Monsieur & Eve

[…]
Largement écartée, les fesses nues, penchée devant moi, tu réagis instantanément à mes paroles.
Je ponctue le mot « cravaché » par une petite tape à la base d’une de tes fesses.
Etrangement tu relèves ta croupe et pousse un petit cri où se mêle le plaisir autant que la surprise.
Tes bas gainent des jambes d'un nylon sombre que tes talons galbent avec sensualité.
Ton dos se creuse un peu plus pour redresser ta poitrine.
Tu prends plaisir à te montrer dans l'indescence, allant jusqu'à faire se frotter les pointes de tes tétons sur le rebord métallique du bar.
Tu m’avoues ta position préférée, la levrette, sans hésiter un seul instant.
La cravache vient te flatter, je l’applique entre tes fesses et la fais descendre sur tes grandes lèvres gonflées de désir. Je m’applique pour quelques vas et vient.
Ouverte, le cuir écarte ton intimité.
Ta réponse me plait, elle est à l’image de la soumise que je veux, je t’en fais le compliment, tu me réponds par un gémissement.
Tu m’avoues ensuite que ton lieu serait un ascenseur, un couloir d’hôtel, pour le risque d’être découverte et le plaisir d'être observée.
Tu reçois le coup en te cabrant.
Le cri que tu pousses m’excite au plus haut point.
Tu me jettes un regard de braise. Incrédule et furibonde.
La badine s’abat de nouveau. 
-  Baisse le regard.
Les coups sont francs, peu violents ils n’en sont pas moins suffisant pour marquer la base de tes fesses.
Tu baisses la tête, honteuse et soumise.
Je sens ma virilité gonfler en moi, enfler à ta vue.
Je t’indique que tu es à moi et que je souhaite que tu comprennes qu’il n’y a que moi qui décide si d’autres peuvent te voir.
Tu ne dis rien, ton fessier se tortille.
Un plus petit coup et tu me murmures que tu as compris.
Je poursuis l'exploration de ton sexe.
Je passe sur ton clitoris rougi.
Tu geins.
Tu m’avoues enfin que ce que tu veux
entendre lorsque tu es possédée, ce sont « quelques mots durs ».
La cravache vient claquer tes deux fesses.
Tu te soulèves et baisses à nouveau le visage pour cacher un sourire. 
- J’ai demandé un exemple, ma soumise, un mot .
Je te murmure cela de façon posée et ferme, en me plaquant à toi.
Tu peux sentir contre ta peau, à la grosseur qui se dresse, que cette séance de correction m’excite au plus haut point. « Salope. » Ta voix n’est qu’un murmure entre deux gémissements haletants.
« J’aurais envie qu’on me dise que je suis une salope ».
Je vois ton sexe se contracter sous tes mots.
Tu rougis.
Tu halètes.
Le cuir te caresse avec douceur. Lentement, délicatement.
Ton suc coule légèrement.
Un début d’orgasme te prend.
Tes propres paroles t’ont surprises et t’ont provoquées une excitation presque incontrôlable. 
-  Viens, suis-moi . Te dis-je alors.
Docile tu te lèves et m’accompagnes jusque dans la chambre.
Je saisi un de tes poignet, et d’un lien l’attache à un montant du lit à baldaquin.
Haut.
Le second poignet vient le rejoindre et te voila bras levés, tirée en l’air, plaquée à une fine colonne de bois.
Tes seins l’enserrent.
Tes cuisses s’en rapprochent.
Je t’observe avec intérêt.
Tu vois nettement la bosse sous mon peignoir.
Le cuir te frôle.
Presque imperceptiblement tu te frottes au pilier de bois.
Tu me souris.
Parfois tes yeux se ferment.
Tu comprends que le coït que tu mimes ainsi me rend fou de désir, alors tu te caresses ostensiblement.
Je me rapproche de toi.
Mes mains prennent tes cuisses.
Ta peau est douce, chaude.
Elles remontent sur tes fesses, glissent sur ton ventre, ton dos et tes seins.
Je prends possession de ton corps.
Elles caressent tes épaules et frôlent tes bras pour saisir tes poignets.
Je suis collé à toi.
Mon peignoir s’est ouvert et mon sexe est plaqué sur la raie de tes fesses.
Tu murmures un « oui » d’envie.
Je décroche un de tes poignets pour aller l’accrocher sur l’autre montant du lit.
Te voila désormais les bras en croix.
Ton sexe toujours plaqué au pieu de bois.
Mes mains redescendent le long de ton cou.
Mon visage contre ton cou je sens ton parfum. Il m’enivre, me donne envie de te posséder maintenant, pleinement. Mais je veux te dominer, te soumettre et je me calme.
« Oui… j’ai envie » tu le gémis plus que tu le déclares.
Ma main s’empare de chacun de tes chevilles et tu te retrouves très vite, jambes écartées, dos à moi.
- Je veux t’admirer en position de soumise. Désormais tu m’appelleras Monsieur.
- Oui... Monsieur.
Mon regard te détaille.
Tu ondules ton corps pour me rendre fou.
- Quant à toi, tu auras pour nom "Eve".
- Oui Monsieur.
Le bout de mes doigts suit le tracé de tes courbes.
Tu te frottes au pilier comme s'il était un sexe gigantesque, rendue folle par le désir, oubliant ta pudeur pour te livrer aux plaisirs du sexe.
Mon sexe a envie de te pénétrer.
- Tu as une superbe croupe, des seins admirables…
Le bruit de mes mains sur mon sexe est audible, les ombres que font mes gestes sur le mur, visibles, et tu ne peux que percevoir le fait que je me caresse est te regardant te tortiller.
Tu ne réponds rien, surprise, excitée.
« Mais ? Et vous ? » Ma main s’abat sur tes fesses avec vigueur…
Tu te corriges instantanément « Et vous Monsieur ? ».
Ta respiration s’accélère. 
- Moi je prends plaisir à te regarder jouir.
A ces mots je te vois venir, en douceur, longuement en te frottant indescement à la barre du lit, puis dans un premier cri.
La libération que te provoque ta jouissance se fait plus forte. « Je jouis ! Je jouis ! Ah… oui… »
Tu voudrais serrer les cuisses mais tu ne le peux pas.
Tes ahanements se transforment rapidement en quelques cris inaudibles et je vois tes lèvres ruisseler.
Quelques soubresauts et tu sembles inerte. Assouvie.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[...]
Le trajet jusqu’à mon immeuble se fait dans un silence, entre la gêne et le plaisir.

