Elle... Il... en duo

Le noeud du foulard de soie noire vient de se serrer autour de mon second poignet.  

Il me semble entendre mon coeur battre la chamade au sein de ma poitrine.

Il lève mon bras et je me retrouve, accrochée à la cheminée, les mains en l'air, liée à un piton de crémaillère.

Dans la petite male au trésor j'ai trouvé la tenue qu'il veut que je porte, et en cet instant je comprends pourquoi. Le top léger, est trop étroit et il moule mes seins généreux de façon à ce qu'il puisse se régaler de me voir pointer de manière indécente.

Mon bas est un simple tanga qui remonte sur mes hanches et, translucide, révèle mon sexe lisse symbole de ma condition.

Mes pieds nus sur le tapis, je suis offerte à son regard et à ses doigts qui descendent sur mes bras, effleurent mes seins jusqu'à mes aréoles roses, bien visibles sous le tissu blanc.

Je soupire de plaisir. mur 

Il est mon Maitre, mon Dom... Mon Alpha.

Tout ceci a commencé il y a des mois. Je suis devenue sa soumise et je le suis chaque jour, en chaque instant, avec une joie sans cesse renouvellée et perpétuelle, intense.

Il n'est pas mon premier maitre, j'en ai déjà eu. Comme je ne suis pas sa première soumise. Mais il a ce "truc" en plus que je ne m'explique pas. Je le sens en moi.

Notre lien est plus fort que bien des pseudos amitiés que j'ai pu avoir. Je le veux. Je suis à lui... éperdument.

J'accepte de lui ce qu'il veut et nos plaisirs atteignent des sommets. Il respecte mes envies, il les sublime, et je lui rends en étant celle qu'il désire.

Nos regards se fondent... ses yeux bleus... les miens sombres... sa bouche m'hypnotise... la mienne l'accueille.

Ses doigts, ses caresses, ses fessées me font l'effet de sillons de chaleur orgasmiques à chaque fois qu'il me touche.

Ses mots me touchent au coeur, à l'âme.

Il me rend obéissante.

Il parvient à apaiser ma soif de sexe.

Il a su me dompter et me rendre dingue de lui.

Je m'appelle Marie, je suis la soumise de mon Alpha. Voici ce que j'accepte de lui.

 

A suivre...

 

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Il avait en tête cet appartement vu en photos, afin de pouvoir se poser dans le centre ville, non loin de son travail. allianceerotique

Ce serait pour un temps seulement mais il voulait quelque chose de confortable. Simple, au calme mais avec un balcon et deux chambres... voir trois.

Après tout, il était tout seul et il pouvait se le permettre alors, pourquoi se priver d'un peu de luxe.

La sonnette résonnait encore, il ajusta sa chemise pour donner une bonne impression. Geste presque machinal.

La surprise le fit rester silencieux lorsqu'une femme avenante lui ouvrit la porte.

 

Elle attendait le visiteur et tira sur un rideau pour le remettre bien en place.

Le meublé qu'elle louait lui permettait d'arrondir ses fins de mois et de s'offrir quelques petits plaisirs, elle veillait donc à ce qu'il soit agréable pour que le futur locataire puisse en avoir envie.

Celui qui se présentait avait toutes les garanties financières mais elle aimait rencontrer les gens "en vrai" avant de se décider à signer.

Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle eu un léger sourire, instinctivement elle savait que cela allait fonctionner. Il lui plaisait.

 

Elle le détailla, et lui sourit, sourire qu'il lui rendit.

Leurs mains se serrerent et ils firent durer ce geste de complicité, un peu plus que de nécessité.

L'un comme l'autre appréciait le contact de ces doigts et la chaleur douce qui passait entre eux.

D'un geste elle l'invita à s'installer dans un fauteuil de la pièce principale qu'il trouva ressembler parfaitement aux images qu'il avait pu recevoir.

Son dossier était sur la table basse. Il baissa la tête et son regard se posa sur les genoux de la propriétaire.

Elle portait une jupe bleue nuit, un chemisier blanc qui laissait imaginer une poitrine voluptueuse.

Sa chevelure brune lui tombait, librement sur les épaules, ondulante.

Elle remarqua son regard brun qui passait sur elle et ne put s'empécher d'avoir une inspiration plus forte qui lui fit bomber le torse.

Son jean noir, allait très bien avec sa ceinture en cuir, se dit-elle avant de s'attarder sur la chemise qui mettait en valeur son torse d'homme.

"Voulez-vous un café ? lui demanda t-elle en se levant lentement. Car je vais m'en faire couler un."

"Avec joie oui, merci".

