Trio ou plus...

dom[...]

Une caresse douce me réveille.
L'esprit encore embrumé, à peine sortie d'un rêve tendre et doux, je sens un effleurement à la base de mon cou.
Mon épaule est flattée avec délicatesse.
Au dessus de moi, le regard azur de mon amant me convoite et me couve comme un bien précieux.
Les souvenirs de ces 2 derniers jours me reviennent avec une intensité et une précision diabolique.
Ses doigts forment des arabesques sur ma peau.
Son regard sur moi me brule instantanément.
Cet homme me donne chaud, éveille des envies et des sensations que je ne connaissais pas il y a encore si peu de temps.
Son visage est calme, assuré, lui confère cet air de mystère et de supériorité qui me charme.
Il pose sa bouche sur la mienne.
Un léger baiser.
Je savoure ce bonjour déplacé.
Je m'étire doucement, encore courbaturée de mes "actes" de la veille.
Il caresse un de mes seins... nus...
Incroyablement je m'expose à son regard dans le plus simple appareil alors que je n'ai jamais fait cela avec mon mari et je le laisse faire, sans gène.
Hooo... mon époux... il se réveille également.
Il est allongé sur un matelas, au pied du lit.
Il est vaincu par son patron qui a pris sa place dans notre lit.
Mon amant pose sa bouche sur mon mamelon.
Un gémissement m'échappe sans que je puisse le réprimer.
Il happe mon sein et me tète avec une maestria qui me fait mouiller presque immédiatement.
Le téton est suçoté, léché par sa langue agile.
Je cherche à remonter le drap sur mon bas ventre offert à son regard mais il m'en empêche de sa main qui vient se glisser entre mes jambes.
"Non... s'il vous plait..." ma supplique est timide, inutile, un pur réflexe.
J'ouvre mes jambes pour accepter ses doigts qui frottent ma toison.
Il lâche ma tétine, douloureuse d'envie, mon sein gorgé de désir reprend sa forme dans un clapotement sourd.
"Tu es poisseuse... encore toute sale d'hier soir et de cette nuit" me dit-il.
Ses mots résonnent dans ma tête, remplissent mon cerveau d'images si crues.
Sa voix est trop forte, Marc va entendre !
"J'aime lorsque tu sens le sexe... le foutre... la mouille... Ma belle souillon".
Je ferme les yeux, emportée par ses paroles osées.
Il glisse un de ses doigts entre mes lèvres molles.
Mon sexe, depuis 2 jours, est tellement sollicité que j'ai l'impression d'être constamment en train de couler.
Je me cambre sous l'intrusion.
Mes seins se durcissent.
Contre ma hanche je sens la grosse verge de mon amant, si chaude, si... large... trop grosse.
Je me souviens... je frémis.
"Non... il ne faut pas."
Son doigt cesse de me fouiller le sexe.
Il se retire doucement.
"Tu ne veux pas ?".
Sa voix est calme, dure.
" Il suffit de me le dire et je pars, à tout jamais".
Les larmes me montent aux yeux.
Nous sommes à un croisement.
Il me donne le choix.
Je sais qu'il est sérieux.
Revenir à ma vie d'avant, à mon mariage, à ma condition de femme mariée, sage... délaissée.
Ou...
J'ouvre les yeux.
Une larme coule sur ma joue.
Son visage est si sévère.
Je sais qu'ici, en cet instant, tout se joue, dans le lit conjugal alors que Marc entend tout.
Le suivre vers d'autres horizons, m'abandonner à lui... à la sexualité.
Mes cuisses s'ouvrent... lentement... en acceptation de ma soumission... de ma débauche entamée et qui me fait bruler d'un feu enivrant.
Il ne me touche pas.
Je tends mon bas ventre vers le haut, vers lui...
Son corps est trop loin.
Marc nous regarde.
Je suis rouge, de honte, de désir... je gémis.
Il attend et il veut plus, je le sens, je le sais.
L'avouer serait me donner corps et âme...
Je veux résister mais mon corps en meurt d'envie.
