Monsieur & Eve

[…]

Je n’ai pas éteint les chandelles !

Cette pensée me réveille.

Il fait encore nuit.

Tu es allongée à côté de moi.

Ton souffle est profond.

Le drap recouvre ton corps jusqu’à tes reins.

Je me lève pour ces maudites bougies auxquelles je n’ai pas pensé.

Elles, elles ne m’ont pas attendu pour se consumer, et je n’ai plus qu’à retourner me coucher.

Seule la clarté d’un radio réveil teinte de rouge les voilages qui entourent le lit et nimbent tes reliefs.

Ta poitrine dévoilée à mon regard, tes mamelons qui accrochent les parcelles électriques, ton visage serein.

Je m'attarde à te regarder.

Des images passent devant mes yeux. 

Tu y es si sensuelle.

Des mots résonnent à mes oreilles.

Qui font monter en moi l’envie d’en voir plus.

Lentement je fais descendre le drap le long de tes hanches, puis le long de tes cuisses jusqu’à te faire apparaitre, entièrement nue avec pour seul habit ton fin collier.

Tu es endormie et je peux profiter de ton corps sans que tu ne le saches.

Mon désir croit. Je sens mon sexe se tendre. J’ai envie de te toucher, de te sentir.

Mes doigts te frôlent lentement.

Ton visage est calme, apaisé par le sommeil.

Dans ton cou je viens placer mon nez et ma bouche. Ton odeur m’enivre.

Mes mains glissent le long d’un sein. J’ose venir toucher son bout qui ne réagit pas.

Je continue de le faire rouler.

Il commence à se tendre.

Tu bouges légèrement.

J’en ai envie. Ma bouche vient le lécher. Très délicatement, du bout de ma langue, je sens ses aspérités, sa souplesse.

Dans ton sommeil ton téton se durcit, sans t’éveiller, je le prends alors pour une succion délicate.

Lorsque je le libère de mes lèvres il pointe vers le plafond, luisant, ton auréole rose démontre la tension qui habite tes seins.

Avec d’infinies précautions j’entreprends alors de m’approcher de tes reins.

Ma main vient se poser sur le haut de ta cuisse puis lentement entame quelques cercles pour descendre vers la fesse que tu me tends.

Tu te tournes.

Je me recule.

Tu te trouves sur le dos.

Tu soupires et le rythme régulier de ta respiration revient aussitôt.

Ce corps !

Devant moi, à portée de mes mains, je le désire.

Mes doigts viennent caresser le bas de ton ventre. Sur ta petite touffe je glisse jusqu’au haut de ta fente que je parcours délicatement jusqu'en bas.

Je bande à en avoir mal alors d'’une main je commence à me caresser.

Avec délicatesse je me décalotte, puis je fais glisser dans ma main la peau de mon membre sur toute sa hauteur. Je sens la pression à mes oreilles envahir mon esprit.

Tout en me masturbant, j’entrouvre doucement tes lèvres.

Tu es humide.

Je porte mon doigt à ma bouche pour te goûter.

La saveur de tes cuisses coule dans ma gorge. Nectar divin.

Je m’y réintroduis.

Tu t’agites quelque peu. Je cesse mes mouvements, immobile, tu te figes à ton tour, toujours endormie.

Je remonte millimètre par millimètre la gorge de ton sexe.

Le bout de mon doigt écarte ta motte sur son passage.

Et je viens dévoiler ton bouton, telle une perle gorgée de sang.

Dans son nid, il réagit à mes doigts qui le titillent avec une infinie précaution. Je ne veux pas t’éveiller.

Je le vois gonfler.

Mes doigts le caressent en tous sens; avec application et lenteur.

Tu souffles et tes cuisses s’agitent.

Peut-être fais-tu un rêve érotique…

Cela m’excite encore plus.

Dans ma main mon engin palpite à n’en plus pouvoir.

Je suis en train de m'astiquer, un doigt dans ton sexe, et j'y prends un bien fou.

J’écarte tes cuisses et je viens me placer entre elles.

A genoux je te domine et je peux t’admirer.

Je glisse ma main sous ton sexe qui ne s’est pas refermé totalement sous mes caresses.

Je suis à l’entrée de tes fesses.

Du bout du doigt je remonte de ton œil à ta perle.

Tu ouvres légèrement la bouche pour soupirer.

Je décide alors de te prendre dans ton sommeil.

