[...]
Mes mains sur le tapis, mes genoux au sol, je perçois avec plus d'intensité ma respiration qui s'est accélérée malgré moi.
Le toucher du tissu sous mes doigts me semble fait de fleurs.
Je perçois l'environnement dans les teintes rouges de la lumière diffuse.
Mon salon prend une dimension qu'il n'a jamais eu.
Nu, à quatre pattes, mes sentiments se bousculent entre le vertige et confinement.
Sa voix claque.
"C'est bien comme ça. Écarte un peu plus les jambes".
Ma femme m'oblige, dans son rôle de traînée de luxe.
Le sang bat mes tempes.
Mon sexe est douloureux tellement cette situation m'excite.
Sa main caresse mon dos avec la délicatesse qui la caractérise.
Glissant sur mes genoux, j'ouvre mes cuisses.
Je sens mon postérieur se dévoiler.
Elle frôle mes reins.
Je me cambre instinctivement et tends mon bassin vers le haut.
Mon indécence me surprend.
Je sens ma verge palpiter sous mon corps qu'elle caresse... de la nuque aux fesses...
A mes côtés elle me regarde.
Ses yeux étincellent. Deux diamants verts piqués d'étoiles.
Elle incline son beau visage.
Elle observe mon sexe, raide, légèrement pendante à angle droit de mes bourses glabres.
Du bout des doigts elle forme des ronds sur mon fessier lisse.
Mes boules me semblent lourdes.
Son regard est gourmand...
Ses ongles prennent la suite de ses frôlements tactiles.
"Un beau soc..." murmure t elle en remontant le long de ma colonne vertébrale.
Je me cambre sous les griffures légères.
Son geste redescend...
Un soupir m'échappe.
"Une belle queue."
Je suis surpris de son langage, de son attitude.
Aussi, lorsqu'elle glisse mon doigt dans la raie de mes fesses, je ne peux m'empêcher d'onduler, de réagir, soudainement pris d'envies folles, en chaleur...
agréablement soumis.
Je lève mon bassin.
Elle se place derrière moi.
Sans même m'en rendre compte mes cuisses s'ouvrent un peu plus.
L'a t 'elle remarqué ?
Dans le reflet d'une glace je la discerne, ses tétons tendus se distinguent nettement sur sa poitrine lourde, tout comme sa main qui s'agite entre ses
cuisses.
Elle descend le long de la vallée de mes fesses pour érafler ma rosette plissée d'un ongle délicat avant de faire frémir mes bourses.
Sensation incroyable où je gémis.
Elle pose sa main sous mes sacs bien pleins et les soulève.
Elle me soupèse, en mesure le lourd contenu.
J'écarte mes jambes pour lui permettre de me saisir les couilles.
Son visage se penche... salive... entre mes globes coule un filet de liquide.
"Ho...." lâche-je alors qu'elle me parcourt de son doigt, "... oui".
Elle remonte sa salive tiède de son index qu'elle tient raide et simule une verge d'homme, fine... curieuse.
"Tu en veux encore ?".
Sa voix est chaleureuse, légèrement brisée par l'émotion.
"Oui... encore..."
Un second filet vient m'inonder.
Le bout de son doigt joue avec mon petit orifice interdit avant de flatter mes bourses sur lesquelles elle étale sa bave en me massant à en gémir.
Doucement elle les fait rouler dans sa main.
Son doigt se fait raide, dur, inquisiteur sur mon anus.
Je bande comme un cerf...
Elle presse mes boules, les agitent.
Je geins.
Lentement son index force mon entrée.
"Haaaaa" Le petit cri m'échappe.
Elle sourit, me masse.
Je pousse mes fesses vers elle, introduisant son doigt de quelques millimètres supplémentaires dans mon antre étroite.
Par petites touches, elle tourne sa première phalange dans l'ouverture palpitante.
Elle la sent se détendre, s'assouplir... se donner... me donner.
Sa seconde main, chaude, humide de ses gestes solitaires vient faire rouler les olives de mes couilles alors qu'elle enfonce par petits allers et retours sa seconde
phalange en moi.
Elle me masse.
Je ne sens plus le moelleux du tapis.
Je ne perçois plus les objets, les murs, les couleurs.
Perdu dans ces sensations intenses, je m'abandonne à ses gestes, enivré par le plaisir.
Sa main fraîche, à plat, remonte sur ma verge brûlante.
Tout mon corps ondule aux rythmes de ses manoeuvres.
Elle entame une masturbation lente pour reprendre mes boules dans le creux de sa main, mon membre saisit entre son pouce et son index, à sa base, avec une dextérité
et une maestria... une expérience que je ne lui connaissais pas.
Je baisse ma tête, submergé par les envies.
"Hooo... c'est... haaa....".
Ma voix semble loin... extérieure... autre. C'est celle d'un homme qui prend un plaisir fou.
"Tu aimes ça ?" me dit-elle en tournant son index autour de mon oeiller pour s'arrêter en son centre.
Je me fige.
"Oui."
Je sens mon anus s'ouvrir et se fermer, l'extrémité de son doigt au bord de ce gouffre intime.
Elle sourit à ma respiration rapide avant de baisser son visage et pointer sa langue à mon petit trou.
La pointe musculaire en effleure les pourtours.
Un délice de sensations tourbillonnantes.
Elle passe sa langue sur l'ouverture.
Lentement.
Puis de plus en plus rapidement avant de s'arrêter.
"Et ça, tu aimes ?"