Les paroles s'échappent de mes lèvres.
"Je suis à vous, Monsieur" murmure-je dans le silence de notre chambre en ouvrant grand le compas de mes jambes.
Un poids se libère soudain de mes épaules comme un boulet enlevé à un prisonnier.
Je n'ai pas le temps de savourer et comprendre cet étrange sentiment qu'il vient sur moi.
Ses mains caressent mes cuisses, mes mollets, tendent mes jambes vers le ciel.
Tenue par les chevilles son pal puissant me pénètre.
Son gros gland lisse sur le dessus mais au col cannelé me fait pousser un cri.
"Doucement... je suis... étroite... Il est trop gros. Haa ! " dis-je.
Je sais que Marc va avoir de la peine.
Il me force après quelques instants d'immobilité où je m'habitue à son intrusion hors norme.
Il accélère rapidement comme pour mettre un acte sur mon assentiment.
Je gémis, sans cesse, à chaque fois que son soc me laboure.
Je viens de me donner à lui et il me prend brusquement pour me le faire saisir dans ma chair.
Le lit craque, grince, je tourne la tête dans tous les sens alors qu'il accélère, qu'il me possède comme un hussard.
Il me chevauche avec une énergie débordante.
Sa frénésie me déclenche un début d'orgasme.
Mon vagin pilonné par sa grosse verge, je coule, je suis au bord de l'explosion.
Il ralentit.
Mes mains le retiennent, j'en veux encore.
Mon corps se contracte autour de lui, mon vagin l'aspire pour le garder en moi.
Il se retire et me laisse haletante.
"Marc, approche."
Mon mari se se lève, indécis.
"Embrasse ta femme. Dis-lui bonjour tout de même !"
Marc pose ses lèvres sur les miennes... je sais que je suis salie de foutre... son baiser est léger.
"Bonjour ma chérie" dit-il.
"Hoo... mon Marc..." fais -je.
Il est fébrile en se redressant.
"Baisse ton slip" lui ordonne son patron d'un ton sec.
Il devient rouge et, après deux secondes d'hésitation, le visage vers le sol, baisse son dessous, obéissant.
Son petit sexe est dressé.
"Dis donc, on dirait bien que ça te fait bander de voir ta femme se faire défoncer" commente t-il, salace.
Mon époux ne dit pas un mot, trahit par son érection.
Il caresse mes cuisses grandes ouvertes.
"Regarde sa chatte..."
Mon mari s'exécute.
Mon sexe est béant, palpitant, ruisselant de mon sirop.
" Mon petit Marc, viens la baiser". Fait notre invité dans un petit rictus.
J'ouvre de grands yeux pour regarder mon... amant... impitoyable.
Il joue de moi, il se joue de nous.
J'ai envie de pleurer.
Un frisson me parcourt... mais où va t-il nous emmener... et mon sexe se contracte, je mouille comme une folle.
Marc vient entre mes cuisses.
Je m'affole, je suis perdue.
Il enfonce son membre en moi.
Si... étroit... qu'il va et vient sans peiner dans mon conduit élargi par les coups de butoirs de son patron.
Il s'agite.
Notre... tourmenteur vient à mes côtés.
Sa verge dodeline devant nos deux visages.
Il me caresse de son manche dur et couvert de cyprine.
Son sexe frotte mes joues, mes lèvres.
"Ouvre ta bouche ma belle salope".
Son sexe devant nous, mon mari le regarde, impressionné par la largeur conséquente de ce manche qu'il contemple pour la première fois de si près.
Devant Marc j'écarte mes lèvres et je pose le bout de ma langue sur le méat fendu.
Je lèche doucement la surface turgescente.
Mon mari me fait l'amour... et j'ouvre la bouche plus grand pour prendre et sentir en moi un sexe plus de deux fois plus gros que le sien.
J'avance, je peine à me tendre pour pouvoir l'emboucher plus profondément à chaque fois.
Mon cou tendu, mes mâchoires grandes ouvertes, je souffle par le nez lorsqu'il me déforme la joue.
