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La douche est chaude et je sens mes muscles se détendre sous l'eau qui coule sur moi.
La buée masque la vitre qui, opaque, ne m'a pas permis de la voir entrer dans la salle de bain.
La silhouette mouvante se distingue faiblement.
Lorsque la porte s’ouvre je découvre son visage souriant.
Elle me regarde dans ma nudité, le corps ruisselant.
Pour simple vêtement elle porte une de mes chemises qui, trop longue, est cependant largement remplie par sa poitrine opulente.
Ses cuisses fuselées, ses mollets galbés, ses pieds fins, elle représente la femme désirée.
D’une main elle s’empare du savon et entreprend de me savonner simplement de ses doigts.
Son index décrit un petit rond et je me tourne sous ce geste impératif, docile et sous le coup d’une excitation soudaine.
Je sens les gestes habiles et doux qui glissent sur ma peau.
Elle prend son temps et explore chaque centimètre de mon corps qui lui est offert.
Son contact est des plus subtils, liant les pressions et les caresses pour parcourir le territoire qui est le mien.
Elle palpe mes épaules et descend sur mes bras avant d’engager ses massages circulaires dans le haut de mon dos et descendre lentement jusqu’aux creux des reins.
Elle s’attarde sur mes hanches et ses saisi de mes fesses une à une.
Le prétexte de me savonner lui octroi celui de me caresser sans vergogne.
Je me détends alors qu’elle passe sur mes cuisses et mes genoux.
Ses mains remontent sur l’intérieur de mes jambes.
J’attends le moment où ses doigts vont me frôler et mon sexe en est déjà en émoi.
Au lieu de parvenir à l’orée de mes bourses, elle me fait pivoter et je me trouve face à elle.
Je ne lui cache pas l’effet qu’elle me fait, visible à mon début d’érection.
A peine un regard vers mon membre.
J’en suis presque fâché mais ne dis rien, déconcerté par son regard acéré.
Elle applique ses mains sur mon torse et plante ses doigts dans mes muscles.
Je ne lui connaissais pas ses talents de masseuse.
Sous les passages de ses phalanges elle joue avec mes tétons avant de les saisir et de me pincer légèrement.
Je pose mes mains sur les parois de la douche.
L’eau qui coule étouffe le son de mon gémissement.
Elle s’attarde à me faire subir se délicieux supplice avant de descendre sur mes abdominaux et flirter avec la barre noire et pileuse qui forme un chemin jusqu’à mon bas ventre.
Sans croiser mon regard, appliquée et concentrée sur ses gestes, elle prolonge son geste jusqu’à effleurer mes boules velues.
Elle relève son visage et je la vois sourire alors que sa main droite soupèse mon paquet.
Entre ses doigts elle fait rouler les deux gonades qui bougent d’elles même sous l’excitation.
De son autre main elle flatte ma verge qui se tend de plus en plus.
Elle fait alors glisser le prépuce et me décalotte.
Mon gland apparaît, rouge, gonflé d’envie.
Elle le caresse en excitant le méat.
Ses mains pleines de bulles, glissent sans effort sur l’intégralité de ma virilité.
Elle me masturbe avec une lenteur qui confine à la torture, avec une délicatesse exacerbée par la matière savonneuse.
Je ne peux que fermer mes yeux sous ses manigances délicieuses.
Un bref arrêt de son geste me fait reprendre un peu mes esprits.
Je suis échauffé par ses mains et l’envie qu’elle continue de ma masturber de la sorte est intense, lorsque je la sens appliquer sur ma virilité une substance plus consistante.
Elle vient de m’enduire de mousse à raser.
Je suis interloqué et en un éclair je saisi son idée.
Dans ses mains se profile le rasoir.
Je décide de la laisser faire, mon cerveau est en ébullition.
Entre ses doigts elle tend mon sexe et avec une précision minutieuse la lame rend bientôt glabre mon manche de chair.
Elle presse ma chair, tire la peau, faisant se placer dans toutes les positions mes couilles et ma queue afin de parvenir à me dégarnir de ma toison.
Sous ses actions je sens le plaisir croitre après quelques secondes d’angoisses.
Quelle meilleure preuve de confiance lui offrir que celle de pouvoir passer une lame aiguisée sur mes parties intimes.
Elle prend son temps et s’applique à me rendre lisse.
Peu à peu je découvre ma peau.
Elle fait autour de ma virilité une zone claire et dépourvue de pilosité, sorte de triangle étroit au centre duquel se dresse un pieu gorgé de sang.
Le métal passe de la base de mes couilles à ma veine saillante.
Pas un millimètre de chair n’échappe à son éradication pileuse.
Avec une délicatesse incroyable elle glisse alors sous mes bourses jusqu’à mon entre fesses.
Je me tourne afin de lui faciliter l’accès.
La lame parcoure mes fesses, bientôt nues comme celle d’un nouveau-né.
De ses mains elle écarte mes muscles et entreprend de raser l’étroitesse de ma vallée sombre.
Je me contracte avant de me relâcher.
Le rasoir m’effleure presque comme souffle d’air.
Le métal glacé me fait l’effet d’un fer rouge par l’excitation qu’il me procure.
Elle refait un passage sur l’intégralité de mon sexe avant de s’emparer du jet d’eau et s’appliquer à me nettoyer.
La pression des jets sur mes couilles glabres me font me cambrer sans pouvoir y résister.
Elle s’amuse de ma réaction et poursuit pendant de longues et merveilleuses minutes à m’arroser de la sorte.
Chaque passage sur mes bourses me fait pousser un gémissement de plaisir sans pouvoir le contenir, tout autant que lorsque l’eau frappe mon vit et le fait se tendre à son maximum.
Je ne cherche pas à contenir mon excitation et je me repais de ce moment, les yeux fermés, abandonné à sa volonté de femme.
Je pose mes mains sur le mur, le bassin en arrière, les jambes écartées.
Elle me fait bander sous les effets conjugués du jet d’eau et des ses caresses.
Elle le sait et elle l’apprécie.
Alors que l’eau cesse de couler, je prends conscience du silence.
Ses mains n’ont pas cessées de me masturber, enduites désormais d’un onguent destiné à calmer le feu du rasoir, elle s’empare de mes couilles pendantes et les malaxe.
Elle en a plein les mains et prend un net plaisir à me palper de la sorte.
Ma verge n’est pas longue à se faire malmener de la sorte.
Je sens son souffle dans le bas de mon dos.
Plus rapide et plus court je sais qu’elle est excitée à son tour et cela augmente encore l’effet qu’elle me fait.
Lorsque ses doigts entrent entre mes fesses je me raidi.
Elle n’en a cure et poursuit le passage de la crème bienfaisante sur l’intégralité de ma raie.
Ses doigts passent et repassent sur mon œil plissé.
Je devine son envie contre nature.
Son index me masse la rondelle avec délicatesse.
Elle hésite à appuyer son geste au risque de me courroucer.
Je ne sais que faire, perdu entre l’envie de lui laisser accès à mon intimité pour une découverte d’un nouveau plaisir et la volonté de rester maitre de ma masculinité en lui interdisant l’accès à mon petit orifice.
Lorsque je me cambre en écartant les cuisses dans une position presque obscène, elle comprend mon acceptation et son doigt s’insinue en moi.
Je ressens cet écartement de ma rosette au plus profond de mon être comme un viol accepté.
La douleur est presque inexistante face au déferlement de sensations qui courent dans mon esprit.
Je la laisse me pénétrer de plus en plus loin.
Avec difficulté je réprime un gémissement ou le plaisir prend le pas sur le reste.
Sa main droite vient se saisir de mon sexe et entame une masturbation au rythme de ses intrusions dans mon anus.
Lentement elle fait aller et venir son doigt en moi, lentement sa main monte et descend sur la colonne de chair que ses doigts enserrent à peine entièrement.
Elle s’extraie de mon fondement avant de m’enfoncer un second doigt savonné.
Il glisse sans effort.
Mon œil sombre s’écarte et mon souffle se fait plus rauque sous l’effet de ses deux intrus qui me ramonent entièrement.
Je me sens glisser vers le bas de la douche pour me retrouver à 4 pattes, le cul en l’air à me faire doigter par cette femme superbe qui me branle dans le même temps.
Ses gestes se font de plus en plus rapides.
Ses doigts entrent au fond de mon trou pour le malmener dans des vas et vient secs et implacables.
Chaque pénétration me fait pousser un petit cri de plaisir et je sens l’orgasme monter en moi.
Elle cesse de me baiser de la sorte en sortant une ultime fois ses doigts de mon cul meurtri, puis elle me caresse les fesses comme pour apaiser la fin de cette séance inédite.
Je me retourne pour la regarder, entre la honte et la joie.
Son sourire me désarme.
D’un geste précis elle vient cueillir ma verge.
Je me redresse pour lui présenter.
Elle s’agenouille et me branle avec une énergie et une perfection qui rendent fou.
Ses doigts prennent et masse mes boules en même temps que sa main fait monter et descendre ma tige et l’inclinant de droite à gauche.
- Tu as aimé… n’est-ce pas ?
Sa voix est douce et pour une fois, c’est moi qui rougis.
- Oui… c’était extraordinaire.
Je n’ai pas envie de me priver de ce plaisir et je ne veux pas le nier.
Elle ouvre la bouche comme mon sexe expulse une giclée de foutre blanc qui lui macule la joue.
Je pousse un grognement de bonheur.
Elle approche son visage et la seconde vague entre dans sa bouche grande ouverte.
La langue tirée, c’est elle qui reçoit la suivante.
Mon jus coule sur son visage radieux et souriant.
Elle se place sous la semence, sa main poursuivant sa masturbation pour me vider entièrement, et tout son visage est bientôt recouvert de mon sirop d’homme.
Radieuse elle me lance un sourire désarmant que je lui rends avec plaisir.
- Je dois me laver, tu m'as sali. Me dit-elle.
- Tu es parfaite…
Son doigt se pose sur ma bouche pour m’imposer le silence. Elle s’approche de moi pour me murmurer de sa voix douce « Je vais encore te baiser le cul ».
Je la laisse prendre sa douche, troublé par ce qu’elle m’a fait vivre, impatient de pouvoir reprendre avec elle cette joute sexuelle, ces jeux qui nous ravissent.
Lorsqu'elle sort, revêtue d'un simple peignoir nous nous embrassons.
- Cela ne vous ennuie pas que je reste avec vous ce week-end Monsieur ?
Son ton est redevenu celui d’avant cette douche chaude.
- Bien sur que non.
- Vous aviez prévu quelque chose peut-être ?
- Oui. J’attendais de la visite pour diner. Mais tu vas rester avec moi non ?
Un large sourire fend son visage en guise de réponse à cette question qui n’en n’était pas une.
- Nous allons trouver une tenue plus approprié que ce peignoir. Lui dis-je en écartant les pans pour révéler son sexe rasé et ses formidables seins aux tétons excités.
Ses joues rosissent.
- Qui vient diner ?
- Mes voisins…
A suivre...