Monsieur & Eve

[...]

La sonnette retentit.

Je me dissimule dans le bureau.

Elle s'en va ouvrir dans sa tenue légère.

Quelques regards vers moi. Elle me cherche des yeux dans l'entrebâillement obscur.

Je la sens hésitante et honteuse mais résolue à me satisfaire.

Je n'entends pas les premiers mots de l'échange mais aux silences je distingue que mon jeune voisin doit être surpris par l'accueil.

Ils se rapprochent et entrent dans mon champ de vision.

Elle marche, lentement vers la table où trône le téléphone oublié.

Il l’a suit, les yeux fixés sur son postérieur qu'elle balance lentement.

D'où je suis je peux distinguer la vallée qui sépare ses deux mots appétissants. Le tissu est léger et suggère plus qu'il ne cache.

Elle s'appuie à la table pour lui faire face, le téléphone en main, dans son dos.

Je sens que le moment va devenir des plus intéressants.

Va t-elle aller jusqu'au bout ? Va t-elle m'obéir et se livrer devant mes yeux à ce jeune homme ?

Ma verge enfle alors que j'observe son stratagème et ses formes envoutantes.

- Tu oublis souvent des choses chez les femmes ?

Il reste interdit par la question.

Je peux voir que son visage cherche à ne pas la regarder malgré l'envie évidente de la détailler.

La réponse négative est bredouillée.

- C'est dommage... poursuit-elle en se redressant, ce qui a pour effet de faire remonter ses seins de manière provocante.

Elle pose sa main sur son tee-shirt.

Un coup d'œil vers moi. Je reste caché.

Elle hésite.

Il la sauve en relançant la discussion.

- Mais... votre... homme... s'il vous voyait comme ça avec moi...

- Tu m'as déjà regardé non ? Avec lui en plus.

Sa voix a repris de l'assurance.

Il rougit.

- Ca t'a plu ?

Il hoche la tête.

Elle se rapproche de lui.

- A moi aussi.

Sa main descend sur sa braguette et elle effleure son sexe au travers du jean.

- Je suis gêné. Dit-il.

- Gêné mais pourvu d'un bon paquet...

Sa main empoigne et malaxe l'entre jambe qui se durcit visiblement.

Elle lui sourit.

- Tu as une copine ?

- Non... Vous êtes très belle.

- Tu es mignon également.

- En fait je... j'ai jamais... enfin...

Elle ralentit ses mouvements.

- Je suis ta première femme ?

Il répond dans un murmure un "oui" presque inaudible.

Elle dépose un baiser sur ses lèvres.

Sa bouche rencontre une autre bouche et je me sens traversé par un éclair de jalousie.

Elle reprend ses manœuvres d'une main alors que de l'autre elle prend sa main et la dépose sur son sein gauche.

- Pétris-moi.

Il ne se fait pas prier pour caresser de plus en plus fortement la poitrine avantageuse qu'il a à portée de main.

Elle descend les fines lanières qui glissent sur ses bras et rapidement sa poitrine se trouve dévoilée.

Si elle se force à me faire plaisir, il est certain qu'il lui procure du plaisir si je m'en réfère à ses tétons tendus.

Elle lui glisse quelques mots à l'oreille et je vois ses doigts devenir plus experts.

Il la pince, il tire et fait rouler les mamelons, agissant à ses ordres comme un automate.

Pendant ce temps elle extraie le membre viril qui bientôt se trouve à l'air libre.

Elle s'écarte doucement pour observer l'engin.

Entre ses mains douces je peux voir un autre sexe que le mien, dur et qu'elle caresse.

- Tu te branles en pensant à moi parfois ?

- Souvent. Vous êtes dans mes fantasmes...

- Tu es adorable... mais là c'est moi qui vais jouer avec ton hochet.

Ses doigts repliés autour de la tige de chair elle l'agite de bas en haut.

Il a maintenant les deux mains sur sa poitrine.

Elle se cambre pour lui offrir ses gros seins.

- Viens me téter.

Une autre bouche que le mienne se plaque contre les mamelons voluptueux et les sucions s'intensifient, lui provoquant des gémissements de plaisir que je reconnais bien.

Elle ne joue plus, elle prend son pied et s'agenouille devant lui.

Sa langue vient passer sur le gland rouge sombre.

Le pantalon est aux chevilles, rapidement il n'est qu'une relique au sol.

De sa main experte elle palpe ses bourses tout en léchant la hampe de bas en haut d'abord timidement puis de plus en plus proche.

Il a les deux mains sur la table, ne sachant qu'en faire.

