Trio ou plus...

[...]

Cela fait un an que le patron de Marc est devenu mon amant.
Un an que mon mari n'est plus le seul à... me posséder.douce.jpg
Mon époux a pris l'habitude de dormir à côté du lit, sur le matelas, au ras du sol, libérant ainsi la place pour celui qui me fait gémir et crier lorsqu'il me prend comme il le souhaite.
Notre vie, nos habitudes ont changées.
J'ai changé.
Ho, j'ai toujours honte, je rougis toujours lorsqu'il me fait faire des choses si... osées.
Mais je suis libérée, à l'écoute de mes plaisirs, à l'écoute des siens.

Nos amis aussi ont été choqués.
Certains sont partis et ne sont jamais revenus.
D'autres se sont révélés.
Comme cette soirée où mon amant, mon... maitre, le patron de Marc,  était là alors que Véronique et Pierre étaient venus nous rendre visite.

J'étais dans la cuisine à préparer le dessert.
Il m'a rejoint.
Nos amis étaient déjà surpris de le voir ici, faire ce qu'il voulait, comme s'il était chez lui.
Mais ils n'osaient rien dire, souriant juste aux allusions un peu sensuelles qu'il faisait.
J'étais mal à l'aise, je me demandais ce que nos amis allaient penser de cette situation.
Ses mains sur mes hanches me firent frissonner.
La porte était ouverte et je craignais qu'ils ne le voient me caresser de cette façon déplacée.
Il remonta ses mains sous mes seins pour me palper.
Je me mordis la lèvre pour ne pas gémir.
Il savait qu'il me faisait de l'effet.
Dans le creux de mes cuisses, bien malgré moi, mon abricot devint un fruit juteux alors que ses mains palpaient mes globes et faisaient rouler mes tétons qui se tendaient.
Il me caressa la croupe d'une main agile.
Mes fesses se tendirent plus que de raison.
Je jetais un œil inquiet par l'ouverture.
"Non... il ne faut pas, ils pourraient nous voir".
Je n'arrivais plus à couper le gâteau, mes mains devenaient moites et je sentais ma poitrine devenir dure, douloureuse.
Il flattait ma nuque, passant ses doigts sous mes cheveux, sur de lui.
Ses doigts passaient dans mon dos sur le chemisier de coton pâle.
Je me cambrais de la croupe en une invitation honteuse.
Une pression me fit sursauter.
Mon agrafe de soutien-gorge venait de se défaire sous ses doigts.
"Donne moi ton soutif" me murmura t-il.
D'une main fébrile, hésitante, je glissais sous le tissu de mon chemisier pour lui tendre ce qui retenait mes seins.
Il le lança sur la table voisine et remonta ma jupe.
Je poussais une petit cri de stupeur.
"Ho... non... pas ça."
Il crocheta avec lenteur ma culotte jusqu'à la faire glisser au sol.
Je n'osais rien dire.
Mon bas ventre était humide, je le sentais.
Le tissu retomba et recouvrit mes fesses nues qu'il avait observé pendant quelques instants sans que je ne fasse un seul geste pour l'en empêcher.
J'étais à lui, il le savait, il en jouait.
"Tu nous apportes le dessert ?" fit-il en s'éloignant et en rentrant dans la salle de séjour où nos amis discutaient avec mon époux.
Je pris le plat dans mes mains, tentant de cacher mes seins qui tendaient le tissu...
C'était une tentative bien vaine qui ne faisait que rajouter à la curiosité du couple d'amis.
Il me semblait que chaque regard se rendait compte de ma nudité sous ma jupe.
Je m'assis enfin et je servais.
Véronique, la femme qui était là avec son mari, Pierre, me scrutait de façon étrange.
Elle savait que je ne portais rien sous mon chemisier, son regard de femme avait décelé mon absence de soutien gorge dès mon premier pas dans la pièce.
Son mari lui avait sourit et j'avais vu son regard se poser sur ma poitrine lorsque, penchée en avant, je lui avais servi sa part de tarte.
Mon chemisier un peu trop lâche pour masquer la vallée de ma poitrine, libre sous le coton.
Marc ne disait rien, il avait même baissé le regard.
Je sentis le pied de Monsieur venir se poser entre mes cuisses.
Sous la table il appuyait ses doigts sur mon entrejambe.
Je hoquetais de surprise.
Sa force m'obligea à écarter mes jambes.
Je ne pouvais pas prendre le risque d'être surprise ainsi, alors j'ouvrais mes cuisses...
Je le laissais appuyer sur mon sexe, me caresser de son pied, fermement.
Je dus lutter pour ne pas gigoter.
Il me... masturbait sous la table, mes joues devinrent rouges.
Ma gorge était sèche.
Mes pointes de seins étaient tendues à en déformer le tissu.
J'étais incapable de répondre à un question, l'esprit totalement en fusion.
Il se leva, je pus reprendre un peu contenance.
Il vint à côté de moi.
"Je propose que nous levions nos verres à ma charmante Béatrice qui nous réjouit".
Ho non ! Il venait de dire "ma Béatrice"...
Véronique plissa les yeux et me sourit en dégustant son verre sans me lâcher un seul instant du regard.
Son mari ajouta un "ha oui, c'est vrai : charmante !".