Je vais forcer ton chemin, faire rejoindre la réalité au rêve que tu fais.

Je m’allonge sur toi, mes coudes en appui. Nos sexes se touchent.

D’une main je viens placer ma virilité face à ton orifice.

Lisse et large, mon gland se fraie un passage, il ouvre sans mal ton abricot mouillé.

Je m’enfonce en toi.

Avec une extrême lenteur je fais glisser mon pieu dans ton bas ventre excité.

Ta chaleur m’entoure.

Je m’installe en toi et je ne bouge plus.

Je suis au comble de mon excitation.

Je sens ton souffle s’accélérer.

Le mouvement de retour semble t’éveiller.

Alors je m’avance à nouveau pour faire progresser mon vit dans ta chatte offerte.

Tu poses tes mains sur mes hanches pour m’inviter à poursuivre.

A peine éveillée. Les yeux clos. Tu gémis.

Avec le même rythme lent je vais et je viens, élargissant ton sexe trempé lorsque mon gland écarte l’ouverture de ta vulve à chaque passage, t'arrachant un souffle sensuel.

Je m’allonge entièrement sur toi. Ma peau en contact avec ta peau.

J'écrase tes seins de mon poids.

Je t’embrasse dans le cou.

Tu me murmures à l’oreille, mi amusée mi désireuse, « c’est un viol ? ».

Je ne réponds rien d'autre qu'une poussée virile de me pieu dans ton ventre.

" Je faisais un rêve érotique..." poursuis-tu.

Je ponctue ta phrase d'un assaut plus vif, qui te coupe le souffle.

Puis d'un autre qui t'enfourne encore plus profondément et qui te fais te cambrer.

Tu pousses un cri au troisième coup alors que je suis enfoncé en toi jusqu'à la garde.

Mes boules sont plaquées à ton sexe.

Ton corps est tendu comme un arc, ta poitrine dressée vers le ciel, ton sexe ouvert et poussé contre le mien.

« Humm… violez-moi encore », ce seront tes seuls mots.

Tu tends ta croupe vers l'avant à la rencontre de mon pieu que tu désires.

Je n'ai plus qu'une seule envie, t'entendre jouir, alors je continue avec plus d’allure de fouiller ton bas-ventre.

Je te laisse faire quelques mouvements par lesquels tu te cabres pour venir t'empaler autour de mon sexe gonflé.

Puis je m’arc-boute et t'enfourche en de longs vas et vient.

Je n’ai de cesse de limer en toi jusqu’à ce que je sente la jouissance arriver.

Tu ne m’autorises pas à sortir de ton antre, tes mains agrippées à mes hanches, les ongles plantés dans mes fesses, gémissante et langoureuse.

Je devine ton désir et je poursuis, écartant tes parois. J’entreprends d’onduler pour forcer ton sexe à s’écarter.

Tu ouvres la bouche. Je m’en empare pour étouffer ton gémissement ultime.

Nos langues se cherchent et s'enroulent.

Mon pieu explose en toi.

Mon jus se répand dans les méandres de ton sexe en feu.

Je râle de plaisir au son de tes gémissements.

Tes mains me demandent encore plus de force.

Tu vas bientôt me rejoindre, complice, amante, affolée, terriblement séduisante.

Tel un animal je te possède sauvagement, sans retenue.

Je te donne des coups de reins, puissants, tu ne peux m’embrasser, ton corps est secoué par la force de ces coups de pistons qui te chahutent.

Tu ouvres la bouche, muette, paralysée par l’éclair de plaisir qui te traverse.

Longuement je te sens atteindre le plaisir, sans que mon membre ne te laisse un instant de répit.

Nos sucs se mêlent et luisent sur ma chair autant que sur tes lèvres.

Nos langues se trouvent à nouveau.

Notre baiser est doux.

Je t’observe. Tu fermes les yeux.

Je te recouvre du drap jusqu’aux hanches et je pose mes lèvres sur ton front en écartant une mèche cuivrée des reflets électriques.

Ta respiration redevient lente.

Assouvie.

Ma queue dodeline sur mes bourses.

Je ferme aussi les yeux.

Ta main se pose sur mon sexe, la mienne sur un de tes seins.

Et dans la lueur rouge du radio réveil Morphée nous ouvre les bras à nouveau.

 

A suivre…

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Le repas se déroule sous la lueur du chandelier.