Mon sexe est secoué de petits coups que me donne mon homme.
Je respire comme mon amant retire sa grosse tige de ma bouche.
Je pose mon crâne sur le lit, essoufflée.
Et je vois la main ferme qui appuie sur la nuque de Marc et le force à se poser sur le bout du bâton de chair que je viens de sucer.
Il lui viole la bouche de Marc et mon cœur s'échauffe.
Je vois ce gros sexe coulisser dans la bouche de mon mari.
Mon intimité s'emballe.
Honteuse, je sais que Marc perçoit mon excitation à le voir... effectuer une fellation à mon amant.
Mais je ne me contrôle plus...
L'orgasme me submerge comme une vague, il déferle sur moi et je me donne l'impression de gicler, de couler comme une fontaine.
Je devrais fermer les yeux pour ne pas voir cet acte contre nature mais je suis hypnotisé par le geste.
Marc grimace... s'oblige à l'emboucher.
"Deux belles petites salopes" commente ... notre amant.
Je pousse un râle rauque dans un ultime soubresaut.
Notre amant rejette le visage de mon époux.
Marc me regarde abasourdi, il m'a senti jouir.
"Recule toi. Je t'interdis d'éjaculer en elle".
Il obéit et je suis couverte de sueur, devant eux, allongée, alanguie.
Un spasme me fait me crisper, mon vagin palpite.
"Branle toi et gicle sur le lit ou son ventre mais toujours en dehors de son sexe. Est-ce clair ?"
Marc hoche la tête, affirmatif, tout en s'astiquant la verge, debout à nos côtés.
"Oui" fait-il faiblement.
Je ne peux détacher mon regard de mon homme.
Il n'est pas long à venir et à répandre sa semence à moitié sur le drap, à moitié sur mon ventre.
Mon flanc se nappe de liquide blanc et tiède.
Penaud, Marc, reste à nous observer.
"Va te laver et prépare le café".
Il s'efface, comme l'ombre de l'homme qu'il n'a même jamais été.
Mon amant se penche sur moi.
"Je ne suis pas attiré par les hommes mais il devait comprendre."
Je ferme les yeux pour éviter son regard sur moi, si cru.
De son doigt il passe sur le sirop de mon mari et le pose sur ma bouche.
Je garde mes lèvres closes, par réflexe.
Il l'étale sur moi.
Il prend ma main et me la pose sous ses bourses.
Lourdes et totalement glabres je les malaxe.
Les olives roulent dans ma paume.
Je le caresse, à son rythme.
Lorsque sa main lâche mes doigts je poursuis ce geste plein de stupre.
Entre ses jambes écartées, je lui masturbe les boules.
Je devine son membre se gonfler, près à éclater.
J'incline la base de la hampe, trop large pour que mes doigts en fassent le tour.
Et je reçois le premier jet sur le front.
Le liquide me coule dans les cheveux.
Les giclées suivantes me décorent le visage et le cou.
Je subis une douche de foutre.
Le nappage chaud me colle, me dégouline dans le moindre creux.
J'entrouvre les yeux.
Je suis sale, les membres en croix, dans mon lit.
Il me sourit.
Je lui rends son sourire, un gout d'homme en bouche.
"Ma belle Béatrice. Allons voir ton mari, il a du nous préparer un petit café."
Je rougis.
Ma main dans la sienne, je le suis... souillée... Excitée.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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assise[...]

Dans le clair de lune, je m'éveille en sursaut.
Je suis dans mon lit, seul le drap me recouvre les jambes.
Mon esprit fait le point en remettant en place les différents éléments.
Je rougis, incrédule.
Moi qui ne dors jamais sans une nuisette, je suis sans le moindre vêtement et l'homme à côté de moi n'est pas mon mari.
Marc, mon époux... dort sur un matelas, à côté de notre lit.
Je déglutis et cligne des yeux pour accepter la situation, et je me souviens...
Instantanément, malgré moi, mes seins se gonflent, mon bas ventre se réchauffe.
