Cette histoire suit "Le chauffeur et sa trainée".
[...]
Il gare la voiture.
Sans avoir dit un mot il ferme portes et volets.
Depuis qu'il m'a vu avec cet autre que lui il ne m'a pas décroché
une seule parole.
" Je vais... me doucher". Lui lançais-je, pour tenter de renouer
le dialogue.
Il ne répond rien, file dans une autre pièce.
Je suis troublé par son comportement.
Le corps encore troublé par la jouissance que je viens
d'éprouver, mon esprit est dans le flou.
A t-il détesté ?
L'eau ruisselle sur mon corps.
Pourtant nous étions d'accord...
Et cela semblait même l'exciter de me voir jouer la trainée
devant lui.
Je souris malgré moi.
C'était... bon, je dois l'avouer.
Mais mon sourire disparait. Ai-je mis mon couple en danger
?
Je me lave, toute envie disparue instantanément.
N'a t-il pas comprit que je le faisais pour nous, pour lui… sous
son regard ?
Il semblait pourtant apprécier si je m'en réfère au fait qu'il se
soit masturbé en me regardant.
La serviette douce et chaude sèche mon corps.
Il faudra que l'on parle. Que je lui explique que le jeune homme
dont je ne connais même pas le nom, n'était qu'un jeu, un jouet pour nous. Mais le comprendra t-il ?
Lorsque j'ai jouis, mon visage était tourné vers lui, comme mes
pensées.
Je me glisse dans les draps froids.
Il ouvre la porte.
Son visage est fermé, grave, sévère.
Il éteint la lumière en entrant à son tour dans la salle de
bain.
Les larmes me montent aux yeux.
Mes seins me semblent alors trop gros, mon corps trop... pas
assez...
J'essuie mes yeux.
Le bruit de l'eau de la douche résonne dans la pénombre presque
totale de notre chambre.
Mais est-ce encore "notre" chambre ?
Je me tourne du côté opposé au sien. Droite, sur le flanc, ne lui
offrant que mon dos.
"Zut ! Il était d'accord. Je n'ai rien à me
reprocher".
Il entre dans le lit toujours sans un mot.
Dans le noir complet j'attends une parole de lui.
Au lieu de cela il se colle à moi.
Sa main droite vient se glisser sous mon genou et relève ma jambe
à l'équerre.
Surprise j'en reste muette.
Sur mon dos je sens la raideur de son sexe qu'il appuie contre ma
peau.
Prise au dépourvu je laisse ma jambe remonter et sa main venir se
poser sur mon sexe sans préliminaire.
Il me caresse.
Sous le geste imprévu je me cambre un peu.
Son autre main saisi ma nuque et il se serre à moi.
Ses doigts glissent sur ma fente. Son majeur entre mes lèvres
alors que l'index et l'annulaire flirtent sur mes lèvres molles.
Les bouts de ses doigts atteignent mon clitoris pour repartir en
arrière.
Une caresse ferme qui fait s'entrouvrir mes chairs... et...
devenir instantanément humide.
Il se presse contre moi.
Sa verge est aussi dure que ses gestes sont sans
équivoques.
Il presse ma perle à chaque remontée de ma fente.
Mon clitoris ne tarde pas à se gorger et chaque fois que sa main
vient l'écraser un peu durement je m'arque sous le mélange d'indélicatesse et de plaisir qui monte.
Il remonte sa main sous ma nuisette pour atteindre mes
seins.
Il les palpe l'un après l'autre avant de venir se saisir de mes
tétons qui se dressent au centre de mes auréoles.
Avec une étonnante fermeté il me malaxe les seins et fait rouler
mes tétines érigées.
Il tire mon sein.
Je gémis sous la douleur de ma lourde mamelle simplement tenue en
l'air par mon bout.
Il me maintient ainsi, agitant mon sein d'une façon encore
inconnue pour moi, jusqu'à m'arracher un soupir de plaisir.
Il me relâche. Je souffle.
Il n'a jamais été aussi dur avec moi.
Sans un mot il redescend son bras vers mon bas
ventre.
Sa main plaquée à mon sexe, il me masse
vigoureusement.
Je prends plaisir à ce jeu rude qu'il me pratique.