Je voudrais lui dire de la posséder comme j'en ai envie mais je me retiens...sous l'effet d'un plaisir inattendu en moi, celui de la voir œuvrer avec un autre homme.

Elle le lèche longuement en tournant autour du bout de son sexe avant de l'avaler.

Goulue elle le gobe entièrement.

Le gourdin de chair va et vient dans sa bouche presque jusqu'à disparaitre.

Il gémit par moment comme elle le pompe avec délicatesse.

Entre ses lèvres douces elle fait coulisser avec plaisir ce nouveau membre dans sa bouche.

- Tu as un bel engin, lui dit-elle.

Il ne peut répondre, accaparé par son désir qu'il s'efforce de faire refluer.

Serrant ses seins autour du pieu elle entreprend de la branler de la sorte.

- Regarde-moi dit-elle.

Il obéit pour voir son sexe emprisonné entre les deux lourdes mamelles se faire masturber avec indécence.

- Je ne vais pas tenir, halète t-il.

Elle l'embouche alors sans une seconde d'hésitation.

Je la vois chercher mon regard. Elle ne m'a donc pas oublié dans son plaisir.

Consciencieuse elle le suce avec une extrême lenteur pour aller de plus en plus vite et lui arracher des râles masculins.

Elle ne cesse de regarder en ma direction. Suis-je dans ses pensées comme cet autre vit est dans sa bouche ?

- Attention, lance t-il, je vais jouir.

- Ne t'inquiète pas, j'avale, répond-elle tout en tapant son sexe sur sa langue.

Alors le jet vient lui frapper le visage.

Elle reprend à pleine gorge cette queue qui se libère pour avaler les dernières gorgées.

Le front et la joue maculée du foutre d'un autre je l'observe engloutir l'épais liquide qu'il lui déverse dans le gosier pendant qu'elle le branle sans ménagement.

Lorsqu'elle ralentit le geste, il semble avoir les jambes en coton.

- C'était bon, dit-il en caressant les cheveux de ma soumise.

Dans ses mains elle garde le membre assouvi.

- Oui. Très bon. Ton jus à une saveur délicieuse.

Il se ressaisit.

- C'est ma première fois, je suis désolé de ne pas avoir pu tenir la distance.

Elle prend sa main.

- Nous n'avons pas fini...

Et elle l'entraine vers la chambre.

Elle n'en n'a pas fini avec lui effectivement et cela m'excite au plus haut point.

Je suis alors son arrivée dans la chambre d'amis sur mon écran via la petite caméra qui tourne silencieusement dans la pièce d'à côté.

Elle se coule à quatre pattes sur le lit, féline.

Ses hanches ondulent et ma petite farouche devient une chienne en cet instant.

Elle sait où est l'œil qui la regarde et sa position me donne un point de vue parfait sur les prochains ébats qui vont se dérouler ici.

- Enlève ma culotte.

Il obéit et fait glisser le tissu léger le long des cuisses nues.

Elle écarte légèrement ses jambes.

- Dans tes fantasmes, tu me lèches ?

Il bredouille une réponse affirmative.

Elle s’allonge sur le lit, lui offrant une vue splendide sur son sexe rasé.

- Vient découvrir le plaisir de me goûter en réel.

Il s'agenouille entre les cuisses douces qu'elle écarte largement.

Son visage disparait.

Elle ondule et se mord les lèvres pour laisser finalement un cri s'échapper alors que ce jeune mâle la dévore sans retenue.

Ses yeux cherchent la caméra, elle m'envoie un baiser.

Puis elle gémit.

Elle y prend plaisir !

Je ne peux résister à l'envie de me caresser comme je la vois atteindre l'orgasme.

Il se dresse au-dessus d'elle.

Son sexe a repris vigueur.

- Tu bandes encore. Lui dit-elle les yeux gourmands.

Il ne répond rien et remonte entre ses jambes.

-          Le jeune loup veut me prendre… hum…

Au son de sa voix je sens qu’elle a envie d’être emmanchée.

Dans le petit souffle qu'elle pousse je sais qu'il vient de la forcer.

Elle se laisse prendre en lui ouvrant son intimité.

Je la devine brulante et douce comme je la regarde se faire baiser par un autre.

Il va et vient, lui arrachant peu à peu de petits cris éloquents.

Elle le repousse soudainement pour se tourner et se mettre à quatre pattes.

Je n'en crois pas mes yeux, elle lui tend son arrière-train, elle veut se faire sauter en levrette !

- Fourre-moi ! Allez !

Ses encouragements semblent décupler la volonté et les ardeurs de son fougueux étalon.