Sur une petite table bistrot, dans un coin aménagé rétro de la pièce principale, tu as pris place et je te sers les différents plats qui ont eu le temps de mijoter.

Le feu des deux bougies rouges, assorties à ton peignoir, font ressortir l’éclat de tes yeux.

Si la discussion est anodine, axée sur le travail, les allusions sont fréquentes et c’est un vrai jeu que d’en ajouter, en chercher à chaque instant.

Tu n’es pas avare de quelques bons mots, « ce manche de couteau est réellement… lisse », « ce fruit est juteux », etc., les sourires sont sans ambigüité. Les rires aussi.

J’avais pu observer que tu avais troussé le tissu pour être assise à même le siège.

Tes jambes légèrement écartées je pouvais voir, lorsque je me levais, le haut de tes cuisses, comme je te l’avais indiqué.

Le repas se déroule donc sous un jour très serein, bien que coquin.

Mais sous la table se déroule un autre scénario.

J’avais commencé à te caresser mollet et, depuis l’entrée, nous nous faisions du pied, discrètement, comme si nous voulions nous cacher d'invisibles observateurs.

Le dessert, une glace, ne manque pas de faire ressortir nos idées respectives.

Tu prends un réel plaisir à lécher ta cuillère et à manger cette glace d’une façon si sensuelle que mon entre cuisses en vibre.

Je sens alors ton pied monter jusqu’à lui et se poser sur mes parties.

Je frémi à ton contact.

Tu te fais délicate.

Le tintement de la cuillère sur le bord de la porcelaine me rappelle à tes yeux, brillants.

L’ustensile va et vient entre la coupe et ta bouche, sans un mot tu avales la glace et laisses glisser l’inox entre tes lèvres avec lenteur, parfois le bout de ta langue vient apparaitre comme un appel, pendant que ton pied masse doucement mes bourses pleines.

Mes cuisses sont ouvertes et je me rapproche de la table pour te permettre d’être plus à même de jouer librement avec mes orphelines.

Tu ne t’en prives pas et du bout des doigts tu les fais rouler.

Parfois tu glisses le long de la hampe de chair, à d’autres moments tu les presses doucement.

Une pression plus forte pourrait me faire mal mais c’est au contraire un réel délice que tu m’offres là.

Mon excitation est si intense que j’ai l’impression que mon sexe est trop petit pour son envie et qu’il pourrait exploser.

Ton pied s’en va doucement, frôlant ma cuisse, alors que tu reposes sur la table, l’ultime insigne de ce repas.

Lorsque je me lève tu peux voir l’effet que tu m’as fait, une bosse visible habite mon pantalon.

J’allume alors une lanterne japonaise, une petite bougie redonne vie à la salle.

Je te prends par la main et te presse contre moi.

Sous les accords suaves du saxophone je cueille tes reins d’une main et ton cou de l’autre.

Mes doigts glissent sur ton collier, fin, noir.

-         Je ne danse jamais, me dis-tu.

-         Il en est de même pour moi.

Mais je ne te lâche pas et tu te laisses aller contre moi.

Lentement nous tournons.

Ma bouche embrasse ton cou, mes mains caressent tes cheveux. Je peux respirer ton odeur. Tu as mis mon parfum ; il se mélange au tien et mes yeux s’en ferment.

Tu as le visage posé contre le creux de mon épaule. Tu as ouvert ma chemise qui n’est bientôt plus qu’un lointain souvenir, sur le sol.

Une main joue sur mon torse, l’autre dans mon dos.

Je sens ton cœur s’accélérer.

Tu ouvres la bouche à plusieurs reprises mais rien ne sort.

Puis, timidement, tu oses te lancer.

-         Je ne me reconnais pas.

Je ne dis rien, je te laisse parler. J’accompagne ton élan d’un baiser plus appuyé dans ton cou.

-         Ce que j’ai fait. Je ne l’avais jamais fait.

Tu te colles un peu plus.

-         Je n’avais jamais… avec une femme… si je l’ai fait c’était parce que dans tes yeux il y avait ce feu communicatif de l’envie et puis aussi … par bravade.

J’embrasse tes cheveux.

-         Mais, j’ai apprécié. De faire l’amour à cette femme, avec toi. J’ai pris du plaisir. Elle m’en a donnée, et toi aussi. Si j’étais mal à l’aise au début je t’avoue que j’ai beaucoup aimé par la suite.

-         Moi aussi j’ai adoré.

