Partager l'article ! La débauche de Béatrice - 11: [...] Une caresse douce me réveille. L'esprit encore embrumé, à peine sortie d'un rêve tendre e ...
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Une caresse douce me réveille.
L'esprit encore embrumé, à peine sortie d'un rêve tendre et doux, je sens un effleurement à la base de mon cou.
Mon épaule est flattée avec délicatesse.
Au dessus de moi, le regard azur de mon amant me convoite et me couve comme un bien précieux.
Les souvenirs de ces 2 derniers jours me reviennent avec une intensité et une précision diabolique.
Ses doigts forment des arabesques sur ma peau.
Son regard sur moi me brule instantanément.
Cet homme me donne chaud, éveille des envies et des sensations que je ne connaissais pas il y a encore si peu de temps.
Son visage est calme, assuré, lui confère cet air de mystère et de supériorité qui me charme.
Il pose sa bouche sur la mienne.
Un léger baiser.
Je savoure ce bonjour déplacé.
Je m'étire doucement, encore courbaturée de mes "actes" de la veille.
Il caresse un de mes seins... nus...
Incroyablement je m'expose à son regard dans le plus simple appareil alors que je n'ai jamais fait cela avec mon mari et je le laisse faire, sans gène.
Hooo... mon époux... il se réveille également.
Il est allongé sur un matelas, au pied du lit.
Il est vaincu par son patron qui a pris sa place dans notre lit.
Mon amant pose sa bouche sur mon mamelon.
Un gémissement m'échappe sans que je puisse le réprimer.
Il happe mon sein et me tète avec une maestria qui me fait mouiller presque immédiatement.
Le téton est suçoté, léché par sa langue agile.
Je cherche à remonter le drap sur mon bas ventre offert à son regard mais il m'en empêche de sa main qui vient se glisser entre mes jambes.
"Non... s'il vous plait..." ma supplique est timide, inutile, un pur réflexe.
J'ouvre mes jambes pour accepter ses doigts qui frottent ma toison.
Il lâche ma tétine, douloureuse d'envie, mon sein gorgé de désir reprend sa forme dans un clapotement sourd.
"Tu es poisseuse... encore toute sale d'hier soir et de cette nuit" me dit-il.
Ses mots résonnent dans ma tête, remplissent mon cerveau d'images si crues.
Sa voix est trop forte, Marc va entendre !
"J'aime lorsque tu sens le sexe... le foutre... la mouille... Ma belle souillon".
Je ferme les yeux, emportée par ses paroles osées.
Il glisse un de ses doigts entre mes lèvres molles.
Mon sexe, depuis 2 jours, est tellement sollicité que j'ai l'impression d'être constamment en train de couler.
Je me cambre sous l'intrusion.
Mes seins se durcissent.
Contre ma hanche je sens la grosse verge de mon amant, si chaude, si... large... trop grosse.
Je me souviens... je frémis.
"Non... il ne faut pas."
Son doigt cesse de me fouiller le sexe.
Il se retire doucement.
"Tu ne veux pas ?".
Sa voix est calme, dure.
" Il suffit de me le dire et je pars, à tout jamais".
Les larmes me montent aux yeux.
Nous sommes à un croisement.
Il me donne le choix.
Je sais qu'il est sérieux.
Revenir à ma vie d'avant, à mon mariage, à ma condition de femme mariée, sage... délaissée.
Ou...
J'ouvre les yeux.
Une larme coule sur ma joue.
Son visage est si sévère.
Je sais qu'ici, en cet instant, tout se joue, dans le lit conjugal alors que Marc entend tout.
Le suivre vers d'autres horizons, m'abandonner à lui... à la sexualité.
Mes cuisses s'ouvrent... lentement... en acceptation de ma soumission... de ma débauche entamée et qui me fait bruler d'un feu enivrant.
Il ne me touche pas.
Je tends mon bas ventre vers le haut, vers lui...
Son corps est trop loin.
Marc nous regarde.
Je suis rouge, de honte, de désir... je gémis.
Il attend et il veut plus, je le sens, je le sais.
L'avouer serait me donner corps et âme...
Je veux résister mais mon corps en meurt d'envie.
Les paroles s'échappent de mes lèvres.
"Je suis à vous, Monsieur" murmure-je dans le silence de notre chambre en ouvrant grand le compas de mes jambes.
Un poids se libère soudain de mes épaules comme un boulet enlevé à un prisonnier.
Je n'ai pas le temps de savourer et comprendre cet étrange sentiment qu'il vient sur moi.
Ses mains caressent mes cuisses, mes mollets, tendent mes jambes vers le ciel.
Tenue par les chevilles son pal puissant me pénètre.
Son gros gland lisse sur le dessus mais au col cannelé me fait pousser un cri.
"Doucement... je suis... étroite... Il est trop gros. Haa ! " dis-je.
Je sais que Marc va avoir de la peine.
Il me force après quelques instants d'immobilité où je m'habitue à son intrusion hors norme.
Il accélère rapidement comme pour mettre un acte sur mon assentiment.
Je gémis, sans cesse, à chaque fois que son soc me laboure.
Je viens de me donner à lui et il me prend brusquement pour me le faire saisir dans ma chair.
Le lit craque, grince, je tourne la tête dans tous les sens alors qu'il accélère, qu'il me possède comme un hussard.
Il me chevauche avec une énergie débordante.
Sa frénésie me déclenche un début d'orgasme.
Mon vagin pilonné par sa grosse verge, je coule, je suis au bord de l'explosion.
Il ralentit.
Mes mains le retiennent, j'en veux encore.
Mon corps se contracte autour de lui, mon vagin l'aspire pour le garder en moi.
Il se retire et me laisse haletante.
"Marc, approche."
Mon mari se se lève, indécis.
