Trio ou plus...

[...]

Son mât près de mon visage, de mes lèvres, encore vacillante de mon orgasme fulgurant, je le saisie entre mes doigts fins, sourire aux lèvres, le visage illuminé d’une femme comblée … je le saisie et je le caresse tout doucement.

 alliance.jpg

Je retiens ma fougue envie de le serrer sauvagement entre mes mains et de le masturber pour en faire jaillir sa jouissance, son jus, son nectar.

Tout doucement, je caresse la hampe du bout de mes doigts, le renflement de son gland vers la base de sa hampe, je suis toutes les petites aspérités, je glisse tout le long de sa veine palpitante.

Je savoure ce moment de plénitude, l’esprit serein, apaisé, mon corps assouvi, détendu.

Je lève les yeux vers son visage fermé, il serre les dents, il retient sa jouissance.

Je devine son souffle retenu entre ses lèvres pincées.

Son envie de me voir le prendre en peine bouche est nettement visible, je le connais par cœur, je lis chaque émotion dans chacune de ses grimaces, malgré le jeu auquel il nous fait jouer, celui du client et de sa trainée.

Mais je ne bouge pas. Effrontée, provocatrice, j’entrouvre ma bouche, mais je ne l’embouche pas, je le laisse ainsi sur cette frustration, son désir en est que plus intense.

Sa grande main ferme d’homme se place à ma nuque, il caresse mes cheveux, mon front.

Il retient ses gestes, il sait que son plaisir est dans cette attente extrême ... pousser ses sensations  toujours plus loin, à la limite, sur le fil.

Mes cheveux sont mouillés de ma jouissance, de mon plaisir de sentir ses lèvres aux miennes, de sentir sa bouche aspirer mon suc dégoulinant, des fines mèches brunes sont collés à ma joue, à la commissure de mes lèvres.

Il caresse ma mèche folle, plaquée par mon plaisir, la décolle pour la placer très affectueusement derrière mon oreille.

Je lui souris, mes yeux brillant de tout l’amour que je lui porte, de tout mon ressenti, de mes sentiments les plus fous pour lui.

Mes yeux explosent de passion. Mes pupilles baignent dans des larmes prêtes à jaillir de ce trop plein d’émotion.

Je serre légèrement la hampe, applique une douce masturbation, un doux va et vient tout en fixant la prunelle de ses yeux clairs.

J’ai l’impression qu’ils n’ont jamais été aussi clairs, aussi limpides ... deux lacs dans lequel  j’aimerai me noyer et y perdre mon souffle. Dans mes mains son vit est brulant, dur... un pieu en fusion.

Mon visage s’approche lentement de son gland turgescent, violet tellement il est gonflé et gorgé de désir. Il cogne ma joue comme je masturbe sa verge.

Le méat s’échappe et luit sur ma fossette.

Le visage rayonnant, je caresse ses bourses de mon autre main, file vers ses fesses que je masse délicatement et fermement.

Il souffle fort.

Je masse par petits ronds ses deux globes musclés, doux et imberbes.

Ma main se faufile par son entrejambe, le poigné frotte ses bourses glabres.

Ses petites olives roulent dessus comme je masse sa fesse.

Je glisse mon index à sa raie, et viens lisser sa rosette, son soleil encore endolorie de mes manigances sensuelles.

Il grogne. Déglutit avec un souffle de gémissements de mâle en rut.

Je souris aux souvenirs de son orgasme cérébral, de son endurance et ténacité à ne pas exploser de son jus à ce moment là.

Son excitation est des plus élevé et intense au vue de notre accouplement des plus charnels et érotiques.

Je pétrie sa fesse, caresse son petit trou d’amour et serre son membre de mon autre main, son gland à ma joue.

Il souffle doucement, fort, son cœur tape fort dans sa poitrine.

Mes lèvres s’écartent langoureusement, je pointe ma langue avide, dirige son gland, et pointe sur sa fente rouge de désir. Je recueille de son jus d’amour, de son désir incommensurable.

Ses goutes roulent sur ma langue, je tourne sur son bout rond, je tourne tout autour, pointe à son renflement, je le suce doucement, il est tellement bon que je pourrai jouir à nouveau juste en suçant son  bâton d’amour.