Il se met à râler sous les "oui !", "baise-moi !", "allez ! je veux ta queue !", "ouiii !", "vas-y ! baise-moi profond !" que produit ma douce soumise qui se déchaine sous la verge nouvelle.

Le bas ventre du jeune homme claque contre les cuisses et l'entre jambes.

Elle se cambre et l'accompagne dans cette danse obscène.

Je peux voir disparaitre au fond de son ventre l'intégralité du vit qui en ressort luisant pour s'enfourner à nouveau.

Ses mains pétrissent ses fesses et il vient chercher son petit trou.

Pour un jeune puceau il a des idées déjà bien en place et de la voir ainsi se faire baiser tout en se faisant ouvrir le fondement me rend fou de jalousie et de plaisir.

Il pose son doigt sur la rondelle de ma soumise en lui écartant les fesses.

Elle réagit en ralentissant le rythme.

- Tu ne me prends pas par là... tu découvriras ce plaisir avec une autre.

Il éloigne son doigt et se confond en excuses.

- Mon cul est réservé à mon Maitre. Mais... tu peux me doigter par contre… si tu veux… j’adore que l’on me prenne le cul.

La petite main féminine vient saisir le poignet masculin pour le replacer au-dessus de la vallée ronde de son séant.

Telle un préceptrice geisha, elle devient alors son professeur et lui enseigne, devant mes yeux, avec son corps, de multiples façons de lui faire l'amour.

Elle le guide pour qu'il lui assouplisse l'anus, pour qu'il parvienne à la branler tout en la fourrant et la lécher avec délicatesse en alternant les coups de langue et les succions de sa perle.

Ses conseils et les positions s'enchainent.

Allongée de côté, sur le dos, à genoux, sur lui, elle se fait empaler en lui indiquant les gestes qui la font grimper aux portes du plaisir.

Il lui pétri les seins comme elle sert de fourreau à sa dague de chair.

Elève appliqué, il est attentif et il ne s'impatiente pas lorsqu'il lui relève les jambes par dessus la tête pour la fourrer profondément.

Après de longues minutes à se faire posséder, elle se laisse aller et jouit dans un feulement.

Pour cet instant qu'elle me donne, elle s'est placée face à l'œil qui la regarde.

A quatre pattes, je peux voir sa lourde paire de seins osciller sous les coups de reins que lui administre le jeune homme.

Les courbes gracieuses de ses fesses, cambrées, saisies par les mains masculines, auréolent son corps d'un érotisme torride.

Il s'est enfoncé en elle et je devine son pieu planté jusqu'à ce que la toison sombre de cet autre soit écrasée sur la chatte glabre et ruisselante.

Elle se caresse pendant qu'il la chevauche.

Chaque assaut crispe son doux visage et lui fait ouvrir la bouche pour un gémissement éloquent.

Puis, comme pour me défier ou me prouver sa soumission, elle lèche son doigt d'une manière qui me rend fou de désir.

C'est lorsqu'elle ferme les yeux que je sens son plaisir l'envahir.

Elle les ouvre à nouveau après quelques instants qui me paraissent durer une éternité, assouvie, tandis qu'il poursuit ses assauts de plus en plus gauches et fébriles.

- Vas-y. Viens au fond de moi. Lui dit-elle en l'observant faire.

Il pousse alors de longs râles pendant que son orgasme se produit.

Je la regarde se faire remplir par un autre.

Je devine sa chatte dégoulinante de foutre alors que le membre va et vient pour finir de se vider.

Et je rejoins leurs jouissances, éjaculant à mon tour, les yeux rivés sur sa poitrine, sa bouche entre-ouverte et ses fesses relevées de salope.

Il tombe à genoux derrière elle.

Elle vient déposer un baiser sur son front comme on récompense un enfant.

- Tu es un bon amant. Tu feras le plaisir de plus d'une femme.

Il lui sourit pendant qu'elle revêt une petite culotte qui déjà se tâche du foutre d’un autre que moi.

Lorsqu'ils sortent de la chambre, il n'est pas encore totalement rhabillé lorsqu'il lui demande s'il pourra revenir.

- Non. Tu pourras peut-être me voir comme tu as déjà fait auparavant, mais désormais c'est à toi de trouver ta prochaine conquête.

Elle dépose un baiser sur sa joue tout en refermant la porte, sa poitrine encore libre.

 

C'est l'instant que je choisi pour la rejoindre et l'attendre.

Elle va être punie... pour son obéissance.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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Je te dévore des yeux pendant la durée de notre trajet de retour.

Ton pull qui cache ta poitrine voluptueuse et remontée attire le regard des hommes.

