Trio ou plus...

[...]

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Le patron de mon mari finit son café alors que j'entends la voiture de Marc arriver et  se garer.

Je sursaute, mes joues rougissent.

Assise sur l'accoudoir du fauteuil dans lequel cet homme qui est aussi mon amant, me flattait de ses doigts, j'avais oublié que le temps passait si vite.

Je réajuste ma robe car ce coquin avait glissé sa main dessous et me caressait le haut de la cuisse.

Ma petite culotte est humide.

J'ai l'esprit trouble lorsque mon mari me dit bonjour et dépose un léger baiser sur la joue.

Il se décompose lorsqu'il voit son supérieur chez nous et n'ose plus dire un mot.

Leurs deux mains se serrent.

Ces deux mains qui m'ont tenues toutes les deux.... si différemment.

Les hommes échangent quelques mots, je m'éloigne pour reprendre mes esprits.

Je verse quelques gâteaux dans un plat, je suis ailleurs.

Terriblement gênée de ma journée... le cerveau renversé et le corps encore en feu.

Après qu'il m'eu prise dans la chambre de notre grande fille, je l'ai rejoins dans la salle de bain où il me posséda le long du mur de la douche comme encore je n'avais jamais été possédée.

Marc me rejoint dans la cuisine.

"Ca n'a pas l'air d'aller ?" me fait-il.

Je balbutie une réponse évasive.

Sa main dans mon dos me fait frémir.

J'ai honte de l'avoir trompé... et en même temps c'était si bon !

L'interdit renforçait mon excitation.

"On garde mon patron à manger tu veux bien ?"

Je regarde mon époux.

Il est si doux, si calme. Je sais qu'il est impressionné par la présence de cet homme dans notre salon et qu'il n'ose rien lui refuser.

J'acquiesce pour sa présence ce soir avec nous.

Il est évident qu'il s'est imposé lui même.

Je me tourne vers le réfrigérateur, mon mari s'éloigne pour retourner auprès de son patron.

Un léger sourire me vient... hooo qu'il est gonflé ! Il ose s'inviter à notre table !

Un frémissement se fait sentir dans le creux de  mes reins.

Il parvient à me faire mouiller rien qu'en imaginant me retrouver à manger chez nous avec ces deux hommes.

Tout ceci me parait surréaliste mais tellement envoutant.

 

Je sens son pied se frotter au mien, sous la table, alors qu'il tient une discussion sérieuse avec mon mari, le "petit Marc" comme il prend plaisir à l'appeler alors que ce dernier est intimidé et n'ose pas le contredire quelque soit le sujet abordé.

Le long de ma colonne vertébrale remonte une décharge électrique qui me fait me redresser, presque cambrée, alors que sa main vient effleurer ma cuisse.

Mon sexe de femme est liquide... je devine mes lèvres luisantes et imagine son membre d'homme si large qui doit être dur alors qu'il est en train de me caresser ainsi, discrètement.

Mes petits seins se tendent, un renflement se dessine... mes tétons durcissent et je pointe outrageusement devant eux.

"Marc, avez-vous de la musique ? " lui demande t-il soudain.

Aussitôt mon mari s'empresse de mettre un fond musical.

"Cela ne vous ennuie pas si je danse avec votre femme pendant que vous débarrassez la table ?" lui ordonne t-il faussement dans une question déguisée.

En baissant la tête Marc s'exécute en un "Non, bien sur".

Je suis rouge de honte.

Mes mains dans celles de mon amant, je m'avance vers le centre de la pièce.

Lentement il me fait tanguer en rythme dans notre salon.

Les murs s'éloignent car la tête me tourne.

Lorsqu'il les pose sur mes hanches et qu'il plonge son regard dans mon décolleté je crois que le sol s'ouvre sous moi.

"Non, il ne faut pas... Marc... est là..." cet aveu qu'il soit là et que cela seul m'empêche d'aller plus loin me fait instantanément darder les tétons.

Il m'est impossible de masquer mon excitation, mes mamelons trahissant mon plaisir.

Il me fait tourner et je me retrouve dos contre son torse.

Marc nous regarde.

Derrière moi, un autre homme que lui me fait onduler... collé à moi dans une posture osée.

La main droite remonte sur mon ventre puis sur mon sein.

Marc ne me quitte pas des yeux.

J'ai le souffle court, mon cœur s'accélère.

Il voit mes seins qui sont gonflés, signe de mon envie.

Son patron me palpe un sein.

Je pousse un souffle qui s'achève en gémissement.

Incapable de lutter contre mon corps en chaleur, contre l'adresse de cet homme alors qu'il me faudrati el repousser, le gifler, l'injurier comme le dernier des salauds.