-         J’espère ne pas t’avoir déçue et que tu ne m’en veux pas d’avoir… joui… avec elle.

-         Comment pourrais-je t’en vouloir. Tu étais magnifique.

Pendant un instant je te sens faiblir. Je te serre alors plus fort contre moi, tu me sembles à ce moment si fragile que mes baisers sont ceux d’un protecteur plus que d’un amant.

-         Tu me fais tourner les sens.

Je sens alors sur ma peau la chaleur de tes larmes qui roulent.

Je te réconforte.

-         Tu n’as pas à avoir honte de ce que tu as fait. Tu as donné et tu as pris. Tu peux faire fi de la morale si c’est ce qui te gène. Aucun de nous ne s’est forcé. Le plaisir nous habitait. Le plaisir que l’on reçoit autant que celui que l’on donne. Nous avons partagé, tous les trois un moment d’amour, d’intimité.

Tu es collée à moi. Ta joue humide me crève le cœur.

-         Je… elle m’a demandé si je voulais la revoir…

Tes sanglots dans mes bras sont une preuve de la confiance que tu me fais à m’avouer tes sentiments.

-         Peut-être, mais pas toute seule. Je le veux bien mais avec toi. C’est lorsque vous étiez tous les deux en moi que j’étais… le mieux.

-         Tu n’as pas à te forcer. Tu le feras si tu en as envie.

-         Oui… Monsieur… merci.

-         Et je t’accompagnerais si tu le souhaites.

En guise de réponse tu cherches ma bouche.

Nos lèvres se touchent, s’entrouvrent, nos langues se cajolent.

La lanterne est éteinte lorsque notre baiser se termine.

Mes mains ont glissé le long de tes seins que je sens darder sous le tissu alors que les tiennes sont sur ma nuque et sur une de mes fesses.

Je t’emmène vers la chambre.

Très droite, tu ne bouges plus, seule la lueur des deux chandelles éclaire très faiblement l’intérieur de cette pièce par l’entremise de l’ouverture de porte.

Je caresse tes épaules, t’embrasse, je suis derrière toi et tu m’offres ton cou à chaque fois que je change de côté pour t’embrasser.

Délicatement je fais glisser le tissu sur tes épaules pour les dénuder.

-         Vous ne me faites pas dormir dans ma chambre cette nuit Monsieur ?

Ta réplique m’arrête un peu et je sens monter le désir en moi.

-         Pourquoi ? Tu crois avoir besoin d’y passer une nouvelle nuit ?

-         Peut-être.

-         Tu le mérites ?

Le satin ne recouvre déjà plus tes seins.

-         Il me semble.

-         Tu as quelque chose à m’avouer ?

Mes mains lâchent l’étoffe et s’emparent de tes hanches.

Le bruit délicat ne cache pas tes mots…

-         J’ai été… vilaine.

Je sens ta respiration s’accélérer.

-         En quoi as-tu été vilaine ?

Mes doigts passent sur tes cuisses, de l’extérieur vers l’intérieur, puis à nouveau vers tes fesses.

-         J’ai aimé la lécher.

Ma main s’abat sur ton fessier sans trop de force.

-         J’ai aimé lorsqu’elle fourrait sa langue en moi.

La claque est plus forte.

Tu te tends vers l’arrière pour m’offrir tes rondeurs au son de ton gémissement.

Je remonte le long de tes bras alors que tu me lances ainsi quelques phrases qui paraissent tout autant t’exciter à les dire que moi à les entendre.

-         Elle m’a masturbée comme rarement… et ses doigts qui me fouillaient… humm...

Je guide tes mains qui s’emparent du bois. Je t’ai indiqué de tenir le haut du lit à baldaquin. Mes mains sur tes poignets joints, je te maintiens ainsi, penchée légèrement en avant, mon bas ventre appuie sur ton postérieur qui s’y frotte imperceptiblement.

-         Vous allez m’attacher ?

-         Je n’en n’ai nul besoin. Les liens qui nous unissent sont plus forts que des chaines.

Je descends le long de tes bras, sur tes épaules, sur la rondeur de tes seins ballants, irritant les tétons dressés, sur ton ventre, le long de tes cuisses, sous tes fesses pour te forcer à t’écarter.

-         Tu vois, tu n’as pas bougée.

-         Je suis docile, Monsieur.

-         C’est bien. Tu mérites d'être punie.