Marc dort sur un matelas posé à même le sol.
A mes côtés son patron, mon amant, respire calmement, il dort du sommeil du juste.
Les rayons lunaires qui filtrent par la fenêtre me révèlent le corps masculin dans une ambiance éthérée.
Son visage est reposé, ses yeux bleus ne sont pas visibles mais je les imagine lorsqu'il me regarde avec envie.
Etendu sur le dos je laisse flâner mon regard sur son torse peu velu, sur son ventre où une fine frange pileuse brune vient s'égarer sur son pubis, glabre.
Je suis légèrement honteuse de détailler ainsi le bas ventre d'un autre homme que le mien.
Son sexe au repos, rose, mollement posé sur ses bourses lisses.
J'hésite et, tremblante, je pose le bout de mes doigts sur sa poitrine dont les deux tétons sont sombres.
Il est bien réel, sa peau douce, je perçois la chaleur de son être.
Je me surprends à sourire en le caressant sans l'éveiller.
Il est beau lorsqu'il dort et le trouble m'envahit.
Ma paume posée sur lui, je sens son cœur battre et le mien s'emballe.
Je fais descendre mes doigts sur son ventre, sur les derniers remparts noirs de son bas ventre.
Je jette un œil sur son visage, il ne se réveille pas, profondément endormi.
Mon ongle d'index est à quelques millimètres de son membre viril.
J'hésite, je sais que ce n'est pas bien, que je ne devrais pas... mais j'effleure son sexe d'homme.
Un frisson, une boule dans mon ventre, un regard coulé à mon mari dont je n'aperçois même pas le corps... et je caresse cette verge avec une extrême légèreté.
Mon geste coupable ne doit pas être surpris, j'ai l'impression d'être une cambrioleuse, une vilaine voleuse, aussi me fais je la plus douce possible.
Mes doigts flânent sur son vit puis sur ses bourses que je flatte.
Elles sont chaudes, si douces sans poils, je prends plaisir à lui masser les boules en posant ma paume entre ses cuisses musclées.
Il bouge, je m'immobilise, son souffle reste lent, je ne l'ai pas réveillé.
Son membre, par contre, vient de prendre un peu de largeur.
Je suis autant amusée et excitée que je m'en veux de mon attitude immorale.
Ma main remonte sur son sexe.
Je le caresse.
Il grossit sous l'effet de mes flatteries.
Mes doigts se referment autour de lui.
Sans faire un seul geste, il enfle, il gonfle.
Mes tétons se tendent en même temps que la verge de mon amant se gorge de sang.
J'ai une envie obscène...
Je me penche sur lui.
Mes petits seins lourds frottent puis se posent sur le lit.
Je me redresse un peu pour que mes pointes soient irritées, soulagées et excitées par le drap tout à la fois.
Mes lèvres embrassent sa virilité.
Et je gobe son sexe en ouvrant ma bouche.
Je l'aspire avec douceur et furtivité.
Ma langue s'enroule autour de la colonne chaude qui continue de se dresser.
Je découvre l'effet extraordinaire de faire entrer en érection un sexe en lui pratiquant une fellation.
C'est incroyable... petit à petit mes gestes buccaux, les pressions de ma langue, le font grossir en moi.
Et ma bouche est obligée de s'ouvrir de façon de plus en plus large.
Je le décalotte en l'aidant de ma langue.
Son gland enfle, je le caresse en découvrant, en ressentant ses formes, ses aspérités, uniquement au moyen des sensations de mes lèvres et de mon muscle lingual.
Je m'éloigne de la base de son pubis car son sexe grandit, grossit, s'épaissit.
J'ai maintenant la bouche remplie, les mâchoires écartées.
Je me force à l'emboucher plus profondément, toujours très très lentement pour ne pas le sortir de son sommeil.
Que sa verge est large !
Je tente d'ouvrir ma bouche pour glisser plus bas mais je suis déjà au maximum d'écartement de mes lèvres.
