils sont attirants, son regard me montre qu'ils lui plaisent à un degré très supérieur à ce que j'ai pu parfois rencontrer.
Les jambes de plus en plus écartées, je tourne mon doigt autour de mon clitoris.
Il est dur et bouillant d'envie.
Mon bassin bouge, ondule,
Sa voix m'envoûte "Ma femme a de la chance d'avoir une amie comme vous" dit-il sans cesser de se masturber de plus en plus fermement devant moi.
Un gémissement m'échappe alors que je presse mon bouton plus fort, devant son regard magnétique de mâle.
Je pose mes yeux sur l'écran où le film amateur se poursuit.
- Elle est très désirable elle aussi.
A ces mots il se lève et s'approche.
Son sexe à la main, je mouille soudainement en abondance.
- Elle est magnifique...
Mes pensées incapables de se fixer sur cette femme ou sur ce sexe arqué qui grossit comme il vient vers moi.
Il se baisse, à genoux devant moi.
Je lâche un "ho ouiiiii" sans même m'en rendre compte et qui le fait sourire, charmant, volontaire, l'oeil gourmand.
" Elle est très attirante, oui". Continue t-il dans cette même ambiguité alors que mes cuisses sont ouvertes et ma chatte à quelques centimètres de son visage.
- Oui... j'avoue...Tout comme vous. Lui dis-je.
Il effleure du bout de son doigt mon genou droit.
" Je vous retourne... le compliment".
Cette allusion verbale me trouble, mes doigts cessant un instant de me caresser avant de repartir de plus belle.
Ma respiration s'accélère.
Il a gardé une main entre ses jambes écartées et je le vois continuer de se masturber.
Ma mouille coule le long de mon sexe de façon indécente jusqu'à mon anus.
Sa bouche s'ouvre doucement.
" Vous allez être toute... sale...".
- J'ai très envie de votre bouche. Lui rétorque-je aussitôt.
J'avale ma salive, ce coquin sait me faire monter en pression.
- Oui.. ho oui... je vous en prie...
Ma langue lèche mes lèvres comme je l'imagine déjà léchant les miennes, plus bas...
Je pose mes mains sur sa peau douce.
Un léger souffle de plaisir s'échappe de sa bouche.
Je glisse mes mains sous ses genoux, caresse les mollets jusqu'aux chevilles, remonte dans l'intérieur de ses jambes qu'elle ouvre devant moi, sa main toujours caressante sur son sexe épilé, visible par l'écartement de son string.
Je les soulève doucement.
L'orée de sa vulve m'apparaît entre les rondeurs de ses fesses rebondies.
Je place ses jambes de part et d'autre du fauteuil sur les accoudoirs.
Elle gémit, renversant son visage en arrière, sa main continue de pétrir un de ses seins voluptueux.
Sa jupe relevée, totalement écartée, sa croupe offerte, sa chatte frémissante palpite, joyau suprême.
Je pousse légèrement pour forcer son écart.
Le compas de ses jambes me dévoile son trésor.
Je brûle d'envie de la prendre.
Me retenir me demande un effort incroyable.
Dans ma main ma verge me fait presque mal tellement je bande.
Je l'observe, respiration plus profonde, poitrine se soulevant, le bout de sa langue passe sur ses lèvres.
Son abricot coule et son jus m'attire.
Mes lèvres sont renflées.
Mon clitoris est près à exploser.
Je mouille abondamment devant cet homme qui me tient fermement ouverte.
Ma motte offerte à sa vue, il fait durer le supplice, son souffle vient effleurer ma fente en feu.
Ce doux supplice se prolonge dans les gémissements d'une autre que j'entends vaguement, tellement le sang bat mes tempes, l'excitation chevillée dans mon bas ventre.
Je ferme les yeux.
Je m'abandonne.
Sa respiration me situe son visage.
Il me fait ressentir l'espace humide entre l'extrémité de ma fente et l'étroitesse de ma rosette.
De mes doigts j'écarte un peu plus mon sexe.
Je pousse un gémissement plus rauque alors que je sens le bout de ses lèvres effleurer mon trésor.
Le bassin tendu vers l'avant je lui présente mes lèvres.
Ses joues frôlent mes cuisses.
Son manteau effleure mes chairs intimes, je pousse un petit cri malgré moi.
L'homme est dans mon creux intime.
- Haaaa ouiiii...
Il embrasse mes cuisses, douces, ses dents se posent sur elles, je me tortille, incapable d'empécher mon corps de se tordre comme une liane.
Sa langue me touche.
Un bruit d'humidité.
Il parcoure le pourtour de ma fente.
Il embrasse chaque pouce de mon sexe que je continue de caresser, mes doigts soudainement léchés par sa langue qui me fait du bien.
Je bouge mon bassin.
Lentement, par petits à coups, puis plus vigoureusement ou très lentement il prend la place de mes doigts et me lèche à m'en faire haleter.
Je pourrais exploser tellement je suis bien.
Je pose mes mains sur sa tête. A tâtons, je passe mes doigts dans ses cheveux.
Il prend mon doigt dans sa bouche.
Mon bassin bouge de plus en plus fort.
Sa langue chaude et sa bouche gourmande suce mon doigt d'une façon presque féminine.
Je presse mon sexe vers sa bouche qu'il m'offre.
Je me masturbe alors sur ses lèvres et sa langue.
Je l'observe, indécent, le visage entre mes cuisses, accroupi, il a la bouche grande ouverte, acceptant mon sexe trempé qui le tapisse de mon suc.
Je caresse sa langue de mon doigt.
J'entre dans sa bouche.
J'explore ses lèvres avant de saisir son visage à deux mains et le placer entre mes cuisses.
La tête collée à moi sur ma fente trempée.
Il fait le tour de mon vagin.
Je me penche pour caresser son dos, atteindre ses reins.
- Lèche-moi... J'ai la chatte en feu.
A suivre...