-         Ho…Votre cravache me fait de l’effet…

Ma main vient claquer une fois, puis deux sur tes globes blancs.

Tu gémis.

-         Oui… punissez-moi.

Ma main revient encore. Tu pousses un petit cri.

-         Fessez-moi encore.

A chaque fessée mes mains viennent ensuite caresser, l’endroit meurtri, puis préparer le prochain endroit.

      -    Corrigez-la votre Elève ! Oui !

Là c’est dans l’intérieur de ta cuisse que je vais venir, presque à l’orée de ta vulve que tu me proposes comme une offrande. Nous savons l’endroit sensible et elle promet d’être l’ultime. Alors tu t’appliques à faire grossir mon excitation.

-         Je vous avoue, Monsieur, je me suis senti… si chienne.

-         C’est tout ?

-         Salope.

-         Ma salope.

-         Oui. Votre salope. La garce qui se donne à vous.

-         Excitant…

Tes paroles ne sont plus que murmures entrecoupés de soupirs.

-         Une trainée qui a aimé se faire baiser, lécher, doigter. Partout. Pour vous.

La rudesse de tes paroles mes surprennent autant que toi et loin de te fesser, c’est un baiser que je viens déposer dans le creux de tes reins.

-         Tu as été parfaite. Une soumise adorable. Une femme sensuelle, sexuelle. Tes gestes autant que tes cris me font bander.

Tu sens entre tes cuisses que mon envie est grande de te posséder.

-         Mais tu n’auras pas ce que tu veux, pas tout de suite.

Je me couche et t’invite à me rejoindre.

-         Cette nuit nous dormons ensemble. En amants. Nous verrons demain.

Tu te cales contre moi et ta main rejoint mon sexe pour le caresser délicatement. Alors que de ma paume je m’empare de ton sein.

Tu mets quelques instants à te calmer puis je te sens t’affaisser contre moi.

C’est ainsi que nous nous endormons, l’un contre l’autre, excités et inassouvis.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

Tu te frottes à elle, elle s'est emparée d'un de tes seins.

Elle le palpe et le caresse. Ton téton roule sous ses doigts aux ongles roses.

Ton bassin est tendu vers le sien, vos fentes se pressent l'une contre l'autre.

Elle vient présenter sa bouche à la tienne mais tu lui refuses ce baiser.

Ta main s'empare de mon sexe et tu glisses prendre mes bourses et les soupeser.

Tu les fais rouler. Elles bougent dans ta paume.

Ton pouce passe au dessus de ma verge et tu as ainsi toute liberté de me caresser, à la fois la tige, et ses fruits.

Ses mains te repoussent pour t'allonger.

Elle se place à califourchon sur ton visage et te présente son sexe.

- Tu préfères embrasser ces lèvres ci ?

De ses doigts elle s'ouvre à ton regard.

Tu tends ta langue, elle s'affaisse sur toi et tes lapements viennent exciter son bouton.

Je suis toujours dans ta main, dur.

- Tu serais chez moi ma belle, dit-elle, c'est moi qui tiendrais un manche... Elle soupire de plaisir.

Plus loin tu t'enfonces en elle pour explorer son antre.

Je m'efface, tes doigts passent de mon sexe au sien et viennent jouer avec sa fleur luisante ; tu récupères ton souffle.

Mes pas sont rapides, je vous entends soupirer et gémir, mon sexe oscille devant moi, porte drapeau de mon désir. Vos corps n'ont pas quittés mon esprit. Une excitation folle me donne envie de te posséder au plus vite.

Lorsque je reviens, vous êtes toutes les deux en train de vous dévorer l'abricot.

Elle, juchée au dessus de toi, ses mains écartent tes lèvres et elle passe sa langue largement sur toute la surface de ta féminité, ce qui t'arrache des halètements de plaisir.

Toi, subissant le poids de son corps, la bouche luisante de sa cyprine que tu lèches avec avidité.

Je lui tends le sexe de plastique.

Elle le pose aussitôt sur ton ouverture et l'enfonce sans une hésitation.

Tu pousses un cri qui s'étouffe dans son entre cuisses.

Ses doigts viennent frapper ton bas ventre lorsque, à chaque assaut, elle t'a enfilé le god jusqu'au plus profond de toi, tu as criée.

Elle reste alors un peu dans cette position pour caresser ton clitoris saillant.

Tu n'arrives plus à la lécher, tant ton désir est grand.