De dos, se dirigeant vers la cuisine, elle sentait son regard contempler son séant qu'elle fit dandiner doucement.

Sur ses escarpins, il admirait le déhanchement léger qu'elle prenait. Cette femme savait qu'elle plaisait et savait s'en servir.

Loin d'en être insensible il sentit son vit s'animer dans son boxer.

 

Le bruit du percolateur masquait les battements de son coeur qui s'était accéléré dès que cet homme était entré chez elle. C'était physique... il était à son gout...

Son pied gauche vint se placer derrière le droit, sans s'en rendre vraiment compte elle se cambra et offrit sa croupe au regard de son futur locataire.

"Mignon... et quel regard... il me fait de l'effet le bougre" pensa t-elle en s'emparant des tasses pour revenir dans la pièce baignée de lumière douce.

Incapable de se détourner des jambes serrées et croisées qu'il admirait avec un intérêt fort, il lorgnait toujours sur les bas coutures lorsqu'elle se pencha devant lui pour déposer la tasse...

Et révéler la vallée de sa poitrine à moins de 30 cm de lui.

De la dentelle emprisonnait les deux globes pleins et générux qu'il appercevait sous le chemisier blanc. Sous ses apparences BCBG, elle exacerbait ses envies de mâle.

 

Ils burent leur café en silence avant d'entamer la visite du reste de l'appartement. Les regards se croisaient, les sourires se cachaient derrière la porcelaine et la vapeur chaude des breuvages qu'ils dégustaient en faisant durer le temps, ce moment incroyablement doux qu'est la découverte.

La première pièce visitée, ils passèrent à la salle de bain.

Dans le couloir, elle s'arrêta brusquement.

Il mit un peu trop de temps, volontairement, à s'arrêter et sa main vint se poser sur la croupe de la femme qui se baissa alors doucement pour récupérer quelque chose au sol.

"Ho... désolé" fit-il en prenant son temps pour caresser le tissu et sentir l'absence le haut du triangle du string qui se dessinait sous la jupe.

"C'est moi, j'aurais du vous prévenir" minauda t-elle en se redressant lentement, soudainement en feu par le simple contact de cet homme sur son postérieur.

Elle aurait voulu qu'il poursuive sa caresse mais il ôta sa main.

"La salle de bain" fit -elle en lui laissant le passage.

Il passa si près d'elle qu'il sentit sa poitrine frotter contre lui.

Un sourire vers elle, ses yeux bleus étaient scintillants, semblables à deux étoiles au centre de sa chevelure sombre.

"Une douche à l'italienne, et de grande taille, j'aime bien. C'est pratique pour se doucher à deux." Fit-il en feignant de l'ignorer.

Cette femme avait un puissant effet sur on sexe qui devait difficile à cacher, tant la tension le rendait visible dans son jean.

"Je dois cependant vous prévenir, le lavabo à ... une fuite".

Elle respirait son parfum de musc. Il était si proche qu'elle avait envie qu'il la prenne soudainement contre le chambranle de la porte. L'idée s'imposait en elle... cet homme lui donnait chaud, très très chaud.

"Je peux regarder ?"

"Je vous en prie... bien sur."

Il s'allongea sur le dos pour regarder le dessous des tuyaux en question.

De là il avait un point de vue incomparable sur les cuisses de la femme qui venait de faire un pas en avant, s'était approchée de la vasque.

Elle le regardait par au dessus et ne pouvait détacher ses yeux de la bosse terriblement attirante qui gonflait par acoups dans le pantalon.

"Cela me semble mouillé en effet" lâcha t-il en sous -entendu.

"Ha oui ? Vous trouvez que c'est trempé vous aussi ?" soupira t'elle en posant ses mains sur le rebord de la tablette, son pied droit s'écartant du gauche.

Elle ouvrait ses cuisses au-dessus de l'homme qui plongea son regard sur le string noir qu'il devinait ruisselant, sur les bas qui étaient accrochés par un porte-jarretelles tout aussi dentelé et ténébreux.

Il osa poser sa main sur l'intérieur de la cuisse.

Elle faillit flancher, ses jambes lui parurent molles.

Sous la pulpe de ses doigts crissait le nylon des bas jusqu'à ce qu'il passe l'ourlet et vienne caresser la peau, souple, douce et terriblement chaude.

Se modrant la lèvre inférieure pour résister à l'envie de gémir, la main inconnue passa sur son entrejambe masqué par son dessous.

"C'est trempé oui" lui sourit-il en faisant de lentes caresses sur le string... sur les rebords de ce sexe qui lui était offert.