A chaque fois qu'il venait se poser sur moi son regard me déshabillait, là il semblait ravi de la tournure que prenait les évènements.
Mon amant se tenait à quelques centimètres de mon épaule.
Sa main vint s'y poser.
Il caressait mon cou, faisant s'écarter la manche de mon chemisier.
Je frissonnais de nouveau.
Quel sort m'avait-il jeté pour que son contact, son esprit, me chavire autant ?
Ses deux mains étaient maintenant sur mes épaules.
Il me massait devant nos amis et devant Marc qui ne disait rien, sa cuillère à la main.
"C'est indéniable, Béatrice est délicieuse..."
Il continuait de me flatter.
Ses mains aussi...
Le long des flancs de mes seins.
Ma respiration s'accéléra.
Je baissais le regard.
C'était si déplacé, si osé, génant... et pourtant mon cœur s'accélérait, mon vagin se contractait... j'étais excitée.
Ses paumes s'emparèrent de ma poitrine libre sous le tissu trop léger.
Le couple en face de nous se délectait du spectacle.
Il ouvrit mon chemisier lentement.
Chaque bouton faisait un claquement sonore qui résonnait dans ma tête.
Ses doigts écartèrent les pans de tissu fluide.
Il me fit me lever une fois que les pans de tissu ne recouvraient plus que mes auréoles roses.
Mon chemisier ouvert ne me cachait que bien peu.
Véronique avait posée sa main sur la cuisse de son mari qui, lui, avait sa propre main sous la jupe de sa femme.
Elle me regardait : "Tu es vraiment belle, Béatrice". Ses yeux étincelaient autant que ceux de Pierre qui me dévorait littéralement du regard. "Pierre, tu dois être ravi, toi qui adore les petits seins".
Je rougissais, debout dans la salle de séjour comme un animal que l'on exhibe.
Les mains de Monsieur vinrent se poser sur la glissière de ma jupe.
J'étais pétrifiée.
Elle s'ouvrit, s'écarta, glissa sur mes jambes, simplement tenue par les doigts de l'homme qui me faisait faire les choses les plus honteuses et délicieusement perverses que je n'avais jamais faite.
Pierre siffla d'admiration "Hummm et toute lisse... décidemment, tu nous surprends Béatrice".
Ils voyaient tous mon intimité, totalement glabre depuis que Monsieur m'en avait donné l'ordre.
Ses doigts effleurèrent mon abricot.
Mes grandes lèvres légèrement proéminentes étaient luisantes, humides et je ne pouvais plus me cacher.
Lorsque son doigt vint s'appuyer contre le logement de mon bourgeon, je ne pus retenir un soupir de plaisir.
"Marc, tu nous avais caché ce joyau ! Et ces pratiques" lança le couple.
J'ouvris les yeux.
Marc avait le regard sur nous, tête basse, vaincu comme à son habitude.
Véronique avait sorti la verge de son homme.
Ho ! Une autre verge... de belle taille... dans mon salon.
Je ne pus m'empêcher d'avoir une envie salace.
Etais-je vraiment normale ? Soudain j'avais des envies si... obscènes.
Et mon corps donnaient raison à ces désirs impolis.
La scène était incroyable.
Véronique, penchée sur son mari, sa lourde poitrine à l'air, se faisait malaxer lentement pendant qu'elle masturbait avec lenteur la tige rose qui émergeait d'une forêt de poils bruns.
Mon chemisier vint rejoindre ma jupe sur le tapis.
J'étais nue devant ces 4 personnes, mon mari, mes amis et... Monsieur.
Mes pointes de seins étaient tendues vers le ciel.
La main de mon amant continuait de me masser la fente et je ne pouvais qu'onduler sous ses gestes précis qui enflammaient mes sens.
"Et Marc ?" demanda Pierre.
La réponse de Monsieur claqua.
"Il est à sa place".
Véronique ria doucement, "Je vois que tu as trouvé un bon maitre ma chérie" me murmura t-elle entre deux soupirs.
Un "Maitre"... le mot marqua au fer rouge mon esprit... oui... il était mon maitre... et j'aimais cela.
Lui appartenir, ses désirs me mettaient dans tous mes émois, ses plaisirs les plus crus me surexcitaient.
J'acceptais tout... même d'être nue devant d'autres... de faire des choses si osées... pour lui.
Il posa son regard azur sur moi.
Dans ses yeux je lus autre chose que du désir. Du respect, de l'admiration... une forme d'amour.
Il y eut comme un verrou qui se brisa.
Ma voix était faible mais plus affirmée que jusqu'alors.
"Que voulez vous que je fasse, Monsieur".
Lui demande-je.
J'avais envie de lui rendre cet amour étrange qui nous liait.
Son sourire me fit l'effet d'un soleil d'été.
Je me fis plaisir à lui obéir.
Mon corps irradiait de bonheur.
Je savais que tout ce que nous faisions était uniquement pour nous deux, les autres n'étant que des jouets.
A partir de ce soir là, rien ne fut plus pareil.
Bien sur j'avais une pointe de jalousie lorsqu'il s'occupait d'une autre femme mais toujours il me jetait un œil pour me rassurer.
Et je prenais plaisir à satisfaire ses envies même dans d'autres bras.
Sans lui, sans Monsieur, sans mon Maitre, cela n'aurait eu aucun intérêt.