Les courbes de tes hanches et de tes fesses, le galbe de tes cuisses que tu as caché sous ton jean mais qui ne laisse pas indifférent même les femmes.

Des envies comme des flashs me transpercent l'esprit comme je vois les yeux d'inconnus se repaitre de ton image.

Je suis à tes côtés dans la rue mais ce n'est que dans l'ascenseur que je peux être aussi prêt de toi que je le souhaite.

Ma main passe dans tes cheveux et je viens chercher ta bouche.

Tu te laisses aller à un baiser profond où nos langues se mélangent avec frénésie.

Tes mains sur mes hanches passent dans mon dos alors que je viens contre toi.

Tu écartes les jambes pour m'accueillir.

Je me colle à toi.

Mon sexe me fait mal tant il est dur et lorsque tu te mets à onduler, ton bas-ventre contre le mien, ma respiration s'accélère et mes mains glissent sous ton pull.

- Monsieur, me dis-tu d'un ton faussement outré, on pourrait nous surprendre.

Je saisi ton sein droit alors que de mon autre main je glisse prendre possession de ton postérieur rebondi et engoncé dans la toile épaisse de ton jean.

- Humm... oui... nous surprendre... souffles-tu à mon oreille.

La porte s'ouvre à notre étage sans que je ne cherche à cacher cette position éloquente.

Nos lèvres ne se lâchent pas.

Le couloir est vide.

La lumière s'éteint, la porte se referme.

Dans ma main ton sein ferme se laisse pétrir alors que ton mamelon se dresse doucement.

Tes mains ont soulevées ma chemise et tes ongles me griffent le dos et les flancs comme tu remontes une de tes jambes le long de mon corps.

Je lâche ta bouche pour venir déposer d'ardents baisers dans ton cou.

Ton parfum me fait chavirer, onctueux mélange de celle du cuir de ton collier qui se mêle aux fragrances fleuries d'un parfumeur célèbre.

La lumière se rallume soudain.

En un éclair nous reprenons une pseudo attitude digne alors que la double porte coulissante s'ouvre sur mes voisins, un couple âgé.

L'homme nous sourit et la femme, dans un clin d'œil nous lance un "bonne soirée les amoureux", alors que nous nous croisons.

Cette intrusion nous a démobilisé et malgré nos sourires complices, lorsque la porte claque, la pendule nous rappelle à l'ordre.

Nos esprits sont toujours échauffés mais l'heure tourne et il me faut préparer le repas.

Alors que tu te douches je prépare les vêtements que je veux te voir porter.

Quelques temps plus tard nous sommes prêts, dans l'attente.

Tu es restée en tenue intime alors que j'ai déjà passé le pantalon noir et la chemise pourpre aux reflets sombres qui vont m'accompagner pour ce diner.

Assis sur le canapé nous sirotons un petit verre.

Ma main caresse négligemment ta nuque douce.

Tu as recroquevillée tes jambes près de ton corps, pour reposer intégralement sur les cousins.

Dans l'entrebâillement du kimono se dessine la vallée de tes magnifiques seins.

- Monsieur...

- Oui ?

- Voulez-vous que je vous suce ? J'ai envie d'avoir votre sexe en bouche.

Ta voix douce fait réagir mon vit qui se gonfle automatiquement.

Je défais mes boutons en guise de réponse.

De ta main tu viens sortir mon sexe brulant qui grossi entre tes doigts alors qu'il est libéré.

Tu saisis mes bourses pour les faire rouler dans ta main.

Ton pouce passe autour de la base de mon manche pour continuer à masturber mes couilles tout en faisant osciller la tige dressée.

Tu te penches doucement vers le bâton tendu pour t'arrêter à quelques centimètres.

- Je ne sais toujours pas qui sont nos invités.

- Un couple qui va te plaire.

- Je les connais ?

- Lui oui.

Je te vois chercher sans résultat.

- Il est beaucoup plus jeune qu'elle.

L'indice ne te révèle rien. Tu poursuis tes manigances avec mon sexe désormais à pleine main.

- Je ne vois pas.

- Tu prends plaisir lorsqu'il te regarde alors que je te baise sur le balcon.

Tu te tournes vers moi.

Tes yeux grands ouverts...

- Mais ce n'est pas un couple ! C'est le fils et la mère !

Nous rions doucement et tu cales ton visage contre mon ventre tout en continuant de me branler en douceur.

- Tu vas l'aguicher ce soir, te dis-je calmement.

- Oui... Monsieur.

- Tu vas lui montrer qu'il te plait, sans que la mère n'en sache rien, tu devras être discrète et éloquente.

- Bien Monsieur.

- Autrement je te punirai.