Je grogne de plaisir avant de pouvoir répondre.
"Oui... lèche-moi... mange-moi encore.".
Elle insinue sa langue.
"Ha oui... tu as l'air d'apprécier".
Elle glisse son doigt à la suite de sa langue.
A genoux derrière moi, les jambes écartées je la vois onduler de la croupe.
"J'aime te bouffer le cul" murmure t-elle de façon perverse.
Elle me surprend par son registre de langage osé.
Son index se fait curieux et m'empêche de relever sa phrase.
Il entre, s'immobilise avant de se retirer et recommencer.
Chaque pénétration et sortie me fait l'effet d'un éclair qui parcourt mon corps des cuisses à la nuque.
Elle accélère ses poussées, malaxant mes boules.
Mes bras ne me soutiennent plus, je pose les coudes au sol en expulsant un cri alors qu'elle enfonce son doigt profondément.
Elle caresse ma hampe, soulageant les tensions qui l'habite.
"Tu... es... douée... haaaa..."
Je la distingue observer mon cul offert, ouvert, mes couilles saisies à pleines mains, la verge tendue.
Images d'un sensualité exacerbée, indécentes.
"Je ne sais pas qui est le plus cochon des deux". Fait-elle en bougeant son index enfoncé en moi.
Je relève mon visage dans un cri sourd comme elle écarte les plis sombre de mon intimité.
"C'est toi... la cochonne". Tente-je de lancer dans un acte de défi.
Elle ressort rapidement et je peux souffler.
Je l'entends saliver et cracher sur son doigt.
Et je sens deux doigts me forcer.
"Ha oui ? C'est moi la cochonne ?".
Sa voix est surexcitée.
Elle écarte les chairs, les assouplis, bouge, tourne sans omettre de masser mes bouses, les écrases avec délicatesse pour faire aller et venir les noyaux
brûlants.
Je ne suis plus qu'animal.
Elle crache sur mon cul à sa disposition.
Mon corps se raidit... se tend... mon coeur s'emballe.
Elle me perce avec largeur de ses deux doigts fins et doux.
Je pousse un cri, incapable de me retenir.
Elle écarte ses doigts, les ouvre, entre doucement en appuie sur ma verge.
Le cri devient muet.
Mon anus écarté, elle s'immobilise quelques instants avant d'entamer un mouvement circulaire.
La bouche grande ouverte, je parviens soudain à émettre une râle de bonheur où la douleur à fait plaisir à un plaisir inédit.
Je n'ose pas faire un seul mouvement.
Percé, elle entre et sort avec dextérité de mon tabou chaud et emplit de sa salive.
Elle cogne dans le pli de sa main.
J'halète, incapable de contrôler mon plaisir obscène.
Elle m'agrandit, ravie de me fouiller de ses pseudos verges tout en me masturbant sans cesse.
Mon visage va de droite à gauche.
"Alors... qui est le plus cochon ? Ou la plus cochonne ? Tu cries. On croirait entendre un..."
Je subis ses manigances perverses.
"C'est... moi... Tu me fais crier comme un cochon que je suis."
"Oui. Tu es mon cochon..."
"Je suis ce que tu veux... hooo... continue".
Elle saisit mon sexe, le maintien fermement dans sa main, le serre et le masturbe doucement.
"Tu es ce que je veux...".
"Haaaa ! Oui.. branle-moi en même temps".
"Tu es délicieux... tes fesses aussi". Elle ponctue sa phrase d'une masturbation plus appuyée.
"Tu aimes mon cul ?! Et... ma queue ?!"
"J'aime te voir ouvert sous mes doigts. Le cul en l'air, sodomisé. Tes chairs écartelées... comme... une..."
Je cède à ce qu'elle désire entendre...
"Comme ta cochonne".
Elle rit doucement.
Je grogne, me cambre.
"Tu t'ouvres comme une petite femme..."
Elle pose un troisième doigt.
"Non... ho non..."
"J'adore te percer... te transpercer... te lécher... te défoncer".
Elle l'enfonce.
Mon cri est guttural.
"J'aime te sodomiser".
Sa main astique mon manche de plus en plus vigoureusement.
"Non ! haaa... hummm... oui ! Encore ! Ho oui !"
Sa main lâche mon glaive pour se figer dans son vagin.
"Tu aimes toujours petite cochonne ?"
"Oui... j'aime te sentir dans mon cul".
Elle recueille rapidement son jus pour venir en enduire ses doigts qui entrent et sortent de mon anus désormais béant.
"Et tu sens combien je mouille ?"
"Ha oui... tu te branles en même temps, c'est... hum... délicieux".
"Tu m'excites trop, je ne peux pas tenir !"
Sa voix se casse.
Son sirop en moi favorise l'intromission rythmée et large.
A son intonation je sens qu'elle succombe peu à peu à l'orgasme croissant.
"Viens me goûter... mes nymphes sont prêtes à ce que tu me lèches. Je coule".
J'entends le bruit sensuel de ses gestes intimes alors qu'elle recueille des filets de son jus et les approche de mes lèvres.
J'ouvre la bouche.
"Goute. Goute combien je... mouille pour toi".
J'y pose mes lèvres en douceur, je lèche et je lape.
Doucement, puis avec plus de vigueur, d'envie, comme je me délecte de sa cyprine délicieuse et odorante.
"Ha oui ! Lèche !! Lèche ma fente !" ordonne t-elle en se plaçant devant moi, debout, extirpant ses doigts de mon anus endolori.
A suivre...