Monsieur & Eve

[…]

 

Tes escarpins claquent sur le sol du couloir.

Des chevilles jusqu’aux cuisses tu es gainée de nylon.

A mi-cuisses ta jupe ondule sous tes pas.

Une veste légère vient encadrer ton chemisier clair.

Ton fin collier ras du cou est ton seul bijou.

Aucun dessous. Tes mamelons sont visibles lorsque les pans de ta veste s'écarte, sombres et tendus. 

Nous devons faire quelques achats car tu as perdu ces derniers hier soir dans le restaurant.

A mon bras tu jettes parfois des regards aux passants. Tu te demandes s’ils se rendent compte de ta nudité.

Dans la voiture tu as relevée ta jupe comme je le souhaite.

Tu as rajusté ta veste lorsque nous sommes sortis de la voiture pour tenter de masquer un peu les ballotements sensuels de tes seins.

Tu m’as regardé d’un air anxieux lorsque je nous ai arrêtés sur le parking d’un magasin sexy.

 

Le vendeur nous sourit et replonge dans sa caisse.

Personne.

Je flâne avec toi entre les rayons. Notre discussion à voix basse fait de nous des complices sensuels.

C’est au rayon des godemichets que tu m’avoues avoir usée de genre d'engin pour la première fois hier.

A la question de savoir si tu y as pris du plaisir, tu me réponds « jusqu'à l'extase » en accompagnant cet aveu d’un baiser à la commissure des lèvres.

Je me sens monter en pression. Mon sexe sort immédiatement de sa torpeur. L’envie est là.

Nous en choisissons un qui te plait puis un autre dont je cache la fiche technique.

-         Je vais t’offrir un bijou, te dis-je.

Tu me regardes étonnée.

C’est un bijou qui porte un cristal de swarovski pourpre. Monté sur un plug d’argent il miroite.

Je vois à tes yeux que l’objet te plait, sans savoir où il se place.

-         C’est un bijou anal. Tu m’as bien dit que ton cul était « à moi ». Non ? Alors je vais lui offrir ce présent.

Tu étouffes un « ho » de surprise.

A cet achat suit un soutien gorge qui n’a pour autre but que te soutenir sans te cacher, ainsi qu'une sorte de corset de bas de dos sur lequel s’attachent les bas par le biais de porte-jarretelles intégrés. Le tout noir ourlé de rouge.

Durant tes essayages je fais quelques autres emplettes dont je te ferai la surprise plus tard. Tu me fais confiance et t’installes dans la cabine pour passer les deux pièces de vêtement.

 

Je te rejoins dans la cabine de l'arrière boutique.

Je frappe à la porte et tu m'ouvres.

Je te découvre et mon sexe vibre à ta vue.

Le soutien-gorge  remonte ta poitrine de façon orgueilleuse.

Deux minces lanières passent de chaque côté de tes tétons et les révèlent. Ils sont tendus.

Tu peux observer la bosse qui tend mon pantalon et montre mon émoi.

D’un sourire éloquent tu te tournes et tu me demandes de t’aider pour lacer le petit corset dont les pans viennent naitre sous tes seins et ourler au dessus de tes fesses nues.

Je m’exécute et te regarde.

Tu es excitée par le magasin, les objets et ta tenue très osée.

Ma main se glisse entre tes cuisses. Mon médius passe sur tes lèvres. Tu souris.

Tu es mouillée.

-         Je vais placer le bijou.

Tu te cambres et m’offres ta croupe.

Mes mains écartent doucement tes fesses.

Je te sens commencer à haleter.

Ton petit orifice se dévoile.

Je te tends le « rosebud ».

Tu le caresses, le regarde, il lance des éclairs qui reflètent sur ton visage.

A ce moment je te murmure qu’un Maitre n’est rien sans sa soumise et qu’il n’y a de trésor plus grand que le plaisir des sens.

D’un doigt je viens titiller ton petit trou. Tu te contractes sous la pression.

             -     Non…

             -     Je ne vais pas te faire mal.