Il prit Véronique sur la table.
Elle avait admiré son sexe lorsqu'il m'avait ordonné de m'agenouiller pour lui sortir.
Je me souviens de l'exclamation de mon amie : "Wahoo quelle belle queue !".
J'avais du le lécher devant eux.
Ma langue s'enroula de nombreuses fois autour de ce manche de chair si dur et si doux.
Mes lèvres se plissèrent et mes joues se creusèrent lorsqu'il me fit le sucer de la façon la plus goulue qui soit.
Il m'obligea à lui aspirer les boules, lisses, l'une après l'autre.
Je bavais devant mes amis et mon mari en le suçant comme une affamée.
Véronique était à demi nue, son mari lui tétait les seins en la caressant, son sexe à l'air.
Marc nous regardait comme en transe.
Puis Monsieur sortit son vit de ma bouche pour s'approcher de mon amie qui le regardait avec un air des plus gourmand.
Véronique s'allongea à plat ventre sur notre table, sa jupe retroussée.
Elle gémissait sous les poussées de ce calibre qui la ramonait durement.
Monsieur m'avait obligé à rester à 4 pattes et m'occuper de Pierre.
Je le léchais, l'aspirais à pleine bouche comme l'avait exigé le patron de Marc.
Son sexe, plus trapu que celui de mon amant était plus conséquent que celui de mon mari.
Il était adapté à ma bouche trouvais-je en le pompant avec gourmandise.
J'entendais les mains de mon maitre donner de petites claques sur le fessier rond de Véronique.
J'avais envie que ce soit à moi qu'il fasse subir ce traitement.
Au lieu de cela il continua de m'échanger avec la femme de mon couple d'amis.
Ses mots résonnèrent dans mon esprit.
"Tu peux la baiser autant que tu veux, Béatrice adore la bite".
Il n'en fallu pas plus pour que Pierre me place à côté de sa femme.
De concert les deux hommes nous chevauchaient.
Je voyais Véronique grimacer et souffler de plaisir.
Je me fis percer d'un trait par son mari.
Je poussais un petit cri.
Marc reçu l'ordre d'aller chercher; à boire, puis la vaseline.
Mon mari obéissait.
Mes amis n'en semblaient pas s'en soucier. S'ils lui parlaient avec gentillesse, ils savaient qu'il était tout autant soumis que je l'étais.
Monsieur m'obligea à me mettre allongée au sol et à lécher Véronique.
Celle-ci se frottait, salement, à mon visage.
Son sexe était trempé et ses nymphes béantes bordées de poils noirs me caressaient le visage.
Je la buvais cependant avec plaisir, poussant même ma langue dans son vagin à la recherche de ses plis les plus intimes, de ses sécrétions féminines qui la faisait pousser des petits halètements continues.
Elle me pratiqua un cunnilingus qui me fit perdre la tête.
Nous avons du jouir ensemble une première fois.
La suite de la soirée fut des plus torride.
Pour la première fois de ma vie, j'étais au service de mon Maitre avec un abandon total.
Il ordonnait, j'obéissais.
Il proposait à mes amis, et ceux-ci abusaient de moi comme il le leur avait proposé.
J'étais un jouet, une poupée entre les doigts, leurs mains, leurs envies sexuelles débridées.
J'étais sa chose... et je ne cessais d'être enivrée de plaisirs.