Tu pousses un gémissement de bonheur à la simple évocation de la punition.

Ta main m'astique un peu plus vite...

Et tu plonges vers mon entrecuisse.

Ta bouche s'ouvre pour permettre à mon gland d'être englouti en une aspiration.

Dans la douceur de ta bouche, je sens ta langue s'enrouler autour de mon sexe.

Elle cherche mon gland pour y titiller le méat.

Large et gourmande ou fine et détaillant chaque parcelle de mon membre, tu la fais s'agiter avec ingéniosité.

Tu presses ma veine afin d'opérer un pompage en règle de ma queue désormais totalement aspirée.

Tes lèvres effleurent mes bourses et lorsque tu remontes le long de la large hampe, c'est pour mieux replonger et caler mon sexe au fond de ta gorge.

Tu t'appliques alors que je t'encourage, en flattant tes cheveux autant que par quelques mots sages.

Tu t'affaires ainsi de longues minutes.

Attentive et appliquée.

Je dégage une mèche de cheveux et tu comprends instantanément ce que je veux : ce regard que tu conserves tout en me suçant avec lenteur, inlassablement, docile.

Je bascule mon visage en arrière et je te laisse me tailler cette pipe princière.

Ta langue vient chercher mes couilles alors que mon pieu tape le fond de ta gorge.

Tu accélères le mouvement et ton visage va de droite et de gauche comme pour me faire entrer encore plus dans ta bouche affamée.

Tu sais que je suis long à jouir de cette façon et tu te démènes pour faire grimper mon plaisir.

Je lâche quelques gémissements qui t'encouragent et nous excitent.

Tes lèvres se plissent à chaque allers et venues autour de ma lance de chair.

Tes joues se creusent à chaque fois que mon membre manque de s'extraire avant d'être à nouveau avalé.

La jouissance point et tes yeux m'observent.

Mon sexe palpite, il se contracte.

Tu aspires, tu pompes, tu suces frénétiquement, oubliant toute autre chose pour ne te consacrer qu'à cette fellation.

Ta bouche est férocement malmenée par la dureté de mon membre.

De la salive suinte par les commissures de tes lèvres.

Tes mâchoires te font mal à force de sucer mais tu y prends un plaisir tellement intense que tu t'appliques à chaque montée et descente sur ma large tige.

Soudain, j'explose dans ta bouche.

Par giclées je me déverse dans ta gorge.

Tu avales sans ralentir ton rythme.

Tes yeux sont souriants.

Je te vois engloutir mon foutre par gorgée gourmandes avant de ralentir comme je suis vidé.

Lentement tu entreprends alors de me nettoyer avec ta langue.

Mes mains font s'écarter le kimono de satin et je caresse ton dos pendant que tu lèches avec soin la base de mon sexe jusqu'au gland.

Frôlant mes couilles, ta langue explore et recueille les goutes de sperme pour les avaler à chaque fois dans un sourire complice.

Et lorsque tu lâche ma verge, celle-ci est humide de ta salive exclusivement.

Tes lèvres sont rouges d'avoir tant sucée.

- Une vraie reine de la pipe.

- J'adore ça Monsieur. Vous en voulez encore ? J'ai encore envie de sucer.

- Il faut que ce soir tu me tutoies... nous avons des invités.

Tu souris.

- Tu ne t'amollis pas. Me dis-tu alors que tu agites toujours ma verge entre tes mains.

- Viens sur moi... je suis sur que tu es trempée.

- Tu veux me baiser ? Je suis toute mouillée...

- Je vais te faire sauter sur mes genoux...

Et tu m'enfourches.

Tes cuisses lisses de part en part.

Mes mains sur tes hanches.

Je veux te posséder.

Le satin rouge s'écarte et ton sexe rasé m'apparait.

Tu poses ton bassin sur mon pieu.

- Empales-toi sur ma queue.

Sans effort tu t'écartes et mon gland disparait dans ton ventre.

Tu pousses un gémissement sonore... "Haa...hummmm..."

Ton orifice est chaud et tellement humide que tu t'enfiles avec aisance autour de mon aiguille dressée.

Sur mon torse tu viens placer tes mains et ce sont tes cuisses qui imposent à ton corps la lente pénétration.

Tu ondules ton ventre et ton sexe se force sur le mien.

- J'ai la chatte en feu. Gémis-tu.

Je dénoue la ceinture rouge et ouvre les pans du kimono.

Tes seins sont pressés entre tes bras.

Je les saisi à pleines mains.

Tu gémis.

- Je vais jouer avec tes gros seins pendant que tu te fais limer.

- Oh... Oui... Prends mes grosses mamelles ! Oui !

