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Je suis tremblante.
Mes jambes en coton.
Le patron de mon mari, chez moi, me regarde en souriant.
Il raccroche son téléphone.
"Béatrice, nous avons encore du temps."
Il vient de me... prendre... contre le mur de mon entrée.
Moi qui suis une épouse sérieuse, fidèle, pour la seconde fois en 10 jours, cet homme vient de faire de moi sa maitresse.
Son sexe encore tendu, oscillant comme un métronome large, rose, luisant de ma cyprine, m'hypnotise.
Il m'empêche de réajuster mon soutien gorge et d'un geste sec, l'ouvre.
Je pousse un petit cri.
Ma poitrine est à l'air, nue, offerte à ses yeux et à ses doigts.
Mes tétons sont encore douloureux... de ses attouchements qui les ont tirés, fait rouler... mais aussi de l'envie qui ne me quitte pas.
Dressés vers le ciel comme des statues, au centre de mes mamelons roses, ils trahissent  mes émotions intenses et immorales.
"C'est mal... nous ne devrions pas... c'est trop fou... non" lui dis-je.
Sur ma peau je sens la chaleur de son liquide d'homme.
Ma jupe en porte les traces, comme ma toison blonde... mes poils collés par son sirop qui coule de mon ventre vers ma fente.
Hoooo ma fente... encore ouverte, suintante... en feu.
Il me prend par la main et par la taille.
Ma jupe se baisse d'un côté seulement.
Il me pousse en avant.
"Si Marc savait... ho non..."
Il pousse une porte au hasard.
"C'est votre chambre ?"
Il regarde.
"Non. Celle de notre fille".
Il prend son temps, sa main caresse ma fesse nue.
Il passe un baiser dans ma nuque, je frissonne.
"Montre moi ta chambre ma cochonne" me murmure t-il.
Je ferme les yeux et pousse la porte un peu plus loin.
Il a ce langage grossier qui me trouble.
Il m'entraine dans notre nid, dans notre endroit sacré.
Ses mains me positionnent à 4 pattes sur le lit.
"Non ! Pas... ici... pas comme ça..."
Sa main me donne une petite fessée.
Je veux descendre du lit, prendre mes jambes à mon cou, mais je me sens si fragile.
Et sa bouche... ho sa bouche... sur mon sexe.
Il m'embrasse d'une façon perverse et délicieuse.
Sa langue s'enfonce dans ma fente déjà offerte.
Ses doigts caressent mes fesses, mes cuisses, ouvrent mes lèvres pour lui permettre de me lécher plus profondément, intimement.
"J'aime ton jus... ta chatte a bon gout".
Ses paroles étouffées me font l'effet de claques.
"Tu es si belle en levrette".
Il est si cru ! Si osé !
Mon mari ne m'a jamais dit de telles horreurs, ne m'a jamais fait de telles... choses.
Son bout de langue titille mon petit œil.
Je me tends pour refuser mais ses mains me maintiennent fermement par les hanches.
Je perçois nettement son muscle sur mon orifice interdit, il lape, il presse, il pousse et... me détend la rosette sans que je n'y puisse rien faire.
Lorsque sa langue écarte mon petit trou, je pousse un cri.
Je voudrais que ce soit de douleur, mais non... c'est un plaisir inédit.
Il fait rouler sa langue, passe de mon sexe à mon étroitesse.
Je me surprends à onduler des hanches malgré moi.
"T'aimes te faire bouffer le cul et la chatte on dirait" dit-il de ce langage grossier qui me rend folle.
Il a du s'en rendre compte et ses mots sont si osés qu'ils me troublent.
Son visage plaqué à mon bas ventre, il me relève la croupe.
Je tombe en avant, mes seins frottent sur les draps de notre lit conjugal.
Je mords l'oreiller de mon mari pour ne pas crier alors que son patron me pratique un cunnilingus dégouttant... extrêmement plaisant... qui me fait monter dans les échelons du plaisir.
Sa bouche aspire mon petit bout de chair et le suçote.
Je ne peux qu'ouvrir mes cuisses, abandonnée par mon corps qui se livre à ce jeu sexuel obscène, qui se donne à cet homme aux pratiques perverses.
Je respire fortement, le visage dans le tissu moelleux, l'odeur de Marc...
Le trouble me saisit comme une pince et m'étreint à m'en faire mal.
Je le trompe, je me donne à cette débauche de sexe, et la honte, si elle me tourmente, ne parvient pas à restreindre mes désirs.
Sa langue semble explorer chacun de mes orifices.
Ses mains se sont posées sur mes fesses et les maintiennent largement ouvertes pour qu'il puisse me laper comme un être affamé.
Je couine sans me retenir, une plainte saccadée qui témoigne du plaisir inouï, inconnu, qu'il me donne.
Je sens sa main venir se poser sur ma tête et empoigner mes cheveux.
Je me laisse relever le visage, les yeux clos, totalement en sa possession.
Il pourrait faire de moi ce qu'il veut, il doit le savoir.
C'est seulement à ce moment là que je m'aperçois que ses mains sont restées sur mes globes fessiers.
Je pousse un cri de surprise.
J'ai 3 mains sur mon corps !
Face à moi, debout, le pantalon baissé, se tient le sous directeur de la société.
C'est lui que le patron de mon mari a du avoir au téléphone il y a quelques minutes.
C'est un homme que je trouve vulgaire, qui m'a toujours regardé avec un air salace, et là, dans notre chambre, il agite son sexe devant mon visage.