Mon mari baisse le regard lorsque son patron fait tomber sa main sur l'entre cuisse de ma jupe et qu'il me masse lentement le sexe au travers du tissu.

Par réflexe j'ouvre un peu mes cuisses et l'homme fait remonter ma jupe, glisse sa main sous le coton léger.

Ses doigts se posent sur le tissu trempé de ma culotte.

Je pousse un petit couinement comme il me masse le clitoris.

Je sais que je ne peux pas lui échapper.

Malheureuse pour Marc qui me découvre dans ce rôle de... vulgaire trainée... ces émotions contradictoires me tourmentent et m'envahissent avec une sensualité extrême.

Il dénude mon épaule et dégrafe mon chemisier.

Ses mains viennent saisir mes seins recouverts de dentelle rose transparente.

Lorsqu'il appuie sur mes deux petits globes, mes tétines se dressent comme des antennes.

Ses doigts passent entre le tissu et ma peau, il tire vers le bas et je suis seins nus devant mon mari en moins de temps qu'il ne m'en a fallu pour le dire.

Je ne me contrôle plus et mes fesses cherchent à se frotter à la raideur que je sens chez cet homme sur de lui, magnifiquement pervers.

La fermeture de ma jupe s'ouvre et elle tombe sur mes chevilles.

Ses doigts rentrent sous ma culotte.

Il me masturbe de tous ses doigts, forçant mes jambes à fléchir, à s'écarter.

Un sein étiré, mon soutien gorge sur le ventre, une main dans mon dessous... je gémis... de plaisir.

Ce vilain sait y faire et Marc n'en revient pas de ma totale soumission à ces gestes d'un vulgarité crue.

Entre deux de ses doigts il tourmente mon téton qui frétille, douloureux.

Ma fente se trouve écartée par ses doigts qui me fouillent.

Je pousse un petit cri alors qu'il extraie mon bonbon et le titille avec une meastria qui me fait basculer mon visage en arrière.

Mes lèvres sont gonflées d'excitation.

Il me masturbe, sa main tend ma culotte sur mes fesses, la détend largement sur le devant de mon minou.

J'ai l'esprit ailleurs, loin... perdue... éperdue.

Lorsqu'il retire ses doigts je balance mon bas ventre en avant avec un souffle plaintif.

Marc me voit, chercher la main qui me donne du plaisir.

J'en rougis de honte.

Le tissu sur mon sexe se trempe aussitôt tellement je coule abondamment.

Ses mains font rouler le coton de mon dessous.

Je baisse la tête, je sens sur moi le regard de mon époux.

Je ferme les yeux.

Ma culotte frôle mes fesses, file sur mes genoux et tombe sur mes chevilles.

Je suis nue devant lui, entre eux deux, seulement parée de mon soutif qui ressemble à un porte jarretelles de ... femme de petite vertu.

Il me fait mettre à genoux.

J'obéis dans un sanglot qui me vient sans que je puisse le retenir.

J'ai tellement honte... et tellement envie !

"Marc. Apporte-moi à boire".

Je vois mon époux, obéir.

Le gros gland décalotté dodeline devant mon visage comme le mat d'un bateau qui tangue.