Je pétris les rondeurs souples et fermes de ta poitrine.

Le téton se tend alors que je le tire vers moi.

Je les malmène, je les pince.

A chaque fois tu pousses un gémissement de plaisir.

- Humm oui... trais-moi... malaxe-moi...

Fortement cambrée tu poursuis ta lente descente sur mon sexe.

Ma bouche vorace vient téter chaque bout à son tour, parfois les deux à la fois alors que je les rapproche suffisamment pour qu'ils ne forment plus qu'un seul téton double.

Entre mes dents je les mordille avec délicatesse.

La succion que j'opère sur tes mamelons te fait atteindre un début d'orgasme.

- Ho.. Tu me fais venir...

Tu te laisses alors reposer sur mon pieu.

Ton vagin s'élargit et tu glisses autour de mon glaive de chair.

Ton corps devient le fourreau de velours dans lequel ma rapière s'installe entièrement.

Je perçois la fragilité délicate de tes lèvres sur mon pubis mais ton désir est ardent et tu t'agites de plus en plus vite autour de ma queue.

Abandonnant tes réserves tu me chevauches comme une amazone, uniquement animée par la recherche du plaisir.

Chaque enfoncée te procure un cri mais tu te redresses aussitôt, remontant sur ma verge, pour mieux te faire défoncer plus fortement la fois suivante.

Tes descentes viennent plaquer ton sexe sur mes cuisses.

Tes fesses claquent sur mes bourses.

Tes murmures sont inaudibles, entrecoupés de cris et de gémissements.

Je t'encourage.

- Allez petite soumise, vas y... baise toi.

Je vois ta jouissance arriver et loin de faiblir tu redoubles de vigueur.

Une lente plainte et tu doubles ton plaisir en quelques minutes.

Les deux orgasmes s'enchainent.

Tu coules sur moi avant de ralentir ton allure.

Je lâche tes seins maltraités alors que tu t'écroules sur mon torse.

Ta respiration est hachée.

Essoufflée tu me regardes en souriant.

Nos bouches se cherchent et se trouvent.

- j'aime être soumise... comme une... hummm...

Tu fermes les yeux dans un ultime frisson.

- Nettoie-moi. Te lance-je alors.

Mon sexe est tendu vers le ciel.

Tu chasses une mèche folle de cheveux collée à ton front moite de sueur avant de t'agenouiller entre mes cuisses.

- Je t'ai salie Monsieur, je vais nettoyer.

De ta langue tu lapes mes bourses pour en retirer ton jus qui a coulé.

Tu lèches lentement ma queue pour recueillir la moindre parcelle de cyprine que tu as répandue.

Consciencieusement tu passes autour de la hampe et dans chaque repli de mes couilles.

- Lèche mieux que ça.

Tu t'appliques tout en me regardant.

- C'est mieux ? Demandes-tu inquiète ... Avec mon regard de salope...

Encouragée ta langue passe de la base à mon gland pour s'affairer autour du casque pourpre.

Je te laisse œuvrer et me lécher la queue pendant de longues minutes avant de saisir ton visage.

Je me lève.

- Je vais forcer ta bouche.

A ces mots j'enfonce ma queue entre tes lèvres et je m'insère dans tes joues.

- Suce bien. Je vais me vider les couilles.

Mes hanches se déchainent et j'utilise ta bouche comme un orifice dans lequel je me fais plaisir.

Je retire parfois ma verge pour te l'enfoncer au fond du palais telle une nouvelle intrusion.

- Baise-ma bouche de salope... parviens-tu à gémir.

Enivré par ton désir je te force sans ménagement.

Mon pieu se gonfle de plaisir et sans te prévenir les jets poisseux t'envahissent au rythme de mes coups de reins.

Tu déglutis et avales mon foutre alors que je maintiens ton visage entre mes mains.

Ta langue presse mon membre pour en retirer la dernière goutte.

Satisfait je caresse tes cheveux.

- Oui... tu aimes ça.

Tout en reboutonnant mon pantalon tu me souris.

- Monsieur... j'adore ça ! Vous me rendez folle.

 

A suivre...

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[...]

 

Après t'avoir passé autour du cou ton collier et déposé sur tes lèvres délicieusement ourlé de rose un baiser passionné, nous passons l'après-midi sagement.

Quelques emplettes pour un petit haut très échancré où le tissu ne peut camoufler tes deux épaules douces à la fois et qui, lorsque tu te penches vers l'avant, laisse apparaitre très largement ta poitrine généreuse ainsi qu'une robe noire, moulante et qui laisse voir la presque intégralité de ton dos.

