[...]

Je porte une robe d'intérieur.trio4.jpg
Mi-cuisses, noire, légèrement décolleté mais sage, très sage. 3 jolis boutons sur le devant.
Lorsque la sonnette retentit je ne suis que moitié surprise.
J'ouvre pour découvrir le patron de Marc, mon maitre.
"Bonjour ma petite poupée" me dit-il en déposant un baiser sur ma joue.
Je lui souris.
"Tu as fait du thé ? Cela sent divinement bon."
Il accroche son manteau sur la paterre, dépose son attaché-case sur le bureau... comme s'il était chez lui, ce qui est un peu vrai.
"Il est tout chaud" dis-je en le regardant faire.
Il s'approche et pose ses mains sur mes hanches.
"Tu es très en beauté ce matin".
Mon cœur bat plus vite.
Sa bouche se pose sur la mienne.
Nos lèvres se frôlent, se soudent.
Il m'embrasse, il attend ce moment où je vais lui offrir le baiser qui me donne chaud.
Nos langues s'enroulent, se cherchent, il a cette façon de m'embrasser, tel un amant dévorant de désir, qui me fait chavirer.
Je ne peux m'empécher de penser que mon mari vient juste de partir.
Je rougis un peu.
A force de petits baisers sur les commissures de lèvres, il s'éloigne.
Je suis tétanisée.
Il s'éloigne vers la cuisine.
"J'ai envoyé ton mari dans un rendez-vous important, j'espère qu'il est parti."
"Oui, oui" bafouille-je un peu.
Il me tends ma tasse et s'en verse une.
Ses yeux bleus me transpercent.
"Ho, j'oubliais, j'ai un paquet pour toi. Tu veux bien aller chercher le sac à côté de ma mallette ?"
Je le fais et l'apporte, un peu intriguée.
"Ouvre".
Mes mains tremblent un peu.
Une paire de bas blancs...
"Mets-les".
Je suis confuse.
Je me dirige vers la chambre lorsqu'il me stoppe et m'impose de rester ici et de les passer... devant lui, dans la cuisine.
Rougissante, je me retourne pour les passer.
Je sens son regard reluquer mes genoux, mes cuisses.
Toujours gênée de m'habiller devant quelqu'un.
"Ils te vont très bien".
Je sens une peu de fierté lorsqu'il me complimente.
Il me tends alors une paire de chaussures à talons.
"Que va dire Marc s'il me voit ainsi ?"
"Il fera ce que je lui dirais" fait-il en sirotant son thé.
Je mets les deux chaussures, obligée de me pencher, de me cambrer pour enfin me relever, plus haute de quelques centimètres, les jambes galbées.
Il ne perd pas une miette de mon habillage.
Je plonge de nouveau ma main dans le sac pour en sortir une jupe, courte, noire, si courte...
Ecarlate.
Je sais qu'il savoure ce moment autant que son thé.
Il me caresse la joue pour m'encourager.
Je vais devoir me dévêtir devant lui.
Mes mains ne sont pas sures alors que je déboutonne ma robe.
Si impudique... je perds mes repères.
Elle tombe à mes pieds.
Son regard passe lentement sur moi, de mon cou à mes seins déjà tendus dans mon soutien-gorge, sur mon ventre, jusqu'à ma culotte de coton blanche.
"Regarde ce qu'il y a d'autre dans le sac".
J'hésite et j'en sors un chemisier noir décoré de dentelle blanche.
En lieu et place de boutons, un simple laçage.
Il retourne le sac...
"Je t'en prie, habille-toi avec les vêtements de ce sac"
... il est vide.
Je rougis alors que je viens de comprendre.
"Ho... non..."
"Allez ma petite Béatrice, retire ton soutien-gorge".
Je le fais, obéissante, un secret désir enfle en moi.
Il dévore ma poitrine aux tétons saillants et mon pubis... totalement lisse depuis qu'il m'y a obligé.
Je m'y suis habituée désormais.
Il est le symbole de ma soumission.
Ma jupe est courte, arrive en limite du liseré des bas.
Ma poitrine, libre, frotte contre le tissu et concourt encore plus à ériger mes tétons presque douloureux qui ne sont pas longs à réagir.
Je me sens si... osée dans cette tenue...
"Il reste du thé, parfait. Car j'ai invité un client à venir signer un contrat ici. Et il adore le thé".