             -     Je n'ai jamais... par là... je suis encore vierge par le recto. Ta voix n'est qu'un murmure.

Alors je t’entreprends de ma langue.

Derrière toi, à genoux, je commence à lécher ton entre fesses avec délicatesse.

Tes gémissements me dévoilent que tu apprécies.

Ma langue vient écarter le petit trou. J’alterne entre lui et ton sexe ruisselant.

Ta cyprine vient adoucir la première pénétration de mes doigts dans ton interdit.

Tu ne peux t’empêcher de lâcher un cri.

Ma bouche collée à ton sexe je sens couler ton suc dans ma bouche.

Mon doigt ne bouge plus dans ton anus.

Il s'habitue à ma présence et je te vois pousser ton arrière-train vers moi pour me permettre de m'enfoncer un plus loin en toi.

Je te dévore, prenant entre mes lèvres ton clitoris pour le tirer et le sucer.

Tes hanches ondulent de plus en plus vite au gré de mes sussions.

Mon médius entre plus profondément dans ton cul.

D’une main tu écartes une de tes fesses.

Tu pousses quelques gémissements où peu à peu les "non" sont remplacés par des "hoo..."

Après la douleur tu exprimes ton plaisir.

Cette sensation te fait l'effet d'une lame de fond qui t'envahie.

-         Encore ta langue… me supplies-tu, ta voix un peu trop forte, hors de contrôle.

Je te donne une fessée.

Tu grognes et tends tes fesses, mon doigt disparais dans ton petit trou.

-         Encore votre langue, Monsieur. Te corriges-tu instantanément avec un "ouiii !" éloquent.

J’écarte tes fesses largement et j’entame de te lécher.

Mes doigts se retirent pour aller se placer sur ton sexe béant.

Je m’introduis en toi. J’écarte les parois de ton anus de mon muscle.

Mes doigts pendant ce temps te masturbent avec douceur.

Je sens tes doigts te crisper sur mon bras.

Je me retire pour t’admirer. Tu es au bord de l’orgasme.

            -    Donne-moi la pierre. T'ordonne-je.

Tu le portes à ta bouche avant de me le donner.

Le bijou que tu me tends est couvert de ta salive.

Je l’insère.

Tu frémis sous le contact.

Large il s’enfonce de quelques centimètres.

Il écarte l’intérieur de ton ventre pour finir, plus fin et te permettre de le garder en toi sans effort.

La pierre, elle, maintient un frottement sur le pourtour de ton anus.

Je le fais tourner doucement.

Tu découvres qu’il comporte en lui une petite boule qui vibre lorsqu’il est agité.

Sous l’effet tu ne peux t’empêcher de te cambrer.

Je m’agenouille à nouveau et je sens sous mes lèvres ton sexe palpiter et m’offrir ton suc.

C’est ma bouche qui recueille ta jouissance. Elle est longue, lente, silencieuse, très humide.

-         Il te va à merveille ce bijou.

-         Merci Monsieur.

Nos bouches se rejoignent.

 

Nous payons. Tu n’oses pas regarder le vendeur.

-         Elle n’a pas le droit de regarder les inconnus, lui mentionne-je.

Il acquiesce et nous propose une nouveauté : un collier de soumise avec une incrustation… en cristal.

Tu rougis.

Nous sortons et ta démarche est lente, le plug t'impose un plaisir continu qui te trouble à chaque instant.

Je me penche à ton oreille pour te gratifier d'un baiser avant de te murmurer que je vais t'offrir un cadeau

           -     Pourquoi ? Me demandes-tu.

           -     Nous allons fêter ta première sodomie.

Tu souris, ravie.

Les courses ne sont pas finies, tu n’as toujours pas de dessous.

 

A suivre…

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]

Après quelques minutes je te rejoins.

Tu es sous la douche.

Je t’ai laissé un petit mot. Je vois que tu l’as lu. Il indique ce qu’aurait fait une femme dans un certain récit pour satisfaire son Maitre et lui prouver son obéissance.
Tu es en train de t’exécuter.

Sans me voir tu continues ton travail délicat.