Quelques achats destinés à la préparation du diner du soir.

Et nous arrivons devant le magasin de lingerie où je te sens ralentir le pas.

Nous entrons et rapidement je te vois chercher du regard la femme à la caisse, Marie.

Lorsqu'elle nous voit à son tour, ses joues rosissent et elle nous fait un petit sourire avant d'avancer vers nous.

Cela faisait quelques temps que vous ne vous étiez pas rencontrés.

La première fois, tu avais découvert entre ses bras ta première expérience avec une autre femme.

Elle s'avance et nous salue.

Sans rien paraitre elle s'inquiète de notre demande.

- Je voudrais un haut sensuel qui mette sa poitrine en valeur ainsi qu'un bas léger et ample.

Tu la regardes et elle te sourit avant de revenir avec un ensemble particulièrement charmant.

- Vous voulez l'essayer ? Demande t-elle.

- Bien volontiers.

Nous nous dirigeons vers les cabines.

Je te laisse te déshabiller.

Le rideau est entre-ouvert.

Tu nous tournes le dos.

Elle se place à côté de moi alors que le magasin n'est que peu fréquenté.

Une autre cliente dont une autre serveuse s'inquiète et un couple qui flâne sans réelle volonté d'achat visiblement.

Elle ne se prive pas pour te regarder.

Tu dégrafes ton jean et tu le fais glisser au sol.

Il est moulant et tu ne peux faire autrement que te pencher légèrement et te trémousser pour lui faciliter la descente.

- Elle est toujours aussi belle. Me dit-elle.

J'acquiesce et lui signale à quel point ce jean près du corps mets en valeur ton séant.

Elle sourit et me répond par l'affirmative.

Alors que l'épaisse toile découvre tes cuisses tu nous révèles bientôt la nudité de tes fesses.

- Hum... fait-elle d'un air gourmand... j'avais oublié à quel point elle avait un beau cul. Un toujours libre…

Tu te raidis un instant à ces paroles, puis, avec encore plus de lenteur, continue de te dévêtir, encouragée par notre présence.

Le pantalon passe chacune de tes chevilles et nous savourons l'ensemble de tes jambes ainsi que tes fesses nues.

- Un cul formidable.

- Oui... exquis.

Sans la regarder tu ôtes ton pull.

Tes mains cherchent l'agrafe du soutien-gorge.

- Jolie croupe et belle cambrure, tu ne trouves pas ?

Dans ses yeux je vois que le désir est enflammé.

- Oui, répond-elle simplement presque dans un murmure.

Je poursuis de détailler ton corps.

- Elle a des hanches auxquelles il fait bon s'agripper pour pouvoir profiter de sa fougue.

Tu libère tes seins et tu te tournes lentement vers nous.

Nue.

D'une main tu tentes vainement de cacher tes seins, alors que de l'autre tu as placé tes doigts devant ton entre cuisse.

Elle te tend les deux pièces de tissu et t'oblige à lui montrer tes deux tétons dressés.

- Une sacré paire de seins comme je les aime, me glisse t’elle à l'oreille comme une cliente gagne la cabine voisine.

- Et elle est excitée... visiblement.

- Elle pointe, je vois cela...

- Elle aime se faire regarder.

Tu te tournes afin d'enfiler la culotte et tu nous offres une vue imprenable sur ton fessier qui, lorsqu'il se penche, nous révèle l'orée de ton sexe.

Le tissu vient flotter sur tes fesses.

Nous pouvons voir tes seins se relever alors que tu passes le haut, un bustier aux fines bretelles.

Nous poursuivons notre discussion sans nous soucier de ta présence.

Nous commentons tour à tour la rondeur délicieuse de tes fesses, la grosseur admirable de tes seins et les courbes excitantes de ton corps, de tes épaules, de tes cuisses...

Lorsque tu te tournes nous restons tous deux muets devant cet ensemble qui embelli, s'il est encore plus possible, ton corps.

Le tissu est transparent, ocre, il est finement brodé de motifs plus sombres qui ombrent et donnent à ta silhouette une allure sensuelle dont émane un érotisme troublant.

- Peux-tu sortir un instant s'il te plait, te demande-je, afin d'observer cet ensemble avec plus de recul ?

Tu avances vers nous et sors de la cabine.

Du regard tu cherches d'éventuels observateurs indiscrets.

Il est vrai que ta tenue est des plus affriolante et elle n'échappe pas à l'homme qui attend sa femme.

Les regards qu'il coule à la sauvette en ta direction sont sans ambigüité, il te trouve désirable.

Marie réajuste le tissu.

La bretelle droite un peu trop haute...