"Embrasse ta femme. Dis-lui bonjour tout de même !"
Marc pose ses lèvres sur les miennes... je sais que je suis salie de foutre... son baiser est léger.
"Bonjour ma chérie" dit-il.
"Hoo... mon Marc..." fais -je.
Il est fébrile en se redressant.
"Baisse ton slip" lui ordonne son patron d'un ton sec.
Il devient rouge et, après deux secondes d'hésitation, le visage vers le sol, baisse son dessous, obéissant.
Son petit sexe est dressé.
"Dis donc, on dirait bien que ça te fait bander de voir ta femme se faire défoncer" commente t-il, salace.
Mon époux ne dit pas un mot, trahit par son érection.
Il caresse mes cuisses grandes ouvertes.
"Regarde sa chatte..."
Mon mari s'exécute.
Mon sexe est béant, palpitant, ruisselant de mon sirop.
" Mon petit Marc, viens la baiser". Fait notre invité dans un petit rictus.
J'ouvre de grands yeux pour regarder mon... amant... impitoyable.
Il joue de moi, il se joue de nous.
J'ai envie de pleurer.
Un frisson me parcourt... mais où va t-il nous emmener... et mon sexe se contracte, je mouille comme une folle.
Marc vient entre mes cuisses.
Je m'affole, je suis perdue.
Il enfonce son membre en moi.
Si... étroit... qu'il va et vient sans peiner dans mon conduit élargi par les coups de butoirs de son patron.
Il s'agite.
Notre... tourmenteur vient à mes côtés.
Sa verge dodeline devant nos deux visages.
Il me caresse de son manche dur et couvert de cyprine.
Son sexe frotte mes joues, mes lèvres.
"Ouvre ta bouche ma belle salope".
Son sexe devant nous, mon mari le regarde, impressionné par la largeur conséquente de ce manche qu'il contemple pour la première fois de si près.
Devant Marc j'écarte mes lèvres et je pose le bout de ma langue sur le méat fendu.
Je lèche doucement la surface turgescente.
Mon mari me fait l'amour... et j'ouvre la bouche plus grand pour prendre et sentir en moi un sexe plus de deux fois plus gros que le sien.
J'avance, je peine à me tendre pour pouvoir l'emboucher plus profondément à chaque fois.
Mon cou tendu, mes mâchoires grandes ouvertes, je souffle par le nez lorsqu'il me déforme la joue.
Mon sexe est secoué de petits coups que me donne mon homme.
Je respire comme mon amant retire sa grosse tige de ma bouche.
Je pose mon crâne sur le lit, essoufflée.
Et je vois la main ferme qui appuie sur la nuque de Marc et le force à se poser sur le bout du bâton de chair que je viens de sucer.
Il lui viole la bouche de Marc et mon cœur s'échauffe.
Je vois ce gros sexe coulisser dans la bouche de mon mari.
Mon intimité s'emballe.
Honteuse, je sais que Marc perçoit mon excitation à le voir... effectuer une fellation à mon amant.
Mais je ne me contrôle plus...
L'orgasme me submerge comme une vague, il déferle sur moi et je me donne l'impression de gicler, de couler comme une fontaine.
Je devrais fermer les yeux pour ne pas voir cet acte contre nature mais je suis hypnotisé par le geste.
Marc grimace... s'oblige à l'emboucher.
"Deux belles petites salopes" commente ... notre amant.
Je pousse un râle rauque dans un ultime soubresaut.
Notre amant rejette le visage de mon époux.
Marc me regarde abasourdi, il m'a senti jouir.
"Recule toi. Je t'interdis d'éjaculer en elle".
Il obéit et je suis couverte de sueur, devant eux, allongée, alanguie.
Un spasme me fait me crisper, mon vagin palpite.
"Branle toi et gicle sur le lit ou son ventre mais toujours en dehors de son sexe. Est-ce clair ?"
Marc hoche la tête, affirmatif, tout en s'astiquant la verge, debout à nos côtés.
"Oui" fait-il faiblement.
Je ne peux détacher mon regard de mon homme.
Il n'est pas long à venir et à répandre sa semence à moitié sur le drap, à moitié sur mon ventre.
Mon flanc se nappe de liquide blanc et tiède.
Penaud, Marc, reste à nous observer.
"Va te laver et prépare le café".
Il s'efface, comme l'ombre de l'homme qu'il n'a même jamais été.
Mon amant se penche sur moi.
"Je ne suis pas attiré par les hommes mais il devait comprendre."
Je ferme les yeux pour éviter son regard sur moi, si cru.
De son doigt il passe sur le sirop de mon mari et le pose sur ma bouche.
Je garde mes lèvres closes, par réflexe.
Il l'étale sur moi.
Il prend ma main et me la pose sous ses bourses.
Lourdes et totalement glabres je les malaxe.
Les olives roulent dans ma paume.
Je le caresse, à son rythme.
Lorsque sa main lâche mes doigts je poursuis ce geste plein de stupre.
Entre ses jambes écartées, je lui masturbe les boules.
Je devine son membre se gonfler, près à éclater.
J'incline la base de la hampe, trop large pour que mes doigts en fassent le tour.
Et je reçois le premier jet sur le front.
Le liquide me coule dans les cheveux.
Les giclées suivantes me décorent le visage et le cou.
Je subis une douche de foutre.
Le nappage chaud me colle, me dégouline dans le moindre creux.
J'entrouvre les yeux.
Je suis sale, les membres en croix, dans mon lit.
Il me sourit.
Je lui rends son sourire, un gout d'homme en bouche.
"Ma belle Béatrice. Allons voir ton mari, il a du nous préparer un petit café."
Je rougis.
Ma main dans la sienne, je le suis... souillée... Excitée.
A suivre...