...

Mon amant m'a invité chez lui à passer quelques jours.
Mon époux ne lui a pas refusé, comme d'habitude, il ne s'y oppose pas.
Et si je ressens une forme d'humiliation pour lui, ce sentiment de force qui émane de mon maitre me rend plus excitée à chaque fois qu'il agit de la sorte dans notre couple.
Je suis devenue incroyablement sensible à cette emprise.

Sa maison est agréable et j'en fais le tour, à son bras.
Un peu honteuse et tellement fière qu'il m'emmène chez lui.
Nous passons un bon moment dans le jardin d'hiver à deviser de tout, de rien, de moi, de lui...
Puis il prépare un repas et je flâne dans son bureau dont un pan entier de mur est couvert de livres.
Je feuillette, détendue.
Lorsque la sonnette retentie je sursaute.
Il ne m'avait pas prévenu et a invité un couple de nos amis (à moi et Marc) pour venir diner.
Je suis toute à la fois heureuse de les voir et tellement gênée par l'absence de mon mari que je cherche du regard mon hôte pour puiser du courage dans son regard.
"Marc n'est pas là ?" demande Olivier.
Je bafouille un "non" en rougissant telle une pivoine.
Cécile, sa femme, me sourit et complimente aussitôt mon... maitre... même si elle ne sait pas qu'il s'agit bien de cette réalité, pour son invitation et sa maison.
Le repas se déroule sans que nous n'abordions le sujet une nouvelle fois.
Un moment sympathique et détendu où j'en viens même à oublier Marc.

Au dessert la musique est un appel à la danse.
Monsieur invite mon amie à danser.
Je le vois poser ses mains sur elle, nettement plus généreuse que moi.
Il caresse son dos et le haut de son séant opulent.
Olivier m'invite à son tour.
Bien qu'un danseur agréable je ne parviens pas à entrer dans la danse, ne cesse de jeter un regard vers le couple formé par Cécile et Monsieur.
Une pointe de jalousie me gagne, et comme par magie, il me lance un baiser alors que nous nous faisons face.
Il rit doucement avec mon amie et elle glousse à son tour quand il lui chuchote quelques mots à l'oreille.
Elle me regarde d'un air qui me parait étrange.
Puis nous changeons de partenaire.
Enfin ses bras autour de moi.
Je souris sans même m'en rendre compte, et je me blottis contre lui.
Sa main se pose sur mes fesses.
Il me caresse.
C'est tellement agréable que je me laisse faire avant de me souvenir qu'il y a d'autres personnes.
Je cherche à esquiver son geste mais il me maintient et Cécile et Olivier voient cet autre homme que Marc me peloter à deux mains.
Comme si... j'étais à lui... s'ils n'étaient pas là.
Ses doigts flânent sur mes cuisses et il remonte, à chaque mouvement un peu plus, le bas de ma jupe.
Mon couple d'amis s'est arrêté de danser et ils se sont installés dans le canapé.
Ils nous regardent.
Cécile sourit en me voyait ainsi caressée.
Olivier pose un regard très concentré sur mon arrière train qui se dévoile lentement, inexorablement.
Ils n'en perdent pas une miette.
Sa main se glisse sous la jupe.
Il agrippe ma culotte et la tire vers le haut.
Je gémis, étouffe mon soupir dans le creux de son épaule.
Il l'agite, le tissu me comprime le sexe.
Il tire de nouveau vers le haut et ma culotte s'étire et se rétrécit jusqu'à ne plus former qu'un filet de tissu qui coulisse entre mes globes fessiers.
Ses gestes de montées et de descentes opèrent un massage insidieux sur ma vulve.
Je me sens mouiller et mes seins se tendent rapidement.
Installés tranquillement sur le canapé mes amis voient ma déchéance
Mon amant remonte sa main et dévoile ma culotte... tirée... rentrée dans mes fesses.
Ils voient le bas de mes rondeurs.
Tellement impudique.
Il relache le tissu qui me recouvre.
Je souffle enfin.
Mais sa main remonte dans mon dos et dégraffe mon soutien gorge d'un geste habile.
Ho... pas ça...
Le "clac" sonore semble assourdissant.
Mon harnais ne tient plus que mes bretelles.
Il me fait tourner, danser, un mélange d'excitation et de honte me tourmente et m'emporte au rythme de la musique.
De ses doigts il fait tomber mes bretelle.
Mes seins presque libres ballottent à chaque mouvement, les pointes me brulent de désirs pervers.
Lorsque la dernière note retenti il me prend par la taille pour me faire m'asseoir à côté de lui, à côté de mon couple d'amis.
Je n'ai pas la force ni l'envie de lui résister.
Mes petits seins tendent le chemisier, mon tissu est déformé, trahissant mon excitation autant que ma gène.
Cécile me sourit.
" Béa, ça fait mongtemps ? "
Je sursaute, perdue dans mes pensées.
Elle se penche vers moi sur le ton de la confidence " Marc le sait ? "
Mon amant lui répond : " Oui, Marc est au courant ".