Véronique se fit prendre par les deux hommes en même temps, l'un devant qu'elle du sucer l'autre derrière qui la chevauchait ardemment, puis se fut mon tour.
Leurs sexes me prenaient la bouche, la fente, ils changeaient de place et recommençaient à me pilonner.
J'ai jouis... en cascades... un nombre de fois incalculable.
Je dus avaler le foutre de Pierre un couple de fois, celui de sa femme au moins autant.
Monsieur lui, se déchargea dans ma gorge et j'appréciais de le boire.
Son sexe avait l'odeur du mien, de celui de mon amie.
J'étais devenue folle.
Une verge dans chaque main, je branlais les deux hommes alors que Véronique me malmenait la fente, meurtris de tant de saillie.
Pierre enfila sa femme par tous les orifices, monsieur en profita également... et elle cria lorsque le large piston de mon amant lui déchira l'anneau étroit, pourtant aidé par la vaseline qu'avait apporté Marc.
Mon petit trou resta vierge, "celui-ci n'est que pour mon plaisir" avait précisé mon maitre.

Marc ne fut pas laissé un reste.
Véronique vint le sucer et le faire éjaculer à son tour, mais il n'eut pas le droit de participer à plus que cela et se contenta de regarder. Il du jouir 2 autre fois, seul, en se masturbant devant nous, devant sa femme qui se faisait prendre comme "une belle salope".
Il me regarda être la "chienne" qu'ils voulaient que je sois.
Agir comme "la petite pute" que je me plaisais à être pour eux.
Leurs commentaires cochons ne faisaient que me rendre plus ardente.
Je souriais désormais, heureuse.

Au petit matin, lorsque nous nous couchâmes, je me retrouvais enfin seule avec Monsieur.
Marc dormait au pied de notre lit.
Mon amant me caressa.
La douche m'avait apaisée.
Mon sexe était en feu.
Mon clitoris n'avait jamais été autant stimulé.
Mon vagin semblait un puits de lave.
Il effleura mes tétons, si souvent sucés, mordillés, qu'ils irradiaient de douleur à peine la douceur du drap sur eux.
Je me coulais dans ses bras de mâle.
Je voulais lui appartenir, me coller à lui.
Il était fier de moi.
Sa voix me transportait.
Ses mots si doux, après ceux, si crus, qu'il avait proférés, mes faisaient l'effet de sensuelles caresses.
"Je suis à vous Monsieur" lui dis-je alors en me plaçant à 4 pattes.
Un désir fou me vint.
Je voulais qu'il sache que j'étais sa chose, sa poupée de luxure.
D'une main que je posais sur ma croupe j'écartais une fesse.
Mon cœur s'emballa. Je demandais... je m'offrais à cette pratique qui me faisait tellement honte.
Mais plus anxieuse encore du fait que je l'invitais, que je lui demandais sans que ce soit lui qui m'oblige.
J'espérais ne pas le décevoir.
Ma grimace finit en sourire lorsqu'il me pénétra par l'arrière.
Il me sodomisa avec une douceur qui me fit feuler durant toute l'action.
Son sceptre me posséda comme une vestale.
Je lui appartenais.

Véronique m'avoua, plus tard, qu'elle nous avait entendu et qu'elle avait eu envie de nous rejoindre mais que nos murmures et nos gémissements étaient si complices, qu'elle n'osa pas.

Pierre et elle sont de bons amis chez qui nous passons de délicieuses soirées.
Depuis, j'ai rencontré d'autres partenaires et Monsieur me livre à des jeux sexuels qui ne font que renforcer nos liens... si forts.
Marc a accepté son rôle de mari dévoué, soumis et discret.
Il n'est pas en reste car bien souvent il est pris en main...
Je suis sa femme mais j'appartiens à mon amant.
Je suis Béatrice, la poupée salope de Monsieur.
Et j'aime ça.

Fin ?

