Partager l'article ! La débauche de Béatrice - 17... fin ?: [...] Cela fait un an que le patron de Marc est devenu mon amant. Un an que mon mari n'est ...
[...]
Cela fait un an que le patron de Marc est devenu mon amant.
Un an que mon mari n'est plus le seul à... me posséder.
Mon époux a pris l'habitude de dormir à côté du lit, sur le matelas, au ras du sol, libérant ainsi la place pour celui qui me fait gémir et crier lorsqu'il me prend
comme il le souhaite.
Notre vie, nos habitudes ont changées.
J'ai changé.
Ho, j'ai toujours honte, je rougis toujours lorsqu'il me fait faire des choses si... osées.
Mais je suis libérée, à l'écoute de mes plaisirs, à l'écoute des siens.
Nos amis aussi ont été choqués.
Certains sont partis et ne sont jamais revenus.
D'autres se sont révélés.
Comme cette soirée où mon amant, mon... maitre, le patron de Marc, était là alors que Véronique et Pierre étaient venus nous rendre visite.
J'étais dans la cuisine à préparer le dessert.
Il m'a rejoint.
Nos amis étaient déjà surpris de le voir ici, faire ce qu'il voulait, comme s'il était chez lui.
Mais ils n'osaient rien dire, souriant juste aux allusions un peu sensuelles qu'il faisait.
J'étais mal à l'aise, je me demandais ce que nos amis allaient penser de cette situation.
Ses mains sur mes hanches me firent frissonner.
La porte était ouverte et je craignais qu'ils ne le voient me caresser de cette façon déplacée.
Il remonta ses mains sous mes seins pour me palper.
Je me mordis la lèvre pour ne pas gémir.
Il savait qu'il me faisait de l'effet.
Dans le creux de mes cuisses, bien malgré moi, mon abricot devint un fruit juteux alors que ses mains palpaient mes globes et faisaient rouler mes tétons qui se
tendaient.
Il me caressa la croupe d'une main agile.
Mes fesses se tendirent plus que de raison.
Je jetais un œil inquiet par l'ouverture.
"Non... il ne faut pas, ils pourraient nous voir".
Je n'arrivais plus à couper le gâteau, mes mains devenaient moites et je sentais ma poitrine devenir dure, douloureuse.
Il flattait ma nuque, passant ses doigts sous mes cheveux, sur de lui.
Ses doigts passaient dans mon dos sur le chemisier de coton pâle.
Je me cambrais de la croupe en une invitation honteuse.
Une pression me fit sursauter.
Mon agrafe de soutien-gorge venait de se défaire sous ses doigts.
"Donne moi ton soutif" me murmura t-il.
D'une main fébrile, hésitante, je glissais sous le tissu de mon chemisier pour lui tendre ce qui retenait mes seins.
Il le lança sur la table voisine et remonta ma jupe.
Je poussais une petit cri de stupeur.
"Ho... non... pas ça."
Il crocheta avec lenteur ma culotte jusqu'à la faire glisser au sol.
Je n'osais rien dire.
Mon bas ventre était humide, je le sentais.
Le tissu retomba et recouvrit mes fesses nues qu'il avait observé pendant quelques instants sans que je ne fasse un seul geste pour l'en empêcher.
J'étais à lui, il le savait, il en jouait.
"Tu nous apportes le dessert ?" fit-il en s'éloignant et en rentrant dans la salle de séjour où nos amis discutaient avec mon époux.
Je pris le plat dans mes mains, tentant de cacher mes seins qui tendaient le tissu...
C'était une tentative bien vaine qui ne faisait que rajouter à la curiosité du couple d'amis.
Il me semblait que chaque regard se rendait compte de ma nudité sous ma jupe.
Je m'assis enfin et je servais.
Véronique, la femme qui était là avec son mari, Pierre, me scrutait de façon étrange.
Elle savait que je ne portais rien sous mon chemisier, son regard de femme avait décelé mon absence de soutien gorge dès mon premier pas dans la pièce.
Son mari lui avait sourit et j'avais vu son regard se poser sur ma poitrine lorsque, penchée en avant, je lui avais servi sa part de tarte.
Mon chemisier un peu trop lâche pour masquer la vallée de ma poitrine, libre sous le coton.
Marc ne disait rien, il avait même baissé le regard.
Je sentis le pied de Monsieur venir se poser entre mes cuisses.
Sous la table il appuyait ses doigts sur mon entrejambe.
Je hoquetais de surprise.
