Elle... Il... en duo

[...]

Lea

Lorsque je sonne à la porte, mon Alphae vient m'ouvrir, le sourire aux lèvres.
Nous allons jouer, elle le sait, même si elle ne connaît pas encore le thème.
Je la salue, elle me renvoie mon bonjour et me demande la raison de ma visite.
Je lui présente une carte où j'ai pris le soin d'indiquer "Police de la Morale"... sans un sourire.
Ses joues rougissent d'un coup.
D'un pas et poussant la porte avec mon épaule, j'entre sans autre forme de procès.
- Madame, nous avons des raisons de croire que vous avez porté atteinte à la bonne morale.
Mon intonation est la plus froide possible mais, lorsque je la regarde, mon corps est enflammé.
Elle porte un chemisier sous lequel se distingue son soutien-gorge en dentelle bleu nuit, un pantalon de jean dont les contours sur les poches formes de belles arabesques entrelacées, de petites chaussettes sur des pantoufles blanches.
Elle bafouille doucement, surprise de mon jeu et de ma façon d'entrer comme en terrain conquis.
- Mais enfin... comment cela ? Vous ne pouvez pas pénétrer chez les gens comme ça...
Je referme la porte derrière moi d'un claquement feutré.
- Je vous prie de bien vouloir répondre à mes questions. Fais-je sans relever sa question.
D'un pas mal assuré elle me suit alors que je m'avance dans la maison et m'installe à une table.
Le claquement du dossier que je pose sur la table de verre la fait sursauter.
D'un doigt, elle remonte ses lunettes sur son nez et, droite à côté de moi, observe alternativement le dossier et l'homme qui joue un rôle qu'elle apprécie.
- Je vous préviens à l'avance, en tant qu'instructeur du dossier et juge, je vous conseille d'avouer le plus rapidement possible.
Mon est sec, elle se raidit et esquisse un sourire.
Avec lenteur je tourne mon regard vers elle, sort une feuille de papier encore illisible de sa place.
- Vous êtes accusée d''immoralité sur la voie publique, exhibitionnisme au premier degré.
Je tourne le document, révélant une impression d'un SMS qu'elle m'a envoyé où elle me dit ne pas avoir tenu, et s'être soulagée derrière un magasin.
Ses belles joues deviennent écarlates.
- Je... Je caressais une chienne... Bafouille t-elle.
Sans un mot je la regarde se dandiner d'un pied sur l'autre, le regard plus brillant.
Dans mes doigts se profile une photo, face cachée.
- N'êtes vous pas allé avec un homme dans un hôtel dernièrement ?
Elle reste muette, ses grands yeux vers moi, incrédule.
- N'avez-vous pas accepté de l'argent contre une relation charnelle ?
- Pour affaires. Cela m'arrive... mais qu'entendez-vous par ... heu... charnelle ?
Sa voix diminue sur la fin de sa phrase.
Je retourne la photo que j'ai prise alors qu'elle était agenouillé devant moi, un billet glissé dans son soutien-gorge.
- Le liftier à l'accueil, assure vous avoir entendu pousser des gémissements. Vous êtes accusée de... prostitution et acte sodomite.
Elle se fige lorsque je retourne une seconde photo ou, la croupe en l'air j'ai capté l'image de son orifice le plus intime, forcé par mon membre viril.
- Je... heu... traite parfois des affaires en liquide oui.
Ses phrases sont lourdes de double sens qui ne font que m'exciter encore plus.
- Et enfin, troisième et dernier chef d'accusation...
Je prends mon temps, la regarde, admire la respiration qui fait remonter ses seins plus haut.
- Je ne comprends pas ce que vous voulez. Me dit-elle rapidement. Je suis une femme tout à fait honorable !
Sans me laisser troubler par son ton qui cherche à devenir ferme, je poursuis.
- Exhibitionnisme.
J'abats une capture d'écran... de ce moment où je l'avais offerte, en caméra, à 3 hommes et une femme dont on voit les profils et les commentaires salaces.
Elle se mord la lèvre, me regarde et je sais qu'à ce moment très précis, son cœur bat plus vite, que son ventre s'enflamme et que son bas ventre s'humidifie à notre jeu érotique.
- Niez-vous ces accusations ?
- Je ne nie pas mais... quel peut être le jugement ?
Son ton faussement inquiet me donne envie de pousser plus loin encore, l'aspect inquisiteur de cet acte entre nous.
- Vous n'avez pas répondu à ma question. Dis-je en me levant. Je vais vous demander de me montrer votre chambre.
Elle s'exécute et je la suis, non sans profiter, à chaque pas, du balancement du sa croupe.
La porte s'entrouvre.
- Voilà vous avez vu, c'est là.
Et elle referme.
J'empêche la porte de claquer en posant ma main bien à plat sur le bois et je pénètre dans la pièce.
- Vous n'avez pas le droit de...
- Si. Je l'ai.
J'ouvre un tiroir... puis un autre...
Je sais où chercher mais je fais durer le plaisir.