Je cherche à me reculer mais je suis maintenue par leurs deux paires de mains.
"Non ! Non !! Pas ça... !"
Il frotte son sexe long, fin, presque droit sur mes joues.
"Tu vas voir, elle mouille comme une vraie cochonne".
Le deuxième homme me caresse salement de son membre viril.
Son pieu appuie sur mes lèvres.
"J'espère qu'elle suce bien" dit-il de sa voix acide.
J'ai un réflexe de fermer ma bouche.
Mais lorsque le directeur enfonce sa langue loin dans mon abricot, je pousse un léger gémissement et l'homme en face de moi en profite pour enfoncer son sexe allongé entre mes lèvres.
Il s'enfonce et ma joue gauche s'étire, se déforme totalement sous la pression du gland pourpre.
Je voudrais disparaitre, m'enfoncer dans les draps et m'évanouir, m'évaporer.
Il viole ma bouche alors que derrière moi une langue se faufile de nouveau dans mon orifice le plus étroit.
Lorsque je sens le patron de Marc se redresser derrière moi j'ai peur.
Hoo... Marc... je ne préfère pas y penser.
Le gland épais vient appuyer sur mon sexe.
Les mains de mon vis à vis entourent mon visage.
Il entre et sort de ma bouche, avance et recule sur ma langue, bute dans le fond de ma gorge.
Je tente de refluer la longue tige mais chacun de mes mouvements me fait aspirer son sexe dur.
L'éperon qui se fraie un passage dans ma grotte féminine me fait chavirer.
A coups de lents mouvements de bassin, la large hampe me force et me remplit de nouveau.
Ma bouche... suce... comme indépendante de mon esprit.
Ma croupe se dandine, affamée et déconnectée de mes pensées.
Marc est loin, évanescent... sorte de souvenir fugace...
Je grogne, la bouche pleine, le sexe défoncé de façon systématique.
Ils rient de me voir dans cette position immorale.
Ma bouche est douloureuse.
Le sexe du patron de Marc vient s'enfoncer à la place de celle de son adjoint alors que ce dernier pose ses mains dans un claquement sur mes fesses et qu'il m'enfile sans perdre un instant, me faisant rugir, cri étouffé par la verge qui me bâillonne.
Prise en sandwich par deux hommes, je suffoque, un second orgasme me ravage.
Leurs commentaires me font l'effet de fouets érotiques.
Je suis mise à genou sur le sol de ma chambre... de notre chambre... hooo... de la chambre où je suis leur jouet.
L'un après l'autre ils me faut sucer leurs sexes couverts de mon jus.
Je n'en peux plus et pourtant leurs attouchements me donnent la fièvre.
Mes seins sont malaxés par leurs mains de males dominants.
Jamais je n'ai été traitée de la sorte, utilisée, salie, insultée... humiliée.
Je suis obligée de les masturber, de caresser leurs bourses, de les lécher, de gober les boules et de les aspirer.
Ils tirent mes pointes de seins, me font crier de plaisir.
Ma seule résistance est de garder mes yeux clos.
Ma mâchoire fatigue, mais je continue d'avaler les deux gourdins qu'ils me présentent.
Un nouvel orgasme monte...
Et puis je sens leurs verges palpiter dans mes mains, une dans chaque main... comme... hooo... la trainée qu'il me qualifient.
Ils éjaculent l'un après l'autre sur mon visage.
Maculant mes joues, ma bouche, mon menton et mon cou, de grosses nappes de foutre odorant.
Ils caressent mon visage, étalant leurs jus sur moi de manière obscène.
Leurs doigts couvert de sperme entrent dans ma bouche et passent sur mes dents, entre mes lèvres.
Leurs excrétions de jouissance me souillent l'intérieur comme l'extérieur.
Et l'improbable se produit...
Ma poitrine tiraillée, mon visage maquillé de jus d'homme...
Je jouis de nouveau.
Je m'imagine... livrée à ces deux hommes... et les images me font venir avec une fulgurance folle.
Mes cuisses se tapissent de la cyprine qui inonde ma fente.
Je pousse des gloussements rauques.
Ils continuent de me caresser jusqu'à ce que je m'effondre au sol, vidée... assouvie...
Le sous directeur me félicite d'être une "bonne salope".
Je sens les larmes me monter aux yeux alors qu'il s'en va.
Il a profité de mon corps et s'en détourne, comme un homme vicieux, sans morale.
J'ai envie de les maudire.
Le patron de Marc me prend dans ses bras et m'allonge sur le lit.
Il se colle à moi et me câline.
Je lâche alors les vannes, je pleure, sur ma condition, sur ma vertu, sur ma conscience définitivement assombrie.
Il est doux, et je me love dans ses bras rassurants.

Lorsque je reprends réellement pied dans la réalité je suis seule dans mon lit.
Le soleil est bas.
Ai-je rêvée ?
Les draps sont en torchon.
Mon bas ventre est encore endolori.
Et mon visage craquelle de sirop masculin séché.
Ho non...
Sur un coin de ma table de nuit la culotte et le soutien gorge que j'avais perdu lors de la soirée d'entreprise sont posés avec un mot écrit sur un papier blanc : "Vous êtes délicieuse. Marc a de la chance. A bientôt.".
Je froisse le papier.
.... "A bientôt"...
J'ai honte.
J'ai chaud... si chaud.
L'envie...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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