Je m’installe sur un tabouret. Il me semble froid en comparaison du feu qui bout entre mes cuisses.

Je peux admirer tes fesses et le creux de tes reins, ton dos dont la peau hante encore mes mains.

Lorsque tu te retournes, tu es surprise et je peux voir ton sexe presque entièrement rasé.

Tu entreprends alors de te laver et je profite de ce spectacle.

Tes mains passent sur tes courbes et sur tes seins.

Tu en rajoutes pour me rendre fou.

Tes gestes font ostensiblement monter mon désir.

Tes yeux uniquement dans les miens tu commences un jeu de séduction délectable.

Sous l’eau, les bulles de savon glissent sur ta peau. Tes doigts frôlent tes tétons et soupèsent tes seins.

Puis, sans une once de timidité, ton sexe subit un sort aussi sensuel.mshs38ky.jpg

Sous le prétexte de te laver, tu te livres à une séance de masturbation devant moi.

Je me flatte lentement.

J'ouvre mon peignoir pour sortir mon vit brulant.

Tu ouvres grand tes yeux alors que je te dévoile le membre que tu convoites.

D’une main je palpe mes bourses pendant que l’autre fait glisser mon membre sur toute sa longueur.

La vue de ton corps lascif me fait bander.

Tes gestes sont plus pressant sur ton sexe, excitée.

J’ai envie de tes orifices, de tes mains. Je n’ai qu’une envie, te posséder et prendre plaisir au fond de toi.

L’eau ruisselle sur toi.

A geste lents tu parcoures ton corps.

- Sors de là, sans te sécher.

Tu sors de la douche, ruisselante.

Je place une serviette dans mes mains pour t'inviter à venir te faire essuyer par mes soins.

J'éponge les gouttes qui perlent sur ton ventre et tes hanches.

Ma bouche vient lécher celles qui roulent sur tes seins.

Tu respires avec force et ta poitrine se soulève.

Je passe sur tes cuisses qui s'écartent.

- Viens sur moi maintenant que tu es propre.

Une de tes jambes passe au dessus des miennes.

Tes mains se posent sur mes épaules et tu te places à califourchon sur moi.

Tu ne quittes pas des yeux mon entrejambe.

- Doucement Monsieur... s'il vous plait... vous êtes... large.

Je saisi tes hanches douces et humides.

- Tu vas apprendre à l'accepter.

Tes mains se placent sur mes épaules et je t'emmène au-dessus de mon engin qui n'en peux plus d'attendre cette pénétration.

Mon gland frotte tes nymphes.

Tu te laisses faire alors que je t'impose de venir l'accepter en toi.

Tu t’empales non sans effort sur mon pieu.

Ta progression se fait centimètres après centimètres.

Lentement je te force et je t'arrache un cri à chaque descente autour de ma verge brulante.

Autour d'elle ton sexe s'écarte et je perçois ton humidité intérieure qui vient nous lubrifier.

A moitié enfoncée sur ma verge je te fais remonter puis redescendre, agrippé à tes cuisses.

Tu souffles de plaisir.

Nos gémissements se font bientôt de concert.

Je saisi les globes de tes seins et entreprends de les palper.

Tes tétons sont durs et lorsque je les fais rouler entre mes doigts ils t’arrachent quelques soupirs plus longs.

Les mouvements de ton corps font se contracter ta vulve autour de mon membre.

Tu te laisses aller un peu plus, tu as envie de moi plus loin en toi.

Mon sexe écartèle ton sexe encore serré et rendu plus sec par la douche.

Tu gémis mais tu t’appliques à t’e nfoncer un peu plus.

-  N’oublie pas de branler mes couilles, ma soumise.

Tu te penches un peu vers l’arrière et d’une main t’en saisi. Elles roulent et tu me démontres que tu en as l’habitude.

-  Ho… Monsieur…

Dans cette position tu es fortement cambrée et tes seins sont tendus.

Une main sur une de tes fesses j’imprime mon rythme à ta chevauchée.

Tu pousses quelques cris lorsque je te force plus profondément.

Mes mains sur tes fesses je te soulève, toujours fortement plaquée à moi.