Alors je me penche plus... son gland frotte mon palais, j'avale ma salive avec peine, provoquant une succion qui le fait s'agiter.
Je reste alors sans faire aucun mouvement, son sexe à pleine bouche.
Ma main gauche me maintient en place sur le lit, mon poignet effleure son ventre.
Ma main droite maintient son manche droit vers le ciel, mon pouce ne rejoint plus mon index tellement la base de sa verge est large.
Il souffle et reprend son rythme de dormeur.
Je remonte vers le gland, ma langue caresse la veine et je m'attarde sur ce bout large, doux et irrégulier.
Il me faut respirer et je lâche son sexe, à regret.
Entre les ombres, son pal est somptueux.
Pour la première fois de ma vie de femme j'ai envie de continuer, de le pratiquer sans concession.
Un mouvement à côté du lit me fait tressaillir.
Si Marc me découvrait en ce moment... un sexe en main... la bouche endolorie de l'avoir sucé.
Mon bas ventre s'humidifie et je me penche de nouveau sur le gourdin masculin si épais, pour l'avaler encore... savourant mon attitude et cette luxure autant que ce vit délicieusement trop gros.
Je l'aspire, je le... pompe... avec lenteur et envie.
Je prends mon temps, je savoure l'instant.
Nul ne me voit, nul ne sait le plaisir que je prends à effectuer cette fellation à mon amant, alors que mon mari est tout à côté de moi.
Mon amant... son patron...
Je désembouche son engin, je l'admire, luisant de ma salive.
Mes lèvres intimes ne cessent de se contracter et de détendre alternativement.
Mon sexe est humide, je peux même dire... trempé.
Folle, j'enjambe mon... étalon... pour venir poser ma fente entrouverte sur son membre vigoureux.
Ma courte toison blonde frotte son entrejambe.
Je guide son sexe en moi.
Un petit cri m'échappe.
Son gland est large et son intrusion dans mon abricot me fait grimacer.
Je suis assise sur lui.
Quelle folie m'habite ?
Son vit à peine entré en moi, déjà son bout me donne envie de gémir.
Je ne devrais pas... c'est immoral... doublement.
D'une part je suis une femme mariée et cet homme... n'est pas mon mari...
D'autre part je suis en train de le violer...
Hoooo...
Je me cambre.
Je me mords les lèvres pour ne pas être bruyante.
Son manche large coulisse en moi.
Mon vagin l'avale peu a peu.
Son sexe est trop imposant et ma dentelle intime est comprimée, ma vulve se dilate plus que de raison, et je coule... je fonds... je suis terrassée par un orgasme imprévu.
Empalée sur son vit, je tremble, victime de ma jouissance.
Un petit gémissement m'échappe.
Puis un autre.
Son pieu raide me tourmente.
Je me retiens de crier et mon corps se tortille, provoquant des mouvements oscillatoires qui me ravagent l'intimité.
J'ai le corps tendu...
Emmanchée sur un gourdin dur et inflexible qui me perce.
Mes muscles se relâchent et je viens glisser sur lui.
Une sensation intense...
Mes cuisses ne tiennent plus et je coulisse autour du sexe large.
Incapable de me retenir la grosseur progresse dans mon ventre, rempli ma matrice.
Mes muqueuses intimes sont massées de l'intérieur.
Ma vagin semble se rendre, s'avouer vaincu et accepter la progression implacable de l'envahisseur viril.
Je râle...
Penchée sur l'homme dont j'utilise la verge pour satisfaire mes basses envies.
Je couine doucement alors que mon sexe est liquide.
Mon souffle revient lentement.
Je me redresse et la trique masculine quitte ma fente.
Je suis ouverte du bas ventre.
Mon petit abricot totalement béant ne semble plus pouvoir se refermer.
Je me couche alors contre le corps musclé de l'homme qui vient de me donner du plaisir.
Ma main caresse le pieu sale, couvert de ma cyprine.
Il y a quelques temps j'aurais trouvé cela dégoutant, sale.
Aujourd'hui, cette nuit, je suis heureuse, et sa verge souillée me parait belle, attirante.