Je me sens m'éloigner de Marc.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Je suis tremblante.
Mes jambes en coton.
Le patron de mon mari, chez moi, me regarde en souriant.
Il raccroche son téléphone.
"Béatrice, nous avons encore du temps."
Il vient de me... prendre... contre le mur de mon entrée.
Moi qui suis une épouse sérieuse, fidèle, pour la seconde fois en 10 jours, cet homme vient de faire de moi sa maitresse.
Son sexe encore tendu, oscillant comme un métronome large, rose, luisant de ma cyprine, m'hypnotise.
Il m'empêche de réajuster mon soutien gorge et d'un geste sec, l'ouvre.
Je pousse un petit cri.
Ma poitrine est à l'air, nue, offerte à ses yeux et à ses doigts.
Mes tétons sont encore douloureux... de ses attouchements qui les ont tirés, fait rouler... mais aussi de l'envie qui ne me quitte pas.
Dressés vers le ciel comme des statues, au centre de mes mamelons roses, ils trahissent  mes émotions intenses et immorales.
"C'est mal... nous ne devrions pas... c'est trop fou... non" lui dis-je.
Sur ma peau je sens la chaleur de son liquide d'homme.
Ma jupe en porte les traces, comme ma toison blonde... mes poils collés par son sirop qui coule de mon ventre vers ma fente.
Hoooo ma fente... encore ouverte, suintante... en feu.
Il me prend par la main et par la taille.
Ma jupe se baisse d'un côté seulement.
Il me pousse en avant.
"Si Marc savait... ho non..."
Il pousse une porte au hasard.
"C'est votre chambre ?"
Il regarde.
"Non. Celle de notre fille".
Il prend son temps, sa main caresse ma fesse nue.
Il passe un baiser dans ma nuque, je frissonne.
"Montre moi ta chambre ma cochonne" me murmure t-il.
Je ferme les yeux et pousse la porte un peu plus loin.
Il a ce langage grossier qui me trouble.
Il m'entraine dans notre nid, dans notre endroit sacré.
Ses mains me positionnent à 4 pattes sur le lit.
"Non ! Pas... ici... pas comme ça..."
Sa main me donne une petite fessée.
Je veux descendre du lit, prendre mes jambes à mon cou, mais je me sens si fragile.
Et sa bouche... ho sa bouche... sur mon sexe.
Il m'embrasse d'une façon perverse et délicieuse.
Sa langue s'enfonce dans ma fente déjà offerte.
Ses doigts caressent mes fesses, mes cuisses, ouvrent mes lèvres pour lui permettre de me lécher plus profondément, intimement.
"J'aime ton jus... ta chatte a bon gout".
Ses paroles étouffées me font l'effet de claques.
"Tu es si belle en levrette".
Il est si cru ! Si osé !
Mon mari ne m'a jamais dit de telles horreurs, ne m'a jamais fait de telles... choses.
Son bout de langue titille mon petit œil.
Je me tends pour refuser mais ses mains me maintiennent fermement par les hanches.
Je perçois nettement son muscle sur mon orifice interdit, il lape, il presse, il pousse et... me détend la rosette sans que je n'y puisse rien faire.
Lorsque sa langue écarte mon petit trou, je pousse un cri.
Je voudrais que ce soit de douleur, mais non... c'est un plaisir inédit.
Il fait rouler sa langue, passe de mon sexe à mon étroitesse.
Je me surprends à onduler des hanches malgré moi.
"T'aimes te faire bouffer le cul et la chatte on dirait" dit-il de ce langage grossier qui me rend folle.
Il a du s'en rendre compte et ses mots sont si osés qu'ils me troublent.
Son visage plaqué à mon bas ventre, il me relève la croupe.
Je tombe en avant, mes seins frottent sur les draps de notre lit conjugal.
Je mords l'oreiller de mon mari pour ne pas crier alors que son patron me pratique un cunnilingus dégouttant... extrêmement plaisant... qui me fait monter dans les échelons du plaisir.
Sa bouche aspire mon petit bout de chair et le suçote.
Je ne peux qu'ouvrir mes cuisses, abandonnée par mon corps qui se livre à ce jeu sexuel obscène, qui se donne à cet homme aux pratiques perverses.
Je respire fortement, le visage dans le tissu moelleux, l'odeur de Marc...
Le trouble me saisit comme une pince et m'étreint à m'en faire mal.
Je le trompe, je me donne à cette débauche de sexe, et la honte, si elle me tourmente, ne parvient pas à restreindre mes désirs.
Sa langue semble explorer chacun de mes orifices.
Ses mains se sont posées sur mes fesses et les maintiennent largement ouvertes pour qu'il puisse me laper comme un être affamé.
Je couine sans me retenir, une plainte saccadée qui témoigne du plaisir inouï, inconnu, qu'il me donne.
Je sens sa main venir se poser sur ma tête et empoigner mes cheveux.
Je me laisse relever le visage, les yeux clos, totalement en sa possession.
Il pourrait faire de moi ce qu'il veut, il doit le savoir.
C'est seulement à ce moment là que je m'aperçois que ses mains sont restées sur mes globes fessiers.
Je pousse un cri de surprise.
J'ai 3 mains sur mon corps !
Face à moi, debout, le pantalon baissé, se tient le sous directeur de la société.
C'est lui que le patron de mon mari a du avoir au téléphone il y a quelques minutes.
C'est un homme que je trouve vulgaire, qui m'a toujours regardé avec un air salace, et là, dans notre chambre, il agite son sexe devant mon visage.