Son mari lâche un " Je m'en doutais ".
Cécile rougit un peu avant de poursuivre : " Et il accepte ? "
Les yeux bleus de mon adorable tourmenteur me percent et eveillent des sensations si fortes.
Je baisse les yeux, un volcan d'émotions me submerge.
La voix sourde, masculine, impérative et si sensuelle m'oblige à lui répondre.
Ma gorge est si serrée.
Mes seins me font mal, excités au possible.
Je laisse échapper un petit " Oui... il accepte. Il est bien obligé ".
Je me sens fondre, presque libéré d'avoir dévoilé ma condition.
" Montre lui tes alliances " m'impose t'il de nouveau comme une violation de nos désirs intimes.
La main tremblante je lui présente ma main gauche où brillent deux anneaux.
Elle les regarde, sa main prend la mienne.
Je suis rouge de honte.
" Dis lui ce qui est écrit dessus ".
Ma gorge est serrée.
Aucun son n'arrive à sortir.
Elle épelle en faisant touner l'anneau.
" Sou... mi...se ".
Mon couple d'amis sourit à l'unisson.
Les larmes me montent aux yeux.
Il remonte sa main et le bas de ma robe, dévoilant le haut de mes cuisses.
Il dépose un baiser sur ma joue.
Il sait qu'ainsi je ressens un plaisir qui s'accroit avec ma honte.
" Oui, ma soumise ".
Olivier lui demande si c'est vraiment le cas, comme incrédule.
Moi, si sage, comment auraient-ils pu l'imaginer.
" Marc lui a même donné l'alliance, il est totalement... soumis lui aussi. Il sait que Béatrice est à moi ".
Ses mots me réchauffent.
Oui, je suis à lui, impudique mais... à lui.
" Son corps... ses yeux... ses rêves... ses fantasmes... son cul. Tout est à moi ".
J'ose à peine les regarder du coin de l'œil.
Ils me jugent et doivent me trouver tellement dépravée.
Une nouvelle bouffée de chaleur monte dans mon ventre, plus intense, horriblement douce.
Je sens sa main qui me force à écarter mes jambes.
Je pose mon dos sur le dossier du canapé.
Olivier a le regard fixé sur mes cuisses.
J'ouvre un peu plus sous la main qui se presse et ma robe remonte, il va bientôt voir ma dentelle, déplacée...
Il pose sa main sur son pantalon.
Je me sens folle de le regarder et d'être aussi ... exhibée.
Mon... maitre... pose ses deux mains sur mes jambes et il m'ouvre... il m'offre à leurs regards.
Il caresse l'interieur de mes jambes.
Il pose son index sur le tissu de ma culotte, il le fait remonter.
Je voudrais disparaitre... pas devant eux... c'est... si...
Je gémis sous ses caresses.
La dentelle si légère lorsqu'il fait monter et descendre son doigt.
Ma culotte souillée de mes premières humidité.
Il me masturbe devant mes amis.
Je manque de défaillir.
Le tissu étiré, enfoncé dans ma vulve, offre mes lèvres humides à leurs commentaires murmurés.
Ils ne regardent que moi, pourtant ils se sont rapprochés, Cécile caresse Olivier à son tour.
Cette situation si inconvenante m'échauffe les sens.
Mon soutien gorge comme une relique.
Mes petits s'exposent à leurs yeux.
" Depuis le temps que j'avais envie de les voir " lance Olivier à ma grande surprise.
"Tu veux les toucher ?"
Il a sorti son sexe, Cécile le masse en même temps que lui.
Il tend ses doigts sur mon sein gauche et effleure ma pointe.
Je pousse un cri lorsqu'il pince mon extrémité de téton et qu'il le tire vers lui.
Obligée de m'approcher, de me pencher vers lui, vers eux pour ne pas avoir trop mal...
Une main de femme vient palper mon autre sein.
"Faites vous plaisir" leur dit mon... amant.
Derrière moi, je le sens, maitre de ces ébats.
Il me positionne à 4 pattes.
Si impudique.
Je ne lui refuse rien.
Il caresse mon dos, ma croupe et remonte ma robe qui ne forme plus qu'un bouchon autour de mes hanches.
Je dégouline, mon sexe est un lac.
Cécile tient la verge de son mari droite pendant que lui vient de poser sa main dans mes cheveux.
Mon maitre appuie alors sur mon crane et mes lèvres sentent la chaleur de ce sexe inconnu
Je sens simultanément sa verge se poser sur ma cuisse et ma culotte se baisser d'un coup.
Je suis trempée.
Je ruiselle.
Je voudrais pouvoir crier "non, pas devant eux".
Mais ma bouche est prise par un sexe alors qu'un coup de reins m'enfonce la verge large de monsieur dans le vagin.
Cécile m'encourage "Vas y Béa... tu es belle".
Olivier gémit sous les pressions de ma bouche, il est aux anges, il n'en espérait pas tant.
J'ai du mal à croire qu'il y a moins de 10 minutes nous étions tous si sages et là... je suis le dessert... je suis la gâterie qu'ils consomment tous.