Je voudrais dire "nonnnn !" mais je suis tétanisée par ce que je crois comprendre.
Il me serre dans ses bras, me réconforte de mots tendres.
Cet homme me fait chavirer...
Toute rouge, de honte et de désir, je tremble légèrement.
"Tu vas voir, cela va être un très bon moment" me murmure t-il.
Il passe sa main sur ma jupe, remonte sous un sein et caresse mon cou.
Je suis si bien contre lui.
"Mais et... Marc... il ne faut pas..."
Son doigt se pose sur ma bouche.
"Tu es à moi".
La sonnette...
Je panique.
"Tu vas être merveilleuse".
Je me dirige pour ouvrir la porte en cherchant à garder un peu de contrôle sur mes jambes flageolantes.

Le client me sourit, ses dents blanches au milieu de son visage sombre.
Sa peau noire, sa main manucurée, entretenue, qu'il me tend et que je sers, intimidée.
"C'est bien ici ?"
"Oui, oui je pense".
Je le fais entrer, comme dans un état second.
Les présentations faites, j'apprends qu'il vient du Sénégal et qu'il n'est ici que pour signer le contrat avant de s'envoler de nouveau.
Ils s'installent au salon et discutent.
Je leur apporte du thé.
Je sens les yeux noirs plonger dans mon décolleté.
Devant lui, je suis gênée, lorsque mon maitre pose sa main derrière ma cuisse, me caresse la jambe jusqu'à faire disparaitre ses doigts sous la jupe, effleurant mes fesses nues.
La base de mon séant, effleuré, me rend instantanément humide... et honteuse.
Il lui tend le crayon pour signer...
Je surprends leurs sourires complices.
L'objet tombe sur le tapis entre ces deux hommes qui viennent de faire affaire.
S'il se penche il va me découvrir si impudique.
Je n'ose bouger.
Il ramasse l'objet et son visage se tourne. Ho non....
Je le vois mater longuement mes jambes. Son regard remonte si haut... il doit voir mon absence de culotte et la main de mon maitre sur moi.
Je ne suis pas à l'aise mais ce dernier me lance un regard rassurant qui contrebalance mon désarroi.
Lorsqu'il remonte s'asseoir et signer il lance un "Votre assistante est ravissante".
"Nous voilà partenaires".
Ils échangent une poignée de mains.
"Je peux ?" fais le grand noir en souriant.
"Bien sur... je vous en prie".
Il pose alors sa grande main sur mon genou.
Je sursaute et il remonte sur ma cuisse.
Sur le bas blanc sa main contraste outre mesure.
Je m'affole.
"Ce n'est pas mon assistante vous savez."
"Ha bon ? Peut-être une fille de joie ?"
Mon maitre rit de bon cœur.
Je m'empourpre d'être ainsi considérée.
"C'est ma soumise, et également la femme d'un de mes employés, celui qui avait les précontrats, le petit Marc".
Je ne sais plus où je suis, je danse d'un pied sur l'autre, incapable de garder une allure digne.
La main de Monsieur presse ma fesse, plus fermement, et je gémis sans pouvoir me retenir.
Ils trinquent devant moi, leurs mains sur moi, ma cuisse, mon fessier, caressés.
Son client ne dit rien, il détaille chacune de mes courbes.
Son regard... pervers sur ma poitrine qui se soulève trop fortement... les caresses de ma fente, effleuré par l'index de Monsieur... me font mouiller de plus en plus.
Leurs deux mains remontent encore.
L'une effleure l'aine... et se met à flatter mon pubis lisse.
Je ferme les yeux.
"Elle n'a pas de poils"
"Non, je la contrains à être ainsi, en signe de soumission".
Leurs rires me font l'effet d'une claque.
"Et son mari ?"
"Il ne dit rien, c'est un mou. D'ailleurs je loge ici et il dort au pied du lit"
"Je m'en souviendrais la prochaine fois que je le verrais".
Ils plaisantent en me caressant.
Une main flatte ma raie et mon petit œil brun pendant que l'autre masse mon abricot en fusion.
"Je l'ai dévergondée. Désormais elle est très ouverte. elle accepte tout".
"Vraiment tout ?"
"Ho oui... vraiment. Et elle n'a pas le choix et puis surtout... elle aime ça".
Son doigt se glisse entre mes lèvres molles.