Je cherche à me reculer mais je suis maintenue par leurs deux paires de mains.
"Non ! Non !! Pas ça... !"
Il frotte son sexe long, fin, presque droit sur mes joues.
"Tu vas voir, elle mouille comme une vraie cochonne".
Le deuxième homme me caresse salement de son membre viril.
Son pieu appuie sur mes lèvres.
"J'espère qu'elle suce bien" dit-il de sa voix acide.
J'ai un réflexe de fermer ma bouche.
Mais lorsque le directeur enfonce sa langue loin dans mon abricot, je pousse un léger gémissement et l'homme en face de moi en profite pour enfoncer son sexe allongé entre mes lèvres.
Il s'enfonce et ma joue gauche s'étire, se déforme totalement sous la pression du gland pourpre.
Je voudrais disparaitre, m'enfoncer dans les draps et m'évanouir, m'évaporer.
Il viole ma bouche alors que derrière moi une langue se faufile de nouveau dans mon orifice le plus étroit.
Lorsque je sens le patron de Marc se redresser derrière moi j'ai peur.
Hoo... Marc... je ne préfère pas y penser.
Le gland épais vient appuyer sur mon sexe.
Les mains de mon vis à vis entourent mon visage.
Il entre et sort de ma bouche, avance et recule sur ma langue, bute dans le fond de ma gorge.
Je tente de refluer la longue tige mais chacun de mes mouvements me fait aspirer son sexe dur.
L'éperon qui se fraie un passage dans ma grotte féminine me fait chavirer.
A coups de lents mouvements de bassin, la large hampe me force et me remplit de nouveau.
Ma bouche... suce... comme indépendante de mon esprit.
Ma croupe se dandine, affamée et déconnectée de mes pensées.
Marc est loin, évanescent... sorte de souvenir fugace...
Je grogne, la bouche pleine, le sexe défoncé de façon systématique.
Ils rient de me voir dans cette position immorale.
Ma bouche est douloureuse.
Le sexe du patron de Marc vient s'enfoncer à la place de celle de son adjoint alors que ce dernier pose ses mains dans un claquement sur mes fesses et qu'il m'enfile sans perdre un instant, me faisant rugir, cri étouffé par la verge qui me bâillonne.
Prise en sandwich par deux hommes, je suffoque, un second orgasme me ravage.
Leurs commentaires me font l'effet de fouets érotiques.
Je suis mise à genou sur le sol de ma chambre... de notre chambre... hooo... de la chambre où je suis leur jouet.
L'un après l'autre ils me faut sucer leurs sexes couverts de mon jus.
Je n'en peux plus et pourtant leurs attouchements me donnent la fièvre.
Mes seins sont malaxés par leurs mains de males dominants.
Jamais je n'ai été traitée de la sorte, utilisée, salie, insultée... humiliée.
Je suis obligée de les masturber, de caresser leurs bourses, de les lécher, de gober les boules et de les aspirer.
Ils tirent mes pointes de seins, me font crier de plaisir.
Ma seule résistance est de garder mes yeux clos.
Ma mâchoire fatigue, mais je continue d'avaler les deux gourdins qu'ils me présentent.
Un nouvel orgasme monte...
Et puis je sens leurs verges palpiter dans mes mains, une dans chaque main... comme... hooo... la trainée qu'il me qualifient.
Ils éjaculent l'un après l'autre sur mon visage.
Maculant mes joues, ma bouche, mon menton et mon cou, de grosses nappes de foutre odorant.
Ils caressent mon visage, étalant leurs jus sur moi de manière obscène.
Leurs doigts couvert de sperme entrent dans ma bouche et passent sur mes dents, entre mes lèvres.
Leurs excrétions de jouissance me souillent l'intérieur comme l'extérieur.
Et l'improbable se produit...
Ma poitrine tiraillée, mon visage maquillé de jus d'homme...
Je jouis de nouveau.
Je m'imagine... livrée à ces deux hommes... et les images me font venir avec une fulgurance folle.
Mes cuisses se tapissent de la cyprine qui inonde ma fente.
Je pousse des gloussements rauques.
Ils continuent de me caresser jusqu'à ce que je m'effondre au sol, vidée... assouvie...
Le sous directeur me félicite d'être une "bonne salope".
Je sens les larmes me monter aux yeux alors qu'il s'en va.
Il a profité de mon corps et s'en détourne, comme un homme vicieux, sans morale.
J'ai envie de les maudire.
Le patron de Marc me prend dans ses bras et m'allonge sur le lit.
Il se colle à moi et me câline.
Je lâche alors les vannes, je pleure, sur ma condition, sur ma vertu, sur ma conscience définitivement assombrie.
Il est doux, et je me love dans ses bras rassurants.

Lorsque je reprends réellement pied dans la réalité je suis seule dans mon lit.
Le soleil est bas.
Ai-je rêvée ?
Les draps sont en torchon.
Mon bas ventre est encore endolori.
Et mon visage craquelle de sirop masculin séché.
Ho non...
Sur un coin de ma table de nuit la culotte et le soutien gorge que j'avais perdu lors de la soirée d'entreprise sont posés avec un mot écrit sur un papier blanc : "Vous êtes délicieuse. Marc a de la chance. A bientôt.".
Je froisse le papier.
.... "A bientôt"...
J'ai honte.
J'ai chaud... si chaud.
L'envie...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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