"Hooo... et... vous ... pouvez y faire quelque chose s'il vous plait ?" parvint-elle à murmurer en écartant ses jambes un peu plus.

Sans un mot il se redressa.

Ses mains passèrent sous la jupe et il crocheta le dessous afin de le faire rouler sur lui-même, de le faire tomber au sol dans un bruit mou et... liquide.

Il était assit devant elle, son visage disparu sous la jupe.

Elle sentait son souffle qui venait de se poser sur son sexe. Elle lâcha un gémissement lorsqu'elle ressenti la langue masculine se poser sur elle. Elle se cambra doucement pour lui offrir son bas ventre. 

Il lappait délicatement l'abricot entreouvert, délicatement entretenu en une petite touffe rase et brune tout en haut de la fente.

Sa langue se fit plus curieuse et s'enfonça entre les deux nymphes serrées.

Ses doigts vinrent se  placer de part et d'autre de la fente, l'écartèrent.

Elle poussa un petit gémissement de surprise avant de soupirer car il la lappait avec expertise.

La langue parfois étroite mimait un coït, le visage frottait contre la peau lisse de l'intérieur si haut des cuisses.

Quant à d'autres moments elle se faisait large et enveloppante, jusqu'à appuyer sur le clitoris en fusion gorgé de sang.

Elle se dandinait, incapable de résister à la force de ce cunilingus envoutant.

Ses mains crispées sur le rebord jusqu'à en devenir blanche, elle résistait à ne pas hurler et lui demander de continuer encore et encore jusqu'à la faire jouir debout.

Il la dévorait avec frénésie, sa langue touillait dans la vulve écartelée. Il aspirait la mouille qui inondait son vagin.

Il recula légèrement le visage puis ôta ses doigts d'en elle.

Elle le regardait, perdue, éperdue. Le plaisir avait surpasser la honte.

Elle en voulait plus...

 "Ne reste -til pas d'autres pièces à visiter ?" demanda t-il en pinçant ses lèvres pour recuillir la cyrpine qu'il avait encore sur la bouche.

Elle lui sourit et, avec un dernier regard sur son string au sol, elle l'invita à venir découvrir la suite de l'appartement.

Il observait ses hanches qui se balançaient devant lui jusqu'à la cuisine.

"Ici pour manger, c'est idéal. Et je laisse le congélateur... ainsi vous pourrez toujours offrir des glaces, c'est important d'en avoir sous la main quand on en a envie".

Elle se mordait la lèvre inférieure en le regardant.

"Vous aimez les glaces donc." Fit-il en s'adossant à la table.

"J'adore"... murmura t-elle en s'agenouillant doucement devant son futur locataire.

Elle dégraffa avec aisance la braguette et passa sa main à l'intérieur du pantalon. Elle palpait le manche épais qui l'attirait depuis tout à l'heure comme un aimant. Il était à son gout, large et raide. 

Il posa une main sur les cheveux de sa propriétaire et effleura les mèches brunes qui cascadaient sur ses joues.

Instinctivement il sut qu'elle allait aimer lorsque ses doigts agrippèrent sa chevelure.

Elle poussa un gémissement d'excitation lorsqu'elle sentit ce mâle devenir fort et fit s'extraire la verge gonflée devant elle.

Le manche dodelinait, épais, de belle stature... elle se sentit devenir vorace mais réprima son envie de l'engloutir d'un seul trait pour lécher lentement l'embase vers le haut du gland.

Le bout de sa langue glissait tout du long de l'épaisse tige, elle s'attardait sur le frain à chaque passage, déposait un baiser sur le gland avant de redescendre encore... remonter... et embrasser de nouveau le bout pourpre.

Il n'était qu'excitation. Cette femme réussissait à le faire bander comme un âne. Sous ses succions il avait le bassin qui allait d'avant en arrière, lancinant et enflammant.

Lorsqu'elle leva les yeux vers lui, il admira avec quelle extrème lenteur elle faisait de sa bouche un réceptacle chaleureux et enveloppant pour gober le casque turgsecent de sa verge.

Lentement, sans détourner son regard du sien, elle faisait progresser le manche raide et large dans sa bouche, malgré l'effort qu'elle devait faire pour l'englober entièrement. 

Il appuya doucement pour l'aider à s'enfoncer les derniers centimètres jusqu'à fond de gorge.

Ses yeux se révulsèrent légèrement lorsqu'elle senti le gland cogner au fond de sa bouche.

La bouche se fit plus gourmande et les mouvements de succions plus amples.

Le visage de la femme commença à aller et venir, incliné sur la droite quand il enfournait la verge, sur la gauche lorsqu'il refluait et laissait apparaitre un sexe couvert de salive.

