Partager l'article ! Chevauchée.: [...] Après quelques minutes je te rejoins. Tu es sous la douche. Je t’ai laissé un petit mot. Je ...
[...]
Après quelques minutes je te rejoins.
Tu es sous la douche.
Je t’ai laissé un petit mot. Je vois que tu l’as lu. Il indique ce qu’aurait
fait une femme dans un certain récit pour satisfaire son Maitre et lui prouver son obéissance.
Tu es en train de t’exécuter.
Sans me voir tu continues ton travail délicat.
Je m’installe sur un tabouret. Il me semble froid en comparaison du feu qui bout entre mes cuisses.
Je peux admirer tes fesses et le creux de tes reins, ton dos dont la peau hante encore mes mains.
Lorsque tu te retournes, tu es surprise et je peux voir ton sexe presque entièrement rasé.
Tu entreprends alors de te laver et je profite de ce spectacle.
Tes mains passent sur tes courbes et sur tes seins.
Tu en rajoutes pour me rendre fou.
Tes gestes font ostensiblement monter mon désir.
Tes yeux uniquement dans les miens tu commences un jeu de séduction délectable.
Sous l’eau, les bulles de savon glissent sur ta peau. Tes doigts frôlent tes tétons et soupèsent tes seins.
Puis, sans une once de timidité, ton sexe subit un sort aussi sensuel.
Sous le prétexte de te laver, tu te livres à une séance de masturbation devant moi.
Je me flatte lentement.
J'ouvre mon peignoir pour sortir mon vit brulant.
Tu ouvres grand tes yeux alors que je te dévoile le membre que tu convoites.
D’une main je palpe mes bourses pendant que l’autre fait glisser mon membre sur toute sa longueur.
La vue de ton corps lascif me fait bander.
Tes gestes sont plus pressant sur ton sexe, excitée.
J’ai envie de tes orifices, de tes mains. Je n’ai qu’une envie, te posséder et prendre plaisir au fond de toi.
L’eau ruisselle sur toi.
A geste lents tu parcoures ton corps.
- Sors de là, sans te sécher.
Tu sors de la douche, ruisselante.
Je place une serviette dans mes mains pour t'inviter à venir te faire essuyer par mes soins.
J'éponge les gouttes qui perlent sur ton ventre et tes hanches.
Ma bouche vient lécher celles qui roulent sur tes seins.
Tu respires avec force et ta poitrine se soulève.
Je passe sur tes cuisses qui s'écartent.
- Viens sur moi maintenant que tu es propre.
Une de tes jambes passe au dessus des miennes.
Tes mains se posent sur mes épaules et tu te places à califourchon sur moi.
Tu ne quittes pas des yeux mon entrejambe.
- Doucement Monsieur... s'il vous plait... vous êtes... large.
Je saisi tes hanches douces et humides.
- Tu vas apprendre à l'accepter.
Tes mains se placent sur mes épaules et je t'emmène au-dessus de mon engin qui n'en peux plus d'attendre cette pénétration.
Mon gland frotte tes nymphes.
Tu te laisses faire alors que je t'impose de venir l'accepter en toi.
Tu t’empales non sans effort sur mon pieu.
Ta progression se fait centimètres après centimètres.
Lentement je te force et je t'arrache un cri à chaque descente autour de ma verge brulante.
Autour d'elle ton sexe s'écarte et je perçois ton humidité intérieure qui vient nous lubrifier.
A moitié enfoncée sur ma verge je te fais remonter puis redescendre, agrippé à tes cuisses.
Tu souffles de plaisir.
Nos gémissements se font bientôt de concert.
Je saisi les globes de tes seins et entreprends de les palper.
Tes tétons sont durs et lorsque je les fais rouler entre mes doigts ils t’arrachent quelques soupirs plus longs.
Les mouvements de ton corps font se contracter ta vulve autour de mon membre.
Tu te laisses aller un peu plus, tu as envie de moi plus loin en toi.
Mon sexe écartèle ton sexe encore serré et rendu plus sec par la douche.
Tu gémis mais tu t’appliques à t’e nfoncer un peu plus.
- N’oublie pas de branler mes couilles, ma soumise.
Tu te penches un peu vers l’arrière et d’une main t’en saisi. Elles roulent et tu me démontres que tu en as l’habitude.
- Ho… Monsieur…
Dans cette position tu es fortement cambrée et tes seins sont tendus.
Une main sur une de tes fesses j’imprime mon rythme à ta chevauchée.
Tu pousses quelques cris lorsque je te force plus profondément.
Mes mains sur tes fesses je te soulève, toujours fortement plaquée à moi.
Tu enserres mon dos de tes jambes.
Nous sortons de la salle de bain et je te pose sur la table.
A plat dos je te maintiens à ma merci.
En prenant tes jambes dans mes mains je commence à t’écarter pour te baiser avec vigueur.
Tes souffles deviennent plus rauques.
- Tu aimes comme ça…
- Oui... Oui...
Tu souffles et tes gémissements de plaisir s'accélèrent.
- Mais je vais te prendre comme je préfère.
Je m’extirpe de ton intimité.
Mon membre luit de la cyprine qui te lubrifie sous les assauts.
Mes mains saisissent tes hanches et je te retourne.
Tes seins sont collés à la table, ton visage frotte sur le bois.
Sans ménagement je m’enfonce dans ton sexe.
Tu cries comme mon pieu t'a embroché.
Je te regarde grimacer alors que je te possède en levrette.
Mes mains écartent tes fesses pour permettre de m’enfoncer au plus profond de toi.
Tu râles puis bientôt suivent de longs gémissements.
La douleur fait place au plaisir.
- Trop gros... murmures-tu dans les secousses que je t'impose.
Sans ménagement je poursuis mon pilonnage de ton sexe.
Les parois de ton vagin subissent mes coups de butoir.
Tu geins quelques "oui"... "Encore"... qui m'incite à continuer de te défoncer.
Tel un hussard je viole ton sexe et t’arrache une jouissance soudaine et bruyante.
Je ne cesse, peu à peu, mes allers et venues entre tes cuisses que lorsque tu as atteint l'infini plaisir de la plénitude de l'orgasme.
Ton dos est encore perlé de ta douche.
Je te libère. Tu es immobile, haletante.
De ton sexe suinte ton désir.
Je referme mon peignoir.
Je te propose une tasse de café.
Tu l’acceptes, essoufflée.
Mes mains continuent de masturber mon sexe.
- Un nuage de lait dans ton café ?
- Je vais me servir, Monsieur. Dis-tu dans un murmure.
Tu t’agenouilles et tes mains douces me branlent.
Délicatement tu passes sur mon gland, le long de la hampe, alternant rapidité et lenteur extrême.
Du bout du doigt tu excites mon méat, faisant glisser la perle de liqueur sur sa surface lisse.
Je pousse un soupir. Mon glaive vibre sous le désir qui monte.
Tu sens monter le plaisir et, avant que j'explose entre tes mains, tu saisis une tasse pour recueillir ma semence.
Je laisse s'exprimer mon plaisir.
Mon jus blanc nappe la tasse. Une goutte glisse le long de la porcelaine.
De ta langue tu lèches la goutte.
- Nous allons aller nous promener et faire quelques courses pour toi… quand tu auras bu ton café. Te dis-je alors.
Tu le bois sans lâcher mon regard.
La crème épaisse glisse dans ta bouche et tu dégustes par gorgée, à genoux.
J'en suis agréablement surpris et le sourire que je t'accorde te fait venir le rose aux joues.
Nos sourires complices sont les annonciateurs éloquents d’une journée qui commence sous le signe du plaisir.
A suivre...