Tu enserres mon dos de tes jambes.

Nous sortons de la salle de bain et je te pose sur la table.

A plat dos je te maintiens à ma merci.

En prenant tes jambes dans mes mains je commence à t’écarter pour te baiser avec vigueur.

Tes souffles deviennent plus rauques.

 Tu aimes comme ça…

- Oui... Oui...

Tu souffles et tes gémissements de plaisir s'accélèrent.

- Mais je vais te prendre comme je préfère.

Je m’extirpe de ton intimité.

Mon membre luit de la cyprine qui te lubrifie sous les assauts.

Mes mains saisissent tes hanches et je te retourne.

Tes seins sont collés à la table, ton visage frotte sur le bois.

Sans ménagement je m’enfonce dans ton sexe.

Tu cries comme mon pieu t'a embroché.

Je te regarde grimacer alors que je te possède en levrette.

Mes mains écartent tes fesses pour permettre de m’enfoncer au plus profond de toi.

Tu râles puis bientôt suivent de longs gémissements.

La douleur fait place au plaisir.

- Trop gros... murmures-tu dans les secousses que je t'impose.

Sans ménagement je poursuis mon pilonnage de ton sexe.

Les parois de ton vagin subissent mes coups de butoir.

Tu geins quelques "oui"... "Encore"... qui m'incite à continuer de te défoncer.

Tel un hussard je viole ton sexe et t’arrache une jouissance soudaine et bruyante.

Je ne cesse, peu à peu, mes allers et venues entre tes cuisses que lorsque tu as atteint l'infini plaisir de la plénitude de l'orgasme.

Ton dos est encore perlé de ta douche.

Je te libère. Tu es immobile, haletante.

De ton sexe suinte ton désir.

Je referme mon peignoir.

Je te propose une tasse de café.

Tu l’acceptes, essoufflée.

Mes mains continuent de masturber mon sexe.

-  Un nuage de lait dans ton café ?

-   Je vais me servir, Monsieur. Dis-tu dans un murmure.

Tu t’agenouilles et tes mains douces me branlent.

Délicatement tu passes sur mon gland, le long de la hampe, alternant rapidité et lenteur extrême.

Du bout du doigt tu excites mon méat, faisant glisser la perle de liqueur sur sa surface lisse.

Je pousse un soupir. Mon glaive vibre sous le désir qui monte.

Tu sens monter le plaisir et, avant que j'explose entre tes mains, tu saisis une tasse pour recueillir ma semence.

Je laisse s'exprimer mon plaisir.

Mon jus blanc nappe la tasse. Une goutte glisse le long de la porcelaine.

De ta langue tu lèches la goutte.

 Nous allons aller nous promener et faire quelques courses pour toi… quand tu auras bu ton café. Te dis-je alors.

Tu le bois sans lâcher mon regard.

La crème épaisse glisse dans ta bouche et tu dégustes par gorgée, à genoux.

J'en suis agréablement surpris et le sourire que je t'accorde te fait venir le rose aux joues.

Nos sourires complices sont les annonciateurs éloquents d’une journée qui commence sous le signe du plaisir.

 

A suivre...

 

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Il est presque midi alors que je te vois sortir de la chambre.

Assis à la table je cesse mon écriture pour te regarder avancer vers moi.

Ta main droite tente de cacher la fine touffe qui ourle ton sexe pendant que la gauche barre tes seins.

Tu traverses la pièce, nue à l’exception de ton collier, légèrement hésitante.

A ta démarche je vois que cette nuit a quelque peu endolori ton bas ventre.

Je me lève pour t'accueillir, le petit déjeuner n’attend que toi.

A la vue de tes hanches qui se balancent et de tes seins qui expriment leur lourdeur, ma verge se tend sous le peignoir.

Tu bredouilles quelques mots, entre excuses et confusion.

Je te coupe la parole pour venir déposer un baiser sur ta bouche.

Nos corps se plaquent.

Mes mains caressent tes hanches.

Tes formes m'envoutent.