La lumière faisait refléter le pic masculin, presque à l'horizontale. Les sons de la fellation vorace résonnaient dans la cuisine.

"Tu es goulue... un vrai délice de t'avoir à manger" commenta t-il, osé, en lui relevant un mèche de cheveux pour mieux la voir le sucer.

Elle fit sortir le sexe d'entre ses lèvres, passa sa langue sur le méat avant de se redresser.

"Oui... j'adore ça. Mais venez, il reste la chambre encore à visiter".

Elle caressa la tige jusqu'à son embase, flatta les boules pleines et velues tout en se relevant, son rouge à lèvre avait disparu sous la fellation qu'elle venait de lui pratiquer.

Il la suivi, sa verge dodelinait devant lui comme un sabre au clair, près à la pourfendre.

Elle poussa la porte de la chambre, tourna son visage vers lui, et, dans un sourire, vint de placer sur le lit.

"Je laisse le lit aussi. Si vous avez une compagne..."

Elle posa ses deux mains sur le lit, puis un genou, le second, offrant sa croupe à la portée de cet homme.

Il admirait les bas, les cuisses qu'elle ouvrait pour lui.

D'un geste précis il remonta la jupe de sa propriétaire.

Ainsi retroussée, son séant offert, elle poussa un gémissement et se cambra comme un appel à la saillie.

"Je n'ai pas de compagne... mais qui sait..."

Elle posa sa main gauche sur sa fesse et écarta légèrement le sillon de sa raie culière.

Ses doigts crispées sur son globe pâle faisaient ressortir la luxure de sa posture.

"Je suis mariée..." lui indiqua-t'elle dans un sourire en le regardant.

L'alliance à son doigt brillait, écrin au milieu de la soie de son séant.

Pour unique réponse il posa son gland sur la fente luisante et la força d'un coup de reins.

Elle poussa un petit cri avant de faire onduler son bassin et de venir à la rencontre du pieu qui la labourait à chaque fois un peu plus profondément.

Il la maintenait par les hanches, son sexe noueux et gorgé d'envies, allait et venait entre les nymphes de la belle propriétaire.

Elle feulait à chaque assaut qui la transportait de plaisirs.

Lorsqu'il dégraffa son soutien-gorge, elle soupira de contentement... sa poitrine était douloureuse d'être enfermée.

Il passa ses mains sous le tissu à la recherche des obus dont les pointes ne cessaient pas d'être érigées telles des mines de crayon.

Son visage de femme se redresse pour mieux tendre son corps comme un arc. Il lui pressait les seins et elle adorait cela.

Quand il tira, pinça ses tétines durcies, elle s'emmancha d'un coup sur la verge de son amant, incapable de résister à l'extrème sensibilité qui était la sienne lorsque des mains d'homme, de mâle, la malmenaient de la sorte.

Il la besognait sans discontinuer, faisant entrer et sortir presque entièrement son vit dans le con trempé de sa maitresse.

Elle s'écroula sur le lit, visage contre le matelas.

Le rythme se fit plus lent, il voulait profiter du moment, et lui en faire profiter également.

Son sexe était presque à angle droit, il jouait de son bout sur l'orée de la fente béante.

"Je passerai prendre le paiement tous les mois, je pense", lui dit-elle en le regardant avec un air coquin et mutin.

"Ce sera avec plaisir" rétorqua t-il en caressant la croupe offerte dans laquelle son sexe était enfoncé.

"Et puis, si vous etes un locataire sérieux, je pourrais même vous offrir la petite cave..."

Sa seconde main féminine vint se poser sur ses fesses et elle s'écarta largement afin qu'il puisse admirer son plus petit orifice.

Il y posa son index afin de la flatter, arrachant à la femme un gémissement qu'elle réprima à regret.

"Je n'aurais aucun retard et vous pourrez passer vérifier mon sérieux, à tout moment" lui murmura t-il en effleurant les plis sombres de sa rosette.

D'un geste souple et coulé, elle retira ses mains et se remit en position, agitant son bas ventre sur la verge tendue.

Elle prenait les rènes pour se faire plaisir, s'enfonçant et se dandinant autour du pal raide.

"Pour le moment... achève la visite de l'appartement... dépèche-toi".

Le tutoiement qu'elle venait d'employer était imprévu et il déclencha dans son locataire et dans ses reins, une frénésie sexuelle.

Il la bombardait de coups de sexe auxquels elle répondait par une cambrure indécente.