Sa force m'obligea à écarter mes jambes.
Je ne pouvais pas prendre le risque d'être surprise ainsi, alors j'ouvrais mes cuisses...
Je le laissais appuyer sur mon sexe, me caresser de son pied, fermement.
Je dus lutter pour ne pas gigoter.
Il me... masturbait sous la table, mes joues devinrent rouges.
Ma gorge était sèche.
Mes pointes de seins étaient tendues à en déformer le tissu.
J'étais incapable de répondre à un question, l'esprit totalement en fusion.
Il se leva, je pus reprendre un peu contenance.
Il vint à côté de moi.
"Je propose que nous levions nos verres à ma charmante Béatrice qui nous réjouit".
Ho non ! Il venait de dire "ma Béatrice"...
Véronique plissa les yeux et me sourit en dégustant son verre sans me lâcher un seul instant du regard.
Son mari ajouta un "ha oui, c'est vrai : charmante !".
A chaque fois qu'il venait se poser sur moi son regard me déshabillait, là il semblait ravi de la tournure que prenait les évènements.
Mon amant se tenait à quelques centimètres de mon épaule.
Sa main vint s'y poser.
Il caressait mon cou, faisant s'écarter la manche de mon chemisier.
Je frissonnais de nouveau.
Quel sort m'avait-il jeté pour que son contact, son esprit, me chavire autant ?
Ses deux mains étaient maintenant sur mes épaules.
Il me massait devant nos amis et devant Marc qui ne disait rien, sa cuillère à la main.
"C'est indéniable, Béatrice est délicieuse..."
Il continuait de me flatter.
Ses mains aussi...
Le long des flancs de mes seins.
Ma respiration s'accéléra.
Je baissais le regard.
C'était si déplacé, si osé, génant... et pourtant mon cœur s'accélérait, mon vagin se contractait... j'étais excitée.
Ses paumes s'emparèrent de ma poitrine libre sous le tissu trop léger.
Le couple en face de nous se délectait du spectacle.
Il ouvrit mon chemisier lentement.
Chaque bouton faisait un claquement sonore qui résonnait dans ma tête.
Ses doigts écartèrent les pans de tissu fluide.
Il me fit me lever une fois que les pans de tissu ne recouvraient plus que mes auréoles roses.
Mon chemisier ouvert ne me cachait que bien peu.
Véronique avait posée sa main sur la cuisse de son mari qui, lui, avait sa propre main sous la jupe de sa femme.
Elle me regardait : "Tu es vraiment belle, Béatrice". Ses yeux étincelaient autant que ceux de Pierre qui me dévorait littéralement du regard. "Pierre, tu dois être
ravi, toi qui adore les petits seins".
Je rougissais, debout dans la salle de séjour comme un animal que l'on exhibe.
Les mains de Monsieur vinrent se poser sur la glissière de ma jupe.
J'étais pétrifiée.
Elle s'ouvrit, s'écarta, glissa sur mes jambes, simplement tenue par les doigts de l'homme qui me faisait faire les choses les plus honteuses et délicieusement
perverses que je n'avais jamais faite.
Pierre siffla d'admiration "Hummm et toute lisse... décidemment, tu nous surprends Béatrice".
Ils voyaient tous mon intimité, totalement glabre depuis que Monsieur m'en avait donné l'ordre.
Ses doigts effleurèrent mon abricot.
Mes grandes lèvres légèrement proéminentes étaient luisantes, humides et je ne pouvais plus me cacher.
Lorsque son doigt vint s'appuyer contre le logement de mon bourgeon, je ne pus retenir un soupir de plaisir.
"Marc, tu nous avais caché ce joyau ! Et ces pratiques" lança le couple.
J'ouvris les yeux.
Marc avait le regard sur nous, tête basse, vaincu comme à son habitude.
Véronique avait sorti la verge de son homme.
Ho ! Une autre verge... de belle taille... dans mon salon.
Je ne pus m'empêcher d'avoir une envie salace.
Etais-je vraiment normale ? Soudain j'avais des envies si... obscènes.
Et mon corps donnaient raison à ces désirs impolis.
La scène était incroyable.
Véronique, penchée sur son mari, sa lourde poitrine à l'air, se faisait malaxer lentement pendant qu'elle masturbait avec lenteur la tige rose qui émergeait d'une
forêt de poils bruns.
Mon chemisier vint rejoindre ma jupe sur le tapis.
J'étais nue devant ces 4 personnes, mon mari, mes amis et... Monsieur.