La gauche un peu roulée...

Avec le dos de sa main elle caresse ton téton qui darde au travers du tissu.

- Ce haut n'est-il pas un peu trop petit ? Dis-je.

Elle pose sa main sur le haut de ton sein droit et le saisit avec délicatesse comme pour en comprendre toute la lourdeur.

- Ses gros seins lui permettent ce genre de top, vante t-elle, commerçante... ça les met en valeur.

De son autre main elle a désormais pris possession de toute ta poitrine.

- Il lui va très bien. Achève t-elle en pétrissant et en faisant rouler tes tétons sous ses pouces agiles pendant quelques secondes.

Tes yeux dans les siens je te vois rougir légèrement alors que tu commences à respirer plus profondément et soulever ta poitrine prisonnière.

Tendues, tes mamelles laissent flotter la délicate étoffe à quelques distances de ton ventre, révélant ton nombril délicatement creusé.

J'ai envie d'aller y placer ma langue avant de descendre encore plus vers ton jardin intime.

L'excitation croît en moi comme elle le fait chez Marie à cette pointe cassée que j'entends dans sa voix.

- Tournez-vous.

Son ton est professionnel. Tes seins quittent ses mains.

Tu nous tournes le dos.

La peau visible entre les deux étoffes est affolante de sensualité.

Elle s'agenouille afin de saisir entre le pouce et l'index le tissu qui repose avec grâce sur tes fesses.

Ses autres doigts frôlent ta peau.

Elle s'applique à remettre d'aplomb une culotte qui n'en a pas besoin, prétexte pour caresser tes fesses devant moi.

- Penchez-vous.

Tu obéis.

Le tissu remonte sur la blancheur de tes globes et l'entrejambe vient se plaquer à ton sexe.

Elle a un point de vue sur l'ensemble de ta féminité qui m'est également nettement visible.

Avec délicatesse elle se saisit du tissu et s'affaire à le replacer pour qu'il ne vienne pas dans ta fente.

Elle glisse ses doigts sur tes lèvres.

Par trois fois du bout des doigts elle caresse ton sexe humide.

Remontant de ton anus vers l'avant elle joue de ses doigts, loin, vers ton clitoris.

A la quatrième fois, elle prend son temps avant de lâcher la culotte et te libérer de ses caresses.

Tu te redresses les joues rosies par ce plaisir impoli que tu viens de prendre devant nous.

- On va le prendre alors, il lui va très bien.

L'homme qui t'observe un peu plus loin cache difficilement son érection alors que sa femme ressort de sa cabine, la mine boudeuse.

Tu réintègres l'alcôve pour te rhabiller.

- Elle te fait toujours envie ? Lui demande-je soudain.

- Oui. Comment ne pourrais-je pas avoir envie d'elle ?!

Avec lenteur tu te débarrasses de ces vêtements.

Ta culotte semble légèrement avoir collée, ce début de plaisir te fait suinter.

- Tu voudrais que je te la prête ? La question arrive alors que ni l'une ni l'autre ne s'y attendait.

Tu te figes à cette évocation, ramenée à ta condition de soumise par cette simple évocation.

Elle te scrute alors que tu nous fais voir ton corps dans son absolue nudité.

Nous pouvons voir tes tétons pointer sous le coup de l'excitation de la situation.

L'espace d'un instant me traverse l'esprit que tu prends un plaisir inouï à te laisser dicter ma loi.

Elle me regarde avec un sourire.

- Comment ne pas avoir envie de la gouiner. Répond-elle sans cesser de te dévorer des yeux. Avec un plaisir intense oui, je veux bien.

- Je t'appellerais alors.

Je referme le rideau sur ton visage interdit, afin de te laisser te rhabiller, humide de cette séance d'exhibitionnisme hors du commun.

 

Ce n'est qu'au dehors que tu reprends la parole.

- Vous allez me prêter alors ?

- Oui... cela ne te convient pas ?

Tu as un instant de silence.

- Si mais...

- Mais ?

- Je voudrais que vous veniez.

- Bien sur ! Je veux t'accompagner.

Ton bras se resserre alors autour de moi, dans un élan de tendresse.

- Merci Monsieur.

- J'aime bien te voir avec une autre femme.

- Je ne suis pas contre, avec vous...

Tes yeux sont clairs et je vois que ceci ranime en toi des souvenirs de plaisirs inédits.

- J'ai appréciée ces quelques minutes d'érotisme intense.

- Tu as mouillée, je t'ai vu.

Tu souris et ta tête se penche sur mon épaule.

- Vous bandez Monsieur, cela aussi se voit...

  

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Monsieur & Eve
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