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

[...]b&wperle3

Je me redresse devant mon amant.
Assis sur son fauteuil de cuir noir, son sexe est toujours dressé vers le ciel.
"On dirait bien que cela t'a plu".
Je deviens écarlate, debout dans son bureau, mes vêtements chiffonnés, mes cheveux décoiffés.
"Je n'avais jamais fait cela Monsieur".
"Mais tu y a pris du plaisir".
Je baisse la tête... aveu sans parole de ma condition.
Il glisse sa main sous ma jupe qui est retombée après la folie qu'il m'a fait commettre avec sa secrétaire.
Je réprime difficilement un gémissement alors qu'il frôle mon sexe en feu.
Il me caresse avec ses doigts agiles et la maestria que je lui connais.
J'écarte mes jambes sous l'effet qu'il me fait.
"Regarde-moi".
J'ouvre les yeux.
Il est si... mâle... magnétique...
Il a une étincelle dans les yeux qui me fait fondre.
Je ne peux lui résister, il le sait.
Mes nymphes enflent sous ses gestes précis, mon clitoris est agité, frotté, pressé.
J'émet un son plus fort. Je gémis.
Marc me perd un peu plus à chaque fois que je suis sous la coupe de mon... mâle dominant.
Il écarte ses cuisses et je sais ce qu'il veut.
"Tu as déjà la bouche pleine de cyprine, il te faut maintenant du foutre ma petite Béatrice."
Mon cœur s'emballe.
Ma poitrine me fait mal tant je suis surexcitée.
Ses mots crus me rendent dingue de désir.
Des paroles que jamais mon mari n'osera prononcer.
Des actes qu'il ne me fera jamais subir... dont il ne me fera nullement profiter.
Je m'agenouille.
Je passe sous le bureau telle une automate.
Au creux de mes jambes une envie irrésistible.
Et je lèche sa tige épaisse sans qu'il n'ait à me le demander.
Il soupire de plaisir.
Je deviens avide, je le prends en bouche, je l'aspire, je le suce avec une énergie décuplée par ce qu'il m'a forcé à faire quelques minutes auparavant.
Je le dévore pour ôter de ma gorge le gout de cette femme.
Son manche coulisse entre mes lèvres.
"Grosse gourmande... hummm".
Ho oui ! Je suis à ce moment là une "gourmande", sa gourmande.
J'en ai envie.
Une envie débordante, de lui, de son membre dont je rêve, d'être à lui.
Je ne l'entends même pas répondre au téléphone tellement je suis absorbé par la fellation que je lui prodigue.
Peu a peu je saisis des paroles.
"... vous me dérangez Marc"
Je suis alors tétanisée.
Soudain ma condition de femme mariée, adultère, me revient en pleine face.
"Heureusement que votre femme est venu me remettre le dossier que vous avez oublié chez vous"
Son ton est dur avec mon époux.
Ma fente se souille instantanément.
Je pose ma main sur ses bourses, soudainement très... excitée.
Je les malaxe comme il me l'a déjà ordonné auparavant.
" Et... Je suis en ce moment en train de me faire sucer par une femme mariée alors oui, votre oubli m'agace".
Ho non !
Il va se douter de quelque chose !
Ses doigts agrippent mes cheveux blonds pour me faire descendre sur ses boules.
Il le sait, la présence de Marc, même au téléphone, me fait un effet particulier.
J'ouvre ma bouche et aspire une bourse.
Elle est chaude, elle semble agitée d'une vie autonome car l'olive bouge toute seule dans ma bouche.
Je suce ce sac bien plein.
"... Très bien. ... Oui continue comme ça. Non, je ne vous parle pas mon petit Marc, j'encourageais cette belle salope à me bouffer les couilles".
Je suis rouge de honte et d'excitation.
Je n'entends même plus le reste de la conversation, les mots crus qu'il énoncent à mon époux sans me nommer, mon esprit embrumé, mon sang en afflux rapide... mon sexe ruisselle.
J'ouvre la bouche à mon maximum et tente de faire entrer ses 2 bourses entre mes lèvres.
Ma langue joue, tourne, presse, lèche copieusement.
Je le masse de ma langue puis le reprends en bouche, son sexe coulisse de nouveau dans ma bouche.
Il raccroche.
"Ton mari. Il a de la chance de t'avoir". me dit-il en sortant sa verge d'entre mes lèvres.
Le sourire que je lui lance et que je tente de réprimer aussitôt lui fait plisser les yeux.
"Tu aimes les boules je vois ça... lèche la bonne glace".
Je m'exécute à son ordre salace.
Ma langue part du bas de son membre et remonte vers le haut.
Mon muscle se fait large pour apprécier l'épaisseur conséquente de son barreau intime.