Mon amant...
Mon... hooo... un mot me vient mais je n'ose me l'avouer.
Ma joue contre son ventre je continue de masser, de flatter son gros sexe encore dur.
Je me rapproche un tout petit peu et je tire ma langue.
J'effleure son méat.
Je ferme les yeux.
Il a un gout de sexe... très prononcé... je lèche sa fente d'homme, recueillant mon sirop.
Je le masturbe... j'ai honte... j'en ai envie.
Ma langue passe sur le pourpre de son casque de verge.
J'accélère.
Ma bouche s'ouvre lorsque je sens son membre palpiter.
Ses jets sont chauds.
Le premier me macule le front et la joue.
Son foutre gluant me gicle sur le visage.
Entre mes doigts je sens son sexe se gorger, expulser, se charger de nouveau...
Yeux toujours clos je ne peux qu'imaginer la scène... et j'en tire un coupable plaisir.
Une belle rasade de sperme m'atterrit dans la bouche que j'ai gardée grande ouverte.
Je l'avale.
Hummm... ce liquide épais au gout si sensuel... si sexuel... si animal... me plait de plus en plus.
Ma bouche fermée pour ingurgiter, je suis surprise par une nouvelle arrivée de jus blanc qui s'étale sur ma bouche, mon menton et mon nez.
Son suc coule et je ne peux que lécher pour en gouter le plus possible.
La tête posée sur son ventre, il se vide sur moi.
J'avale le plus que je peux tout en le masturbant continuellement, de petites pressions tout le long de sa tige pour le faire jaillir vers ma bouche de nouveau désireuse de recevoir son offrande.
Son nectar me coule dans la gorge, chaud, onctueux.
Il cesse de se répandre après quelques jets plus courts.
Je relâche alors doucement son sexe.
Mes doigts flattent ses bourses... vidées.
J'ai le visage couvert de sperme... Entre ma joue et son corps, lorsque je bouge, un léger bruit de succion se fait entendre.
J'ouvre les yeux, assouvie de corps et d'esprit.
Je suis tétanisée.
Marc me regarde.
Je ne vois que ses yeux briller dans le noir.
Nous restons ainsi... quelques instants... face à face...
Puis il tourne le regard, baisse la tête et se recouche.
Les contours de son visage disparaissant.
Seul mon... amant désormais visible.
Mon mari s'est allongé au pied du lit comme... perdu.
Mon cœur bat la chamade.
Je me fais honte.
La main de mon amant me caresse la nuque.
Marc a accepté, il a baissé les bras.
Il sait que je ne suis plus à lui déjà.
Je me blottis contre mon amant.
"Tu as été parfaite ma petite poupée en chaleur" me murmure cet homme que je viens de chevaucher comme dans un rêve.
Depuis combien de temps est-il éveillé ?
Hooo....

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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[...]deepthroat_3.jpg

A genoux dans notre salon, devant mon mari et son patron, je perds mes repères.
Mon amant, son directeur, vient de me caresser, de me mettre nue.
Marc laisse faire, impressionné et intimidé par cet homme si masculin, si sur de lui.
Je suis nue et devant mes yeux oscille le balancier d'un sexe d'une largeur incroyable, d'une beauté animale.
Mon vagin est trempé.
Je ne comprends pas encore comment une telle situation à pu nous arriver, mais les faits sont là, j'ai envie du sexe d'un autre que mon époux, et je suis excitée par le fait qu'il me voit faire avec son patron qui m'envoute.
Marc ne pipe pas un mot.
Cette réflexion me fait sourire.
Aussitôt ce mâle alpha me pose sa main sur les cheveux.
Ses doigts dans la blondeur de mes mèches me massent le cuir chevelu.
Il frotte son sexe à mon visage fin.
Sa chaleur est comme un tison qui me rend encore plus ardente.
Il appuie sur ma tête et il force mes lèvres devant Marc qui lui offre un verre.
Je gobe le gros bout pourpre, lisse.