Lorsque j'extraie un gode de sous un porte jarretelles, elle me regarde en souriant avant de prendre une moue faussement naïve.
- Et ceci ? C'est bien à vous.
Je m'approche d'elle.
Elle baisse le regard.
- Oui, c'est à moi.
- Avouez-vous donc les 3 accusations ?
- Je risque quelle peine ?
Lentement je tourne autour d'elle.
- En tant qu'enquêteur-juge, et devant l'immoralité dont vous faites preuve, il n'y a qu'une seule issue... le port d'une ceinture de chasteté.
Son visage remonte d'un coup.
Je lis dans son attitude l'hésitation entre le fait que je peux réellement la frustrer de tout plaisir à son bas ventre, et la simple provocation.
- C'est.. ! Non ! Ce n'est pas possible...
- Pourquoi ? Vous avez trop besoin de plaisirs charnels ? Comme cette chienne dont vous parliez ?
Ses joues sont délicieusement rouges, son menton un peu relevé pour me faire front.
Silencieuse, elle ne bronche pas.
- Avouez. Et je peux adoucir la peine.
Elle reste immobile.
- Avouez. Lui murmure-je alors que je passe derrière elle, que ma main effleure sa nuque. Sa peau si douce, si chaude... et son parfum... si envoutant.
- Je... oui... si vous me promettez de revoir votre jugement de façon plus doux, je ne pourrais pas être privée de caresses. S'il vous plait.
Je retourne auprès du dossier, elle me suit.
- S'il vous plait... me dit-elle encore de sa petite voix enjôleuse... délicieuse.
Mon ton se fait alors plus sec.
- Tournez-vous et mains sur le mur.
Après une brève hésitation elle se positionne.
Du bout du pied j'écarte ses jambes et la place en situation d'inconfort.
- Je vais vous fouiller. Si vous n'avouez pas, je dois vous emmener au poste.
Mes mains se posent sur ses épaules, glissent sur sa poitrine et s'attardent sur le point culminant de ses seins dont les pointes sont ostensiblement dressées.
Je déboutonne son chemisier et opère de même avec sa ceinture puis les boutons de son jean que je baisse sur ses cuisses.
Elle murmure un faible "hooo... s'il vous plait... Monsieur...".
Ma main droite glisse dans sa culotte et caresse son sexe lisse.
J'étire le tissu jusqu'à la faire descendre sur le haut de ses cuisses.
De mon autre main je presse chaque sein, dans la dentelle bleue nuit... et les extraie, brutalement, l'un après l'autre.
- Je... n'ai rien... sur moi... Monsieur... Je ne cache rien... vous le voyez bien.
Sa voix est haletante et ses mots s'égrènent au rythme de mes doigts qui massent son clitoris.
Mon doigt entre en elle.
Sa vulve est trempée, son vagin bouillant.
- Je dois fouiller, absolument partout.
Mon index sort d'entre ses nymphes délicates pour s'enfoncer, gluant, dans son petit anneau.
Un gémissement rauque lui échappe.
Je tourne en son intimité, jusqu'à voir son bassin, rapidement, répondre à mes mouvements.
- Vous aimez, c'est net. Alors avouez.
- Hoooo... ouiii... j'avoue...
- D'être... exhibitionniste, obscène...
Elle gémit, je la doigte lentement, tournant et élargissant son œil secret.
- Oui... hummm ouiii je suis une chienne... en chaleur... j'aime me faire prendre par tous les trous... exposée... Haaaa ! Je me caresse... je suce... je suis une vrai petite garce... Hooo...
Je sors alors doucement mon doigt.
Et lui inflige une fessée, assez forte pour claquer et la faire gémir.
- Han ! J'aime aussi être fessée. Geint-elle en tournant son regard vers moi.
Débraillée... ses seins pendant et ses fesses à l'air, elle m'excite follement.
- Appuyez votre visage sur le mur.
Obéissante elle colle sa joue contre la tapisserie ocre.
Je saisis alors chacun de ses poignets et les lie dans son dos, au moyen du porte-jarretelles confisqué dans sa chambre.
Je caresse ses fesses blanches, tendues.
- Joli cul !
Elle souffle, inconfortablement installée.
Puis je la relève et l'aide à s'asseoir telle une prisonnière.
Son bas ventre à même le fauteuil.
Son jean et sa culotte finissent au sol.
Son chemisier repose de façon pitoyable sur ses avants bras, son soutif en travers du ventre, elle affole mes sens.
Le papier devant elle, qu'elle lit à voix basse, relève chaque fait énoncé.
"J'avoue m'être caressée comme une vulgaire cochonne... m'offrir à des regards... aimer me faire sodomiser... être prise comme une pute..."
Ses yeux vers moi, elle avale sa respiration en énonçant l'ultime sentence.
"J'accepte de devenir la catin officielle de mon juge-inquisiteur".
- Comment puis-je signer ?
Je lui rends son sourire, complice, de connivence.
- Cette peine commuée, vous plait plus, j'en suis certain.
- Oui... et je saurais vous remercier comme il se doit dans ce rôle.
Je lui glisse un crayon dans la bouche et elle se penche pour signer maladroitement d'un large X au sens éminemment sensuel.