Nous prenons l’ascenseur.

Je te rapproche de moi, mes mains sur tes hanches.

Tu te laisse faire lorsque je te fais pivoter pour me tourner le dos.

Tes fesses viennent se plaquer contre moi.

La pression de mes mains t’indique quelques mouvements circulaires que tu m’offres sans hésitation.

Tes mains s’accrochent à la barre en face de nous.

Tu te penches pour mieux te frotter à moi.

Je peux désormais t’observer dans les glaces et j’ai sur ce mime de coït une vue imprenable.

Le trajet est trop court, mon sexe gonflé aurait souhaité que cela continue, et c’est dans cet état que je te fais visiter mon appartement.

-         Un verre ?

Je m’installe sur le tabouret du bar, tu te joins à moi.
Un petit sourire en coin, tu prends plaisir à mettre en valeur ta poitrine.
Tu tournes sur le pivot de ce siège, la jupe t'arrive au-dessus des genoux et tes bas reflètent les lumières diffuses d'une lampe aux multiples ampoules.

Du pied je le pousse pour te mettre face à moi.

Tu comprends mon envie et je vois tes jambes s’écarter, ta jupe se relever et se tendre…

Je peux déguster mon verre en coulant mon regard sur ton entrecuisse que je découvre peu à peu.

-         Dégrafe ton chemisier.

Avec une extrême lenteur tu ôtes bouton après bouton.

Tes mains glissent sur les pans de ton chemisier et les écartent sans dévoiler complètement tes seins.
Tu joues le jeu de l'érotisme.
                -         Debout, tourne-toi.

Tu te lèves et me tourne le dos.
Tu ondules ton bassin .

-         Relève ta jupe, cambre-toi.

Tes mains troussent ta jupe à ta ceinture. Tu dévoiles ton fessier admirable.
Lentement, tu te cambres et j’aperçois l’orée de ta vulve qui se contracte par moment alors que tu relèves tes fesses.

Tes mains s’appuient sur le bar et ta cambrure devient plus forte.

-         Ne bouge pas.

De derrière le bar je sors une petite cravache.

Je la passe contre tes cuisses.

Le toucher du cuir te fait frémir.

Avec son aide je fais glisser ton chemisier à terre, tes seins nus pendent doucement vers le sol, globes pleins et dont les tétons se dressent avec orgueil.

Je le titille du bout de ma badine, ce qui t’arrache un gémissement.

-         Tu es sensibles des seins… c’est très bien.

Tu hoches la tête.

Entre tes cuisses je viens placer le manche de cuir, de deux petites tapes je te fais écarter tes cuisses un peu plus.

Tu t'offres dans cette position indescente.
Lentement sur tes fesses, sur ta vulve je laisse flâner le cuir.

