Partager l'article ! La passe - chapitre 2/2: [...] Allongée sur le lit de la chambre d'hôtel où je l'ai emmené, en lui intimant l'ordre de se vêtir co ...
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Allongée sur le lit de la chambre d'hôtel où je l'ai emmené, en lui intimant l'ordre de se vêtir comme une catin, elle gémit sous la pression de mon
manche qui l'empale.
Je remonte sa jupe très courte, bien haut sur ses hanches, dégageant ainsi une vue parfaite sur son porte-jarretelles et ses bas.
Elle a gardé ses chaussures à talons? son chemisier sans soutif.
- J'ai bien fait de te monter, tu es une bonne pute... dis-je en continuant de la besogner sans ménagement.
Son dos se cambre.
Elle crie... de plus en plus fort au fur et à mesure que je la pilonne.
J'affermis la prise sur ses hanches et mes cuisses frottent sur le nylon de ses bas, lorsque je la prends plus profondément encore.
Elle subit la saillie.
Les coups de reins la secouent.
Son visage part en arrière, en totale acceptation de la prise bestiale que je lui fais subir.
J'accélère, je la baise en me préoccupant uniquement de mon plaisir.
La jouissance vient.
Ses cris de plaisir me sur excitent.
Je me retire à temps pour voir mes jets de foutre lui maculer la jupe rouge, le tissu pale de son chemisier...
Je râle de bonheur.
J'incline ma verge en feu pour asperger sa fente dont les lèvres sont écartées et luisantes de mouille.
Elle coule...
De longues trainées blanches de mon jus d'homme s'étalent sur ses cuisses et dégoulinent sur ses bas noirs.
Je m'allonge d'un coup sur le lit, essoufflé de l'avoir prise avec si peu de tendresse.
Elle les yeux grands ouverts, elle se mord la lèvre inférieure.
Je sens son orgasme en lisière de devenir.
- Vas y, je veux te voir te branler. Lui ordonne-je en restant dans mon rôle de "client".
Elle m'enjambe, ses cuisses écartées, elle remonte sur ses genoux pour se tenir droite devant moi.
Sa main droite vient caresser son sexe déjà ouvert.
Sa jupe maintenue sur ses hanches, provocante.
Elle entre deux doigts qu'elle agite avant de caresser sa vulve et venir étaler son miel sur son clitoris.
Son bonbon intime est gorgé de sang, de désir, il est rouge et gonflé.
Elle le titille, accentue les caresses et le malmène en l'appuyant en le comprimant sous ses doigts couverts de jus.
De son autre main elle déboutonne son chemisier et pousse un gémissement lorsque ses seins, généreux, se trouvent libérés.
Elle en soupèse le gauche, me regarde droit dans les yeux et malaxe son pis.
Au centre de sa corolle rose, son téton est tendu comme une mine de crayon, elle le frôle, le griffe de ses ongles.
Ses mains passent sur son ventre, lentement, ballet de caresses sur sa peau de satin.
C'est désormais sa main droite qui s'occupe de ses seins.
Trempée de son miel et de mon foutre, elle étale nos liqueurs sur son mamelon.
Elle le pince... le tire... s'arrache un petit cri.
Dans le même temps sa main gauche maltraite sa fente qui ne tarde pas à couler.
Je le vois fermer ses yeux, se pencher vers l'arrière, cambrée vers moi, son pubis fouillé par ses doigts.
Son bassin s'agite de soubresauts, elle jouit devant moi.
Ma verge est de nouveau raide, ma paume joue avec le manche.
Elle enfonce ses doigts dans son puits en chaleur pour les agiter de façon frénétique.
Sur ses lèvres molles s'écoule son sirop de femme.
Elle pousse de petits cris qui s'accentuent en un râle sonore...
Je la déguste des yeux, tellement obscène... sublime.
Lorsque ses doigts restent en elle, immobiles, je me redresse pour venir caresser ses cuisses, ses hanches, son ventre.
Lentement je flatte ses seins, marbrés de souillures.
Elle est allongée.
Je tire sur un bout de sein.
Elle gémit.
J'ai envie de faire durer le plaisir...
- Mets toi à 4 pattes.
Lentement ses paupières s'ouvrent et avec une docilité qui n'égale que sa beauté, elle se positionne, le visage au dessus du pied du lit, en appui
sur ses mains, la croupe vers moi.
- J'ai encore du temps pour te baiser, j'ai pas fini ma passe.
Elle roule du bassin.
Ma verge se pose sur son sexe gluant et béant.
Je l'enfonce en elle, sans une résistance tellement elle est lubrifiée de son jus.
Elle m'accueille en agitant son corps en réponse à mes va et vient.
Mes mains viennent caresser ses cuisses, ses bas... filés... qui laissent apparaître sa peau.
Ses chevilles sont fines, ses chaussures à talons lui donne un air de... catin... divine.
Sa jupe est, avec son porte-jarretelles, la seule pièce de vêtement qui lui reste.
Attiré par ses gros seins qui se balancent sous elle à chaque assaut, je pose mes mains sur eux.
Ils sont chauds, mollement durs.
Je les presse pour les sentir fermement dans mes doigts.
Elle couine de nouveau et remonte ses fesses pour que ma verge pénètre plus loin son vagin.
Je libère ses seins et vient glisser sur ses bras jusqu'à ses mains.
Presque allongé sur son dos, j'oscille en elle.
- Ecarte ton cul de putain.
Elle s'allonge alors sur sa poitrine, et ses mains, dans les miennes, viennent se poser sur chaque fesse généreuse.
Ses doigts se crispent sur les chairs molles pour écarter, l'une de l'autre, chaque fesse.
- Je vais t'enculer. Après tout, c'est bien fait pour ça les putes. Non ?
Avant même qu'elle ne puisse répondre, sa bouche s'ouvre dans un cri guttural.
Je viens de la forcer, sans préliminaire.
Mon gland s'est enfoncé dans le petit orifice plissé.
Etroite, serrée, non préparée, mon sexe est enserré dans on étui.
La résistance est telle que je dois reculer légèrement, agripper ses hanches fermement, pour pousser durement mes reins vers elle.
Elle crie, entre douleur et désir d'être utilisée.
Je presse mon sexe en elle, il frotte les parois de son œil bistre.
Ses mains se crispent sur ses fesses pour tenter d'assouplir son orifice et rendre la sodomie moins brutale.
J'y pose alors les miennes.
Et je l'ouvre.
J'appuie sur chacune de ses belles fesses jusqu'à les séparer et la faire se dresser sur ses genoux, tellement je la déforme.
Un coup de reins plus rude propulse mon membre profondément en elle.
Il lui parcourt le conduit et glisse de façon dure dans son étroitesse.
Ses gémissements se mêlent à ses cris.
Je la laboure sauvagement.
J'utilise son anus pour fourrer mon sexe en rut, enserré, comprimé, délicieusement enchâssé dans son cul.
A la voir se tortiller, avancer son corps sous chaque assaut...
A l'entendre, quand je la perce et la défonce...
Je bande de plus en plus fort.
Mon ventre cogne contre ses fesses.
Mes bourses viennent se plaquer à ses nymphes.
Mon corps appuie sur le sien.
Elle subit la pression et ses cuisses s'écartent, ses mains se crispent sur le lit.
Bouche grande ouverte, elle bave dans ses cris de plaisir, qui doivent s'entendre dans tout l'hôtel.
Elle râle, la chevauchée est implacable, animale.
Son petit trou est déformé, ravagé.
Mon sexe palpite... une nouvelle jouissance me vient comme une lame de fond, sourde et profonde.
J'éjacule dans son anneau secret.
Je la rempli de mon foutre.
Je me vide en elle, sans retenue.
Sa main droite est venue m'aider à maintenir son cul grand ouvert.
Un râle rauque... il me semble mourir de la petite mort alors que je me répands dans ses entrailles.
Je sors mon manche souillé de son anus.
Son pauvre petit trou est totalement déformé, rouge et béant.
Il peine à se refermer et dégorge bientôt de foutre.
Elle a la souffle court, haletante, son visage est trempé de sueur, ses cheveux sont collés à sa peau.
Je pose mes doigts sur le rond offert.
Et je les enfonce.
Elle gémit... et me regarde... avec ce regard que j'adore... son regard lubrique.
Trois, puis autre doigts la sodomisent.
Je la doigte fermement.
- Tu acceptes tout petite pute.
Elle ondule sous mes coups de doigts et lorsque mon pouce rejoint les autres doigts, que me main appuie... force... s'enfonce dans son anneau
défloré...
Elle hurle un "ouiiiiii".
Je laisse ma main, large, dans l'œillet brun.
Mes doigts serrés, j'opère des mouvements circulaires et de légers va et vient pour la distendre.
Je suis dans mon foutre, à jouer avec son corps de façon perverse.
Elle est secouée de soubresauts, ses gémissements sont lents et étouffés par le drap blanc.
Elle jouit, ma main dans ses reins.
Sa cyprine coule sur ses grandes lèvres, sur sa peau, jusque sur les bas. Des gouttes maculent le lit.
Je me retire, m'essuie sur sa jupe et me lève.
Je la regarde, croupe en l'air, déchirée.
Délicieuse.
Elle m'envoute.
- Reste là et rhabille-toi.
La douche me fait un grand bien.
Elle s'est rhabillée.
Ses vêtements sont souillés. Son chemisier couvert de tâche, sa jupe rouge auréolée de blanches trainées.
Ses bas sont ravagés.
Elle a le visage marqué par le plaisir trop intense, transpirante.
- Tu pues le sexe. Tu sens la pute. Lui dis-je en m'approchant d'elle.
Son sourire est tendre.
Ses yeux sont embués de larmes.
Je dépose un baiser sur son front.
- Viens, on s'en va.
Nous descendons.
Le garçon de l'accueil à les yeux fous, il nous regarde.
Il n'a pas pu ne pas entendre et lorsque je lui rends la clé, il est abasourdi par l'état dans lequel se trouve Mon Alphae...
Elle s'empourpre et me fait un grand sourire.
Nous rentrons doucement, bercés par le ronronnement de la voiture.
Elle a posé sa tête sur mon épaule, sa main sur la mienne.
J'entends son souffle plus lent, apaisé.
Sa voix est un murmure, chaud, sensuel.
- J'aime me faire défoncer comme une petite pute. Me susurre t-elle de sa voix cristalline.
Mes doigts caressent sa main en guise d'assentiment.
- J'ai adoré que vous m'exhibiez... cette honte à être observée, puis regardée alors que j'étais salie, ça m'a excité, énormément.
Mes doigts serrent les siens et je porte sa main à mes lèvres pour y déposer un baiser.
- Je veux encore avoir honte. Etre humiliée. Offerte à vos envies... à d'autres regards, pour vous. Etre... violée.
Sa voix n'est qu'un filet presque inaudible.
- Je suis à vous Mon Alpha.
A suivre...