Son sourire est éloquent.
Celui que je lui renvoie en est l'écho.
Dans la soirée qui couvre doucement de son voile d'obscurité, nos peaux qui se touchent, nos gémissements sont un hymne à la vie et au plaisir jusque tard... ou tôt.

A suivre.

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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[...]sdm2

Allongée sur le lit de la chambre d'hôtel où je l'ai emmené, en lui intimant l'ordre de se vêtir comme une catin, elle gémit sous la pression de mon manche qui l'empale.
Je remonte sa jupe très courte, bien haut sur ses hanches, dégageant ainsi une vue parfaite sur son porte-jarretelles et ses bas.
Elle a gardé ses chaussures à talons? son chemisier sans soutif.
- J'ai bien fait de te monter, tu es une bonne pute... dis-je en continuant de la besogner sans ménagement.
Son dos se cambre.
Elle crie... de plus en plus fort au fur et à mesure que je la pilonne.
J'affermis la prise sur ses hanches et mes cuisses frottent sur le nylon de ses bas, lorsque je la prends plus profondément encore.
Elle subit la saillie.
Les coups de reins la secouent.
Son visage part en arrière, en totale acceptation de la prise bestiale que je lui fais subir.
J'accélère, je la baise en me préoccupant uniquement de mon plaisir.
La jouissance vient.
Ses cris de plaisir me sur excitent.
Je me retire à temps pour voir mes jets de foutre lui maculer la jupe rouge, le tissu pale de son chemisier...
Je râle de bonheur.
J'incline ma verge en feu pour asperger sa fente dont les lèvres sont écartées et luisantes de mouille.
Elle coule...
De longues trainées blanches de mon jus d'homme s'étalent sur ses cuisses et dégoulinent sur ses bas noirs.
Je m'allonge d'un coup sur le lit, essoufflé de l'avoir prise avec si peu de tendresse.
Elle  les yeux grands ouverts, elle se mord la lèvre inférieure.
Je sens son orgasme en lisière de devenir.
- Vas y, je veux te voir te branler. Lui ordonne-je en restant dans mon rôle de "client".
Elle m'enjambe, ses cuisses écartées, elle remonte sur ses genoux pour se tenir droite devant moi.
Sa main droite vient caresser son sexe déjà ouvert.
Sa jupe maintenue sur ses hanches, provocante.
Elle entre deux doigts qu'elle agite avant de caresser sa vulve et venir étaler son miel sur son clitoris.
Son bonbon intime est gorgé de sang, de désir, il est rouge et gonflé.
Elle le titille, accentue les caresses et le malmène en l'appuyant en le comprimant sous ses doigts couverts de jus.
De son autre main elle déboutonne son chemisier et pousse un gémissement lorsque ses seins, généreux, se trouvent libérés.
Elle en soupèse le gauche, me regarde droit dans les yeux et malaxe son pis.
Au centre de sa corolle rose, son téton est tendu comme une mine de crayon, elle le frôle, le griffe de ses ongles.
Ses mains passent sur son ventre, lentement, ballet de caresses sur sa peau de satin.
C'est désormais sa main droite qui s'occupe de ses seins.
Trempée de son miel et de mon foutre, elle étale nos liqueurs sur son mamelon.
Elle le pince... le tire... s'arrache un petit cri.
Dans le même temps sa main gauche maltraite sa fente qui ne tarde pas à couler.
Je le vois fermer ses yeux, se pencher vers l'arrière, cambrée vers moi, son pubis fouillé par ses doigts.
Son bassin s'agite de soubresauts, elle jouit devant moi.
Ma verge est de nouveau raide, ma paume joue avec le manche.
Elle enfonce ses doigts dans son puits en chaleur pour les agiter de façon frénétique.
Sur ses lèvres molles s'écoule son sirop de femme.
Elle pousse de petits cris qui s'accentuent en un râle sonore...
Je la déguste des yeux, tellement obscène... sublime.
Lorsque ses doigts restent en elle, immobiles, je me redresse pour venir caresser ses cuisses, ses hanches, son ventre.
Lentement je flatte ses seins, marbrés de souillures.
Elle est allongée.
Je tire sur un bout de sein.
Elle gémit.
J'ai envie de faire durer le plaisir...
- Mets toi à 4 pattes.
Lentement ses paupières s'ouvrent et avec une docilité qui n'égale que sa beauté, elle se positionne, le visage au dessus du pied du lit, en appui sur ses mains, la croupe vers moi.
- J'ai encore du temps pour te baiser, j'ai pas fini ma passe.
Elle roule du bassin.
Ma verge se pose sur son sexe gluant et béant.
Je l'enfonce en elle, sans une résistance tellement elle est lubrifiée de son jus.