Il sirote et commente mes actes de façon perverse.
Je suis obligée de m'enfoncer sa verge plus loin et de le sucer devant mon mari.
Mes lèvres outragées par la verge que j'ai pourtant déjà prise en bouche, je n'en reviens pas de cette situation de débauche et du plaisir intense que j'y prends.
Je m'aperçois qu'il ne m'oblige plus et que je continue de le prendre goulument en bouche.
"Suce petite salope" dit-il sans se soucier de la présence de mon mari, à moins qu'il ne se rende compte que cela m'excite encore plus.
Je...
J'obéis.
Totalement à lui.
Je le gobe au plus profonde que je le peux, faisant s'enrouler ma langue autour de sa verge chaude, allant même jusqu'à faire racler son gland contre le fond de ma gorge, prête à régurgiter.
Lorsqu'il m'autorise à cesser de le pomper, j'ai les mâchoires fatiguées, les lèvres rougies et le souffle court.
Mes seins pointent comme des obus.
Mon sexe est gluant de mouille.
Je suis en chaleur !
Il me place à quatre pattes sur le sol, le visage vers Marc.
Je croise son regard.
Il est triste... je le vois dans son attitude... sa femme lui échappe et il doit en être malheureux.
Je crie lorsque son patron me perce de son gros dard.
Mon sexe se fait prendre par ce gourdin conséquent qui me donne l'impression d'être ouverte en deux.
Je me fais saillir par un autre, devant mon mari, et je m'entends nettement murmurer "oui... oui".
Mes doigts se crispent sur le tapis alors que je subis avec plaisir les coups de reins qui me parcourent la matrice.
Je ne suis plus que gémissements... liquide... soumise aux désirs obscènes de mon amant.
J'accepte son manche épais, si gros en comparaison de celui de Marc.
Mes fesses claquent lorsque le pubis vient se poser tout contre elle, son pénis totalement fourré dans mon sexe béant et dégoulinant.
Je m'abandonne... incapable de savoir combien de temps dure cette possession.
Prise à même le sol, je feule, mes hanches ondulent, accompagnent les vas et vient qui m'arrachent gémissement sur gémissement.
Ma jouissance arrive comme une lame de fond sournoise.
Haletante je subis encore les mouvements du gros sexe qui me pilonne, ma matrice inondée par les vagues successives de mon orgasme pendant lequel j'ai abandonné tout repère et toute dignité.
Mon amant se retire et je grogne, mon bas ventre est en manque.
Mes lèvres pendent, trempées.
Ma courte toison blonde est salie.
Je dégouline de cyprine et mon jus goute au sol.
La main ferme et perverse du patron de Marc me caresse les fesses.
Il m'est impossible de ne pas réagir lorsqu'il enfonce deux de ses doigts dans ma fente outragée.
Il touille, il me masturbe le vagin en s'attardant sur mes petites lèvres intérieures.
Un bruit de marécage qui reflète l'état de mon intimité se fait clairement entendre.
Marc regarde sa femme... moi... se faire fouiller.
Mon amant s'en amuse.
Il joue de notre couple... banal...
Comme s'il lisait mes pensées sa voix résonne et grave mon esprit.
"Ta femme est une merveille, une perle rare".
Hooo...
J'ai honte.
Le gros sexe se présente de nouveau à l'entrée de mon sexe.
Il m'enfile presque sans effort.
Sa largeur me surprend de nouveau, comme à chaque fois, et je lâche un petit cri.
Il entame de nouveau une sarabande empreinte de luxure.
Je tombe sur les avant bras, incapable de supporter plus les coups de butoir qu'il m'assène.
Je me cambre, impudique, honteuse...
"Tu vois mon petit Marc comme elle est à moi... "
Nos corps ondulent à l'unisson.
Le plaisir remonte très vite.
Telle une poupée fragile je perds mes repères dans les bras musclés de cet homme si viril.
Il me bascule et je viens sur lui.
Il est allongé au sol.
Je me retrouve accroupie au dessus de ce corps de mâle.