"Lèche lentement... voilà... et regarde moi... très bien..."
Je suis envoutée.
Il me force à adopter une telle attitude de luxure que je ne me reconnais plus.
On frappe de nouveau.
Je m'immobilise.
Son sourire est plus grand, carnassier.
Je frémis.
Je redoute le retour de sa secrétaire.
Mais je sais que je ferais ce qu'il me demande.
Il me pousse sous le bureau.
Dans l'ombre, à l'étroit, ses cuisses musclées de part et d'autre de mon visage.
"Entrez".
Je continue de lécher lentement, troublée par cette humiliation.
Je reconnais aussitôt la voix de mon mari qui le salue et s'excuse déjà.
Je fais le moins de bruit possible, hésitante entre l'envie de ce gros sexe et la peur d'être découverte.
Mon amant, son patron, le houspille sur son erreur.
J'incline la verge de Monsieur et la prend en bouche de nouveau, je veux apaiser sa colère.
Et surtout... la présence de Marc décuple mes envies...
Aucune main ne me tient, aucune pression ne m'oblige à le pomper comme je le fais.
J'aime ça.
La fellation que je lui pratique va au delà de ce que je me croyais capable de faire.
Mon sexe est un volcan en éruption.
Je glisse ma main sous ma robe, entre mes cuisses.
Je me caresse pour atténuer la tension qui me tourmente.
Tout en me masturbant lentement, son sexe entre mes lèvres, je lui agite la base de son vit.
Au bout de quelques minutes, au son des 2 voix de mes ... hommes... j'ai les doigts gluant de mon plaisir.
A la limite de la jouissance, je dois me freiner pour ne pas aller jusqu'au bout et crier, dévoiler ma présence.
Des "humm" disctinctement audibles m'échappent lorsque je reprends ma respiration
"... vous pourrez apporter des fleurs à votre femme, c'est grâce à elle que je vous pardonne".
Marc bafouille un " oui monsieur".
Mon amant se recule un peu sur son fauteuil, je suis son mouvement pour ne pas ôter son membre d'entre mes lèvres.
Un peu plus de clarté, j'ouvre mes yeux, relève le regard et je sens alors un coup d'œil de mon mari dans ma direction alors que son patron lui tend un document.
Le bureau ne me masque pas entièrement et il a pu m'apercevoir, me reconnaitre.
Je ne sais plus où me mettre.
La porte se ferme de nouveau et mon... et... Monsieur se recule encore plus pour me mettre en pleine lumière.
Je suis agenouillée devant lui.
La bouche entrouverte, les lèvres rouges tellement j'ai engloutis son manche, les mâchoires douloureuses.
Il se penche et prend mon bras.
Mes doigts couverts de mon jus, exhibés.
"Tu te branlais en même temps ma salope" fait-il d'un ton satisfait.
Ma tête s'incline vers le bas, je regarde le sol.
Il me relève en me tenant le menton.
Et il suce mes doigts, il m'oblige à le regarder faire.
"J'en veux encore".
Timidement je replace ma main entre mes cuisses et je me caresse de nouveau, pour lui tendre une seconde fois mes doigts couverts de ma mouille.
Il se délecte de mon miel.
Ces manigances se poursuivent et à chaque fois je me rapproche du bord de l'orgasme.
Obligée de me masturber devant lui, à genoux.
Il a posé ma main sur son sexe et je... nous caresse... simultanément.
"Tu branles bien Béatrice... et tu es, comme le dit Clémentine, "délicieuse"... une délicieuse petite salope. Ce soir je vais bien voir si ton mari t'a apporté des fleurs".
Ses paroles ouvrent les vannes de ma jouissance.
Crues...
Mélange de mes actes dégoutants et de la soirée à venir...
Je ne me retiens plus et succombe sous mes doigts.
Je gémis, je me tortille à ses pieds en dégoulinant, mon sexe ouvert, ma perle gonflée et maltraitée par mes soins.
Il me penche alors sur son vit et je n'ai que le temps d'ouvrir la bouche à son ordre avant qu'il n'éjacule dans ma bouche.
Son liquide épais tapisse ma gorge.
J'avale tout.
Ce que je n'ai jamais fait à Marc... à lui... je lui autorise.
Son gout est un nectar que je bois.
Il gicle sur mon visage.
Je lèche pour récupérer son jus chaud, entre deux râles de jouissance que je laisse sortir du fond de mon être.
Assouvis tous les deux après ce long moment de luxure, déshonorée et frémissante, j'accepte ses bras qui m'entourent et me cajolent.
Je tremble au souvenir de ce que je viens de faire.
Assise sur ses genoux, je sens son corps qui m'enlace.
Je suis... bien... heureuse d'être à lui.
Ravie d'être sa salope.