Son majeur entre alors sans prévenir dans mon antre
brulante.
J'ouvre ma bouche pour laisser un soupir s'échapper sous
l'intrusion profonde.
Il me fouille, s'enfonçant et reculant dans ma grotte, allant de
droite à gauche explorer mes replis qui se nimbent de cyprine sous ses gestes sans hésitation.
Il ressort pour venir une nouvelle fois jouer avec mes
tétons.
Mon sirop qu'il étale sur eux les rend plus glissant et il les
malmène jusqu'à me faire pousser de petits couinements de plaisir.
Sa main vient saisir la mienne et, toujours sans un mot, l'amène
à son sexe.
Sa verge est raide. J'en saisi la base entre mon pouce et mon
index, peinant à en faire le tour.
La paume de ma main vient se refermer sur le milieu de sa hampe
et je le fais coulisser, remontant vers le haut dans cette position inconfortable où ma main est à l'envers.
Il se laisse faire et sa main file alors à nouveau vers mon entre
jambe.
Délicatement il extraie mon bonbon et je lâche un couinement de
plaisir.
Je le masturbe lentement, sentant dans ma main le gland rond,
sommet de son pieu d'acier.
Il change de position, se met à genoux sur le lit, je le saisi
alors plus aisément et j'accélère mes gestes.
Il m'ouvre les cuisses, défaisant le drap, me plaçant sur le dos,
ouverte.
Je palpe ses bourses du bout des doigts... deux belles boules qui
pendent et que je fais rouler lentement pour sentir les olives internes.
Sa peau est douce, chaude.
Je recommence mes gestes de masturbation.
Sa main gauche caresse mes seins l'un après l'autre.
La droite effleure mes lèvres avec délicatesse, s'attardant sur
ma perle qu'il fait glisser doucement.
Après ce moment où il a été rude je le redécouvre prévenant et
attentif.
Je gémis, retrouvant l'homme que je connais.
Lorsqu'il m'enfonce trois doigts dans le vagin sans préliminaire
alors que simultanément il pince un de mes seins, je m'aperçois que je viens de me tromper.
Je pousse un petit cri.
Il reprend possession de sa femme après cet autre... il me montre
son côté sombre.
Ses trois doigts avancent et reculent, écartelant mes lèvres,
provoquant à chaque pénétration qui m'ouvre, un gémissement.
Lorsqu'il y adjoint son pouce, formant un cône large qui me
force, je crie.
Il me malmène.
Ma fente s'élargit alors qu'il écarte ses doigts lorsqu'il
s'immobilise à l'intérieur de mon sexe.
Puis il recommence à entrer et sortir, rapidement, sans
cesse.
Je presse son membre et le fais aller et venir plus vite à mon
tour, calquant mon rythme sur le sien.
Les doigts enfoncés dans mon vagin il les fait s'agiter en mon
intimité.
Il les fait sortir de cette façon... écartés... ouvrant mes
chairs ruisselantes à l'extrême.
Je pousse un long couinement que je n'entends que dans le flou
sonore que provoque le sang qui bat mes tempes.
Dans le noir je ne distingue même pas son corps qui me
surplombe.
Ses mains saisissent mes chevilles.
Il m'ouvre les cuisses et vient se poser sur moi.
Son sexe dur plaqué à ma grotte gluante de mouille.
Il me force, ouvrant encore un peu plus ma motte sous la largeur
de sa verge.
Son vit s'enfonce de plus en plus profondément,
rapidement.
Je le sens bientôt buter au fond de mon vagin.
Je gémis.
Il me prend avec frénésie.
Alors que je lâche une petite protestation, il pose ses doigts
sur ma bouche pour m'intimer le silence et m'ordonner d'obéir.
La pulpe de ses doigts sent le sexe... mon sexe.
J'ouvre la bouche alors qu'un assaut plus fort me perce le
ventre.
Il y place ses doigts que je suce alors d'un geste machinal et
presque obscène.
Il fourrage entre mes cuisses et j'apprécie la force dont il fait
preuve pour la première fois de notre vie commune.
Lorsqu'il s'extraie de mon sexe en fusion, je n'ai qu'une
envie... qu'il recommence à me... baiser de la sorte.
A suivre...