Tu halètes par moment, inspirant avec un petit « ah ».

Je sens en toi monter le désir.

Je poursuis mes attouchements discrets.

-         La cravache t’excite ?

Tu lâches un « oui » dans une aspiration.

Je fais glisser ta jupe à tes pieds.

Tu serres les cuisses pour la faire glisser, sensuellement au sol.

D’un petit coup un peu plus fort sur tes fesses je t’ordonne de rester écartée !

Tu obéis immédiatement.

-         Maintenant tu vas m’avouer ta position préférée, un lieu de fantasme et ce que tu aimes entendre lorsque tu te fais prendre. Selon les réponses, tu seras cravachée ou flattée.

Tu pousses un petit gémissement en ondulant. Je sens monter mon excitation croitre.
Mon sexe est durci et je résiste avec peine à te posséder contre le métal du bar, fasciné par ton cul splendide que tu me montre avec envie.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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[…]

Un coup de téléphone et nous sommes partis dans une nouvelle direction.

Arrivés devant chez les amis mentionnés je te vois de plus en plus mal à l’aise.

-         Tu es sure ?

-         Oui… De toute façon, il ne va rien m’arriver.

Je garde le silence ce qui ne fait qu’augmenter la tension qui t’anime.

Tu te réajustes, tu tentes vainement de cacher ton absence de soutien-gorge.

C’est un couple charmant. Lui, grand, brun, est un peu plus âgé qu’elle dont les cheveux roux courent en cascade sur son chemisier.

Je te présente comme une amie.

La discussion s’installe agréablement. Je vois son regard de mâle venir sur toi. Il te détaille et il ne se passe pas une minute sans qu’il glisse un œil vers la naissance marquée de tes seins.

Ils s’éclipsent pour préparer le café et je te murmure qu’il a du remarquer ton absence de dessous.

Tu rougis.

-         Il te plait ?

Tu bredouilles quelques mots où se mêlent tout à la fois ton envie inconsciente de lui, la gène et ton envie de moi.

C’est avec un café fumant qu’ils reviennent tous les deux.

La discussion prend un tour plus sensuel sur ses sujets, passant d’une blague à quelques habitudes, pratiques ou fantasmes.

Les regards se font de plus en plus embarrassés, entre les sourires, les coups d’œil.

Elle place soudainement la main de son homme entre ses cuisses et penche sa tête en arrière. Il l’embrasse sans se soucier de nous. Et nous voyons sa main entamer quelques caresses.

Lentement il la masturbe au travers du tissu.

Tu me regardes, interdite.

Mes lèvres déposent un baiser sur tes lèvres. Nos langues se cherchent.

Ma main vient chercher ton entrecuisse nu.

Je passe sous la robe et remonte le long de ta peau jusqu’à trouver ta fente humide.

Il semble que les regarder faire à accru ton envie.
Notre échange est lent, long, excitant.

Mes doigts glissent entre tes lèvres. « Je suis mouillée » murmures-tu.

Nos bouches se séparent à regret.

Ils nous regardent.

Elle a sorti le sexe de son homme. Une de ses mains le tient fermement et le masturbe.

Tu as les jambes écartées, mes doigts enfouis dans ton sexe.

Sans t’en rendre compte tu leur offres le spectacle de ta féminité.

Je continue mes mouvements.

Tu cherches à resserrer tes jambes.

« Reste écartée… »

Tu obéis.

Tu regardes la main de cette femme que tu ne connais pas, en train de branler un homme que tu as rencontrée pour le première fois il y a peut-être une heure.
Ils te sourient tous les deux alors que tu es toi même en train de te faire masturber.
Elle penche sa tête sur le membre de son mari.

Tu fermes les yeux et te laisses aller.

Très vite je te sens venir entre quelques gémissements que tu réprimes, alors qu’eux sont dans l’action.

Entre mes doigts tu te mets à couler, ton orgasme est muet.

Tu baisses ta jupe et je te fais signe de les laisser.

Nous nous éclipsons sans les déranger alors qu’il à le visage enfoui entre ses cuisses.
Lorsque la porte se referme tu sembles perdue.
Tu tournes vers moi ton visage. tes yeux sont clairs et tes cheveux emmelès.
            -
C’était incroyable, me dis-tu. J’étais un peu gênée mais ils me donnaient envie.

- Tu as été parfaite.

- Je ne me serais pas cru capable de cela.

- Je suis sur que tu seras capable de beaucoup plus.

- Lorsque tu m’a dis de rester les cuisses ouvertes devant eux… j’étais gênée mais… excitée… Leurs regards… et ça les a incités. Humm. Tu me fais faire des folies.


A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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