Le manche venait cogner en elle, les bourses de son locataire lui caressaient les lèvres, outragées, à chaque saillie qu'elle adorait prendre.

Il la possédait, ses mains agrippées à ses épaules pour mieux la forcer sans plus aucune retenue.

Leurs deux corps étaient transpirants...

Leurs esprits fièvreux...

Elle poussa un cri... l'orgasme venait... irrésolu... fulgurant...

Il ouvrit la bouche en un râle muet... et sentit son sexe gonfler....

Leurs jouissances furent simultanées.

Leurs corps devinrent électriques, hyper sensibles et perdus dans les limbes du plaisir.

Leurs jouissances s'unirent.

Il se répandait en elle comme elle dégoulinait en abondance.

 

Elle fit redescendre sa jupe sur ses cuisses et l'ajusta rapidement. Ses joues étaient toujours rouges de l'extatique bonheur dont elle venait d'être remplit.

Il boutonnait son pantalon et redevenait un homme à l'allure paisible.

En quelques minutes et sans un mot ils avaient signé les contrats de bail.

Leurs regards se croisèrent... encore... et il se sourirent mutuellement.

"Vous pouvez emménager dès que vous voulez. Et vous avez mon numéro si vous voulez quoi que ce soit".

"Vous pourrez venir à tout moment, vous ètes chez vous".

Leurs doigts se touchèrent et, dans un dernier baiser, ils prirent congé l'un de l'autre.

Lorsque la porte se ferma, ils n'avait qu'une idée en tête...

 

A suivre ?

 

 

 

 

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]sodomie

Ses caresses sur moi m'éveillent.
Avec délicatesse, ses mains flattent mon corps.
Mes épaules, mon dos, faisant naitre des frissons sur mes bras et dans le creux de mes reins.
La sensation chaude et apaisante de ses paumes qui effleurent mes courbes sous le drap. Je m'étire un peu pour profiter de ce traitement délicieux.
Ses doigts effleurent ma nuque. Ils sont bientôt suivis de sa bouche qui me dépose un léger baiser dans le cou.
Il remonte ses doigts sous mes cheveux blonds.
Il respire, hume, mon parfum de femme encore endormie.
Un nouveau baiser me fait ronronner. Il sait que mon cou est sensible et me rend féline.
Dos à lui, je sens sa main se poser sur mes hanches. Flatter mes cuisses.
Je pousse ma croupe, un peu indécente.
Son baiser dans le cou m'a émoustillée.
Sa main se fait coupe et palpe mes fesses. Cet homme me donne chaud.
Je sens son bas ventre contre mes reins, sa verge... ho... déjà si dure et si large. Ce gros sexe que je sens et contre lequel je me plaque. Si différent de celui... de mon mari.
Mes joues ne rosissent que légèrement à ce souvenir malgré le fait que je sois dans mon lit, avec un autre homme que mon époux.
Je l'entends d'ailleurs.
Ce dernier est sous la douche car il travaille tôt.
L'eau dans la salle de bain, coule... comme mon sexe depuis que mon amant s'est plaqué à moi.
"Bonjour ma petite geisha" me murmure t-il doucement.
"Bonjour... coquin" fais-je sans même y penser.
Ses doigts glissent sur ma poitrine, effleurent les pointes de mes seins qui réagissent immédiatement. Tendues, il les caresse et mes bouts deviennent si durs que je me cambre pour venir moi même me frotter sur sa main de velours.
"Moi un coquin ? Alors toi... Tu es une sacrée coquine... une adorable cochonne..."
Je rougis, incapable de retenir le balancement et l'agitation de mon corps. Un soupir de contentement s'échappe de ma bouche entrouverte.
Je me laisse aller à ses caresses matinales. J'en apprécie la douceur et le fait qu'il s'impose à moi sans me demander si j'en ai envie... Et de lui... j'ai envie tout le temps.
Il me soulève lentement et vient m'allonger sur lui.
J'ai le dos sur son torse, mes fesses sur son bas ventre, ma tête sur son épaule.
Si fragile, sur cet homme qui me semble un roc massif.
Mes cuisses s'ouvrent de part et d'autre de ses jambes, exposant ma féminité au ciel.
Mon ventre et ma poitrine se soulèvent vers le plafond au rythme de mes respirations de plus en plus prononcées.
Mes petites mains se posent sur ses avant bras, musclés, qui se prolongent par des mains qui savent se faire sévères ou être si douces que j'en fonds. Elles suivent ses mouvements sur moi. Il explore mon corps, la vallée de mes petits seins, le velours de mon ventre qui se tortille, le haut de mon pubis qui me fait souffler et respirer plus fort.
Son sexe est dur, calé dans le bas de mon dos.
Le mien est entrouvert, palpitant.
"Caresse-toi ma petite poupée". Son murmure est un ordre.
J'obéis.
Ma main vient passer sur ma fente. Si fine avant de le connaitre, il me semble qu'elle est désormais plus ouverte, que mes grandes nymphes sont plus molles depuis qu'il... m'utilise à loisir... que je me donne sans compter.
Je me flatte, allongée sur lui. Encore incapable de réaliser cette posture obscène il y a seulement quelques mois, désormais j'en ai envie... c'est ma source de plaisir.
Mes renflements sont humides. Du bout des doigts je passe dans la fissure trempée. Je cherche mon bourgeon... un soupir... il est gorgé de sang et d'envies. La caresse est si douce, je la voudrais plus forte mais je me retiens pour prolonger ces moments indécents.
J'entre mon index lentement dans ma motte qui me semble dégoulinante. Je me fais du bien, enfonçant mon doigt en moi, titillant ma perle ultra sensible, écartant mes petites lèvres pour venir me solliciter de façon profonde.
Mon bassin se tortille sous ma masturbation.
Il appuie sur les pointes de mes seins, presse mes tétines durcies contre ses doigts.
La douleur est là... nimbée de plaisirs ennivrant...
Il étire mes aréole et allonge mes tétons puis malaxe mes seins avant de recommencer... faire rouler mes bouts, les presser...
Je râle, ma main accélère ma masturbation.
"Tu sais que je préfère pourtant les grosses mamelles... les gros culs... mais toi... ma petite poupée... je ne peux plus me passer de toi".
Son langage cru à mon égard et cette comparaison qu'il fait de moi... ce compliment cru me fait tourner la tête.
Ma respiration s'accélère.
Je rentre mon doigt loin en moi.
Il me soulève doucement pour ôter son sexe, pris en sandwich entre mon dos et son ventre.
Il le place à 90°... un angle droit qui le fait venir s'appuyer sur mon abricot ouvert.
Je me caresse.
Mes doigts frottent le bout lisse au méat fin, son gland rond et large.
J'appuie mes grandes lèvres contre la barre de chair.
De deux doigts j'ouvre légèrement mon sexe pour venir me plaquer à cette grosse verge qui me rend dingue d'envies toutes plus perverses les unes que les autres.
Je me frotte comme un ver lubrique.
Soufflant mes envies par petits gémissements incessants.
D'un mouvement de la main sur ma nuque et sur mes reins il me place assise sur lui.
De dos il doit pouvoir voir mes fesses, mes cuisses ouvertes.
Je suis agenouillée sur le lit, son bas ventre entre mes jambes.
Ma main glisse sur son sexe.
Hooo... il est... énorme et d'une raideur qui me fait peur.
Je me redresse pour le placer sur ma fente.
Sa verge est un pieu sur lequel je vais m'empaler.
Sans même qu'il me l'ai demandé, je sais ce qu'il aime, ce qu'il veut que je sois.
Lorsque je me pose sur le large gland, je réprime une grimace tant j'appréhende l'introduction de ce volumineux engin. Cependant, je suis tellement trempée, qu'il s'enfonce en moi presque sans effort.
J'ondule, je danse sur son bas ventre.
Sa verge progresse, plus profond en moi à chaque fois que je glisse autour de cette chose énorme qui m'arrache des petits cris presque continus.
Mon bassin va de droite à gauche, obscène pour lui qui peux m'admirer à loisir.
Dans les miroirs du placard je me découvre, haletante, cambrée, affamée de sexe.
Hypnotisée par mon image j'ondule plus encore pour accentuer ma position lubrique. Je geins. Impudique. Je veux le rendre fier, fou, autant que je me révèle dans mon côté le plus cochon.
Il caresse mon séant, son regard ne semble pas le quitter jusqu'à ce qu'il lève ses yeux azur et croise le mien.
Mes joues s'empourprent.
Je ne cesse pas mes ondulations sensuelles.
Au bord de la jouissance, celle-ci ne semble pas vouloir me ravager.
Il me laisse faire, venir, m'enfoncer sa verge dans mon vagin...
Je m'agite, je m'offre sans compter sans que l'orgasme ne me terrasse.
Et je comprends.
L'odieuse vérité.
J'ai besoin d'être soumise pour atteindre ces sommets qu'il m'a fait découvrir.
Je ralentis alors et je vois son sourire de conquérant.
"Mon... maitre... " murmure-je... "je suis toute à vous".
Que j'ai honte de me sentir si bien !
Il me redresse.
La perte de son membre viril en moi me laisse un gout de néant.
"Non..." ose-je lancer sans m'en rendre compte.
Mais il est déjà debout et moi... je m'allonge sur le lit pour venir lécher son sexe trempé de mon suc.
Je lape le bout pourpre, turgescent.
De ma langue je m'enrouler autour du manche et aspire mon miel.
Ma bouche se fait ronde, s'ouvre, je le prends entre mes lèvres.
Sa grosseur me fait plisser les lèvres, m'étire les joues.
Je le suce... comme il aime... en levant mes yeux vers lui... lentement... à pleine bouche... jouant de ma langue pour caresser sa veine large.
Je le pompe goulument.
Il appuie sur ma nuque, rentre son membre au fond de ma gorge, appuie sur mon muscle pour le fourrer si loin que je manque d'air et que je suis obligée de respirer par le nez, comme une forge.
Il baise ma bouche...
Son sexe pousse mes joues, force mes lèvres, frotte contre ma langue... un délice...
J'aspire, son gout est unique, délicat, musqué.
Sa texture est un velours d'acier.
Il reflue et je reste bouche ouverte encore demandeuse de son sexe, un filet de salive s'écoule sur mon menton pour finir sa course sur mes seins dardés.
Il tire sur mes cheveux pour redresser mon visage.
"Qu'est ce que tu suces bien ma petite cochonne. Tu le sais ?".
Je lui souris timidement. Son compliment me fait rougir.
"Mais j'ai envie d'autre chose."
Je me sens perdue... et je lui appartiens... il le sent, il le sait.
"Montre moi que tu es à moi".
Je baisse la tête, ferme les yeux et je me tourne.
Je remonte mon bassin, face à lui.
Mon visage sur le bord du lit.
J'ouvre mes cuisses.
Mes mains viennent se poser sur mes globes fessiers.
Il me regarde faire, je le vois savourer son plaisir à l'avance.
Jamais je n'aurais pensé qu'un jour... je me mettrais dans une position si honteuse.
Offerte...
Dépravée...
Le compas de mes cuisses grand ouvert.
Avant de le rencontrer, je n'aurais jamais accepté de m'offrir... par là.
Et depuis lui, depuis qu'il est devenu mon maitre... j'en ai envie, j'en éprouve du plaisir, un plaisir sans nom... tellement intense qu'il me semble surnaturel.
Mes doigts se placent sur ma raie culière.
Mon petit fessier tendu vers lui.
Je m'écarte pour lui offrir ma rosette brune.
En même temps que je m'ouvre, mon sexe dégouline, une première vague de jouissance déferle sur moi.
Il prend son temps.
Il sait que je ne vais pas bouger, en attente de ses demandes, de ses ordres.
Je me mords la lèvre inférieure.
Mon anneau palpite... bien malgré moi je dois reconnaitre que j'attends son intromiscion.
Au lieu de cela il choisit... de m'humilier encore plus.
"Doigte toi."
Deux mots.
Je sens ma gorge se serrer.
J'hésite.
Mon index, déjà souillé de cyprine, se rapproche de l'œil bistre.
Je l'effleure, je m'effleure.
Il ne m'avais encore jamais demandé une action si vile.
Mon petit trou est chaud et pris de petites secousses qui le font s'entrouvrir.
J'en découvre la texture plissée.
"Caresse-toi le cul".
Hooo... ces mots osés !
J'accède à sa requête, je me caresse, obéissante.
Sous mes effleurements mon petit orifice s'ouvre, s'assouplit.
Je gémis... incrédule de prendre autant de plaisir à cette pratique odieuse.
"Allez, doigte -toi".
L'ordre me claque les oreilles.
J'enfonce mon doigt dans la partie la plus intime de mon anatomie.
Pour la première fois je me... mets un doigt... dans les reins.
Mes yeux s'ouvrent en grand.
Je pousse un petit cri.
La deuxième vague de ma jouissance monte, enfle, inonde mon vagin.
"Tu veux ma queue ?"
Ce langage cru ! Si différent de Marc... mon mari si loin... qui s'éloigne... dont la douche s'est tue.
"Oui... Monsieur..."
"Demande-le".
Je me mords la lèvre.
Il y a quelques temps les larmes me seraient montées aux yeux.
Si je rougis encore, et je rougirais toujours car c'est dans ma nature, je n'ai plas envie de faire couler une larme, je sais au contraire le bien que je vais ressentir et combien j'apprécie cette position indécente... ma position de soumise.
"Prenez-moi les reins. Enculez-moi... s'il vous plait".
Ma supplique résonne dans mon esprit.
Oui, c'est bien moi.
Et Marc, qui doit s'habiller... va m'entendre...
Et son gland se pose sur mon anneau ouvert.
Les aspérités qui couronnent son gland me frottent les parois intimes.
Je crie alors que sa grosse tige s'enfonce entre mes fesses.
Mon mari a du entendre. Il sait ce que me fait mon maitre. Il comprend que je suis à lui comme je ne serais jamais avec mon époux.
Son pieu de chair me laboure.
Etroite, je subis les pressions intérieures qui m'écartent l'anus et me donnent l'impression d'être ouverte en deux.
Ses mains posées sur mes hanches il me ramone sans discontinuer.
Les déferlantes de jouissance s'enchainent.
Mes doigts crispées sur le bord du lit, agrippés au drap.
Je mords un bourrelet de tissu pour étouffer mes cris d'orgasme.
Son sexe puissant me déflore le plus intime orifice.
Et je me cambre pour l'accueillir plus loin, comme une vestale lubrique.
Il est Pan, je suis la nymphe qu'il chevauche à loisir.
Il y a quelques temps j'aurais refusée, mais là je reste offerte, et j'ecarte mes cuisses.
Pour lui.
J'écarte mes fesses.
Pour qu'il me baise et me soumette encore.
Les coups de reins s'enchainent.
Ses coups de butoirs me déchirent.
Mes cris sont rauques et mes soupirs à la hauteur de l'intensité du plaisir que je prends.
Il passe d'un orifice à l'autre.
Je ne sens plus mon bas ventre.
Il prend mes cheveux et me force à me regarder dans le miroir.
Sur les genoux, le cul en l'air, une main pour m'ouvrir à lui. Je suis une femme de petite vertue lorsqu'il me prend à loisir.
Je suis transpirante.
Sa main vient flatter et me donner une fessée.
"Ca, c'est pour le plaisir que tu as pris hier."
La piqure de la claque légère sur ma fesse blanche, me fait l'effet d'un tison.
Il me punit d'avoir pris du plaisir avec tous ces hommes, hier... tous ceux auquel il m'a offert et qui n'ont pas eu le droit à mon puits sombre.
Un seconde fessée sur l'autre rondeur me fait dégouliner de bonheur.
J'aime lorsqu'il est sévère... lorsqu'il me soumet.
Ses coups de sexe, de reins, sont rudes, bestiaux.
Il me domine... et... hoooo.... que j'aime cela.
Un second orgasme, me terrasse.
Et me laboure plus doucement, plus lentement.
Ses mains se font flatteuses, ses caresses plus lentes.
Il me cajole les hanches, le dos.
Je suis liquide.
"Ca, c'est pour le plaisir que tu m'a donné hier".
Il me fourre profondément, son calibre large me défonce avec lenteur, m'arrache un râle animal.
A ce compliment je me sent grandit, honorée... fière de le rendre heureux.
Il me chevauche encore, me faisant gémir, prenant possession de chacun des orifices, à sa guise, sans se hater.
Il sait que je suis à lui et que je ne suis qu'un pantin entre ses liens de sensualité.
Je m'offre totalement.
Je me donne à ses envies, je me livre à mes désirs innavouables.
Mes bas instincts mélés de plaisirs cérébraux ont raison de ma dignité dont je me moque.
Seuls compte la délectation de nos appétits de délices.
Pour lui... pour moi... je jouis... une nouvelle fois... à l'unisson avec lui.
Ses bruits rauques me donnent chauds, ils sont empreints de virilité et de masculinité.
Je sens les jets chauds venir m'inonder l'intérieur.;
Il se retire de mon petit trou et m'arrache un dernier cri... celui du manque terrible...
Je suis essouflée, incapable de bouger, cambrée.
De mon orifice intime, telle une source de sperme, je recrache son foutre gluant qui me ruisselle sur les cuisses jusqu'aux genoux.
Je suis une fontaine de liquide primaire.
Ravie.
Il me caresse les cheveux. Son gros sexe dodeline entre ses jambes, luisant.

 

Il ouvre la porte, mon mari avait du frapper et je ne l'avais pas entendu.
Il pose ses yeux sur moi, nous échangeons un regard.
Je ne fais pas un mouvement pour me cacher et il passe devant moi en baissant les yeux, avant d'aller prendre une cravate et ressortir dans le même mouvement.
Il est mon mari oui, mais mes plaisirs ne lui appartiennent plus.

 

Je souris à mon Maitre qui m'accorde sa main pour m'entrainer sous la douche.
Si sale, souillée, et si heureuse d'être soumise.

 

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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