Mes pointes de seins étaient tendues vers le ciel.
La main de mon amant continuait de me masser la fente et je ne pouvais qu'onduler sous ses gestes précis qui enflammaient mes sens.
"Et Marc ?" demanda Pierre.
La réponse de Monsieur claqua.
"Il est à sa place".
Véronique ria doucement, "Je vois que tu as trouvé un bon maitre ma chérie" me murmura t-elle entre deux soupirs.
Un "Maitre"... le mot marqua au fer rouge mon esprit... oui... il était mon maitre... et j'aimais cela.
Lui appartenir, ses désirs me mettaient dans tous mes émois, ses plaisirs les plus crus me surexcitaient.
J'acceptais tout... même d'être nue devant d'autres... de faire des choses si osées... pour lui.
Il posa son regard azur sur moi.
Dans ses yeux je lus autre chose que du désir. Du respect, de l'admiration... une forme d'amour.
Il y eut comme un verrou qui se brisa.
Ma voix était faible mais plus affirmée que jusqu'alors.
"Que voulez vous que je fasse, Monsieur".
Lui demande-je.
J'avais envie de lui rendre cet amour étrange qui nous liait.
Son sourire me fit l'effet d'un soleil d'été.
Je me fis plaisir à lui obéir.
Mon corps irradiait de bonheur.
Je savais que tout ce que nous faisions était uniquement pour nous deux, les autres n'étant que des jouets.
A partir de ce soir là, rien ne fut plus pareil.
Bien sur j'avais une pointe de jalousie lorsqu'il s'occupait d'une autre femme mais toujours il me jetait un œil pour me rassurer.
Et je prenais plaisir à satisfaire ses envies même dans d'autres bras.
Sans lui, sans Monsieur, sans mon Maitre, cela n'aurait eu aucun intérêt.
Il prit Véronique sur la table.
Elle avait admiré son sexe lorsqu'il m'avait ordonné de m'agenouiller pour lui sortir.
Je me souviens de l'exclamation de mon amie : "Wahoo quelle belle queue !".
J'avais du le lécher devant eux.
Ma langue s'enroula de nombreuses fois autour de ce manche de chair si dur et si doux.
Mes lèvres se plissèrent et mes joues se creusèrent lorsqu'il me fit le sucer de la façon la plus goulue qui soit.
Il m'obligea à lui aspirer les boules, lisses, l'une après l'autre.
Je bavais devant mes amis et mon mari en le suçant comme une affamée.
Véronique était à demi nue, son mari lui tétait les seins en la caressant, son sexe à l'air.
Marc nous regardait comme en transe.
Puis Monsieur sortit son vit de ma bouche pour s'approcher de mon amie qui le regardait avec un air des plus gourmand.
Véronique s'allongea à plat ventre sur notre table, sa jupe retroussée.
Elle gémissait sous les poussées de ce calibre qui la ramonait durement.
Monsieur m'avait obligé à rester à 4 pattes et m'occuper de Pierre.
Je le léchais, l'aspirais à pleine bouche comme l'avait exigé le patron de Marc.
Son sexe, plus trapu que celui de mon amant était plus conséquent que celui de mon mari.
Il était adapté à ma bouche trouvais-je en le pompant avec gourmandise.
J'entendais les mains de mon maitre donner de petites claques sur le fessier rond de Véronique.
J'avais envie que ce soit à moi qu'il fasse subir ce traitement.
Au lieu de cela il continua de m'échanger avec la femme de mon couple d'amis.
Ses mots résonnèrent dans mon esprit.
"Tu peux la baiser autant que tu veux, Béatrice adore la bite".
Il n'en fallu pas plus pour que Pierre me place à côté de sa femme.
De concert les deux hommes nous chevauchaient.
Je voyais Véronique grimacer et souffler de plaisir.
Je me fis percer d'un trait par son mari.
Je poussais un petit cri.
Marc reçu l'ordre d'aller chercher; à boire, puis la vaseline.
Mon mari obéissait.
Mes amis n'en semblaient pas s'en soucier. S'ils lui parlaient avec gentillesse, ils savaient qu'il était tout autant soumis que je l'étais.
Monsieur m'obligea à me mettre allongée au sol et à lécher Véronique.
Celle-ci se frottait, salement, à mon visage.
Son sexe était trempé et ses nymphes béantes bordées de poils noirs me caressaient le visage.
Je la buvais cependant avec plaisir, poussant même ma langue dans son vagin à la recherche de ses plis les plus intimes, de ses sécrétions féminines qui la faisait
pousser des petits halètements continues.