Elle m'accueille en agitant son corps en réponse à mes va et vient.
Mes mains viennent caresser ses cuisses, ses bas... filés... qui laissent apparaître sa peau.
Ses chevilles sont fines, ses chaussures à talons lui donne un air de... catin... divine.
Sa jupe est, avec son porte-jarretelles, la seule pièce de vêtement qui lui reste.
Attiré par ses gros seins qui se balancent sous elle à chaque assaut, je pose mes mains sur eux.
Ils sont chauds, mollement durs.
Je les presse pour les sentir fermement dans mes doigts.
Elle couine de nouveau et remonte ses fesses pour que ma verge pénètre plus loin son vagin.
Je libère ses seins et vient glisser sur ses bras jusqu'à ses mains.
Presque allongé sur son dos, j'oscille en elle.
- Ecarte ton cul de putain.
Elle s'allonge alors sur sa poitrine, et ses mains, dans les miennes, viennent se poser sur chaque fesse généreuse.
Ses doigts se crispent sur les chairs molles pour écarter, l'une de l'autre, chaque fesse.
- Je vais t'enculer. Après tout, c'est bien fait pour ça les putes. Non ?
Avant même qu'elle ne puisse répondre, sa bouche s'ouvre dans un cri guttural.
Je viens de la forcer, sans préliminaire.
Mon gland s'est enfoncé dans le petit orifice plissé.
Etroite, serrée, non préparée, mon sexe est enserré dans on étui.
La résistance est telle que je dois reculer légèrement, agripper ses hanches fermement, pour pousser durement mes reins vers elle.
Elle crie, entre douleur et désir d'être utilisée.
Je presse mon sexe en elle, il frotte les parois de son œil bistre.
Ses mains se crispent sur ses fesses pour tenter d'assouplir son orifice et rendre la sodomie moins brutale.
J'y pose alors les miennes.
Et je l'ouvre.
J'appuie sur chacune de ses belles fesses jusqu'à les séparer et la faire se dresser sur ses genoux, tellement je la déforme.
Un coup de reins plus rude propulse mon membre profondément en elle.
Il lui parcourt le conduit et glisse de façon dure dans son étroitesse.
Ses gémissements se mêlent à ses cris.
Je la laboure sauvagement.
J'utilise son anus pour fourrer mon sexe en rut, enserré, comprimé, délicieusement enchâssé dans son cul.
A la voir se tortiller, avancer son corps sous chaque assaut...
A l'entendre, quand je la perce et la défonce...
Je bande de plus en plus fort.
Mon ventre cogne contre ses fesses.
Mes bourses viennent se plaquer à ses nymphes.
Mon corps appuie sur le sien.
Elle subit la pression et ses cuisses s'écartent, ses mains se crispent sur le lit.
Bouche grande ouverte, elle bave dans ses cris de plaisir, qui doivent s'entendre dans tout l'hôtel.
Elle râle, la chevauchée est implacable, animale.
Son petit trou est déformé, ravagé.
Mon sexe palpite... une nouvelle jouissance me vient comme une lame de fond, sourde et profonde.
J'éjacule dans son anneau secret.
Je la rempli de mon foutre.
Je me vide en elle, sans retenue.
Sa main droite est venue m'aider à maintenir son cul grand ouvert.
Un râle rauque... il me semble mourir de la petite mort alors que je me répands dans ses entrailles.
Je sors mon manche souillé de son anus.
Son pauvre petit trou est totalement déformé, rouge et béant.
Il peine à se refermer et dégorge bientôt de foutre.
Elle a la souffle court, haletante, son visage est trempé de sueur, ses cheveux sont collés à sa peau.
Je pose mes doigts sur le rond offert.
Et je les enfonce.
Elle gémit... et me regarde... avec ce regard que j'adore... son regard lubrique.
Trois, puis autre doigts la sodomisent.
Je la doigte fermement.
- Tu acceptes tout petite pute.
Elle ondule sous mes coups de doigts et lorsque mon pouce rejoint les autres doigts, que me main appuie... force... s'enfonce dans son anneau défloré...
Elle hurle un "ouiiiiii".
Je laisse ma main, large, dans l'œillet brun.
Mes doigts serrés, j'opère des mouvements circulaires et de légers va et vient pour la distendre.
Je suis dans mon foutre, à jouer avec son corps de façon perverse.
Elle est secouée de soubresauts, ses gémissements sont lents et étouffés par le drap blanc.
Elle jouit, ma main dans ses reins.
Sa cyprine coule sur ses grandes lèvres, sur sa peau, jusque sur les bas. Des gouttes maculent le lit.
Je me retire, m'essuie sur sa jupe et me lève.
Je la regarde, croupe en l'air, déchirée.
Délicieuse.
Elle m'envoute.
- Reste là et rhabille-toi.

La douche me fait un grand bien.
Elle s'est rhabillée.
Ses vêtements sont souillés. Son chemisier couvert de tâche, sa jupe rouge auréolée de blanches trainées.
Ses bas sont ravagés.
Elle a le visage marqué par le plaisir trop intense, transpirante.
- Tu pues le sexe. Tu sens la pute. Lui dis-je en m'approchant d'elle.
Son sourire est tendre.
Ses yeux sont embués de larmes.
Je dépose un baiser sur son front.
- Viens, on s'en va.

Nous descendons.
Le garçon de l'accueil à les yeux fous, il nous regarde.
Il n'a pas pu ne pas entendre et lorsque je lui rends la clé, il est abasourdi par l'état dans lequel se trouve Mon Alphae...
Elle s'empourpre et me fait un grand sourire.

Nous rentrons doucement, bercés par le ronronnement de la voiture.
Elle a posé sa tête sur mon épaule, sa main sur la mienne.
J'entends son souffle plus lent, apaisé.
Sa voix est un murmure, chaud, sensuel.
- J'aime me faire défoncer comme une petite pute. Me susurre t-elle de sa voix cristalline.
Mes doigts caressent sa main en guise d'assentiment.
- J'ai adoré que vous m'exhibiez... cette honte à être observée, puis regardée alors que j'étais salie, ça m'a excité, énormément.
Mes doigts serrent les siens et je porte sa main à mes lèvres pour y déposer un baiser.
- Je veux encore avoir honte. Etre humiliée. Offerte à vos envies... à d'autres regards, pour vous. Etre... violée.
Sa voix n'est qu'un filet presque inaudible.
- Je suis à vous Mon Alpha.

A suivre...

Par Maitre - Publié dans : Elle... Il... en duo
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Mon Alphae est devant moi.rouge-copie-1
Le sourire mutin et les yeux étincelants d'envies lorsqu'elle m'a entendue l'appeler.
Son regard noisette se plonge dans le mien.
Elle passe une main dans ses cheveux bruns pour les remonter sur une de ses épaules.
L'effet qu'elle a sur moi est immédiat... le désir, l'envie... une vague de sensations et de sentiments forts.

Je lui désigne du doigt la malle, ce coffre dans lequel, elle le sait, se trouve la tenue que je désire qu'elle porte.
Elle me sourit et ouvre le couvercle.
Elle en sort les différentes pièces de vêtement contenues.
Pudiquement, elle se retourne pour enlever ce qu'elle porte actuellement.
J'admire la courbe de ses reins, ses hanches qui s'évasent après le resserrement de sa taille.
Ses doigts font glisser son dessous au sol.
Je me délecte du charme de sa nuque et la douceur de sa peau pâle, la sinuosité de son dos.
Je dévore son fessier à loisir, le galbe de ses cuisses, l'entre-jambe que j'aperçois furtivement.
Elle se vêt selon ce que je lui ait ordonné de porter.

Ses mains attachent le porte-jarretelles puis, délicatement, déroulent les bas fins, noirs, qui opacifient sensuellement ses jambes.
Elle glisse la petite jupe rouge, légère autour de sa taille. Si courte qu'elle ne masque pas les attaches des bas.
Enfin, en se retournant, elle boutonne le chemisier blanc, presque transparent, si moulant que sa poitrine généreuse parait encore plus opulente, que ses aréoles roses tendent le tissu à le déchirer.

Elle est un plaisir pour les yeux. Pour mes yeux.
Je lui prends la main, porte ses doigts à mes lèvres et les embrassent délicatement.
La texture de sa peau, ses ongles brillants... elle me rend dingue.
Je sors de ma poche un rouge à lèvre vif, et un liner noir.
Elle s'exécute devant la glace. Orne ses yeux d'un trait un peu appuyé. Sa bouche devient carmin.

J'ouvre la porte de la voiture, et elle se glisse sur le siège passager.
Nous roulons sans un bruit.
Je la sens gênée. Elle ne sait pas où nous allons et il est rare que je la fasse sortir dans une telle tenue.
Ses mains sont placées sagement sur ses cuisses ombrées de nylon.
Elle me fait confiance, comme moi avec elle, totalement, indéfectiblement.

Lorsque je me gare sur le parking d'un petit hôtel de bord de voie rapide, elle me sourit, elle sait à quoi nous allons "jouer".
Nos sourires sont nombreux, souvent échangés, toujours complices, dans chaque geste de la vie.
La clochette d'entrée tinte.
Ses talons hauts claquent sur le carrelage du hall.
A la réception un jeune homme nous regarde approcher, la bouche ouverte et les yeux posés sur Mon Alphae.
Il la détaille des pieds... à la poitrine. Incapable de monter plus haut, comme hypnotisé.
 - Je voudrais... nous voudrions, une chambre. Pour une heure.
Ma phrase le fait de suite comprendre la situation.
A mes côtés, elle baisse le visage et ses joues s'empourprent comme rarement.
Le jeune homme me délivre une clé magnétique et m'indique le premier étage.

Nous nous dirigeons vers l'escalier et je place ma main immédiatement sur sa croupe.
Mes doigts relèvent la jupe courte et je palpe la peau nue, douce, de sa fesse droite, bombée et pâle.
Elle réagit immédiatement en se cambrant et en ondulant un peu plus des hanches.
Nous savons tous les deux que, lorsque nous gravissons les marches, une à une, lentement, le regard du liftier ne quitte pas le fessier somptueux que je lui offre à admirer... et l'orée de sa vulve qui doit apparaître plus nous nous élevons vers le couloir où se situe notre chambre temporaire.

La pièce est fonctionnelle. Impersonnelle.
Mon Alphae me regarde, ses joues sont roses, ses yeux gourmands d'envies.
Elle ouvre la bouche pour dire une phrase mais je la stoppe net, dans son élan.
J'ai envie de la faire vivre ce moment jusqu'au bout, et ma main sort un billet.
Elle interrompt sa phrase et se mord la lèvre inférieure.
Je roule la monnaie de papier en un tube et le dépose dans son chemisier.
- C'est bien ainsi qu'on paye... les putes ?
Ses yeux s'enflamment, elle baisse le regard et hoche la tête, affirmative.
Je sens la honte et le désir l'envahir intensément.
Elle est... désirable... immensément attirante... terriblement belle.
Je déboutonne mon pantalon, une fébrilité me gagne, que je ne cache qu'en apparence.
Mon jean tombe sur mes chevilles.
J'avale la boule que j'ai dans la gorge, tant la situation me rend ivre, tant sa présence me rend fou.
- Allez. Au travail.
Les mots sont injurieux, sensuellement torrides d'obscénité.
Elle s'agenouille aussitôt et fait descendre mon boxer d'un geste trop rapide.
Ma verge sort comme un diable de sa boite, grosse et raide.
Les petits doigts admirables se posent sur mon sabre, dressé pour l'assaut, et se referment autour après avoir caressé et apprécié la douceur et l'ampleur de ce qui est, elle le sait, le résultat de l'effet qu'elle me fait.
Elle me masturbe fermement, presque durement.
Mon membre agité vigoureusement, elle dépose de la salive sur le bout de mon gland avant que sa paume ne vienne l'envelopper pour l'étaler sur toute la longueur.
Son autre main s'approche de sa bouche, elle crache dans sa main et pose désormais ses dix doigts sur ma tige en feu.
Je souffle de plaisir sous ses gestes brusques.
Elle fait glisser sa main sous mes bourses et me les malaxe sans cesser de me branler, ses yeux posés sur mon sexe.
Je m'adosse au mur pour conserver mon énergie et... de la dignité... je dois l'admettre.
- Taille moi une pipe maintenant petite pute.
Il me faut faire des efforts pour parvenir à garder une voix posée.
Elle ralentis son action manuelle, ouvre sa bouche et enveloppe mon gland de ses superbes lèvres.
La succion est douce, puis elle avance son visage vers moi et je vois disparaître, centimètre après centimètre, ma grosse tige dans ses lèvres étirées.
Sa tête va d'avant en arrière.
Elle se fait mécanique, efficace.
Ses lèvres sont serrées pour me procurer le maximum de plaisir avec un minimum d'effort de sa part.
Parfois cependant je la sens ralentir et profiter de la texture de mon sexe, dans sa bouche. Sa langue vient alors caresser le col, le frein, le méat, ses aspirations se font lentes, elle me déguste... avant de reprendre une attitude en adéquation avec le rôle que je lui impose.

Mai main se pose alors derrière son crâne et j'appuie.
Elle résiste un peu, surprise, puis se laisse faire.
J'enfonce mon manche de chair, loin en elle, jusqu'à ce que je vois son visage grimacer, sa bouche s'ouvrir et le haut le cœur lui venir.
Je relâche alors la pression sur son visage, pour laisser reculer mon sexe un peu avant de recommencer.
Je me place au fond de sa gorge et je reste immobile.
Elle souffle par le nez, elle bave abondamment, son regard se lève vers moi... implorant.
Je recule alors doucement en la contemplant... merveilleuse de soumission.

Mon sexe dodeline devant son visage essoufflé.
Le rouge à lèvre a disparu pour laisser place à une bouche outragée et gonflée, rosie.
Elle ne bouge pas, respire en me regardant.
- Va sur le lit.
Elle se lève et s'allonge sur le lit blanc.
Elle remonte sa jupe de ses mains et ouvre le compas de ses cuisses, livrant à mon regard lubrique le spectacle de son sexe trempé.
Il est clair qu'elle me montre que la situation lui plait, au point tel qu'elle en mouille en abondance.
Je décide alors d'être encore un peu plus... dur dans mes paroles.
- On voit que tu as l'habitude de te faire tringler... petite pute..., à peine allongée tu écartes les cuisses.
Elle me regarde et tourne un peu le visage pour échapper à mes yeux inquisiteurs.
Je pose mes mains sur ses hanches et l'approche du bord du lit.
Mon sexe frotte sur sa fente totalement lisse.
Je l'enfonce sans ménagement.
Elle lâche un cri de surprise.
Je pousse en elle mon pal turgescent.
Elle gémit.
Je ne recule pas, et m'enfonce encore.
Elle crie.

A suivre...

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