- Je suis désolé, hier je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais enivrée peut-être et je voulais vous dire que…

Je ne te laisse pas finir.

Le vouvoiement que tu viens de placer me réconforte avant de laisser le doute planer... et s'il n'était pas un relief de ta volonté d'être à moi, mais plutôt une manifestation de distanciation ?

- Hier soir, cette nuit, tu as été parfaite. Tes cris sont de puissants aphrodisiaques. Le plaisir que nous avons pris j’en ai encore envie.

Tu me souris. Si tu hésitais sur un quelconque jugement de ma part, tu sais qu’il n’en est rien, le plaisir l’un de l’autre nous uni et cela te rassure.

Tu m’embrasses à ton tour et tu te presses contre moi.

Nos langues se mêlent, tes mains errent sur mon dos, sur mon fessier.

- J’étais à votre gout… Monsieur ?

- Tu es la soumise dont tout maitre rêve.

- C'était divin pour moi aussi.

Ton visage est légèrement empourpré alors que te reviennent en mémoire tes frasques nocturnes.

Je suis pour ma part rassuré de la tournure des évènements.

- Tu as bien dormi ?

- J'ai eu une nuit plaisante comme jamais auparavant.

- J'en suis satisfait. Ma nuit n'a pas été mal non plus.

- Que faisiez-vous Monsieur ?

- Je rédigeais ton contrat de soumission.

Tu restes interdite et tu t'avances pour le lire.

Le doute à nouveau s'installe en moi sur ta perception de cette aventure.

- Attends, te dis-je, je n'ai pas encore fini.

Tu restes droite à mes côtés alors que je me réinstalle sur ma chaise.

Sans te jeter un coup d'œil je t'impose une position d'attente "le dos bien droit et les mains dans le dos".

Tu obéis et je distingue ta nudité pâle, inspiration de fantasmes extrêmes.

Tu sembles accepter avec plaisir cette condition, si je m'en réfère aux bouts de tes seins que je vois se tendre alors que tu t'offres dans ton costume d'Eve.

- Tu vas pouvoir signer, une fois que tu auras lu à haute voix.

Tu t'approches et tu te penches.

Tes seins lourds pendent comme mon sexe grimpe à ta vue.

Tu lis silencieusement.

Absorbée par la teneur non équivoque du texte je peux observer ta splendide croupe que tu cambres légèrement.

Tu me regardes.

Le temps semble s'arrêter.

Tes yeux ne se fixent plus mais passe de mon regard à ma bouche... tu es troublée.

Tu viens placer un genou à terre et tu lis sans me lâcher du regard.

"Moi, Eve, accepte de me donner à Monsieur. Il sera mon Maitre afin de m'éduquer à la soumission.

A ce titre il est libre d'agir avec corps comme il le désire.

Je m'engage à ne pas avoir d'autre Maitre et, au titre de Soumise, à lui être totalement dévouée, satisfaire à l'intégralité de ses demandes et accepter d'être traiter comme telle."

Tes joues rougissent mais sans hésiter un seul instant tu as détaché ces mots de façon très claire.

Je te tends le crayon.

Tu signes la page d'un "Eve" accompagné d'un paraphe avant de baisser ton visage, fière et vaincue, honteuse et excitée.

- Que puis-je pour vous maintenant Monsieur ?

- Approche et embrasse mon anneau.

Je tends ma main à laquelle une large bague en acier est passée à mon médius.

Tu effleures le métal froid de tes lèvres.

- Ce sera ton premier geste pour me saluer.

- Bien Monsieur.

Je t'écarte de moi pour t'admirer.

- Tu sens le sexe. Va te laver.

Tu t’éloignes de quelques pas en arrière. Tes yeux passent de mes yeux à mon sexe, nettement dressé sous le tissu et gorgé de l’envie de toi.

Tu te retournes et tes pas lents font onduler tes hanches. Ta cambrure m’électrise. Tu en ajoutes pour me rendre encore plus fier.

-  Quel cul !

Tu tournes la tête juste pour me sourire avant de disparaitre dans la salle de bain.

- A vous Monsieur…

 
A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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