Je me cambre, ondule de mon corps, la croupe offerte tout en lui prodiguant mes caresses.

Je m’enivre de son odeur de sexe que je connais parfaitement. Chaque fragrance renvoie à mon cerveau une onde de désir m’insufflant un gémissement lorsque mes papilles gustatives sont en contact direct avec son sexe.

Ce délicieux et savoureux bâton de chair que j’aime et dont je ne me lasse pas de dévorer.

Je le suce longuement, langoureusement et passionnément tout en fermant mes yeux pour bien profiter de chaque goute de son sirop, de la douceur de son désir.

Il coulisse entre mes lèvres, ma langue s’enroule autour.

Ma main quitte ses fesses pour soupeser ses boules entre mes doigts, je les roule avec délicatesse.

Ses gémissements croissants m’excitent et me poussent à encore et encore lui donner du plaisir.

Ses gémissements appellent les miens qui sortent de ma bouche, je suis comme folle, il me rend folle d’envie et de désir. Elle est loin sa trainée, sa catin, le jeu est loin, il ne reste que cette envie folle de le manger, de le bouffer, d’aspirer tout son être, son âme, son esprit, de faire qu’une et seule et même entité.

Je sens sa verge palpiter d’envie de jaillir, je sens son jus progressivement monter de sa source.

J’abandonne son gland pour lécher tout le long de sa veine, je tourne autour de sa tige, je la suce entre mes lèvres, je mélange ma langue, salive, je fais plus qu’un avec son bâton d’envie. Mon visage, ma bouche, tout mon être en communion avec lui par le biais de cette fellation intense et sans contrainte.

Mes soupirs de plaisir se mêlent et se confondent avec les siens, sa jouissance et proche.

Je le masturbe méticuleusement de mes mains glissantes, mon plaisir est tel que mes gestes sont un peu désordonnés. Sa verge, ses bourses... son souffle, son parfum... son gout, sa texture... il me rend folle.

J’ouvre la bouche en grand, son bout rond au fond de ma gorge, contre ma joue, j’ouvre au maximum de mes maxillaires, je l’embouche au plus profond à m’en étouffer.

Sa main se pose à ma gorge, il m’impose une ouverture encore plus grande. Adorable perversité qui me fait ruisseler une nouvelle fois.

Mes seins ballotant, mes tétons doublés de volume pointent effrontément.

A genou, les jambes écartées je sens mon jus couler entre mes cuisses. Je me pensais vide et je sens mon miel filer. Un fil translucide coule sur la moquette.

Je souris de me sentir ainsi intarissable, mon désir pour mon homme est intarissable, insatiable, inépuisable.

Je glisse une main à mon antre, recueille de mon jus et le mêle au sien... j’alterne mes mains et je couvre son membre de ma mouille abondante.

Je prends sa queue énorme ente mes deux mains et je le masturbe avec méthode.

Des lents va et viens se succèdent par des rapides au rythme de sa respiration.

Ses pulsations cardiaques se font proches.

Je le sens venir, il est au bord de jouir.

Je suce avec gourmandise sa veine tressaillante.

Je pointe ma langue à sa fente.

Je sens son jus monté, il démarre à sa base, sa verge se tend … et dans un cri orgasmique rauque un jet puisant blanchâtre jaillit de sa queue pour venir napper mes lèvres, une main à ma nuque, l’autre à ma joue, il me serre fort.

Ma main enserre sa fesse, mon cri de jouissance se confond avec le sien, un cri de satisfaction mêlé à la jouissance de le voir ainsi, la tête en arrière, la bouche ouverte, figé.

Un arc électrique traverse son corps. Mes reins se cambrent.

Mes chairs vaginales se contractent seules, je frissonne de se spectacle merveilleux qu’il m’offre.

J’admire les traits de son visage se déformer de plaisir, son bassin en avant, des spasmes parcourent son magnifique corps d’homme, de mâle, son sperme jaillit par saccades.

Je le pompe doucement, je le vide entièrement, je le suce et recueille tout son suc pour moi. Le fruit de son amour à mon égard. Je ne perds pas une seule goute de ce sublime cadeau, cette offrande.

Mon regard se perd dans ses yeux clairs presque blancs, le bleu du petit matin, brillants comme jamais.

Il caresse ma joue, mes lèvres blanches de son foutre, le bout de ma langue.

Et dans un doux gémissement, j’avale sa semence.

Il se place à genou, et vient lécher mes lèvres rosies et enflées, des restes de cette délicieuse crème onctueuse.

Un baiser langoureux clos cet échange des plus fous, nos langues se lèchent, nos lèvres se sucent tendrement, nos corps trempes de sueurs se collent, peau contre peau, nos effleurements sont apaisement, calment nos corps encore frissonnant...

Morphée se joint à notre duo.

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]

 

Elle sourit, debout devant moi.

Entièrement nue à l'exception de son porte-jarretelles qui encadre ses cuisses douces.

Ses seins majestueux accrochent les reflets rougeâtres des lumières diffuses.

La main qu'elle pose sur la courbe sensuelle de ses hanches augmente la cambrure osée qu'elle m'offre.

Les pupilles étincelantes, sa respiration courte, sa poitrine qui se soulève, ses tétons arrogants, tendus au centre de ses auréoles larges, sont autant de signes de sa sexualité exacerbée.

Les sons étouffés de notre intérieur résonnent encore de la mélodie chaude des soupirs de plaisir que nous venons d'échanger.

Elle se complait dans ce rôle de composition de trainée qui s'offre à cet homme, client, que je représente.

Je ne suis plus son mari, je suis le payeur qu'elle a toujours secrètement rêvé d'avoir, repoussant ses limites, abolissant ses barrières morales.

Sa main se pose sur son sexe.

Elle se compose un jeu de prostituée.

Entre les deux minces franges pileuses, elle glisse ses doigts qui ouvrent les chairs souples et luisantes de son sexe affamé.

Je l'observe recueillir une nouvelle fois son précieux nectar.

A genoux devant elle, mon sexe est tendu vers le ciel.

Elle le dévore du regard.

Mes jambes sont largement écartées. Mon arrière-train est encore douloureux des percées contre-nature qu'elle vient de me pratiquer.

Le gland lisse et rond, fendu avec délicatesse, se démarque de la large barre de chair par sa couleur pourpre.

Je sens ses yeux le détailler, de la veine apparente aux bourses glabres et pendantes, des aspérités formant une couronne autour de mon bout à la raideur épaisse du bâton dans son ensemble.

Son ordre ne supporte pas d'hésitation.

C'est un souffle impérieux qui me fait brûler de désir.

"Viens me lécher."

Je regarde cette fente qu'elle ouvre et écarte à quelques centimètres de mon visage.

Son odeur de femme, de sexe, me fait tourner la tête.

Mes sens sont en fusion.

J'ai envie d'ajouter le goût à cette tempête impressionniste qui me bouleverse.

Je m'approche, bouche ouverte vers sa féminité malmenée avec lenteur par ses doigts agiles sur lesquels se répand sa cyprine luisante.

"Oui, reste comme cela, à genoux".

Mes mains au sol je tends le bout de ma langue vers les renflements de son ouverture béante.

"Viens me lécher à genoux, comme mon joli chien".

Elle relève sa cuisse, pose son pied sur la table basse.

Sa fente outrageusement ouverte au dessus de mon visage.

Elle me domine et apprécie autant que moi cette nouvelle répartition des rôles entre nous.

J'avale ma salive, ma bouche meurt d'envie de découvrir la molle fermeté de ses nymphes affolantes.

"Je vais te laper"... dis-je en plongeant mes yeux dans les siens, plus clairs, plus perçants que jamais, "...laper ta belle fente".

Ma langue sortie de ma bouche je touche une de ses lèvres.

Le gonflement de son sexe enfin au bout de mon muscle buccal.

Elle pousse un gémissement instantané alors que je découvre au toucher extraordinairement suave de sa chair, la saveur délicieuse de son plaisir qu'elle exprime en coulant.

Je passe ma langue sur une des lèvres.

Délicieuse, trempée, je savoure son nectar à la fragrance enivrante.

Elle me surplombe, droite et fière.

Elle conserve la maitrise de la situation par sa position hiérarchiquement dominante.

Ses yeux glissent sur mon dos, sur mon visage, sur ma langue qui parcoure les souples lèvres écartées, l'une après l'autre.

"Tu sens le sexe." Lui murmurais-je en plongeant mon regard dans le sien.

Un mince fil de cyprine coule au fond de son sexe.

Je passe ma langue sur chacune des aspérités de ses lèvres, m'approchant du centre qu'elle maintient béant entre ses doigts.

D'un lent mouvement du visage je m'éloigne de son puits d'amour.

Un filet de mouille nettement visible entre le bout de ma langue et sa fente luisante.

"Oui. C'est de ta faute. Alors lèche." M'impose t-elle dans un soupir.

Ses joues rougissent de honte.

Son sourire s'élargit, de plaisir.

Ma langue se fait large et se plaque à sa motte.

Je ne la quitte pas des yeux.

Elle gémit, ses seins se soulevant orgueilleusement.

D'une main elle soupèse et palpe l'une de ses mamelles.

"Nettoie tout cela... petite... cochonne." S'aventure t-elle à m'ordonner.

Je m'applique entre ses lèvres ourlée d'une fine pilosité à parcourir les moindres replis.

"Oui... maitresse ?" lui réponds-je, avalant son sirop.

Consciencieux je lèche, langue large et lente.

Elle ferme les yeux et pousse des gémissements le plus silencieusement possible.

Je la vois lutter contre son désir, faire durer le plaisir, prendre de ma bouche ce que j'ai de meilleur à lui donner.

"Tu es largement ouverte".

A mes mots elle se cambre, se tortille, soupire.

"Tu es bonne à lécher".

Elle geint, pince son téton, et maltraite ses seins l'un après l'autre.

"... totalement ouverte..."

Son doigt dans sa grotte fouille l'antre brulante.

"Complètement trempée".

Elle souffle... pousse un petit cri.

J'enfonce ma langue dans sa vulve.

Je la dévore avec une envie encore jamais éprouvée.

Ma bouche embrasse son entre jambes.

Je fouille son sexe de ma langue, à la fois extrêmement lente ou vive et précise.

Je découvre ses replis secrets.

Je me délecte des doux filigranes de son intimité, à peine perceptible sous l'agilité de mon muscle.

Je déguste son sirop de femme qu'elle m'offre et m'invite à boire.

Son doigt enfoncé dans sa fente, je le lèche.

Elle me l'insère dans la bouche.

Je le suce avant d'extraire son clitoris dur et gorgé de désir.

J'aspire le bouton délicat au son de ses gémissements de plus en plus audibles.

De bas en haut, je lape son abricot fendu, pour suçoter à chaque fois la perle qu'elle confie à mes soins osés.

Son souffle devient plus fort pour finir dans un cri.

Je m'enfonce dans son vagin, le visage collé à son corps ardent.

"Hoooo ouiiiii"

Je la dévore.

Je bouffe littéralement son sexe bouillonnant.

Ma langue s'enfonce littéralement en elle.

Elle parvient à articuler..." En...core..."

Je m'applique, de plus en plus rapide.

"Con... continue... haaa...."

Ma langue se tourne en elle, j'aspire son jus qui coule de plus en plus abondamment.

"Mange ma... chatte."

Je me recule, l'admire, son corps de liane aux seins agités se cambre et ondule sous l'intensité des sensations qui l'électrisent.

Son clitoris titillé, j'entre et sort l'intégralité de ma langue de son sexe tel un membre qui la prend avec lenteur.

Très écartée, ses deux mains pétrissant sa poitrine tendue, je sens mon sexe bander à en être douloureux.

Je me place assis devant elle, ma main saisi ma verge, je ne tiens plus.

Je la lèche, je la dévore... avec avidité.

Mes doigts s'agitent sur ma verge pour lui appliquer une masturbation régulière et franche.

J'avale son jus qui coule de plus en plus.

Je me régale de la dévorer.

Elle tend son bas ventre vers moi, je m'applique, de plus en plus vite, alternant les coups de langue sur la surface de son sexe avec les succions et les pénétrations.

Un flot de jus odorant inonde son vagin.

Je le fais couler dans ma gorge.

Elle râle comme j'avale le fruit de son orgasme.

Ses mains saisissent mon visage et le force à se coller à son sexe détrempé.

Ma bouche est une mécanique démoniaque qui aspire et dévore l'intensité de sa jouissance.

Lentement elle reprend ses esprits et calme les mouvements de son corps.

J'explore son intérieur pour la nettoyer.

Je recueille les ultimes traces de son orgasmique plaisir.

Elle est en nage.

Un dernier effleurement de son ouverture avant qu'elle ne repousse ma tête pour me sourire.

"Tu es... à se damner" me murmure t-elle, les yeux plus brillants.

Ma verge entre mes doigts je ne cesse de me masturber en la regardant assouvie.

Elle flageole et s'assoit sur le fauteuil.

Sa respiration est plus lente.

"Tu es délicieuse... pour une pute". Lui dis-je alors en me relevant et en présentant mon sexe à sa hauteur.

Ses joues s’empourprent.

Ses tétons se durcissent instantanément.

Elle avance sa main encore salie de sa souillure et ses doigts fins se posent sur mon mât bouillant.

Dans un instant de silence je l'entends glousser... immédiatement excitée par cette nouvelle reprise de contrôle de ma part au jeu de la trainée.

A suivre...

 

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[...]

Mes mains sur le tapis, mes genoux au sol, je perçois avec plus d'intensité ma respiration qui s'est accélérée malgré moi.
Le toucher du tissu sous mes doigts me semble fait de fleurs.
Je perçois l'environnement dans les teintes rouges de la lumière diffuse.
Mon salon prend une dimension qu'il n'a jamais eu.
Nu, à quatre pattes, mes sentiments se bousculent entre le vertige et confinement.
Sa voix claque.
"C'est bien comme ça. Écarte un peu plus les jambes".
Ma femme m'oblige, dans son rôle de traînée de luxe.
Le sang bat mes tempes.
Mon sexe est douloureux tellement cette situation m'excite.
Sa main caresse mon dos avec la délicatesse qui la caractérise.
Glissant sur mes genoux, j'ouvre mes cuisses.
Je sens mon postérieur se dévoiler.
Elle frôle mes reins.
Je me cambre instinctivement et tends mon bassin vers le haut.
Mon indécence me surprend.
Je sens ma verge palpiter sous mon corps qu'elle caresse... de la nuque aux fesses...
A mes côtés elle me regarde.
Ses yeux étincellent. Deux diamants verts piqués d'étoiles.
Elle incline son beau visage.
Elle observe mon sexe, raide, légèrement pendante à angle droit de mes bourses glabres.
Du bout des doigts elle forme des ronds sur mon fessier lisse.
Mes boules me semblent lourdes.
Son regard est gourmand...
Ses ongles prennent la suite de ses frôlements tactiles.
"Un beau soc..." murmure t elle en remontant le long de ma colonne vertébrale.
Je me cambre sous les griffures légères.
Son geste redescend...
Un soupir m'échappe.
"Une belle queue."
Je suis surpris de son langage, de son attitude.
Aussi, lorsqu'elle glisse mon doigt dans la raie de mes fesses, je ne peux m'empêcher d'onduler, de réagir, soudainement pris d'envies folles, en chaleur... agréablement soumis.
Je lève mon bassin.
Elle se place derrière moi.
Sans même m'en rendre compte mes cuisses s'ouvrent un peu plus.
L'a t 'elle remarqué ?
Dans le reflet d'une glace je la discerne, ses tétons tendus se distinguent nettement sur sa poitrine lourde, tout comme sa main qui s'agite entre ses cuisses.
Elle descend le long de la vallée de mes fesses pour érafler ma rosette plissée d'un ongle délicat avant de faire frémir mes bourses.
Sensation incroyable où je gémis.
Elle pose sa main sous mes sacs bien pleins et les soulève.
Elle me soupèse, en mesure le lourd contenu.
J'écarte mes jambes pour lui permettre de me saisir les couilles.
Son visage se penche... salive... entre mes globes coule un filet de liquide.
"Ho...." lâche-je alors qu'elle me parcourt de son doigt, "... oui".
Elle remonte sa salive tiède de son index qu'elle tient raide et simule une verge d'homme, fine... curieuse.
"Tu en veux encore ?".
Sa voix est chaleureuse, légèrement brisée par l'émotion.
"Oui... encore..."
Un second filet vient m'inonder.
Le bout de son doigt joue avec mon petit orifice interdit avant de flatter mes bourses sur lesquelles elle étale sa bave en me massant à en gémir.
Doucement elle les fait rouler dans sa main.
Son doigt se fait raide, dur, inquisiteur sur mon anus.
Je bande comme un cerf...
Elle presse mes boules, les agitent.
Je geins.
Lentement son index force mon entrée.
"Haaaaa" Le petit cri m'échappe.
Elle sourit, me masse.
Je pousse mes fesses vers elle, introduisant son doigt de quelques millimètres supplémentaires dans mon antre étroite.
Par petites touches, elle tourne sa première phalange dans l'ouverture palpitante.
Elle la sent se détendre, s'assouplir... se donner... me donner.
Sa seconde main, chaude, humide de ses gestes solitaires vient faire rouler les olives de mes couilles alors qu'elle enfonce par petits allers et retours sa seconde phalange en moi.
Elle me masse.
Je ne sens plus le moelleux du tapis.
Je ne perçois plus les objets, les murs, les couleurs.
Perdu dans ces sensations intenses, je m'abandonne à ses gestes, enivré par le plaisir.
Sa main fraîche, à plat, remonte sur ma verge brûlante.
Tout mon corps ondule aux rythmes de ses manoeuvres.
Elle entame une masturbation lente pour reprendre mes boules dans le creux de sa main, mon membre saisit entre son pouce et son index, à sa base, avec une dextérité et une maestria... une expérience que je ne lui connaissais pas.
Je baisse ma tête, submergé par les envies.
"Hooo... c'est... haaa....".
Ma voix semble loin... extérieure... autre. C'est celle d'un homme qui prend un plaisir fou.
"Tu aimes ça ?" me dit-elle en tournant son index autour de mon oeiller pour s'arrêter en son centre.
Je me fige.
"Oui."
Je sens mon anus s'ouvrir et se fermer, l'extrémité de son doigt au bord de ce gouffre intime.
Elle sourit à ma respiration rapide avant de baisser son visage et pointer sa langue à mon petit trou.
La pointe musculaire en effleure les pourtours.
Un délice de sensations tourbillonnantes.
Elle passe sa langue sur l'ouverture.
Lentement.
Puis de plus en plus rapidement avant de s'arrêter.
"Et ça, tu aimes ?"
Je grogne de plaisir avant de pouvoir répondre.
"Oui... lèche-moi... mange-moi encore.".
Elle insinue sa langue.
"Ha oui... tu as l'air d'apprécier".
Elle glisse son doigt à la suite de sa langue.
A genoux derrière moi, les jambes écartées je la vois onduler de la croupe.
"J'aime te bouffer le cul" murmure t-elle de façon perverse.
Elle me surprend par son registre de langage osé.
Son index se fait curieux et m'empêche de relever sa phrase.
Il entre, s'immobilise avant de se retirer et recommencer.
Chaque pénétration et sortie me fait l'effet d'un éclair qui parcourt mon corps des cuisses à la nuque.
Elle accélère ses poussées, malaxant mes boules.
Mes bras ne me soutiennent plus, je pose les coudes au sol en expulsant un cri alors qu'elle enfonce son doigt profondément.
Elle caresse ma hampe, soulageant les tensions qui l'habite.
"Tu... es... douée... haaaa..."
Je la distingue observer mon cul offert, ouvert, mes couilles saisies à pleines mains, la verge tendue.
Images d'un sensualité exacerbée, indécentes.
"Je ne sais pas qui est le plus cochon des deux". Fait-elle en bougeant son index enfoncé en moi.
Je relève mon visage dans un cri sourd comme elle écarte les plis sombre de mon intimité.
"C'est toi... la cochonne". Tente-je de lancer dans un acte de défi.
Elle ressort rapidement et je peux souffler.
Je l'entends saliver et cracher sur son doigt.
Et je sens deux doigts me forcer.
"Ha oui ? C'est moi la cochonne ?".
Sa voix est surexcitée.
Elle écarte les chairs, les assouplis, bouge, tourne sans omettre de masser mes bouses, les écrases avec délicatesse pour faire aller et venir les noyaux brûlants.
Je ne suis plus qu'animal.
Elle crache sur mon cul à sa disposition.
Mon corps se raidit... se tend... mon coeur s'emballe.
Elle me perce avec largeur de ses deux doigts fins et doux.
Je pousse un cri, incapable de me retenir.
Elle écarte ses doigts, les ouvre, entre doucement en appuie sur ma verge.
Le cri devient muet.
Mon anus écarté, elle s'immobilise quelques instants avant d'entamer un mouvement circulaire.
La bouche grande ouverte, je parviens soudain à émettre une râle de bonheur où la douleur à fait plaisir à un plaisir inédit.
Je n'ose pas faire un seul mouvement.
Percé, elle entre et sort avec dextérité de mon tabou chaud et emplit de sa salive.
Elle cogne dans le pli de sa main.
J'halète, incapable de contrôler mon plaisir obscène.
Elle m'agrandit, ravie de me fouiller de ses pseudos verges tout en me masturbant sans cesse.
Mon visage va de droite à gauche.
"Alors... qui est le plus cochon ? Ou la plus cochonne ? Tu cries. On croirait entendre un..."
Je subis ses manigances perverses.
"C'est... moi... Tu me fais crier comme un cochon que je suis."
"Oui. Tu es mon cochon..."
"Je suis ce que tu veux... hooo... continue".
Elle saisit mon sexe, le maintien fermement dans sa main, le serre et le masturbe doucement.
"Tu es ce que je veux...".
"Haaaa ! Oui.. branle-moi en même temps".
"Tu es délicieux... tes fesses aussi". Elle ponctue sa phrase d'une masturbation plus appuyée.
"Tu aimes mon cul ?! Et... ma queue ?!"
"J'aime te voir ouvert sous mes doigts. Le cul en l'air, sodomisé. Tes chairs écartelées... comme... une..."
Je cède à ce qu'elle désire entendre...
"Comme ta cochonne".
Elle rit doucement.
Je grogne, me cambre.
"Tu t'ouvres comme une petite femme..."
Elle pose un troisième doigt.
"Non... ho non..."
"J'adore te percer... te transpercer... te lécher... te défoncer".
Elle l'enfonce.
Mon cri est guttural.
"J'aime te sodomiser".
Sa main astique mon manche de plus en plus vigoureusement.
"Non ! haaa... hummm... oui ! Encore ! Ho oui !"
Sa main lâche mon glaive pour se figer dans son vagin.
"Tu aimes toujours petite cochonne ?"
"Oui... j'aime te sentir dans mon cul".
Elle recueille rapidement son jus pour venir en enduire ses doigts qui entrent et sortent de mon anus désormais béant.
"Et tu sens combien je mouille ?"
"Ha oui... tu te branles en même temps, c'est... hum... délicieux".
"Tu m'excites trop, je ne peux pas tenir !"
Sa voix se casse.
Son sirop en moi favorise l'intromission rythmée et large.
A son intonation je sens qu'elle succombe peu à peu à l'orgasme croissant.
"Viens me goûter... mes nymphes sont prêtes à ce que tu me lèches. Je coule".
J'entends le bruit sensuel de ses gestes intimes alors qu'elle recueille des filets de son jus et les approche de mes lèvres.
J'ouvre la bouche.
"Goute. Goute combien je... mouille pour toi".
J'y pose mes lèvres en douceur, je lèche et je lape.
Doucement, puis avec plus de vigueur, d'envie, comme je me délecte de sa cyprine délicieuse et odorante.
"Ha oui ! Lèche !! Lèche ma fente !" ordonne t-elle en se plaçant devant moi, debout, extirpant ses doigts de mon anus endolori.
A suivre...
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