Son sexe empale le mien.
Je glisse sur lui, grimaçant de bonheur lorsque son manche large me remplit le ventre.
Mon sexe ouvert pour accepter le sien.
"Monte et descend sur ma belle queue".
Je le fais, obéissante en couinant, parcourue dans mes plus intimes replis, oubliant mon mari, je transpire et je ne suis que sensations divines.
Et ces mots osés que Marc n'a jamais prononcé... j'en rougis... j'en coule.
"Une vraie chienne en chaleur..."
Je me cambre.
"Tu pointes des tétons ma belle salope... continue..."
Je suis assise sur lui.
Il n'a plus besoin de me guider, mon corps lui aspire le membre trop gros, je le pompe à l'aide de mon vagin, découvrant des plaisirs inédits.
Il me caresse les seins en même temps.
"On dirait une vraie pute comme ça. j'aime ça. Tu es splendide ma cochonne".
Je me libère de nouveau d'un orgasme rapide.
Mon corps se tend.
Je pousse un râle.
Et je m'affale sur mon amant, devant les yeux de Marc.
J'entends Marc obéir lorsqu'il lui demande d'aller nous chercher un café.
Je reprends mon souffle, déposant un baiser sur le torse de celui qui vient de me faire chavirer par deux fois.
Le café arrive et mon étalon me repousse pour le boire, assis sur le canapé.
Il me prends les cheveux et me guide vers son entrejambe encore tendu tout en entamant une discussion de travail avec mon mari... cocu... qui accepte sa condition et ne peut pas s'y opposer.
Je crois rêver.
Son vit me pénètre les lèvres.
Couvert de mon jus, jamais je n'aurais cru pouvoir accepter de faire une fellation à un sexe... sale, dégoutant de sécrétion intime.
Et pourtant... il ne me force pas, je le pompe sans y être contrainte.
Je m'applique, je prends mon temps pour lui donner le maximum de plaisir.
Je rougis lorsqu'il dit à Marc d'admirer comme je suce bien.
Je l'avale goulument, encouragée par ses flatteries.
"Reste le cul cambré".
J'obéis, n'osant faire autrement.
J'expose mon arrière train.
"Et écarte les cuisses bien largement. Comme une pute".
Il sait qu'il nous choque.
Ces mots crus... m'échauffent.
Et je me donne à lui, je lui prouve que je suis à lui.
Mes cuisses s'ouvrent doucement, le compas de plus en plus largement écarté.
... "comme une pute"... oui... des mots qui restent gravés dans mon esprit, dans mon âme : je suis SA pute.
Je le suce lentement, avec ferveur.
Sa main me palpe le sexe, son pouce effleure mon œil étroit.
Hummmm... La délicieuse sensation de ses doigts qui entrent dans ma vulve meurtrie, de son sexe raide et chaud que je fais coulisser entre mes lèvres.
Il palpite.
J'accepte...
Marc me voit pour la première fois...
Mes joues se remplissent de foutre.
Le sperme de mon... male dominant... me gicle au fond de la gorge.
J'en ai plein la bouche.
Je salive, je bave de sperme.
Et il me relève le visage.
Le long de mes joues coule le jus blanc.
Sur mon menton, ce nectar d'homme forme une larme obscène.
"Avale... ma petite pute".
Je regarde le visage radieux de cet homme si sur de lui.
Je déglutis.
Son sirop me coule dans la gorge comme un nectar.
Marc pousse un petit gémissement plaintif.
Il sait qu'il m'a perdu. Son cocufiage est consommé et même au delà.
Je passe ma langue sur mes lèvres et je me colle au bas ventre de mon... de cet homme... souriante, la tête sur ses cuisses pour me pelotonner contre lui.
Son patron me caresse les cheveux.
Il est assouvi.
Je suis contre lui, tout contre, heureuse.
Nous regardons mon mari, désorienté.
"Marc. Tu vas chercher un matelas ? Pour que tu dormes à côté de nous."
Je ferme les yeux, entre honte, peur et début d'orgasme.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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