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Je t’aperçois sur le balcon.
Simplement vêtue de ma chemise qui recouvre ta jupe sombre tu regardes le décor urbain.
Accoudée à la balustrade tu as placé tes lunettes de soleil sur tes yeux, ton visage tourné vers la lumière qui crée des reflets dorés dans ta chevelure.
Je viens m’installer à côté de toi.
Quelques commentaires sur le parc un peu à droite, l’angle de la rue dont l’immeuble fraichement bâti tranche avec la vieille maison bourgeoise, et les voitures, peu nombreuses en ce début d’après-midi du dimanche.
Je pose ma main sur ta taille, tu te laisses aller contre moi.
Un baiser sur ton front auquel tu réponds par un sourire.
Ma main glisse sur ta jupe et s’aventure à caresser tes fesses au travers du tissu.
Tu ne dis rien et me laisses faire.
Sous mes caresses se dessinent en braille les courbes de tes rondeurs et la vallée qui les traverse.
A la lisière de ta jupe le contact de ta peau me ravi.
Je te sens onduler légèrement sous l’effet ainsi produit.
Sans mouvement brusque ma main se faufile sous ta jupe.
Tu n’as rien au dessous.
Après t’avoir flatté de mes doigts, je redescends sur tes cuisses dont la douceur satinée me rend fou.
En moi grandi le désir tout autant que mon membre.
Je me place derrière toi, collé à ton fessier qui se tend vers moi.
Mes mains saisissent tes hanches et je mime un coït presque immobile accompagné de baisers dans le cou.
Tu réponds à mes avances en te cambrant légèrement, ton séant se pressant sur ma virilité.
Ton parfum me saisi et me transporte.
- Des gens pourraient nous voir. Me dis-tu doucement.
Je ne cesse pas de te maintenir.
Bien au contraire j’affirme ma prise et je me colle encore plus près de toi.
- Comme l’homme d’en face qui parfois utilise ses jumelles pour regarder chez les autres ? Réponds-je.
Tu regardes l’immeuble, sans trouver l’homme.
- Ou comme les passants, 4 étages plus bas ?
- Ils ont une mauvaise vue ceux-là.
Mes mains font rouler ta jupe vers le haut très lentement pour révéler ta croupe magnifique.
- Alors que moi, ma vue est splendide.
Je m’écarte pour observer ton fessier qui se découvre peu à peu.
La base de tes rondeurs blanches puis lentement, au fur et à mesure que le tissus se transforme en un rouleau noir, l’intégralité de la raie de tes fesses, le renflement de ton sexe.
Tu tends vers moi ta féminité en écartant légèrement les cuisses, dévoilant l’orée de ton sexe glabre.
Je me plaque à toi.
Ma verge, dure, douloureuse, se frotte à toi au travers de mon pantalon de toile.
- J’apprécie aussi, me dis-tu.
- Il y a aussi mon jeune voisin qui joue les voyeurs, parfois.
Tu te trémousses un peu plus sur ma grosseur.
Mes mains viennent se placer sur tes seins.
Le tissu de la chemise laisse apparaitre les proéminences que font tes tétons excités.
Je les caresse sans me soucier d’éventuels passants qui lèveraient le nez.
Entre mes mouvements je te sens t’abandonner au plaisir.
Mes doigts viennent frotter le tissu qui irrite tes mamelons, accroissant le plaisir.
Du bout de la langue je viens titiller le lobe de ton oreille que je mordille avant de te murmurer quelques mots.
- Ne bouge pas… et regarde discrètement sur ta droite.
Je te vois lentement tourner la tête, imperceptiblement pour découvrir que mon voisin, justement, est en train de fumer une cigarette à son balcon.
S’il tourne la tête, il nous voit.
La séparation entre les deux appartements fait qu’il ne peut voir que ton buste jusqu’à tes hanches et mes mains, mais la position est suffisamment éloquente pour qu’il imagine avec juste raison ce que nous sommes en train de faire.
Tu te raidis.
Je me frotte à toi un peu plus. Tu es entre mes bras, plaquée à la balustrade.
Tu as compris que sa présence ne me gène pas bien au contraire et que je ne te laisserais pas battre en retraite.
Je déboutonne le haut de ton encolure.
Tu détournes le visage, entre l'envie de quitter le balcon et le fantasme de te laisser caresser à la vue d'un autre homme.
Mes mains s’insinuent sous la chemise pour s’emparer, qui main droite de ton sein gauche, qui main gauche de ton sein droit.
Tu tentes de t’esquiver sans en avoir la réelle intention et je n’ai aucun mal à te retenir.
Sans protection tes seins lourds sont désormais entre mes mains.
Je sens la peau qui palpite, chaude, tendue, ronde.
- Il nous regarde, me murmures-tu anxieuse.
- C’est possible.
Je saisi l’un de tes tétons pour le faire rouler entre mes doigts.
Tu réprimes un petit gémissement lorsque je fais subir le même sort à ton autre sein.
Ma bouche proche de ton oreille je te glisse qu’il doit avoir un faible pour toi car il semble passer bien longtemps à attendre que son tabac se consume, ponctuant ses mots en tirant doucement les tétines qui dardent désormais avec autant de raideur que mon sexe contre tes fesses.
Je pince avec délicatesse chaque pointe de tes mamelles ce qui te provoque de profonds soupirs éloquents sur ton excitation.
- Il est jeune, rétorques-tu.
- Oui, 19 ou 20 ans… je ne sais pas, il vient d’arriver avec sa mère.
Je fais glisser un pan de la chemise et ton sein droit se libère.
Nu, il est offert au regard de tous et je vois que notre ami voyeur ne s’en prive pas.
- Il me semble qu’il apprécie beaucoup ta sensualité.
Tu te contractes mais ne dis rien, tu accentues même ta cambrure en redressant ton buste.
Ta poitrine se dresse vers le haut à l’instar de ta croupe que tu m’offres
- Je vais lui donner matière à s’exciter, te glisse-je dans un baiser près de l’oreille.
Tu gémis doucement.
Ma main soupèse ta mamelle, mes doigts cerclent autour du renflement pointé vers le ciel, je titille ton petit bout rougi.
Mon autre main entreprend de déboutonner l’intégralité du tissu et de faire apparaitre ta poitrine nue.
Tu pousses ton sexe vers le mien, visiblement excitée par l’idée.
Ta main vient chercher la bosse de mon pantalon.
Tu la caresses, tu la palpes, alors que ta poitrine se trouve libérée.
D’un coup d’œil je peux voir qu’il n’en perd pas une miette.
Tu libères habilement la hampe de chair lisse qui palpite dans ta main.
C’est à pleine main que tu prends mon sexe dur, allant de mes bourses à mon gland sans aucune retenue.
Tu me décalottes d’une main, tellement la bandaison est prononcée.
Tu joues avec comme d’un hochet, excitée et gémissante.
Je me laisse faire à cette masturbation que tu me procures de façon vigoureuse.
Mes boules roulent entre tes doigts, puis c’est le pieu que tu saisis pour pratiquer tes mouvements de bas en haut.
Je te vois couler un regard discret derrière la fumée de tes lunettes à notre ami qui profite du spectacle que nous lui offrons.
Il ne peut y avoir de doute à ce que tu manigances sous son champ de vision.
Ta main me positionne devant l’entrée de ton sexe humide.
Le bout de mon sexe te découvre trempée.
- Tu es affolante.
- Je suis affolée.
- Excitée par la situation.
- Toute mouillée…
- Prête à te faire prendre.
- Envie de me faire mettre votre queue pendant qu’il matte.
Un coup de rein et je te pénètre sans effort tant tu es lubrifiée.
Avec douceur je m’insinue en toi.
Tu geins en fermant les yeux.
Fermement agrippé à tes seins j’entame une série de vas et viens qui enfoncent toujours un peu plus profondément mon glaive dans ta fente chaude.
Une de tes mains sur mes hanches m’accompagne dans mon élan alors que l’autre te retient à la balustrade.
Ta bouche grande ouverte laisse filer quelques gémissements muets.
Mes assauts deviennent plus forts et plus rapides.
Tu laisses échapper un petit cri à chaque fois que mon pubis vient buter contre tes fesses, mon glaive fouaillant ton ventre sans vergogne.
Avec lenteur je ralentis les mouvements pour me retirer au bout de quelques instants.
Du coin de l’œil je peux voir le regard hagard de notre voisin comme je me penche pour embrasser ta nuque.
Je te retourne doucement et tu me fais face.
Ton buste penché vers l’arrière repose sur la balustrade avec l’aide de tes coudes.
La chemise repose à mi épaules, découvrant à tous les regards ton cou orné du fin collier ainsi que tes tétons sur lesquels le soleil vient accrocher ses rayons.
Ton bassin me cherche.
La jupe n’a pas encore recouvert toute les parties de tes cuisses en se déroulant. Ton sexe m’est encore visible, pudiquement recouvert d’un bout de tissu.
Mes mains glissent sur ta poitrine orgueilleuse.
Elle se soulève sous le coup de l’excitation qui grandi en toi.
Je te vois observer, protégée par tes lunettes, la présence du jeune homme qui scrute cette scène digne du meilleur film qu’il ait vu.
Je fais glisser mon pantalon au sol et tu me souris lorsque tu aperçois l’objet de ta convoitise.
Mon vit dressé au dessus de mes bourses.
Excité, tendu par l’effet de ton corps, luisant de t’avoir forcé.
Tu poses une main sur ton sein et tu te caresses d’une façon si sensuelle que je ne peux résister à l’envie de me rapprocher.
- Force moi, je la veux au fond.
Ta voix est suffisamment audible pour qu’il entende tes paroles.
- Fourre-moi ta grosse bite dans la chatte. Baise-moi.
Je sais que tes paroles sont destinée à m’exciter autant qu’à le rendre fou.
Cependant tu en rougis, ébahie par le flux des désirs qui se déversent en toi.
Mes mains relèvent ta jupe pour te saisir et avec vigueur je t’embroche contre le balcon.
Nos échanges se limitent à quelques mots « prends », « oui », « baise-moi », « encore », « tu aimes ça » au fil des coups de butoir que je t’assène sans discontinuer.
Ton sexe est chaud et je te sens ruisseler sur mes couilles que je m’efforce, à chaque fois que je t’enfile, de venir faire buter sur tes lèvres grandes ouvertes.
Tes seins se pressent contre les miens.
Je remonte ta cuisse droite pour mieux t'enfiler.
Mon sexe s'enfonce jusqu'à la garde dans ta fente.
Je sens ton corps s’abandonner au plaisir dans un gémissement plus fort.
Les coups de pilons font balloter tes seins.
Autour de mon pieu coule ta jouissance
- Je jouiiis… laisses-tu échapper faiblement.-
Tes doigts se fichent dans mon dos, je reste un peu en toi, ton vagin se contracte autour de ma tige épaisse, mes reins te soulèvent à chaque aller qui t’arrache un ahanement court.
Nos corps se séparent.
Tu ressembles à une poupée décoiffée, tes yeux plus clairs n’ont pas perdu leur éclat et ton sourire illumine le paysage.
Tu coules un œil vers mon sexe qui n’a pas eu ce qu’il voulait.
Je sors de ma poche la fine laisse que je viens accrocher à ton collier.
Je pose mes lèvres sur les tiennes.
Tu ouvres la bouche en quête d’un baiser, je pose ma langue sur la tienne et nous jouons de nos bouts de langues l'un avec l'autre.
- A genoux, dis-je assez fort.
Tu tournes lentement le visage vers mon voisin qui en est bouche bée.
- Oui… comme une chienne. Lances-tu en accompagnant cette simple phrase d’un baiser que tu lui envoies.
Tu t’exécutes sous son regard effaré, disparaissant à sa vue, pour te retrouver à la hauteur de mon sexe.
Je m’éloigne de toi, la laisse se tend.
- Viens.
C’est à quatre pattes que tu me suis jusque dans la chambre.
A suivre…