Elle t'enfourne avec une extrême précision, les parois de ton vagin exploré en tout sens par la dureté de ses gestes.

Tu suffoques de désir, tes gémissements sont une invitation à ton plaisir.

Elle se retire et tu retrouves doucement un peu de calme.

C'est maintenant à quatre pattes que nous te positionnons.

Je t'embrasse.

Ma queue animée d'une bandaison comme jamais, de te voir te faire reluire par une autre femme.

Ta bouche a le gout d'une autre.

Nos langues se mêlent, se caressent.

Tu lâches un cri.

Elle vient de t'enfoncer le godemichet sans te prévenir.

Je te donne mon pieu à lécher.

Tu es prise d'une frénésie et tu me pompes comme tu ne l'avais encore jamais fait.

Tout en me masturbant c'est la base de mon sexe que tu viens chercher de tes lèvres.

Loin dans ta bouche tu me forces à aller.

Je l'entends te fouiller.

Je la regarde, elle vient de glisser son doigt dans ton anus.

Tu gémis un "non" plaintif qu'elle transforme rapidement en d'innombrables petits "oui" que tu parviens à susurrer lorsque tes lèvres quittent mon vit.

Elle enfonce deux doigts.

Puis les fait jouer en toi pour écarter ton anus.

Tu es dilatée, elle vient forcer ton interdit avec le bout recouvert de ton suc du god sur lequel elle a passé sa langue.

Te voilà sodomiser par cette femme qui y prend un plaisir non feint.

Je suis dans un tel état d'excitation que je ne parviens plus à dire quoi que ce soit.

Tu t'effondres entre mes cuisses.

Tu me suces sans les mains, prise par tous les trous tu n'es qu'un pantin entre nos mains et nos envies.

La paroi de ton vagin roule sous le pieu artificiel et son doigt manucuré, fine membrane qu'elle s'amuse à irriter.

Nouvelle sensation qui te transporte.

Elle entre alternativement maintenant son doigt et l'engin dans ton œillet, puis dans ton fruit.

Je saisi ton visage et j'impulse le rythme de la fellation que tu n'es plus en mesure de diriger, tant ton corps est sous l'emprise du sexe.

- Je te veux en moi, en levrette, demandes-tu dans un murmure.

Je viens alors derrière toi.

Ta partenaire enlève ses doigts et l'ersatz de sexe.

Je t'empale sans mal tellement tes deux orifices sont ouverts et lubrifiés.

Je passe d'un à l'autre, doucement, profondément.

Pénétrant ton sexe et t'enculant à chaque fois en t'embrochant plus au fond de tes trous chauds qui m'emportent vers le nirvana.

Mon membre est plus large que l'engin qu'elle t'a introduit et tu en tires un nouveau plaisir.

Elle t'a donné le gourdin et elle est venue se mettre devant toi, offerte.

Elle écarte ses lèvres pour te permettre de la percer.

- Défonce-moi ma belle... je ne tiens plus, tu me fais mouiller comme une garce.

Tu ne te fais pas prier pour enfoncer l'engin dans son sexe rouge et lui pilonner la chatte.

Elle halète, "Oui c'est bon... prends moi..."

Mes coups sont plus profonds et tu te cales sur eux pour la baiser avec le sexe de plastique que tu tiens à pleine main.

Je t'entends murmurer quelque chose mais je ne peux m'extraire de ton fourreau si chaud.

Un doigt dans ton anus, mon sexe au fond de ton ventre je ne te laisse pas une seconde de répit.

Avec force, mes coups de reins et de doigts te déchirent.

Elle crie et tu l'accompagnes dans la jouissance dans un râle intense.

De vous voir ainsi je ne peux plus me retenir et c'est au fond de toi que je me vide par secousses.

Nos corps se couchent lentement à même le tapis.

Et un silence s'installe, seulement perturbé par nos respirations.

 

Elle se rhabille et nous nous quittons.

Un baiser sur ta joue.

Elle veut te revoir.

Tu ne dis pas non.

Elle ne souhaite pas se laver avant de rentrer chez elle pour garder ton odeur sur toi, compagnon de voyage.

Lorsque la porte claque tu t'élances dans mes bras et nos bouches ne se quittent plus, même lorsque la douche aura cessé de couler et effacé tes quelques larmes de peur, de joie et de calme revenu.

Le repas commence, un tête à tête après un trio.

C'est le moment de tes aveux.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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