Partager l'article ! La débauche de Béatrice - 8: [...] Le patron de mon mari finit son café alors que j'entends la voiture de Marc arri ...
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Le patron de mon mari finit son café alors que j'entends la voiture de Marc arriver et se garer.
Je sursaute, mes joues rougissent.
Assise sur l'accoudoir du fauteuil dans lequel cet homme qui est aussi mon amant, me flattait de ses doigts, j'avais oublié que le temps passait si vite.
Je réajuste ma robe car ce coquin avait glissé sa main dessous et me caressait le haut de la cuisse.
Ma petite culotte est humide.
J'ai l'esprit trouble lorsque mon mari me dit bonjour et dépose un léger baiser sur la joue.
Il se décompose lorsqu'il voit son supérieur chez nous et n'ose plus dire un mot.
Leurs deux mains se serrent.
Ces deux mains qui m'ont tenues toutes les deux.... si différemment.
Les hommes échangent quelques mots, je m'éloigne pour reprendre mes esprits.
Je verse quelques gâteaux dans un plat, je suis ailleurs.
Terriblement gênée de ma journée... le cerveau renversé et le corps encore en feu.
Après qu'il m'eu prise dans la chambre de notre grande fille, je l'ai rejoins dans la salle de bain où il me posséda le long du mur de la douche comme encore je n'avais jamais été possédée.
Marc me rejoint dans la cuisine.
"Ca n'a pas l'air d'aller ?" me fait-il.
Je balbutie une réponse évasive.
Sa main dans mon dos me fait frémir.
J'ai honte de l'avoir trompé... et en même temps c'était si bon !
L'interdit renforçait mon excitation.
"On garde mon patron à manger tu veux bien ?"
Je regarde mon époux.
Il est si doux, si calme. Je sais qu'il est impressionné par la présence de cet homme dans notre salon et qu'il n'ose rien lui refuser.
J'acquiesce pour sa présence ce soir avec nous.
Il est évident qu'il s'est imposé lui même.
Je me tourne vers le réfrigérateur, mon mari s'éloigne pour retourner auprès de son patron.
Un léger sourire me vient... hooo qu'il est gonflé ! Il ose s'inviter à notre table !
Un frémissement se fait sentir dans le creux de mes reins.
Il parvient à me faire mouiller rien qu'en imaginant me retrouver à manger chez nous avec ces deux hommes.
Tout ceci me parait surréaliste mais tellement envoutant.
Je sens son pied se frotter au mien, sous la table, alors qu'il tient une discussion sérieuse avec mon mari, le "petit Marc" comme il prend plaisir à l'appeler alors que ce dernier est intimidé et n'ose pas le contredire quelque soit le sujet abordé.
Le long de ma colonne vertébrale remonte une décharge électrique qui me fait me redresser, presque cambrée, alors que sa main vient effleurer ma cuisse.
Mon sexe de femme est liquide... je devine mes lèvres luisantes et imagine son membre d'homme si large qui doit être dur alors qu'il est en train de me caresser ainsi, discrètement.
Mes petits seins se tendent, un renflement se dessine... mes tétons durcissent et je pointe outrageusement devant eux.
"Marc, avez-vous de la musique ? " lui demande t-il soudain.
Aussitôt mon mari s'empresse de mettre un fond musical.
"Cela ne vous ennuie pas si je danse avec votre femme pendant que vous débarrassez la table ?" lui ordonne t-il faussement dans une question déguisée.
En baissant la tête Marc s'exécute en un "Non, bien sur".
Je suis rouge de honte.
Mes mains dans celles de mon amant, je m'avance vers le centre de la pièce.
Lentement il me fait tanguer en rythme dans notre salon.
Les murs s'éloignent car la tête me tourne.
Lorsqu'il les pose sur mes hanches et qu'il plonge son regard dans mon décolleté je crois que le sol s'ouvre sous moi.
"Non, il ne faut pas... Marc... est là..." cet aveu qu'il soit là et que cela seul m'empêche d'aller plus loin me fait instantanément darder les tétons.
Il m'est impossible de masquer mon excitation, mes mamelons trahissant mon plaisir.
Il me fait tourner et je me retrouve dos contre son torse.
Marc nous regarde.
Derrière moi, un autre homme que lui me fait onduler... collé à moi dans une posture osée.
La main droite remonte sur mon ventre puis sur mon sein.
Marc ne me quitte pas des yeux.
J'ai le souffle court, mon cœur s'accélère.
Il voit mes seins qui sont gonflés, signe de mon envie.
Son patron me palpe un sein.
Je pousse un souffle qui s'achève en gémissement.
Incapable de lutter contre mon corps en chaleur, contre l'adresse de cet homme alors qu'il me faudrati el repousser, le gifler, l'injurier comme le dernier des salauds.
Mon mari baisse le regard lorsque son patron fait tomber sa main sur l'entre cuisse de ma jupe et qu'il me masse lentement le sexe au travers du tissu.
Par réflexe j'ouvre un peu mes cuisses et l'homme fait remonter ma jupe, glisse sa main sous le coton léger.
Ses doigts se posent sur le tissu trempé de ma culotte.
Je pousse un petit couinement comme il me masse le clitoris.
Je sais que je ne peux pas lui échapper.
Malheureuse pour Marc qui me découvre dans ce rôle de... vulgaire trainée... ces émotions contradictoires me tourmentent et m'envahissent avec une sensualité extrême.
Il dénude mon épaule et dégrafe mon chemisier.
Ses mains viennent saisir mes seins recouverts de dentelle rose transparente.
Lorsqu'il appuie sur mes deux petits globes, mes tétines se dressent comme des antennes.
Ses doigts passent entre le tissu et ma peau, il tire vers le bas et je suis seins nus devant mon mari en moins de temps qu'il ne m'en a fallu pour le dire.
Je ne me contrôle plus et mes fesses cherchent à se frotter à la raideur que je sens chez cet homme sur de lui, magnifiquement pervers.
La fermeture de ma jupe s'ouvre et elle tombe sur mes chevilles.
Ses doigts rentrent sous ma culotte.
Il me masturbe de tous ses doigts, forçant mes jambes à fléchir, à s'écarter.
Un sein étiré, mon soutien gorge sur le ventre, une main dans mon dessous... je gémis... de plaisir.
Ce vilain sait y faire et Marc n'en revient pas de ma totale soumission à ces gestes d'un vulgarité crue.
Entre deux de ses doigts il tourmente mon téton qui frétille, douloureux.
Ma fente se trouve écartée par ses doigts qui me fouillent.
Je pousse un petit cri alors qu'il extraie mon bonbon et le titille avec une meastria qui me fait basculer mon visage en arrière.
Mes lèvres sont gonflées d'excitation.
Il me masturbe, sa main tend ma culotte sur mes fesses, la détend largement sur le devant de mon minou.
J'ai l'esprit ailleurs, loin... perdue... éperdue.
Lorsqu'il retire ses doigts je balance mon bas ventre en avant avec un souffle plaintif.
Marc me voit, chercher la main qui me donne du plaisir.
J'en rougis de honte.
Le tissu sur mon sexe se trempe aussitôt tellement je coule abondamment.
Ses mains font rouler le coton de mon dessous.
Je baisse la tête, je sens sur moi le regard de mon époux.
Je ferme les yeux.
Ma culotte frôle mes fesses, file sur mes genoux et tombe sur mes chevilles.
Je suis nue devant lui, entre eux deux, seulement parée de mon soutif qui ressemble à un porte jarretelles de ... femme de petite vertu.
Il me fait mettre à genoux.
J'obéis dans un sanglot qui me vient sans que je puisse le retenir.
J'ai tellement honte... et tellement envie !
"Marc. Apporte-moi à boire".
Je vois mon époux, obéir.
Le gros gland décalotté dodeline devant mon visage comme le mat d'un bateau qui tangue.
Je me sens m'éloigner de Marc.
A suivre…