Lorsque je quitte son bureau, sa secrétaire me remercie pour ma venue.
Je n'ose pas la regarder.
Je m'engouffre le plus vite possible dans ma voiture pour retourner chez moi.
Et dire que ce soir... il revient chez nous...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

[...]alliance

Ma main dans celle de mon amant, je descends l'escalier vers ma cuisine.
Je suis nue.
Mes pieds font craquer le bois puis se retrouvent sur le froid du carrelage.
Un frisson me parcourt l'échine.
Ce n'est pas le rayon du soleil matinal qui vient se poser sur ma peau, ni la fraicheur du sol, c'est une sensation plus intime, plus troublante, celle de parcourir ma maison avec un autre homme que le mien.
La porte est entrouverte et une odeur de café nous parvient.
Je vais entrer et y trouver mon mari, Marc, que l'homme qui me tient par la main à ordonné de nous préparer le petit déjeuner.
Mon époux me perd.
J'appartiens chaque seconde un peu plus à ce Monsieur qui est de plus son patron.
Je rougis quand je le voit affairé à nous servir café, croissants et un verre de jus d'orange.
Je me retrouve bientôt assise à la table sur les genoux de mon amant.
Sa main autour de ma taille, il caresse le haut de ma cuisse.
Ses doigts sur ma peau, devant mon mari, je n'ose pas croire que j'accepte ces gestes déplacés, et pourtant la chaleur qu'il fait naitre dans mon ventre ne cesse de croitre comme un feu dévastateur qui me consume.
Il se faufile entre mes cuisses et j'entrouvre mes genoux pour lui permettre de venir effleurer ma toison blonde.
Du bout de l'index il effleure mes lèvres.
Je me mords pour ne pas crier mon envie d'être prise là, de suite, sur la table.
Ceci ne serait absolument pas convenable.
J'en ressens un conflit de honte et de désir.
D'une main il boit son café, de l'autre il me caresse la fente.
Marc ne dit rien.
Ma poitrine se tend de plus en plus.
Le bout de mes seins est dressé de façon orgueilleuse.
Faufilé dans mon intimité, son index vient jouer avec ma perle par l'intérieur de mon sexe.
Il la titille délicatement et un gémissement m'échappe.
Mes jambes s'écartent encore un peu plus dans une attitude d'acceptation.
Son medius se joint à la délicieuse sarabande que son premier doigt joue sur moi.
Tel un guitariste, il alterne les pressions, les attouchements qui me font me dandiner sous ses gestes précis.
Il repose sa tasse après avoir dégusté le café et complimenté Marc, et sa seconde main me caresse le cou et les épaules.
Sa bouche vient déposer des baisers sur ma peau.
Je frémis, la vague de bonheur que je ressens est décuplée par la présence de mon homme.
Je dois bien me l'avouer, lorsque mon... amant... me fait devenir sensuelle devant Marc, j'en suis troublée à un point que la honte laisse place à un plaisir inouï.
Ses mots doux, crus, qu'il murmure à mon oreille me font m'empourprer.
Jamais Marc n'a osé dire cela, jamais il n'osera.
Il me présente ses doigts, gluants de cyprine.
Je reste bouche close mais sa voix... si chaude... sa demande si coquine... me fait sortir le bout de ma langue pour venir lécher mon propre jus.
Je passe entre ses doigts, sur ces splendides sources de plaisir.
Le gout ne me rebute plus... je suce doucement ses phalanges de façon lente et gourmande.
Il s'empare de ma main et la pose sur son membre.
Ho !  Qu'il est déjà gros !
Si large que mes doigts fins n'en font pas le tour.
Je le sens si raide et si chaud.

Mon alliance accroche la lumière comme un phare... sur un sexe qui n'est pas celui de mon époux.
Sans qu'il n'ait à me le demander je le masturbe lentement en le faisant monter et descendre pour le sentir dans ma paume.
Je le fais coulisser alors qu'il joue de nouveau avec mon sexe.
"Regarde ton mari" me susurre t-il.
Je pose le regard sur Marc.
"Il bande de nous voir. Tu lui fais de l'effet ma cochonne ".
Je deviens écarlate.
C'est vrai, son petit tuyau est dressé au centre de ses poils bruns.
Je n'en reviens pas, et en même temps j'en suis rassuré car je ne suis pas la seule à avoir soudain.. déviée... de la morale.
Ses mains fortes me soulèvent et il me place à cheval sur lui.
Son gland trop large force mes lèvres et me fait couiner lorsqu'il me pénètre.
Il relâche sa tenue et je glisse autour de son pieu qui me déforme le vagin.
Un "Haaan ! " m'échappe tant il m'empale profondément.
Mon sexe l'aspire.
Mes muqueuses sont trempées et j'accueille, bien que très étroite, sa virilité tout en moi.
Je gémis, mes hanches se balancent.
Son vit me chahute tout l'intérieur, le fond de mon vagin s'en trouve frotté.
J'ai envie de hurler mon plaisir.
Je monte et je descend sur sa verge.
Il me possède, je m'éloigne de Marc qui n'est plus qu'un contour flou dans la cuisine.
Mon vagin se contracte, je ruisselle abondamment.
Mes fesses claquent sur ses cuisses musclées à chaque fois qu'il me prend.
Je me cambre, mon visage rejeté en arrière, je me dandine sur le pylône de luxure.
Mon intérieur outragé par son gros engin.
"Caresse tes seins".
Je refuse... un tel geste est indigne d'une femme... mariée... sérieuse... sage.
Mais ma poitrine ne l'entend pas de cette manière.
Elle est douloureuse et mes mamelons sont durs de désirs.
Mes doigts se posent sur les côtés de mes seins.
J'effleure mes auréoles aux aspérités aussi érigées que mes tétines.
J'appuie.
Hooo... honteuse, je me malaxe les seins.
Je lui obéis et je l'en remercie car la tension s'apaise pour laisser place à du bonheur.
Pour la première fois de ma vie je ma fais du bien en me tripotant les seins, allant même jusqu'à faire rouler mes tétons entre mes doigts, les tirer vers le ciel pour assouvir mon plaisir.
"Une vraie petite salope" me dit-il.
Et ses mots me donnent chaud !
Ses mains me soulèvent de nouveau.
Je pousse un petit cri alors qu'il sort de mon sexe.
J'étais presque au bord de l'orgasme.
Je me trémousse pour qu'il me prenne encore...
Et je le sens.
Je voudrais m'enfuir.
Son manche se pose sur ma rondelle.
"Non... pas..."
Je n'ai pas le temps d'achever ma supplique.
Il me... fourre son dard dans l'anus.
Ma bouche s'ouvre en un cri muet.
Mes mains compriment ma poitrine, mes deux globes l'un contre l'autre.