"Humm elle est trempée".
Je mords mes lèvres pour ne pas crier, pour ne pas m'affoler à ce qu'ils disent de moi.
"Ca l'excite."
Mon maitre me force à écarter mes jambes tout en restant debout.
Et son client me fouille le vagin dans un bruit lacustre.
Les mains de Monsieur m'attirent alors vers lui.
Je me sens si fragile entre ces deux hommes.
Si sensible... chez moi... et pourtant... ailleurs.
Le doigt noir, retiré de mon corps, luit de ma cyprine.
Je me retrouve bien vite assise sur mon maitre.
Cuisses écartées, ma jupe est remontée haut, elle découvre le porte-jarretelle et offre à son vis à vis une parfaite vision de mon sexe ruisselant.
Ma poitrine se tend de façon indécente, ma poitrine forcée vers l'avant jusqu'à tendre le chemisier au maximum.
La main ferme de mon maitre appuie sur ma nuque... je me penche vers l'avant... offrant le balancement de ma poitrine libre, à la vue de l'homme noir qui suce son doigt... qui goutte mon sirop intime.
Je me sens devenir folle.
Il ouvre alors son pantalon et sort son sexe.
Je panique en voyant le gros boudin noir, déjà dur, qu'il exhibe.
Une si grosse chose... peut-être même encore plus grosse que celle de mon Maitre.
Il se décalotte.
Son gland est violacé, turgescent.
Je le trouve, lui aussi, trop gros pour moi. Je n'ai jamais vu de sexe noir... une crainte... et un désir subtil.
Je suis forcée de me pencher.
Mon visage touche le membre viril... son odeur me plait.
Mes cuisses ouvertes en grands, cambrée... ma jupe est relevée sur mes fesses.
Il prend mes cheveux et se frotte la verge contre mon visage.
Mes fesses à l'air subissent les caresses délicieuses de mon maitre pendant que mes joues ressentent la chaleur de la verge raide de cet inconnu.
Je me retrouve soulevée, mes genoux posés sur le canapé, mes mains sur les cuisses de l'homme en face de moi, tel un pont au dessus du vide.
Une petite fessée claque.
Je sais... j'obéis... j'ouvre la bouche.
Il rit.
"Elle est bien dressée".
A ces mots si crus, si forts, je mouille... à la limite de l'orgasme.
Le gros sexe entre dans ma bouche entrouverte.
Il me force à écarter mes mâchoires... douloureuses... tellement le membre est large.
Ma langue glisse et lèche la veine volumineuse.
Déjà loin... au fond de gorge... sans se soucier de moi, il baise ma bouche.
Sa main noire dans mes cheveux blonds, il m'oblige à l'accepter.
Son sexe va et vient.
"Vous pouvez y aller, elle adore sucer, sa bouche est une vraie pompe à bites".
Il s'enfonce si loin.
J'en ai des hauts le cœur.
A m'étrangler, je bave, comme il me maintient dans cette position où je ne reprends mon souffle qu'avec peine.
Puis il recule brusquement.
"Pompe mon gland" dit-il sèchement.
Je peux enfin respirer.
Je l'aspire, de moi même, sans qu'il n'ait plus besoin de me retenir... comme folle... comme prise d'une envie inouïe de stupre... depuis que mon Maitre m'a initiée à ces plaisirs lubriques.
Il glisse ses mains dans mon chemisier dont les boutons sautent les uns après les autres.
Et il malaxe mes seins, il les caresse et tire sur mes tétons... douloureux... apaisés par ces gestes osés.
"Branle-le avec tes seins" ordonne mon maitre derrière moi, alors que mes fesses sont tendues vers lui.
J'avance vers lui, il se glisse dans ma poitrine.
Je sens la ... queue... si large, si chaude... qu'il comprime entre mes poires opalines.
Elle bute contre mon menton, contre mes lèvres.
Je lape son méat.
Et puis... là... contre ma fente... un autre sexe... je le connais... je sais qu'il va me déchirer lui aussi.
Il me force.
Je crie.
La saillie est courte mais me rend dingue car les deux hommes se redressent.
Le noir me soulève comme une paille et me pose sur la table...
Mes seins écrasés sur le bois.
Je regarde mon ... maitre.
J'ai envie de lui, pas de cet inconnu, j'ai envie de lui faire plaisir de lui rendre ce qu'il me donne.
"Baisez-la" lui ordonne t-il cependant.
Je hurle lorsqu'il me prend d'un coup.
Son sexe trop épais me défonce la fente.
Il accélère, la table bouge, il me possède comme un animal.
Son pieu me parcourt sans discontinuer.
J'en ai les larmes aux yeux, devant mon maitre qui me sourit, ma bouche grande ouverte pour laisser échapper mes râles.
Je crie sous les assauts brutaux et terriblement sexuels.
Tel un soudard, il jouit, répandant sa semence blanche sur mon dos.
Je suis haletante.
J'entends vaguement son départ, mon maitre qui revient.
Je n'ai pas bougée.
Allongée à plat ventre sur la table.
Il caresse ma croupe, effleure ma fente outragée, gonflée.
Ses doigts sont divins sur mes lèvres en feu.
Il me masse doucement et son souffle vient apaiser mes muqueuses rougies.
Sa langue s'y pose, il me lèche... passionné... attentionné...
C'est trop fou... je gémis.
Je sursaute lorsqu'elle vient déborder et... laper ma petite rondelle.
Il me déguste, je n'ai plus la force ni la volonté de dire non.
Mes deux orifices sont lapés, léchés.
Il m'assouplit l'anneau brun qui palpite d'envie.
Il m'embrasse le sexe.
Je coule... ma motte me semble brulante, saillante.
Je soupire d'envies... de plaisir.
Il accentue la pression, mon intimité s'ouvre pour que sa langue s'enfonce.
Il me mange...
Je sais ces mots crus qu'il va me dire.... et j'en perds la raison.
Je frissonne lorsqu'il me dit aimer me bouffer la chatte, le cul...
Lorsque je l'entends commenter comment son client m'a défoncé.
Je dégouline de cyprine sans pouvoir m'arrêter.
J'ai envie... de tout...
Il se redresse.
Je me cambre pour m'offrir totalement.
Je le sens m'envahir... si raide et si gros.
Les pointes de mes seins frottent, légèrement soulevée, il me donne des coups de reins qui me font gémir sans discontinuer.
Le rythme change, il oscille en moi et je me tends comme une liane.
La poupée fragile devient... lascive... chienne...
Il bute au fond de mon intimité.
Je pousse des petits cris, entièrement, à lui, je lui appartiens.
Mon corps... mon cœur... mes envies les plus obscènes... sont à lui.
Je me sens chienne, je me cambre, lui offre mes reins pour qu'il me saute sur notre table.
Oui, j'aime ça.
Je lui présente ma croupe dans sa plus intime expression.
"Tu sais ce dont j'ai envie".
"Oui... humm oui je le sais"
"Alors écarte-toi".
Je pose mes mains sur mes fesses... et je les ouvre.
"Prenez-moi comme vous voulez... prenez mes reins".
Il présente son sexe devant mon petit œillet qui palpite.
Sa force se fait ressentir.
Sa raideur, sa dureté.
Je sais que je vais crier.
Je crie toujours un peu plus fort, par là.
"Sois plus crue ma douce poupée".
"Ho... je..."
Ce mot si... obscène...
"Na te fait pas prier" me murmure t-il en appuyant contre mon orifice serré.
"Ho oui... enculez-moi" ose-je dire.
Je crie.
Il pousse son gland trop large en moi.
Il prend ce que Marc n'a jamais eu.
Je suis ballottée.
Chaque coups de reins me propulse vers l'avant.
Je me surprends à me masturber en même temps.
Je n'ai jamais été aussi excitée.
Il étale le jus de l'autre homme sur mon dos et me présente ses doigts.
Je n'en crois pas ma raison... je suce les doigts sales.
J'en veux encore, je me tortille pour sentir sa grosse verge profondément dans mon cul.
Mes orgasmes s'enchainent.
Je coule sur la table, autour de mes doigts.
Une sensation brulante me fait chavirer de honte et de plaisir... il vient d'éjaculer dans mes fesses.
Son foutre épais me coule sur la fente, sur les cuisses, se mélange sur mes doigts à mon sirop de femme.
J'ai chaviré dans l'univers de mon Maitre...
Il me chevauche sur les rives du plaisir.
Et je le suis... je suis à lui...
Son baiser dans ma nuque m'enflamme.
Hooo non... je sens déjà l'envie enfler.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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