Mes lèvres glissent le long du manche inconnu jusqu'à rencontrer les doigts de mon amie.
La main de mon amant m'appuie encore plus.
"Pompe le. Comme tu sais si bien faire, ma salope".
Ses mots si crus me rendent folle.
Mes yeux ouverts sur la forêt de poils bruns d'Olivier, mon nez qui aspire l'air que je ne peux plus prendre à pleine bouche.
Je suffoque.
Et j'apprécie.
Je pompe goulument le sexe d'Olivier, devant sa femme, devant mon Maitre.
Derrière moi ce dernier me caresse le dos et flatte les flancs de mes seins.
J'ai envie... de lui...
Il m'enfile alors comme s'il avait entendu mes pensées.
Son gros sexe me fait grimacer et pousser un cri qui s'étouffe dans la succion que je pratique à l'autre homme.
Il recule et j'aspire.
Il me prend plus loin, plus profondément, plus large à sa base, sa verge me déflore le vagin.
Je suis poussé sur la verge et ma gorge sent la gland pointu du mari de mon amie.
Je le gobe et le tête alors que mon entrejambe se fait posséder à grand coups de dards.
Mes seins bougent au rythme de l'enfilade.
Il frotte mes pointent, accroissant encore mon plaisir.
Olivier prend alors ma bouche et va loin, comme pour me punir.
Il se déchaine entre mes lèvres.
Cécile me palpe les seins.
Si fragile entre ces 3 pervers...
Si heureuse d'être ainsi utulisée...
Mon maitre me prend les hanches et me laboure.
Le mari de mon amie me baise la bouche.
Et elle... me traie les seins de façon ferme.
Je voudrais hurler de plaisir mais mes couinements se perdent dans la fellation que je pratique avec joie.
C'est alors qu'il me tire par les cheveux pour me désemboucher.
Un long filet de bave entre ma bouche et le sexe dressé d'Olivier, couvert de ma salive.
Il ne me veut qu'à lui
Il me fait monter sur le canapé, les mains sur le dossier, agenouillée sur l'assise.
"Vous en avez bien profité. Mais là... je la veux pour moi seule".
Offerte à ses désirs lorsqu'il me demande de tendre mon cul, je lui obéis, comme en chaleur...
" Regardez come elle est bien docile "
Ses mains prennent mes seins à pleine paume.
Il m'enfile alors d'un trait.
Je ne fais que gémir.
Une séance de baise si forte, si intense que je dégouline.
Ses mains sur mes épaules, il m'attire à lui à chaque fois qu'il me perce de son gros manche.
Il m'epronne.
Sans ménagement... il m'empale.
Je coule autour de sa gosse queue.
Tremblante, essouflée, ruisselante, je subis avec plaisir les grands coups de butoir qu'il me donne.
Je ne suis qu'une succession de cris et de gémissements rauques.
Mon vagin est envahit.
Mes lèvres sont écartelées.
Ma vulve cognée par cet homme à qui je me donne en rejetant mon visage en arrière dans un feulement orgasmique.
Sans honte je jouis devant le couple d'amis.
Je reste dans la même position pour reprendre mes esprit et mes forces.
Le sang cogne à mes tempes et m'assourdit.
Je sens les mains d'Olivier se poser sur mes hanches.
Puis c'est son sexe qui me pénètre.
Je voudrais refuser mais le désir me gagne instantanément.
Il va et vient en moi, prolongeant le plaisir que je viens de prendre.
J'ondule, sous les va et vient de cette verge heureusement moins large mais qui me prend en levrette avec énergie.
Un nouvel orgasme n'est pas long à venir.
Je pousse un feulement qui trahit mon plaisir.
Et Olivier éjacule sur mon dos.
Son liquide chaud s'étale et me coule sur les fesses.
Il me salit... sous le regard de sa femme qui pompe mon Maitre telle une affamée.
Tous les 3 m'observent.
Je la vois avaler le jus épais de mon amant qui vient venir dans sa bouche.
J'aurais tant aimé qu'il me donne son foutre...
Il me tourmente encore plus en lui faisant cette offrande, chose que je n'ai jamais accepté de Marc.
Ho... Marc... si loin en ce moment...
Comment allons-nous faire la prochaine fois que nous allons tous être réunis ?
Olivier remonte son pantalon et me caresse la joue.
" Merci Béatrice " me murmure t-il.
Je baisse le visage pour ne pas affronter leurs yeux.
Cécile replace ses gros seins dans son chemisier.
Elle m'embrasse sur le front.
" A bientôt... ma belle".
Mon Maitre les raccompagne.
Je n'ai pas bougé lorsqu'il revient.
Il frotte mon dos, étale le jus de l'autre homme sur ma croupe... que je tends... vers lui... écartant mes cuisses.
Je sais qu'il aime lorsque je suis à lui comme cela.
Offerte... comme une chienne.
Sa chienne.
Du coin de l'œil je vois son sabre de nouveau dressé.
Il effleure ma rosette...
Hooo...

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Trio ou plus...
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