Elle me pratiqua un cunnilingus qui me fit perdre la tête.
Nous avons du jouir ensemble une première fois.
La suite de la soirée fut des plus torride.
Pour la première fois de ma vie, j'étais au service de mon Maitre avec un abandon total.
Il ordonnait, j'obéissais.
Il proposait à mes amis, et ceux-ci abusaient de moi comme il le leur avait proposé.
J'étais un jouet, une poupée entre les doigts, leurs mains, leurs envies sexuelles débridées.
J'étais sa chose... et je ne cessais d'être enivrée de plaisirs.
Véronique se fit prendre par les deux hommes en même temps, l'un devant qu'elle du sucer l'autre derrière qui la chevauchait ardemment, puis se fut mon
tour.
Leurs sexes me prenaient la bouche, la fente, ils changeaient de place et recommençaient à me pilonner.
J'ai jouis... en cascades... un nombre de fois incalculable.
Je dus avaler le foutre de Pierre un couple de fois, celui de sa femme au moins autant.
Monsieur lui, se déchargea dans ma gorge et j'appréciais de le boire.
Son sexe avait l'odeur du mien, de celui de mon amie.
J'étais devenue folle.
Une verge dans chaque main, je branlais les deux hommes alors que Véronique me malmenait la fente, meurtris de tant de saillie.
Pierre enfila sa femme par tous les orifices, monsieur en profita également... et elle cria lorsque le large piston de mon amant lui déchira l'anneau étroit,
pourtant aidé par la vaseline qu'avait apporté Marc.
Mon petit trou resta vierge, "celui-ci n'est que pour mon plaisir" avait précisé mon maitre.
Marc ne fut pas laissé un reste.
Véronique vint le sucer et le faire éjaculer à son tour, mais il n'eut pas le droit de participer à plus que cela et se contenta de regarder. Il du jouir 2 autre
fois, seul, en se masturbant devant nous, devant sa femme qui se faisait prendre comme "une belle salope".
Il me regarda être la "chienne" qu'ils voulaient que je sois.
Agir comme "la petite pute" que je me plaisais à être pour eux.
Leurs commentaires cochons ne faisaient que me rendre plus ardente.
Je souriais désormais, heureuse.
Au petit matin, lorsque nous nous couchâmes, je me retrouvais enfin seule avec Monsieur.
Marc dormait au pied de notre lit.
Mon amant me caressa.
La douche m'avait apaisée.
Mon sexe était en feu.
Mon clitoris n'avait jamais été autant stimulé.
Mon vagin semblait un puits de lave.
Il effleura mes tétons, si souvent sucés, mordillés, qu'ils irradiaient de douleur à peine la douceur du drap sur eux.
Je me coulais dans ses bras de mâle.
Je voulais lui appartenir, me coller à lui.
Il était fier de moi.
Sa voix me transportait.
Ses mots si doux, après ceux, si crus, qu'il avait proférés, mes faisaient l'effet de sensuelles caresses.
"Je suis à vous Monsieur" lui dis-je alors en me plaçant à 4 pattes.
Un désir fou me vint.
Je voulais qu'il sache que j'étais sa chose, sa poupée de luxure.
D'une main que je posais sur ma croupe j'écartais une fesse.
Mon cœur s'emballa. Je demandais... je m'offrais à cette pratique qui me faisait tellement honte.
Mais plus anxieuse encore du fait que je l'invitais, que je lui demandais sans que ce soit lui qui m'oblige.
J'espérais ne pas le décevoir.
Ma grimace finit en sourire lorsqu'il me pénétra par l'arrière.
Il me sodomisa avec une douceur qui me fit feuler durant toute l'action.
Son sceptre me posséda comme une vestale.
Je lui appartenais.
Véronique m'avoua, plus tard, qu'elle nous avait entendu et qu'elle avait eu envie de nous rejoindre mais que nos murmures et nos gémissements étaient si complices, qu'elle n'osa pas.
Pierre et elle sont de bons amis chez qui nous passons de délicieuses soirées.
Depuis, j'ai rencontré d'autres partenaires et Monsieur me livre à des jeux sexuels qui ne font que renforcer nos liens... si forts.
Marc a accepté son rôle de mari dévoué, soumis et discret.
Il n'est pas en reste car bien souvent il est pris en main...
Je suis sa femme mais j'appartiens à mon amant.
Je suis Béatrice, la poupée salope de Monsieur.
Et j'aime ça.
Fin ?