Je me fige alors que son sexe, qui me parait beaucoup trop épais, s'encastre dans mes fesses.
Mon œil bistre est obligé de s'ouvrir, la pesanteur joue contre moi.
Son piston entre... me remplit lentement...
Je pousse un râle.
Mes yeux s'ouvrent.
Mes mains relâchent mes seins.
Mon anneau est traversé par un éclair qui irradie en tous sens jusqu'à mon sexe qui s'inonde.
Devant moi Marc me regarde ébahi.
Je suis en sueur.
Et mon amant me fait remonter autour de sa verge.
Je geins, incapable de me retenir.
Il me lâche presque et son sexe m'enfonce beaucoup trop loin, trop vite, trop largement !
Je glisse, je coulisse autour de la grosseur masculine, irrésistiblement.
Dans mon dos j'entends et je sens le souffle de celui qui me malmène avec une maitrise onctueuse.
J'ai toujours refusé cela à Marc mais là... je m'y abandonne...
Je me sens poupée si fragile entre ses mains.
Je sais que je lui appartiens.
Il sent qu'il peut faire de moi ce qu'il veut.
Mon refus ne fait qu'attiser encore plus le brasier qui nous habite.
Mon orifice le plus étroit est défoncé de plus en plus méthodiquement.
A chaque fois que son membre me force je crois qu'il me ravage l'intérieur et les parois.
Je m'aperçois que je ne cesse pas de gémir, de soupirer d'extase, d'onduler du bassin malgré la présence obscène de sa verge dans mon petit trou dilaté.
Il me... sodomise... et j'aime cela.
Jamais je n'aurais cru cela possible.
Et pourtant...
La grosseur me ramone contre nature.
Je jouis soudainement.
Mon abricot se gorge.
De mon petit orifice à ma fente douleur et plaisir se mêlent en une furie orgasmique.
Je me crispe, je me tends comme une corde d'arc.
Un long souffle rauque me transperce de part en part.
Je suis prise de façon indécente, devant mon mari, et lorsque mon amant me soulève les cuisses pour que je m'emmanche au plus loin sur son gros sexe, je lâche un "ha ouiiiii ! " de plaisir.
Je m'oublie dans ses bras.
Les secondes passent, toute à ma jouissance qui n'en finit pas, j'ai placé une main derrière la nuque de celui qui me procure tant de sensations, mon corps tendu, courbé et oscillant dans le plaisir.
Mon autre main dans la sienne, il me masturbe tout en continuant de me prendre les fesses.
Je suis cambrée et dans un frisson, je m'affale sur la table, vaincue, assouvie.
Je prends conscience qu'il s'est vidé en moi.
Il s'extirpe de mon anneau en m'arrachant un ultime gémissement.
Le long de mes cuisses coule le foutre que j'expulse par petites saccades.
J'ai mal au fondement... je déglutis, reprenant conscience de ma posture.
Je sens mon œil le plus intime palpiter et se contracter pour tenter de reprendre une dimension normale... il est évident qu'après une telle intromission il va lui falloir plusieurs heures pour se refermer totalement.
Mon amant me donne une petite claque sur les fesses.
" Allez ma Béatrice, va te laver tu es sale comme la dernière des putes ".
Il m'embrasse sur la bouche. Un baiser doux, lent.
Les larmes me montent aux yeux.
Non pas à cause de ses mots crus, non, eux me font de l'effet et ravivent mon sourire,
Mais parce que je sais qu'il va partir.
Quelle... folle je suis en train de devenir.
Je l'entends dire au revoir à mon mari.
Son " A bientôt " me réchauffe le cœur.

Marc ne dira rien pendant toute la journée.
Il accepte.
Nous ferons l'amour le soir même.
Mes pensées iront vers mon amant pendant l'acte.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • Le blog de M.
  • : Le blog de M.
  • : Récits érotiques sur les rives du plaisir.

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés