Monsieur & Eve

[…]

Je t’aperçois sur le balcon.

Simplement vêtue de ma chemise qui recouvre ta jupe sombre tu regardes le décor urbain.

Accoudée à la balustrade tu as placé tes lunettes de soleil sur tes yeux, ton visage tourné vers la lumière qui crée des reflets dorés dans ta chevelure.

Je viens m’installer à côté de toi.

Quelques commentaires sur le parc un peu à droite, l’angle de la rue dont l’immeuble fraichement bâti tranche avec la vieille maison bourgeoise, et les voitures, peu nombreuses en ce début d’après-midi du dimanche.

Je pose ma main sur ta taille, tu te laisses aller contre moi.

Un baiser sur ton front auquel tu réponds par un sourire.

Ma main glisse sur ta jupe et s’aventure à caresser tes fesses au travers du tissu.

Tu ne dis rien et me laisses faire.

Sous mes caresses se dessinent en braille les courbes de tes rondeurs et la vallée qui les traverse.

A la lisière de ta jupe le contact de ta peau me ravi.

Je te sens onduler légèrement sous l’effet ainsi produit.

Sans mouvement brusque ma main se faufile sous ta jupe.

Tu n’as rien au dessous.

Après t’avoir flatté de mes doigts, je redescends sur tes cuisses dont la douceur satinée me rend fou.

En moi grandi le désir tout autant que mon membre.

Je me place derrière toi, collé à ton fessier qui se tend vers moi.

Mes mains saisissent tes hanches et je mime un coït presque immobile accompagné de baisers dans le cou.

Tu réponds à mes avances en te cambrant légèrement, ton séant se pressant sur ma virilité.

Ton parfum me saisi et me transporte.

-         Des gens pourraient nous voir. Me dis-tu doucement.

Je ne cesse pas de te maintenir.

Bien au contraire j’affirme ma prise et je me colle encore plus près de toi.

-         Comme l’homme d’en face qui parfois utilise ses jumelles pour regarder chez les autres ? Réponds-je.

Tu regardes l’immeuble, sans trouver l’homme.

-         Ou comme les passants, 4 étages plus bas ?

-         Ils ont une mauvaise vue ceux-là.

Mes mains font rouler ta jupe vers le haut très lentement pour révéler ta croupe magnifique.

-         Alors que moi, ma vue est splendide.

Je m’écarte pour observer ton fessier qui se découvre peu à peu.

La base de tes rondeurs blanches puis lentement, au fur et à mesure que le tissus se transforme en un rouleau noir, l’intégralité de la raie de tes fesses, le renflement de ton sexe.

Tu tends vers moi ta féminité en écartant légèrement les cuisses, dévoilant l’orée de ton sexe glabre.

Je me plaque à toi.

Ma verge, dure, douloureuse, se frotte à toi au travers de mon pantalon de toile.

-         J’apprécie aussi, me dis-tu.

-         Il y a aussi mon jeune voisin qui joue les voyeurs, parfois.

Tu te trémousses un peu plus sur ma grosseur.

Mes mains viennent se placer sur tes seins.

Le tissu de la chemise laisse apparaitre les proéminences que font tes tétons excités.

Je les caresse sans me soucier d’éventuels passants qui lèveraient le nez.

Entre mes mouvements je te sens t’abandonner au plaisir.

Mes doigts viennent frotter le tissu qui irrite tes mamelons, accroissant le plaisir.

Du bout de la langue je viens titiller le lobe de ton oreille que je mordille avant de te murmurer quelques mots.

-         Ne bouge pas… et regarde discrètement sur ta droite.

Je te vois lentement tourner la tête, imperceptiblement pour découvrir que mon voisin, justement, est en train de fumer une cigarette à son balcon.

S’il tourne la tête, il nous voit.

La séparation entre les deux appartements fait qu’il ne peut voir que ton buste jusqu’à tes hanches et mes mains, mais la position est suffisamment éloquente pour qu’il imagine avec juste raison ce que nous sommes en train de faire.

Tu te raidis.

Je me frotte à toi un peu plus. Tu es entre mes bras, plaquée à la balustrade.

Tu as compris que sa présence ne me gène pas bien au contraire et que je ne te laisserais pas battre en retraite.

Je déboutonne le haut de ton encolure.

Tu détournes le visage, entre l'envie de quitter le balcon et le fantasme de te laisser caresser à la vue d'un autre homme.

Mes mains s’insinuent sous la chemise pour s’emparer, qui main droite de ton sein gauche, qui main gauche de ton sein droit.

Tu tentes de t’esquiver sans en avoir la réelle intention et je n’ai aucun mal à te retenir.

Sans protection tes seins lourds sont désormais entre mes mains.

Je sens la peau qui palpite, chaude, tendue, ronde.

-         Il nous regarde, me murmures-tu anxieuse.

-         C’est possible.

Je saisi l’un de tes tétons pour le faire rouler entre mes doigts.

Tu réprimes un petit gémissement lorsque je fais subir le même sort à ton autre sein.

Ma bouche proche de ton oreille je te glisse qu’il doit avoir un faible pour toi car il semble passer bien longtemps à attendre que son tabac se consume, ponctuant ses mots en tirant doucement les tétines qui dardent désormais avec autant de raideur que mon sexe contre tes fesses.

Je pince avec délicatesse chaque pointe de tes mamelles ce qui te provoque de profonds soupirs éloquents sur ton excitation.

-         Il est jeune, rétorques-tu.

-         Oui, 19 ou 20 ans… je ne sais pas, il vient d’arriver avec sa mère.

Je fais glisser un pan de la chemise et ton sein droit se libère.

Nu, il est offert au regard de tous et je vois que notre ami voyeur ne s’en prive pas.

-         Il me semble qu’il apprécie beaucoup ta sensualité.

Tu te contractes mais ne dis rien, tu accentues même ta cambrure en redressant ton buste.

Ta poitrine se dresse vers le haut à l’instar de ta croupe que tu m’offres

-         Je vais lui donner matière à s’exciter, te glisse-je dans un baiser près de l’oreille.

Tu gémis doucement.

Ma main soupèse ta mamelle, mes doigts cerclent autour du renflement pointé vers le ciel, je titille ton petit bout rougi.

Mon autre main entreprend de déboutonner l’intégralité du tissu et de faire apparaitre ta poitrine nue.

Tu pousses ton sexe vers le mien, visiblement excitée par l’idée.

Ta main vient chercher la bosse de mon pantalon.

Tu la caresses, tu la palpes, alors que ta poitrine se trouve libérée.

D’un coup d’œil je peux voir qu’il n’en perd pas une miette.

Tu libères habilement la hampe de chair lisse qui palpite dans ta main.

C’est à pleine main que tu prends mon sexe dur, allant de mes bourses à mon gland sans aucune retenue.

Tu me décalottes d’une main, tellement la bandaison est prononcée.

Tu joues avec comme d’un hochet, excitée et gémissante.

Je me laisse faire à cette masturbation que tu me procures de façon vigoureuse.

Mes boules roulent entre tes doigts, puis c’est le pieu que tu saisis pour pratiquer tes mouvements de bas en haut.

Je te vois couler un regard discret derrière la fumée de tes lunettes à notre ami qui profite du spectacle que nous lui offrons.

Il ne peut y avoir de doute à ce que tu manigances sous son champ de vision.

Ta main me positionne devant l’entrée de ton sexe humide.

Le bout de mon sexe te découvre trempée.

-         Tu es affolante.

-         Je suis affolée.

-         Excitée par la situation.

-         Toute mouillée…

-         Prête à te faire prendre.

-         Envie de me faire mettre votre queue pendant qu’il matte.

Un coup de rein et je te pénètre sans effort tant tu es lubrifiée.

Avec douceur je m’insinue en toi.

Tu geins en fermant les yeux.

Fermement agrippé à tes seins j’entame une série de vas et viens qui enfoncent toujours un peu plus profondément mon glaive dans ta fente chaude.

Une de tes mains sur mes hanches m’accompagne dans mon élan alors que l’autre te retient à la balustrade.

Ta bouche grande ouverte laisse filer quelques gémissements muets.

Mes assauts deviennent plus forts et plus rapides.

Tu laisses échapper un petit cri à chaque fois que mon pubis vient buter contre tes fesses, mon glaive fouaillant ton ventre sans vergogne.

Avec lenteur je ralentis les mouvements pour me retirer au bout de quelques instants.

Du coin de l’œil je peux voir le regard hagard de notre voisin comme je me penche pour embrasser ta nuque.

Je te retourne doucement et tu me fais face.

Ton buste penché vers l’arrière repose sur la balustrade avec l’aide de tes coudes.

La chemise repose à mi épaules, découvrant à tous les regards ton cou orné du fin collier ainsi que tes tétons sur lesquels le soleil vient accrocher ses rayons.

Ton bassin me cherche.

La jupe n’a pas encore recouvert toute les parties de tes cuisses en se déroulant. Ton sexe m’est encore visible, pudiquement recouvert d’un bout de tissu.

Mes mains glissent sur ta poitrine orgueilleuse.

Elle se soulève sous le coup de l’excitation qui grandi en toi.

Je te vois observer, protégée par tes lunettes, la présence du jeune homme qui scrute cette  scène digne du meilleur film qu’il ait vu.

Je fais glisser mon pantalon au sol et tu me souris lorsque tu aperçois l’objet de ta convoitise.

Mon vit dressé au dessus de mes bourses.

Excité, tendu par l’effet de ton corps, luisant de t’avoir forcé.

Tu poses une main sur ton sein et tu te caresses d’une façon si sensuelle que je ne peux résister à l’envie de me rapprocher.

-         Force moi, je la veux au fond.

Ta voix est suffisamment audible pour qu’il entende tes paroles.

-          Fourre-moi ta grosse bite dans la chatte. Baise-moi.

Je sais que tes paroles sont destinée à m’exciter autant qu’à le rendre fou.

Cependant tu en rougis, ébahie par le flux des désirs qui se déversent en toi.

Mes mains relèvent ta jupe pour te saisir et avec vigueur je t’embroche contre le balcon.

Nos échanges se limitent à quelques mots « prends », « oui », « baise-moi », « encore », « tu aimes ça » au fil des coups de butoir que je t’assène sans discontinuer.

Ton sexe est chaud et je te sens ruisseler sur mes couilles que je m’efforce, à chaque fois que je t’enfile, de venir faire buter sur tes lèvres grandes ouvertes.

Tes seins se pressent contre les miens.

Je remonte ta cuisse droite pour mieux t'enfiler.

Mon sexe s'enfonce jusqu'à la garde dans ta fente.

Je sens ton corps s’abandonner au plaisir dans un gémissement plus fort.

Les coups de pilons font balloter tes seins.

Autour de mon pieu coule ta jouissance

-         Je jouiiis… laisses-tu échapper faiblement.-

Tes doigts se fichent dans mon dos, je reste un peu en toi, ton vagin se contracte autour de ma tige épaisse, mes reins te soulèvent à chaque aller qui t’arrache un ahanement court.

Nos corps se séparent.

Tu ressembles à une poupée décoiffée, tes yeux plus clairs n’ont pas perdu leur éclat et ton sourire illumine le paysage.

Tu coules un œil vers mon sexe qui n’a pas eu ce qu’il voulait.

Je sors de ma poche la fine laisse que je viens accrocher à ton collier.

Je pose mes lèvres sur les tiennes.

Tu ouvres la bouche en quête d’un baiser, je pose ma langue sur la tienne et nous jouons de nos bouts de langues l'un avec l'autre.

-         A genoux, dis-je assez fort.

Tu tournes lentement le visage vers mon voisin qui en est bouche bée.

-         Oui… comme une chienne. Lances-tu en accompagnant cette simple phrase d’un baiser que tu lui envoies.

Tu t’exécutes sous son regard effaré, disparaissant à sa vue, pour te retrouver à la hauteur de mon sexe.

Je m’éloigne de toi, la laisse se tend.

-         Viens.

C’est à quatre pattes que tu me suis jusque dans la chambre.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

[…]

Lorsque je m’éveille, tu pénètres dans la chambre.

Tu ouvres le volet et restes à regarder dehors durant un instant.

Si un de mes voisins est à sa fenêtre je ne doute pas qu’il a du avoir la même réaction que moi en te découvrant.

Tu portes tes bas, accrochés aux portes jarretelles de ton bustier noir. Aucune trace de soutien-gorge. Tes seins sont soutenus par ce simple corsage lacé. Le string est ouvert sur l’arrière et ne protège que le devant de ton sexe, dévoilant la vallée de ton cul de façon ostensible.

C'est ta somptueuse paire de fesses qui m'accueille donc au réveil.

Tu tires le rideau ce qui redonne un peu d'intimité dans la clarté matinale.

-         Je vous apporte votre café Monsieur.

Et tu arrives avec un plateau. Café, tartine, beurre et confiture.

-         J’espère qu’il y a tout. Dis-tu. Et, s’il vous manque quelque chose, je suis à votre entière disposition.

Je ne doute pas une seule seconde de la véracité de cette dernière proposition.

Je laisse alors glisser ma cuillère au sol.

Tu te tournes et te penches pour la ramasser, offrant à ma portée tes douces rondeurs nues et l’ouverture de ton sexe à l'orée dévoilée.

Je pose une main sur ces globes encadrés par le porte-jarretelle qui me font bander.

Tu restes penchée, offerte aux caresses délicates.

Je glisse un doigt sur ta fente. Tu es trempée.

Je le retire. Tu te relèves lentement.

-         Votre cuillère Monsieur.

Je contemple mon doigt qui laisse voir ta mouillance.

-         Voulez-vous que je vous nettoie ?

J’acquiesce et tu portes aussitôt le doigt à ta bouche pour l'engloutir doucement sans me quitter des yeux.

Puis, tu l’essuies avec une petite serviette en papier, dans un sourire.

Tu sors de la pièce en roulant des hanches, cambrée pour tendre ta poitrine.

-         Si Monsieur a besoin de moi.

Je prends mon café avec une trique monumentale et l’envie de te revoir dans ce rôle que tu me composes à merveille dans cette matinée avancée.

Je toussote et tu apparais dans l’encadrement de la porte.

Tu t’empares du plateau.

Ton regard se pose sur la bosse que forme mon sexe sous le drap.

-         Je vais prendre ma douche, dis-je, tu viendras me rejoindre je te prie.

-         Bien Monsieur.

Tu attends que je me lève pour partir. Je sais bien ce que tu veux voir.

Et je ne le cache pas.

Au garde à vous, mon membre est fièrement tendu vers le haut. Il surplombe mes deux bourses pleines de mon envie de te saisir et de se vider en toi.

Mais je passe devant toi sans te jeter un regard.

La tête basse tes yeux ne lâchent mon engin que pour mater, sans aucune discrétion, mes fesses dodues.

 

Tu me rejoins toujours dans cette tenue qui me rend dingue. Je suis dans la douche. De dos.

Mon érection n'a pas cessé depuis que je t'ai vu ainsi parée.

-         Frotte-moi le dos s’il te plait.

Tu prends la boule de lavage et tu entreprends de t’acquitter de ta tâche. Tu le fais avec une telle douceur que je me détends sous les cercles que tu opères dans mon dos.

Je n’ai pas vu le moment où tu es passée au seul contact de tes mains, sans transition autre que le frôlement agréable.

Tu me masses sous les filets d’eau tiède.

Les épaules, le dos, les reins…

Tes mains prennent mes hanches et glissent sur mes fesses.

Tu malaxes les muscles et d’une main tu viens masser l’arrête de ma colonne vertébrale.

Avec une infinie délicatesse tu parviens, sans que je m’en rende compte, à glisser un doigt sur mon œil.

Je te sens alors hésitante.

Devant mon absence de réaction tu poursuis ce massage d’un genre nouveau. Doux, de la pulpe du doigt, sur mon intimité.

Je m’efforce de ne pas te montrer à quel point ces pressions que tu exerces ont accélérés les battements de mon cœur.

Je me retourne avec vigueur pour faire cesser tes actions.

Tu es à genoux, les mains mouillées, dans cette tenue si affriolante.

Tes yeux à quelques centimètres de ma virilité dont le gland montre a quel point tu as pu m’exciter.

Tu m’embouches sans effort, sans préalable, répondant à ton envie.

Une main sous mes bourses, l’autre en masturbation et ta bouche qui suce avec voracité.

Je te laisse agir quelques instants avant que ne m’échappe un petit soupir de plaisir.

-         Je ne t’ai pas demandé de me pomper.

Tu sors mon sexe d’entre tes lèvres sans cesser de me caresser.

-         Excusez-moi Monsieur, l’envie…

-         Mais tu suces comme une reine.

-         Merci Monsieur.

-         On voit que...

-         J’adore ça Monsieur. Sentir une verge dans ma bouche est un plaisir, la votre un cadeau.

-         Charmante… Continue encore un peu.

Tes yeux se ferment et tu m’avales profondément.

Je sens tes lèvres se serrer autour de ma verge, ta langue venir me presser et toute ta bouche s’adonner au plaisir de la coulisse. Je pose ma main sur tes cheveux pour t’accompagner dans tes mouvements. Je suis en feu. Ta bouche est une source de plaisir sans fin.

Je te repousse doucement.

Mon sexe est luisant de ta salive.

Tu m’essuies avec douceur.

-         Oui… charmante.

-         Et toute à vous, Monsieur.

-         On va voir ça…

-         Vous pouvez tout me demander.

-         Rejoins-moi dans la chambre.

 

Lorsque tu me rejoins, je suis assis et je t’invite à entrer dans la chambre assombrie.

-         Déshabille-toi avec la même idée en tête que tu avais lorsque tu m'as taillé cette pipe il y a deux minutes.

Après un moment d’hésitation tu acceptes ce jeu du strip et te prêtes au jeu avec une joie qui se lit sur ton visage.

Tu prends des positions de plus en plus osées. Tu offres à mon œil implacable tes courbes et tes formes que tu dévoiles au fur et à mesure de ton effeuillage.

Ici un sein que tu soutiens, là ton sexe que tu caches ou ta cambrure qui offre une vue imprenable sur l’orée de ta vulve humide.

Tu es nue à l’exception de ton collier. Docile et souriante, tu te frottes au montant de bois dans une danse érotique et terriblement sensuelle.

-         Caresse tes seins.

Tu joues avec. Chaque mamelle autour du montant, masturbation irréelle d’un pieu gigantesque que tu lèches sans me lâcher du regard.

Tu t’assois sur un petit meuble, les cuisses de plus en plus écartées.

Tu irrites tes tétons tendus, en essayant d’y passer le bout de langue.

Je suis dans un état où ma main ne peut s’empêcher de prendre mon engin et de me caresser.

-         Amuses-toi avec ton bouton.

Tes doigts obéissent à mes ordres et s’emparent de ta fente qu’ils écartent pour te permettre de libérer ton clitoris puis tendrement titiller ta perle rougie du désir qui t’habite.

Je t’encourage à poursuivre.

Ma main droite s’affaire à me masturber.

Ton visage est tendu dans le plaisir.

-         Allez, montre-toi à moi, offre-toi.

Tu te redresses et lentement te tournes.

Tu te cambres. Tes reins se creusent et j’observe ton cul magnifique.

Un doigt vient d’ailleurs s’emparer de ton intimité.

Après quelques secondes tu l’enfonces en toi.

De ton autre main tu parviens à forcer ton fruit juteux.

-         Alors comme ça tu aimes être prise dans tous les trous ?

Tu murmures un « oui » plaintif, « avec vous ».

-         Approche, j’ai encore envie que tu me suces… comme une chienne.

Tu viens sur le lit et tu me prends à pleine bouche, excitée par mes paroles et par mes gestes.

Ton sexe vient se placer au dessus de moi et je lui donne un petit coup de langue.

Tu me réponds à l’identique.

J’excite ta perle du bout de ma langue.

Tu fais de même sur mon méat.

Large et lente, ma langue parcours toute la surface de ton sexe trempé.

Alors sur ma queue tu passes la tienne avec douceur.

D’une main je viens te masturber alors que ma langue se fraie un passage en toi.

Tes doigts agiles viennent me branler pendant que ta bouche s’ouvre autour du vit palpitant.

Je te dévore de plus en plus fortement, ma bouche toute entière dédiée à ta chatte qui ruisselle dans ma gorge.

Tu me pompes goulument, tes mains palpant mes couilles sans une seconde d’arrêt.

D’un doigt je viens me glisser dans tes fesses.

Tu fais de même dans les miennes.

A ce jeu de l’écho tu ne sembles pas vouloir flancher avant moi.

Je caresse alors ta rondelle de mon doigt. Je presse, je cercle, je m’éloigne pour revenir t’exciter.

Tu agis de même avec mon orifice.

Je te sens gémir. Je me laisse alors à mon tour soupirer tant tes gestes me procurent des sensations intenses.

Mes lèvres aspirent ton clitoris pour le téter. J’ai son gout dans ma bouche, j’ai ton jus qui s’écoule sur ma langue, je le sens glisser entre mes lèvres…

Tes lèvres ont aspirées mon gland et tu me têtes à ton tour, excitant du bout de la langue mon méat suintant.

J’enfonce un doigt entre tes fesses, il s’introduit sans effort dans ton anus dilaté.

Je ressens alors dans mon intimité ton intrusion qui m’arrache un cri.

Je te doigte avec beaucoup de délicatesse.

Tu ne te fais pas prier pour m’imposer le même plaisir.

Au bord de l’excitation je donne quelques coups de reins qui propulsent mon pieu dans le fond de ta bouche.

Tu m’écrases de ton sexe pour le plaquer sur ma bouche.

Tu me sens venir autant que je te sens te contracter.

Ton suc coule sur ma langue, je l’avale.

Je me répands en toi, ta bouche pleine de mon foutre, tu continues de sucer comme je continue de te lécher, doigtés tous les deux, images inversées d’un miroir de bordel.

Mes joues sont souillées de ta cyprine.

Ta gorge ingurgite mon épais liquide.

Nous nous relevons lentement.

Nos lèvres se touchent.

-         Suis-je au goût de Monsieur ?

-         Tu es… parfaite.

-         Je suis assez chienne pour vous ?

-         Je n’en ai pas fini avec toi…

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

mask.JPG[…]

Dans mon rêve, la femme nue qui me caresse est masquée.

Un masque vénitien. Noir. Dans l’embrasure d’une porte, loin du tumulte des musiciens et de la foule qui s’amuse dans ce palais d’un autre siècle, ses longs doigts blancs s’occupent de moi d’une manière délicate qui m’arrache un soupir.

Et qui me réveille.

Je reprends contact avec la réalité.

Encore émoustillé par la teneur de mon rêve érotique je sens mon sexe en pleine érection.

Le plaisir se poursuis.

Je comprends alors pourquoi.

Dans le tout petit matin, j’aperçois une forme qui bombe les draps, entre mes cuisses.

Suis-je resté dans le monde onirique du carnaval ?

La pression qui s’exerce sur les pourtours de mon sexe, cette chaleur qui l’entoure…

De mes mains je fais glisser le drap.

Une tête est posée entre mes cuisses relevées.

De bas en haut elle engloutie mon membre sans un seul arrêt avec une lenteur extrême.

Les lèvres se plissent légèrement lorsque ta bouche, serrée, descend puis remonte le long de ma raideur.

Je te laisse faire, je profite de ce moment avec bonheur, à peine éveillé.

Ta bouche vient s’attarder sur mon gland.

Loin des mouvements réguliers, tu lui appliques des pressions à son embase. Tu l’aspires, le relâches puis, parfois, viens jouer avec mon méat ou, d’autres fois, appuis ta langue sur ce petit orifice.

Ta main soutient mon pieu.

Tes doigts jouent avec mes boules.

Tu les fais rouler dans ta main, me malaxant sans cesser de me maintenir dressé vers le ciel.

Je peux enfin voir ton visage.

Tu me souris.

Tes lèvres sont roses d’avoir déjà beaucoup sucées.

Je te rends ton sourire.

Je ne suis qu’excitation, tendu et heureux.

Ta langue passe sur le casque de mon soldat au garde à vous.

Elle est large et sans me lâcher du regard tu me lèches comme on lècherait une glace.

Le bout de ta langue vient exciter les replis, passe de la surface lisse et tendu aux pourtours sensibles.

Tu penches légèrement ton visage pour embrasser de la largeur de ta langue, toute la hampe de ma virilité.

Très lentement tu remontes par diverses faces, de sa base à son pic, ce qui m’arrache quelques soupirs de bien-être.

Le bout de ta langue vient exciter ma source. Je perle.

Tes lèvres s’ouvrent et tu penches la tête pour me saisir sans m’emboucher. Tu te saisis de ma verge qui coulisse entre ta bouche.

Délicate et attentionnée, de ta main tu viens faire rouler la goutte de plaisir qui est venu perler.

Je me sens bouillir.

La pression que tu exerces, l’excitation que tu imposes à mon sexe, me font gémir.

Tu ouvres la bouche et ce sont mes monts auxquels tu as décidé maintenant de t’en prendre.

Un à un tu les gobes.

Je les sens entourés d’une chaleur humide, remués par ton muscle, aspirés, dégustés.

Je ne tiens qu’avec difficulté à ne pas vouloir te toucher à mon tour, mais je profite de ce moment qui ne m’est que dédié.

Une de mes mains vient de se poser sur tes doigts qui tiennent ma queue et je t’impose le rythme de ma masturbation.

La bouche emplie de mes couilles, tu joues avec mon manche, ta petite main serrée par la mienne.

Tu lâches ma main, t’éloignes de quelques centimètres et me regardes faire.

Devant toi je m’applique à me branler avec douceur. Pourtant l’envie est forte d’aller plus vite, plus fort, plus loin.

Lorsque tu me prends à nouveau en bouche, je sais que tu as eu la même idée car tes gestes sont plus gourmands, plus vigoureux.

C’est de plus en plus profondément que tu enfonces ma verge dans ta bouche.

Ta main vient me saisir et tu me poses sur le haut de ton crâne.

Mais ce n’est pas pour me laisser inerte que tu es venue me placer ainsi, la pression de ta main souhaite que je te force à m’emboucher plus loin.

Je m’exécute, imposant à ta bouche d’aller profondément à la recherche de la base de ma hampe.

Je te force donc à m’avaler, je te sens hoqueter lorsque je frôle les parois de ta gorge.

De la salive coule sur mes couilles.

Tes murmures sont étouffés par la prise que je t’applique.

Mes reins se soulèvent pour venir écraser tes lèvres sur la base de mon pubis.

Tu me rends ivre de sexe.

Mon autre main vient te saisir et j’utilise ta bouche comme un trou dans lequel je me soulage.

Tu ne me tiens plus, uniquement attentive à essayer de garder ta bouche serrée autour de ma queue qui te ramone les joues jusqu’à la glotte.

Avec difficulté tu parviens à résister à l’envie d’ouvrir la bouche un tout petit peu plus à chaque fois que je t’enfonce jusqu’à la garde.

Je t’entends souffler et souffrir de joie sous l’effort et la douleur que j’impose à tes lèvres pulpeuses.

A la limite de l'écœurement tu sembles apprécier ce supplice dans le regard libidineux que tu me lances.

Je me place alors assis sur le bord du lit.

Tu glisses hors du lit.

A genoux devant moi tu retrouves tes esprits.

Ta bouche est rouge, tes lèvres purpurines.

Tu plonges ton regard dans le mien.

Brillant, le feu du désir s’y consume.

Tu respires fortement, essoufflée.

Je caresse ta joue.

Tu saisis ma main pour la coller à ta peau. Tu es douce, chaude, en sueur.

Et n’y tenant plus tu te penches à nouveau sur le métier pour y accomplir ton ouvrage.

Tu viens lécher la veine saillante de mon sexe luisant de ta salive.

Goulument tu viens pomper comme une femelle avide.

Affamée, tu sembles ne pas vouloir cesser de me prendre dans cette position.

Durant plusieurs minutes je te regarde faire, la base tenue par tes doigts agiles, enfournée à pleine bouche.

Tu me suces sans aucune décence et j’adore cela autant que toi sans nul doute.

Ton souffle et le bruit de ta bouche sur moi m’excitent au plus haut point.

Je me laisse aller, gémissant, je sens mon corps se trémousser et onduler sous tes gestes appliqués.

La presque totalité de ma verge disparue dans ta bouche, ta langue me masse sans discontinuer tout au long de tes succions.

Je sens monter en moi le plaisir et mon vit se met à vibrer, s’agiter de soubresauts.

Tu extraies alors mon manche de ta bouche et c’est ta main qui m’astique fortement.

Tu me regardes, l’œil lubrique.

J’explose dans un cri.

Mon liquide se répand.

La première giclée vient s’écraser entre mes mamelons.

La seconde sur mon ventre.

La troisième sur mon nombril.

Tu n’en perds pas une miette, hypnotisée par mon éjaculation.

Puis je coule entre tes doigts qui ne cessent de me caresser.

Tu lâches ma bite encore grosse et portes tes doigts recouvert de mon liquide à tes lèvres.

Du bout de la langue tu lèches le foutre qui est venu te salir.

Je m’allonge, exténué.

Tes mains viennent me caresser le corps, répandant sur ma peau le jus poisseux de ma jouissance.

Tu le fais glisser sur mes tétines tendues.

Tu me masses avec comme onguent, mon suc, que tu fais rouler sous tes doigts, sous tes paumes, comme s’il fut des plus précieux.

Arrivée à mon cou, je sens mon odeur mélangée à ton parfum.

Tu t’allonges sur moi pour me masser de ton corps.

Ta poitrine pressée sur mon torse, tes bouts durs se frottent.

De mes doigts je les saisi et je te palpe.

Tu te cambres pour m’offrir tes seins lourds.

Je m’amuse avec eux, à les maltraiter avec douceur.

Je tire sur tes mamelons, je les fais rouler, je les presse entre mes doigts alors que mes paumes se rejoignent sur un seul de tes seins.

Tu es si excitée que ce simple fait pourrait te faire jouir.

Alors c’est sans vergogne que je m’emploie à te faire grimper les échelons du plaisir en branlant tes pointes.

Tu pousses quelques petits gémissements.

Ton bas ventre se frotte sur ma bosse qui n’arrive plus à dégrossir.

Je sens ton orifice venir se contracter contre moi.

Tu me regardes toujours avec ce même feu qui couve en toi.

Tu passes sur mes lèvres le bout de ton index et l’invite à pénétrer ma bouche.

Je t’autorise ce geste et tes yeux s’ouvrent en grand lorsque tu me vois aspirer ton doigt oint de mon suc.

J’y passe ma langue.

Je me goute.

Tes yeux sont clos.

J’excite tes globes, offerts.

Je viens les chercher de ma bouche.

Je te tète, je les lèche, je les lave de ma semence.

Tu oscilles sur mon bas ventre et je te vois jouir sur moi dans un concert de soupirs agrémentés de petits cris.

Je suis souillé de ta cyprine qui ruisselle sur moi. Tu te frottes encore, inassouvie.

D’une main tu saisi le manche en te rejetant en arrière et tu te l’enfiles dans la vulve d'un coup de reins.

Mon sexe à peine ragaillardi, déjà se remet à te labourer.

Tu t’empales de tout ton poids.

Lubrifiée comme tu l’es tu n’as aucune difficulté à me grimper dessus et à t’asseoir sur ma verge.

Tu restes ainsi, haletante, les yeux fermés. Sans un geste. Ton ventre fouaillé par ma verge brulante.

Je me contracte dans ton intérieur.

Tu me réponds par des contractions de ton vagin.

Nous laissons nos muscles agir ainsi, ballet intérieur de nos sens enflammés.

Lorsque tu ouvres les yeux. Je vois ton regard devenir plus clair.

Je caresse tes fesses si douces.

Les sensations sont à leur paroxysme.

Tu coules à nouveau sur moi, jouissant une deuxième fois, coup sur coup.

Sans un mouvement de reins.

Tu t'effondres sur moi.

Mais mon pieu lui, n'a pas encore fini de te posséder.

Et c'est avec puissance que je m'avance en toi.

Tel un pantin tu subis mes pénétrations.

J'écarte tes cuisses, mes mains à pleines fesses, je remonte tes genoux au dessus de mes épaules.

Te voici assise sur ma queue.

Tes bras en arrière se sont saisis de mes chevilles.

A chaque fois que j'écarte tes cuisses, tu t'enfonces autour de ma grosseur en criant.

Lentement je te fais monter et descendre sur la coulisse de chair.

Tu m'accompagnes et m'encourages à aller plus vite de quelques gémissements.

Je vois dans tes yeux se raviver l'étincelle du désir.

C'est alors de ton propre fait que tu te prends à te trémousser.

Ma verge te fourre.

Ta chatte s'ouvre et s'offre.

Au fond de toi je me plais à parcourir la voie de ton sexe, une main sur un sein, l'autre branlant ton clitoris.

Ta bouche s'ouvre, muette, tu te cambres.

Je te force avec mes ultimes ressources.

Je me sens lâcher mon jus dans ton ventre, en un ultime élan ultime, aux limites de mes forces matinales.

Tu t'es empalée au plus profond et, la tête rejetée en arrière, tu pousses un râle rauque qui s'unit au mien.

Mes doigts se retrouvent inondés de nos deux jouissances chaudes.

Tu t'allonges lentement en arrière.

Nos cuisses écartées, nos sexes l'un dans l'autre, tels le roi et la dame d'un jeu de cartes, opposés, unis, un couple de cœur.

Après quelques instants dans cette position tu reviens vers moi pour te lover près de mon épaule.

Il ne nous faut que quelques instants pour retomber dans un sommeil profond.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • Le blog de M.
  • : Le blog de M.
  • : Récits érotiques sur les rives du plaisir.

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés