Partager l'article ! L'inquisition: [...] Lorsque je sonne à la porte, mon Alphae vient m'ouvrir, le sourire aux lèvres. Nous allons jouer, ...
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Lorsque je sonne à la porte, mon Alphae vient m'ouvrir, le sourire aux lèvres.
Nous allons jouer, elle le sait, même si elle ne connaît pas encore le thème.
Je la salue, elle me renvoie mon bonjour et me demande la raison de ma visite.
Je lui présente une carte où j'ai pris le soin d'indiquer "Police de la Morale"... sans un sourire.
Ses joues rougissent d'un coup.
D'un pas et poussant la porte avec mon épaule, j'entre sans autre forme de procès.
- Madame, nous avons des raisons de croire que vous avez porté atteinte à la bonne morale.
Mon intonation est la plus froide possible mais, lorsque je la regarde, mon corps est enflammé.
Elle porte un chemisier sous lequel se distingue son soutien-gorge en dentelle bleu nuit, un pantalon de jean dont les contours sur les poches
formes de belles arabesques entrelacées, de petites chaussettes sur des pantoufles blanches.
Elle bafouille doucement, surprise de mon jeu et de ma façon d'entrer comme en terrain conquis.
- Mais enfin... comment cela ? Vous ne pouvez pas pénétrer chez les gens comme ça...
Je referme la porte derrière moi d'un claquement feutré.
- Je vous prie de bien vouloir répondre à mes questions. Fais-je sans relever sa question.
D'un pas mal assuré elle me suit alors que je m'avance dans la maison et m'installe à une table.
Le claquement du dossier que je pose sur la table de verre la fait sursauter.
D'un doigt, elle remonte ses lunettes sur son nez et, droite à côté de moi, observe alternativement le dossier et l'homme qui joue un rôle qu'elle
apprécie.
- Je vous préviens à l'avance, en tant qu'instructeur du dossier et juge, je vous conseille d'avouer le plus rapidement possible.
Mon est sec, elle se raidit et esquisse un sourire.
Avec lenteur je tourne mon regard vers elle, sort une feuille de papier encore illisible de sa place.
- Vous êtes accusée d''immoralité sur la voie publique, exhibitionnisme au premier degré.
Je tourne le document, révélant une impression d'un SMS qu'elle m'a envoyé où elle me dit ne pas avoir tenu, et s'être soulagée derrière un
magasin.
Ses belles joues deviennent écarlates.
- Je... Je caressais une chienne... Bafouille t-elle.
Sans un mot je la regarde se dandiner d'un pied sur l'autre, le regard plus brillant.
Dans mes doigts se profile une photo, face cachée.
- N'êtes vous pas allé avec un homme dans un hôtel dernièrement ?
Elle reste muette, ses grands yeux vers moi, incrédule.
- N'avez-vous pas accepté de l'argent contre une relation charnelle ?
- Pour affaires. Cela m'arrive... mais qu'entendez-vous par ... heu... charnelle ?
Sa voix diminue sur la fin de sa phrase.
Je retourne la photo que j'ai prise alors qu'elle était agenouillé devant moi, un billet glissé dans son soutien-gorge.
- Le liftier à l'accueil, assure vous avoir entendu pousser des gémissements. Vous êtes accusée de... prostitution et acte sodomite.
Elle se fige lorsque je retourne une seconde photo ou, la croupe en l'air j'ai capté l'image de son orifice le plus intime, forcé par mon membre
viril.
- Je... heu... traite parfois des affaires en liquide oui.
Ses phrases sont lourdes de double sens qui ne font que m'exciter encore plus.
- Et enfin, troisième et dernier chef d'accusation...
Je prends mon temps, la regarde, admire la respiration qui fait remonter ses seins plus haut.
- Je ne comprends pas ce que vous voulez. Me dit-elle rapidement. Je suis une femme tout à fait honorable !
Sans me laisser troubler par son ton qui cherche à devenir ferme, je poursuis.
- Exhibitionnisme.
J'abats une capture d'écran... de ce moment où je l'avais offerte, en caméra, à 3 hommes et une femme dont on voit les profils et les commentaires
salaces.
Elle se mord la lèvre, me regarde et je sais qu'à ce moment très précis, son cœur bat plus vite, que son ventre s'enflamme et que son bas ventre
s'humidifie à notre jeu érotique.
- Niez-vous ces accusations ?
- Je ne nie pas mais... quel peut être le jugement ?
Son ton faussement inquiet me donne envie de pousser plus loin encore, l'aspect inquisiteur de cet acte entre nous.
- Vous n'avez pas répondu à ma question. Dis-je en me levant. Je vais vous demander de me montrer votre chambre.
Elle s'exécute et je la suis, non sans profiter, à chaque pas, du balancement du sa croupe.
La porte s'entrouvre.
- Voilà vous avez vu, c'est là.
Et elle referme.
J'empêche la porte de claquer en posant ma main bien à plat sur le bois et je pénètre dans la pièce.
- Vous n'avez pas le droit de...
- Si. Je l'ai.
J'ouvre un tiroir... puis un autre...
Je sais où chercher mais je fais durer le plaisir.
Lorsque j'extraie un gode de sous un porte jarretelles, elle me regarde en souriant avant de prendre une moue faussement naïve.
- Et ceci ? C'est bien à vous.
Je m'approche d'elle.
Elle baisse le regard.
- Oui, c'est à moi.
- Avouez-vous donc les 3 accusations ?
- Je risque quelle peine ?
Lentement je tourne autour d'elle.
- En tant qu'enquêteur-juge, et devant l'immoralité dont vous faites preuve, il n'y a qu'une seule issue... le port d'une ceinture de
chasteté.
Son visage remonte d'un coup.
Je lis dans son attitude l'hésitation entre le fait que je peux réellement la frustrer de tout plaisir à son bas ventre, et la simple
provocation.
- C'est.. ! Non ! Ce n'est pas possible...
- Pourquoi ? Vous avez trop besoin de plaisirs charnels ? Comme cette chienne dont vous parliez ?
Ses joues sont délicieusement rouges, son menton un peu relevé pour me faire front.
Silencieuse, elle ne bronche pas.
- Avouez. Et je peux adoucir la peine.
Elle reste immobile.
- Avouez. Lui murmure-je alors que je passe derrière elle, que ma main effleure sa nuque. Sa peau si douce, si chaude... et son parfum... si
envoutant.
- Je... oui... si vous me promettez de revoir votre jugement de façon plus doux, je ne pourrais pas être privée de caresses. S'il vous
plait.
Je retourne auprès du dossier, elle me suit.
- S'il vous plait... me dit-elle encore de sa petite voix enjôleuse... délicieuse.
Mon ton se fait alors plus sec.
- Tournez-vous et mains sur le mur.
Après une brève hésitation elle se positionne.
Du bout du pied j'écarte ses jambes et la place en situation d'inconfort.
- Je vais vous fouiller. Si vous n'avouez pas, je dois vous emmener au poste.
Mes mains se posent sur ses épaules, glissent sur sa poitrine et s'attardent sur le point culminant de ses seins dont les pointes sont
ostensiblement dressées.
Je déboutonne son chemisier et opère de même avec sa ceinture puis les boutons de son jean que je baisse sur ses cuisses.
Elle murmure un faible "hooo... s'il vous plait... Monsieur...".
Ma main droite glisse dans sa culotte et caresse son sexe lisse.
J'étire le tissu jusqu'à la faire descendre sur le haut de ses cuisses.
De mon autre main je presse chaque sein, dans la dentelle bleue nuit... et les extraie, brutalement, l'un après l'autre.
- Je... n'ai rien... sur moi... Monsieur... Je ne cache rien... vous le voyez bien.
Sa voix est haletante et ses mots s'égrènent au rythme de mes doigts qui massent son clitoris.
Mon doigt entre en elle.
Sa vulve est trempée, son vagin bouillant.
- Je dois fouiller, absolument partout.
Mon index sort d'entre ses nymphes délicates pour s'enfoncer, gluant, dans son petit anneau.
Un gémissement rauque lui échappe.
Je tourne en son intimité, jusqu'à voir son bassin, rapidement, répondre à mes mouvements.
- Vous aimez, c'est net. Alors avouez.
- Hoooo... ouiii... j'avoue...
- D'être... exhibitionniste, obscène...
Elle gémit, je la doigte lentement, tournant et élargissant son œil secret.
- Oui... hummm ouiii je suis une chienne... en chaleur... j'aime me faire prendre par tous les trous... exposée... Haaaa ! Je me caresse... je
suce... je suis une vrai petite garce... Hooo...
Je sors alors doucement mon doigt.
Et lui inflige une fessée, assez forte pour claquer et la faire gémir.
- Han ! J'aime aussi être fessée. Geint-elle en tournant son regard vers moi.
Débraillée... ses seins pendant et ses fesses à l'air, elle m'excite follement.
- Appuyez votre visage sur le mur.
Obéissante elle colle sa joue contre la tapisserie ocre.
Je saisis alors chacun de ses poignets et les lie dans son dos, au moyen du porte-jarretelles confisqué dans sa chambre.
Je caresse ses fesses blanches, tendues.
- Joli cul !
Elle souffle, inconfortablement installée.
Puis je la relève et l'aide à s'asseoir telle une prisonnière.
Son bas ventre à même le fauteuil.
Son jean et sa culotte finissent au sol.
Son chemisier repose de façon pitoyable sur ses avants bras, son soutif en travers du ventre, elle affole mes sens.
Le papier devant elle, qu'elle lit à voix basse, relève chaque fait énoncé.
"J'avoue m'être caressée comme une vulgaire cochonne... m'offrir à des regards... aimer me faire sodomiser... être prise comme une
pute..."
Ses yeux vers moi, elle avale sa respiration en énonçant l'ultime sentence.
"J'accepte de devenir la catin officielle de mon juge-inquisiteur".
- Comment puis-je signer ?
Je lui rends son sourire, complice, de connivence.
- Cette peine commuée, vous plait plus, j'en suis certain.
- Oui... et je saurais vous remercier comme il se doit dans ce rôle.
Je lui glisse un crayon dans la bouche et elle se penche pour signer maladroitement d'un large X au sens éminemment sensuel.
Son sourire est éloquent.
Celui que je lui renvoie en est l'écho.
Dans la soirée qui couvre doucement de son voile d'obscurité, nos peaux qui se touchent, nos gémissements sont un hymne à la vie et au plaisir
jusque tard... ou tôt.
A suivre.